Réactions... (04/11/2017)

300px-Disputation.jpg

Je reproduis ci-après des critiques qui m'ont été faites.

Sur la question de l'EI, il est possible que je me trompe, cela pourrait même être probable mais il se trouve que je préfère tabler sur l'intelligence d'une majorité de musulmans qui devraient avoir au moins la reconnaissance du ventre et considérer qu'ils sont mieux chez nous que dans les pays de tyrannie dont ils proviennent.

Le fait de m'être réconcilié avec un ex guénonien devenu soufi après avoir été très catholique n'est sans doute pas étranger à cette espèce de revirement mais que l'on ne se méprenne pas ! Si d'aventure un islamiste venait à me chier dans les bottes, il serait reçu avec les honneurs dus à son rang. Par chance je vis dans un endroit où, grâce à la prévoyance de notre Maire, on est encore préservé des mauvaises rencontres. Certaines communes ont évité l'implantation de HLMs et donc d'habitations à loyer modéré et si nous subissons une forte pression gouvernementale nous espérons éviter encore longtemps le genre de confrontation auxquelles certains quartiers sont soumis.

Parenthèse sur le 6ème pilier de l'islam

tariq ramadan.jpgMais n'allez pas croire que j'ai changé de point de vue sur l'Islam. On m'objectera du reste que les "bons musulmans" s'ils existent n'ont pas lu le Coran et particulièrement la sonate n° 9. Pardon je voulais dire la "sourate n° 9", j'ai reproduis le lapsus d'un ami musicien qui m'a fait l'observation. On notera au passage qu'une caricature de Tariq Ramadan en violeur parue dans Charlie Hebdo est en train d'ameuter les musulmans mais que les catholiques ne bronchent pas quand le même support représent Dieu le père abusé par le fils représenté une plume dans le cul...

Incertitudes au sujet des origines du christianisme

Je rappelle également que j'ai mis l'accent récemment sur les obscurités qui entourent les origines du christianisme. Ces origines ce sont au moins deux siècles dont on ne sait rien et ce que l'on nous présente comme "paroles de Jésus" peuvent avoir été plus ou moins manipulées. Bien sûr je ne peux pas croire que Jésus ait été marié à Marie Madeleine ou encore qu'il ait éprouvé un penchant charnel envers un certain Jean comme tel saint médiéval l'a prétendu pour aider certains disciples à supporter leur tendance "païenne" en matière de mœurs mais ce n'est pas une raison pour tomber dans une sorte de "catho-centrisme" plus ou moins contraignant.

Il est un fait que pour obscures qu'elles oient les origines de l'Islam sont infiniment plus claires même si tout est relatif. J'ai fait ma part pour mettre à disposition du plus grand nombre certaines recherches telles celle d'un canadien qui a tendu à prouver que la Mecque n'a jamais été en plein désert arabique mais à Pétra dans l'actuelle Jordanie.

La seule chose sûre c'est qu'il existe un Saint Suaire et que ce document est daté de l'époque du Christ et qu'il ne peut pas s'agir d'un faux mais d'un phénomène unique en son genre. Enfin et de toutes façons si la hiérarchie chrétienne daigner incarner ce que l'on sait du message attribué à Jésus le catholicisme présenterait un tout autre visage que celui qu'on lui connaît de sorte que j'applique les évangiles aussi fidèlement que je le peux et je me contrefous de toutes sortes de subtilités apologétiques qui me laisse de glace !

Je tiens donc à montrer avant tout que si les commentaires ne seront jamais ouverst, je ne pratique pas pour autant la censure. D'autre part, si l'auteur souhaite améliorer son texte (que j'ai laissé tel quel en me contenant d'ajouter des sauts de ligne) je substituerai une version éventuellement améliorée.

Et pour ce qui concerne mon salut éventuel, je me contente d'essayer d'être un "honnête homme" et ne me soucie nullement d'avoir toujours raison.

