Karma-krame !
J'ai du être informé de l'incendie qui a ravagé l'institut Karma Ling en Savoie dans la nuit du 30 novembre au premier décembre mais ça n'a pas du me frapper car j'en ai pas gardé de souvenir marquant n'ayant pas eu connaissance de l'ampleur des dégâts. Le fait m'a été rappelé ces derniers jours par un ami bouddhiste de longue date qui m'a révélé, au cours de la conversation, que c'est un ancien cuisinier de l'établissement que est à l'origine d'un incendie criminel.
Ce cuisinier se serait vengé de l'exploitation dont il aurait été victime de la part de la "Mère Denis" (Teundroup) qui lui devrait encore de l'argent. C'est en effet ce qui se dit, de bouche à oreille, parmi les dévots qui sont au courant des anomalies dont sont coutumiers les centres bouddhiques.
J'avoue m'être réjoui en contemplant ces belles flammes purificatrices car j'ai séjourné à deux reprises au moins à Karma Ling et j'ai pu observer de près comment les choses fonctionnaient et je n'ai pas manqué d'être assez révolté par ce que j'ai vu et entendu. Et pas qu'à Karma Ling, je suis allé aussi en Bourgogne et je sais également comment et sur quelles bases fort problématiques ont été fondées un centre, jadis sis à Laghet (un centre de culte marial) transféré plus tard dans l'arrière pays de Grasse sous le nom d'Institut Maghada.