MAJ : On me signale ceci : Ce qui est curieux, dans l'affaire Merah, c'est que la mère (qui devait bien être au courant de quelque chose) n'a pas été poursuivie pour avoir aussi mal éduqué ses enfants. Et celui qui a fourni les armes a été moins sévèrement condamné... parce qu'il ne s'appelait pas Merah. Où est la logique ? Dupond-Moretti n'a pas parlé de ça, peut-être l'a t-on censuré dans l'extrait publié...
Je vous conjure d'écouter attentivement les réponses de cet avocat au journaliste Nicolas Demorand. ce dernier à ce qu'on est convenu d'appeler une "sale gueule". Il porte sur sa face son arrogance insupportable. J'admire la dignité de défenseur d'Abdelkhader Merah, à sa place, je crois que je lui aurais arraché les yeux et réduit en chair à pâté.
L'accusé a pris pratiquement le maximum, que voulait-on de plus, la peine de mort ayant été passée à la trappe !
Horreur populacière !
La populace qui a hué le défenseur est également haïssable et la réponse de l'avocat est remarquable de pertinence, notamment à propos du problème posé par l'accusation d'association de malfaiteur. On savait que la preuve d'une complicité avec le frère criminel n'avait pas été rapportée et qu'il n'a pas pu être prouvé qu'il aurait eu connaissance de son projet criminel. Dans ces conditions, il a récolté le maximum, que peut-on vouloir de plus. La perpète ? Le condamné finit toujours par sortir !
Oui il y a la populace arrogante imbue de ses prétendus droit et les "braves gens", à ne pas confondre, ensuite il y a la fausse élite, pourrie jusqu'à la moëlle et la vraie qui ne porte aucun signe distinctif et ce n'est sûrement pas parmi les "guénoniens" qu'il faut la chercher...
Que voulait-on ? La peine de mort ! Ok je suis d'accord pour qu'on la rétablisse mais que l'on ne se contente opas de sanctionner les seuls crimes de sang mais que l'on aille non jusqu'à couper les pognes des abuseurs de biens sociaux mais qu'on les raccourcisse tout simplement. Mais la populace je la hais ! Il faut se rappeler les crimes qui ont été commis au nom de peuple et par un peuple flatté par les révolutionnaires. Bref, la démocratie est bien, il faut oser le dire, le pire des régimes. Il peut certes fonctionner mais pas sans un minimum d'honnêteté surtout et aussi d'intelligence mais nous savons que ces denrées se font rarissimes. Là c'est foutu, il est inutile d'escompter un sursaut, la chienlit ne fera probablement que croître et embellir ! Notez au passage le peu de réaction au truandage du Code du travail. Ceci dit, je m'en tape, je suis à la retraite, elle n'est pas grasse mais la liberté est sans prix et être débarrassé du stress impliqué par l'obligation de gagner sa pitance c'est mieux que de trimer pour un patron esclavagiste.
Inutile de vous dire que je n'ai absolument pas suivi ce procès. Le frère terroriste est mort, à mes yeux c'était circulez il n'y a rien à voir !
Je comprends la colère de cet avocat qui a été outrageusement insulté et qui a raison de s'en plaindre et de considérer les "réseaux sociaux" comme une abominable "poubelle". Un gouvernement digne de foi devrait censurer ce genre de site et en interdire l'accès, voir punir avec la plus grande sévérité les auteurs de diffamation les délinquants lorsqu'il sont identifié mais le résultat serait une impossible surpopulation carcérale, c'est pourquoi je persiste à penser que, bien employé, le fouettage en place publique sous l'œil de caméra de télévision serait le seul moyen de mettre un terme aux abus. Mais il faut aussi comprendre que si ces foutus "réseaux sociaux" sont des lieux d'impunité c'est aussi parce que tous ces fumiers de politiciens escrocs s'y pavanent à outrance et ce n'est pas un hasard si la prescription des délits de presse est acquise définitivement après trois mois.
Notez que ça m'arrange car sans avoir commis de délit, j'ai été menacé à plusieurs reprises par des avocats de marchands véreux dont j'ai stigmatisé les abus sur un autre blog.
Et si on reparlait de "pédophilie" ?
L'avocat de service a posé un problème de droit qui a fait s'insurger les avocats les plus sérieux lorsque le délit d'association de malfaiteur a été édicté.