Encore quelques mots sur Jean Robin

Concernant les commentaires sur le "reniement de Pierre" vu par Robin, je verrai par la suite s'il est nécessaire d'y revenir. Les remarques faits sont trop expéditives et ne suis pas certain d'avoir tout compris.

Le texte en question se trouve dans cette liste :

http://textesjeanrobin.blogspot.fr/p/textes-de-jean-robin...

Je ne suis pas sûr que Robin lui-même soit derrière ce blog.

Ce lien vers http://principestraditionnelsmusique.blogspot.fr/ où il est question de la dualité du dièse et du "bémol" m'incite à penser qu'il se peut que je connaisse fort bien l'auteur du blog dédié aux textes de Jean Robin. L'auteur de cette fausse dualité musicale (que je ne partage pas) et qui prouve qu'il n'a rien compris à mon livre si même il se trouve qu'il l'estime hautement est le même personnage qui sévit derrière un certain blog apocalyptique. Breton, seulement d'adoption il pourrait bien être l'auteur de la collecte des textes donnés de la part de Robin...

Dans le première version de ce texte, j'ai émis un doute sur ces textes en fait ce sont des extraits de livres que j'avais oubliés.

J'ai relevé quelques points de votre blog très rapidement mais impossible de m'attarder sauf sur ce que vous dites trop rapidement sur l'Eglise romaine. Voir ci après; je vs donne mon opinion sur ce sujet plus compliqué qu'il ne semble.

Quoi d'autre ? Sur la déconfiture de l'EI et la baisse de menaces terroristes attenantes, j'ai des doutes. Par exemple un Merah a accompli ses actes sans organisation le chapeautant. De plus l'EI est largement un logo commode sans substance. Voyez Nice: le mec a agit sans Big Boss derrière lui. l'EI revendique aussi des trucs dans lesquels il n'a rien à voir comme récemment la tuerie au fusil d'assaut aux USA...L'EI de même est largement un phénomène bidon : si on examine un peu la réalité géostratégique l'EI n'a conquis que dalle en Syrie : le territoire soit-disant impressionant tombé sous sa coupe, eh bien ...Personne n'y vit : c'est un désert : bravo la "conquête". Enfin les rares villes investies sont...sunnites; donc étaient déjà acquises. Enfin et surtout le "djihadisme" est une donnée pour l"instant indispensable aux intérêts disons etats-uniens et israeliens, donc appelé à perdurer un moment.

Pour votre approche des rapports "spirituel/temporel" et de l'"anomalie" de la primauté du pape, ce schéma me semble trop influencé par certaines affirmations polémiques issues des milieux dits Orthodoxes.

Pour éclaircir le débat il faut dégager quelques points cruciaux.

S'agissant des rapports "spirituel/temporel" le christianisme se distingue de tout autre forme traditionnelle car 1) il unit ce qu'on avait usage de distinguer (Dieu et l'homme) et 2)distingue ce qu'on avait usage d'unir (le religieux et le politique). Assez remarquablement seul le bouddhisme rejoint le christianisme dans cette particularité; c'est à méditer étant donné que ces deux formes, bouddhisme et christianisme se sont manifestées en réaction contre une certaine sclérose à l'égard de ces problématiques.
Dans les conceptions paiennes, et juives (en partie) les sphères du divin et de l'humain étaient distinguées (Dieu ou les dieux et les mortels) et celles du second ordre confondues (l'empereur/le roi prêtre/pontife). A la place le christianisme propose l'Incarnation*/kénose du Verbe + et la distinction du spirituel et du temporel. 

* L'Incarnation du Verbe n'a aucun rapport avec la conception hindoue des "descentes" divines". A l'origine le terme employé était d'ailleurs "pradurbhava" (manifestation). Le Christ ne "manifeste" aucunement sa divinité sauf moments privilégiés par e. lors de la Transfiguration : il apparaît comme un homme, finit par être rejeté, et condamné à mourir comme un criminel; on est loin d'un Krishna ou d'un Ganesh.

On pourrait d'abord, pour éclaircir ce débat, rappeler quelques points relatifs à la spécificité du christianisme dans sa conception des rapports "spirituel/temporel"et les raisons de l'institution d'une autorité centrale représentée par le pape; cette institution était déjà implicite aux début du christianisme et s'est developpée au cours des temps en partie face aux réalités des rapports parfois tendus entre les états européens et l'Eglise Romaine. La conception des rapports spirituel/temporel se fonde d'abord sur des données scripturaires et ensuite des contingences historiques:

S'agissant de la papauté dérivant de la primauté de Pierre elle peut se prévaloir d'une certaine cohérence : Jésus ne dit pas "vous êtes des "Pierre" "à tous les Douze, et Pierre, selon la tradition a bien subit le martyre à Rome, non à Antioche ou Byzance.

Encore plus que l'épisode du "rendez à César" (susceptible d'une exégèse plus métaphysique) , sur l'attitude générale du Christ envers les messianismes de nature politique/militaire/temporel on pourrait noter le passage: "il s'enfuit"

Ce point est bien illustré par l'épisode de Luc 12, 13-15 où Jésus refuse de se poser en arbitre d'une querelle juridique en Luc : Quelqu'un dit à Jésus, du milieu de la foule: Maître, dis à mon frère de partager avec moi notre héritage. Jésus lui répondit: O homme, qui m'a établi pour être votre juge, ou pour faire vos partages?…
Pas de "sharia" en christianisme (alors que les problèmes d'héritage font la joie des juristes musulmans!) Comme le montre la fin du passage, les règles humaines ne sont pas normées par des injonctions divines : la seule injonction portera sur le principe d'une exigence morale portée par la liberté de l'Esprit et la raison humaine (entendue : la raison éclairée par le Logos). Ceci est en relation avec la "loi naturelle" qui doit être entendue comme la raison humaine participant du Logos divin; ce n'est pas du tout une loi déduites des modes de la nature déchue . En théologie il n'y a pas d'état de nature tel qu'on l'entend à présent. Thomas discerne  4 sortes de lois: Eternelle, divine (exprimée dans la torah), humaine et naturelle.

L'attitude de principe du christianisme fut de maintenir ces distinctions face aux tentatives des pouvoirs temporels de s'arroger le domaine spirituel ( par e. les "Investitures", les abus du "Saint Empire" ou le funeste "gallicanisme" qui est du philétisme, ou encore le maurrasisme) et aussi malgré les tentations internes à l'autorité spirituelle d'user de son influence à des fins temporelles (querelles des Bénéfices écclésiastiques, soutien à des régimes iniques, genre Franco ou Pinochet, ou plus récemment "théologie de la Libération"...) En relation avec ces vicissitudes, l'Eglise a donc du se constituer un pré carré hors d'atteinte du pouvoit temporel (en théorie du moins !) : les "donations de Constantin" sont en l'occurence un pieux mensonge tout à fait providentiel, un genre d'upaya ! D'où la papauté en ses états (et parfois dans "tous ses états" !).

Que l' insititution papale se soit parfois "durcie" c'est évident, qu'elle eut face à elle des états qui n'étaient pas les derniers à se "durcir" jusqu'à torgnoler le Pape comme à Agnani, est certain. On connaît donc les divers abus de la papauté parfois hauts en couleur mais dans le monde des contradictions où se déroule les affaires humaines on ne gagne jamais sur tous les tableaux.

Bref, finalement c'est cette conception seule qui peut garantir la liberté des deux domaines. Le fusion dans la sphère humaine de ces deux principes (c'est ce qu'on appelle le césaro-papisme -terme qui est non comme on le répète souvent venu de Papes qui voulaient faire le roi mais au contraire de l'amalgame Empereur/Eglise des conceptions byzantines.)

Le terme de "saint" Empire "Romain" avait été évidemment choisi pour affirmer des volontés césaro-papistes, donc une confusion des deux domaines. Les conceptions de Guénon à ce sujet sont peut-être trop simplistes, ou plutôt ont le défaut de plaquer sur une figure temporelle une union des deux domaines qui ne peut-être que réelle spirituellement : soit, en contexte chrétien, dans le cas du Christ Prêtre et Roi, soit dans celui du baptisé, prêtre, prophète et roi.

De plus, à concevoir comme normatif et idéal dans le champ de la gouvernance terrestre un pontifex unissant les deux fonctions on abouti alors à une sorte de figure "infaillible" et encore plus infaillible qu'un Pape puisque du moins un Pape n'a, on le sait, pas de "divisions" à sa disposition. Le comble de cette hypostase bifrons c'est évidemment l'agharta. Guénon dans les "Aperçus" note, et non d'une façon positive, que l "infaillibilité" est bizarrement "concentrée tout entière" (sic) dans la fonction papale. Mais en en fait c'est faux: dans la doctrine catholique on distingue l' infaillibilité active qui est d'abord celle du Christ, déléguée à l'Eglise et donc au pape quand il parle en son nom et aux évêques en union avec le pape, et l'infaillibilité passive qui est celle de tous les prêtres et fidèles en tant qu'ils enseignent la doctrine catholique.

Il n'y a donc pas d'infaillibilité exclusivement "concentrée" en une personne de la hiérarchie romaine. Sans parler du fait que l'infaillibilté papale n'a été exercée qu'une ou deux fois, donc on est loin de la dictature de la foi et des moeurs dénoncée par certains: à côté des fatwas de l'islam, le Vatican est très bon enfant je trouve. Soit dit en passant je suis souvent amusé par le fait que bien des gens dénonçant cette "infaillibilité" papale (mal comprise donc) s'octroie volontiers l'infaillibilité pour eux-mêmes, se prononçant ex cathedra sur tous les sujets sans souffrir contradiction,  et insultent copieusement le moindre avis divergent (cf Gilis et autres guénonistes, libre-penseurs,  protestants etc)

Si on considère comment les choses se déroulèrent du côté "Orthodoxe" force est de constater que la fameuse "symphonie" ne s'est jamais exercée que dans l'idéal: dans les faits si le monachisme constituait parfois une sorte de "protestation" face à l'hégémonie du Basileus, le monachisme n'étant pas toute l'Eglise, il ne pouvait parvenir à équilibrer efficacement les rapports entre le pouvoir impérial et l'Eglise. Dans les faits, donc, et les Orthodoxes qui ont souvent une idée manichéenne de l'histoire, l'oublient volontiers, l'Empereur faisait et défaisait les patriarches. La conception symphonique était une fiction, et même une monodie où le religieux se confondait avec l'état: le philétisme et ses expressions ultimes dans le soutien écclésial à des nationalismes brutaux, la soumission brutale du clergé russe à partir de Pierre le Grand, les accointances de certains écclésiastes russes avec le KGB, les abus temporels du clergé grec et tutti quanti.

Si on examine les faits on s'aperçoit que c'est bien l'absence d'instance centrale régulatrice comme la Papauté qui a contribué à la faillite de l'Orthodoxie. Par exemple, les rivalités, encore actuelles, et d'une mesquinerie fréquente, entre "juridictions". Ces querelles entre patriarcats, en quoi sont-elles plus édifiantes que celles internes à l'église Romaine ? En quoi serait-il mieux d'avoir ainsi plusieurs "papes", ce qui est l'état de fait du monde Orthodoxe, se disputant la juridiction de la moindre disapora, de la plus obscure paroisse au lieu d'un seul Pape? A ma connaissance aucun orthodoxe n'a jamais osé relever ce type de paradoxe.

En fait les conceptions manichéennes et illogiques de l'Orthodoxie face à ces questions institutionnelles et historiques relève de l'irrationnel et je pense qu'elles proviennent de la pire des motivations, qui est la même que celle qui empoisonne une bonne part de l'Islam actuel: le ressentiment. Le "c'est la faute à l'autre" si ça ne va pas...l'"autre", ce méchant, qui m'a fait du mal à moi, l'innocent. Alors on ressasse sans fin 1204 (sans remettre les faits dans leur contexte) et on peste contre les Croisades, preuves de l'agressivité Catho, en oubliant qu'après la déculottée de la bataille de Manzikert ce sont bien...les Byzantins qui ont appelé Rome à l'aide pour contrer les envahisseurs turcs! On fulmine au sujet du Filioque (en réalité une affaire sans importance, un coupage de tifs en quatre, qui est devenu le polichinelle habituel qui sort de la boîte du ressentiment Orthodoxe quand il n'a rien d'autre à dire). On s'aigrit sur l'uniatisme: et là à ce sujet je relèverais un paradoxe: les Orthodoxes qui reprochent à Rome l'uniatisme devraient au contraire s'inspirer de celui-ci  vu la nullité des actions entreprises par l'Orthodoxie pour "prosélyter" en occident.

Je dis la "nullité" mais en fait il faudrait dire l'hypocrisie des Orthodoxes en ce domaine car c'est un des points qui m'avait le plus aterré dans mes fréquentations des paroisses orthodoxes parisiennes: dans le discours édifiant officiel l'occident s'est égaré et l'Othodoxie a maintenu le Vrai Dépôt de la Foi dans son Intégrité, alors que dans la pratique, ils s'en tapent et ne font rien. Les paroissent vivotent en autarcie, mi-églises mi-assocs du genre les Bougnats à Paris, et n'acceptent quasiment pas de membres issus de l'extérieur, partie par mollesse, partie pour raison de diplomatie envers l'Eglise d'accueil. C'est pas joli-joli tout ça !

Je remarquerai un dernier truc: un historien britannique, Acton, en analysant l'histoire des rapports séculaires entre les pouvoirs temporels et Rome relève que c'est de ces conflits qu'est né la liberté civile, bref un espace où le temporel peut faire "ce qu'il sait " sous la régulation des exigences éthiques de l'Eglise. Si l'Eglise s'était purement identifiée à la forme des trônes oints par son autorité , l'Europe "aurait tourné à un despotisme à la byzantine ou à la moscovite". C'est aussi à cause de cette spécificité, unique au monde, que l'Europe n'est pas devenue un "empire", n'ayant d'autre référent que lui-même, à la façon d'une "oumma", le pape ayant constitué un obstacle à l'hégémonie des empereurs et des rois.

Et chaque fois qu'un pouvoir ou une idéologie a voulu prédominer de façon absolue en Europe un de ses objectifs était toujours de s'en prendre à la papauté en particulier et au catholicisme en général: on le voit non seulement dans les conflits médiévaux entre les deux pouvoirs (le cas Frédéric II est l'acmé du genre), avec l'alliance entre Luther et les princes allemands et la Réforme coïncidant avec le développement du capitalisme mondialisant, avec le Risorgimento, les lois anti congrégations et autres mesures répressives de la république des frères *** : virer les congrégations, y compris des franciscains qui n'auraient pas fait de mal à une mouche, c'était préparer le terrain à ce que nous contemplons: un vide spirituel rempli par des musulmans rancuniers qui eux sont prêts à décapiter une mouche non halal.

Ce n'est pas sans raison si à présent l'europe et son reliquat de libertés civiles héritées du catholicisme et à présent liquidées par les démocraties en phase terminale est menacée  par des résurgences païennes (l'Imperium du "village global"). Ainsi que par des épiphénomènes variés qui se signalent par leur culte de l'immanence et vont de la parodie des libertés réelles comme la théorie du "genre" ou celle du transhumanisme (héritages gonstiques). Et evidemment par l'islam ( ou plutôt la umma djihadisante, phénomène issu d'une secte rigoriste dont le développement est financé par les capitaux américains et affiliés).

09:22 | Lien permanent | Commentaires (0)