
Mise à jour du 4 mars
La version originale de ce compte-rendu a été jugée trop succincte et l'on m'a suggéré, avec une certaine insistance, des compléments. Je tiens à préciser que j'ai d'autres soucis que ce blog (médecine, musique baroque d'église) qui est devenu un peu la dernière roue du char vu la complète décrépitude du milieu et des études traditionnelles. Bref, je suis harcelé de partout, d'un côté parce que j'ai relayé ailleurs les prescriptions du Pr Raoult pour le traitement de la Covid-19 et qu'alors que je croyais en avoir terminé je vais devoir taper du poing sur la table et dire pourquoi il à tout faux en matière de vaccination. Bref j'avais promis de compléter ce post, et que je sache je tiens toujours mes promesses, et je les probablement au delà de ce que l'on en attend...
Je souhaitais donc pouvoir faire un break de quelques jours mais chacun à ses priorités et même ses "idées fixes"...
La demande de complément provient d'un personne qui est centré sur sa conception particulière de la "Science des Lettres", orn en dépit de mes efforts pour comprendre sa perspective, je ne suis pas parvenu à trouver la "porte d'entré" de sa conception de la chose. Je ne dis pas qu'elle est fausse où qu'il manquerait de pédagogie dans son exposition, je n'en sais fichtre rien mais ça ne me parle pas et par ailleurs on me reproche d'être "hors sujet" pour telle ou telle digression.
Ce qui a le don de m'agacer prodigieusement car ce genre de reproche recouvre une certaine tendance égocentrique que je viens d'évoquer, et cela me rappelle une certaine pédagogie en usage dans le secondaire à propos de dissertation. Cela dit cela me rappelle un concours qui m'a permis de devenir "rédacteur juridique" pour les accidents corporels dans une certaine compagnie d'assurance, équivalente au régime général d'Assurrance Maladie.
J'avais pour chef de service un type que je risquais de croiser le soit dans certains lieux de drague rémois, et il était horrifié à l'idée que je puisse obtenir une promotion. Je ne me rappelle plus le sujet qu'il m'avait été donné de traiter mais ce dont je me souviens c'est que je l'ai en quelque sorte, littéralement pulvérisé, en démontrant, justement par des "digressions" que la question posée était, en quelque sorte, une fausse question. Or le principal examinateur, que était un homme intègre et loyal s'est opposé au "complot" dont j'ai été l'objet, et m'a, en quelque sorte imposé et évidemment vous pouvez imaginer les gens de remous que cela a pu engendrer.
En d'autres termes, le seul problème qui se pose et que les éventuelles digressions nécessiterait soit une mise en notes, très laborieuse sur un blog, ou une mise en caractère plus petit. Je pense que j'en fais assez et que ceux à qui mes propos ne conviennent pas peuvent aller se faire voir ailleurs. Cela étant, je suis absolument sûr que ce blog est tout-à-fait unique en son genre mais il va de soit que je ne m'attends pas à ce que l'on m'en fasse l'éloge...
Je vais donc réécrire et surtout compléter ce post datant de quelque jours.
On notera que ne disposant pas d'une édition numérique du livre, je ne peux pas m'astreindre à copier de larges portions du texte en guise de citations. Mais si l'on estime que cela manque, on peut le faire à ma place et m'envoyer des extraits, j'en ferai bon usage. Mais est-ce vraiment nécessaire ? Non ceci est une invitation à lire cet ouvrage capital et chacun est libre d'aviser.
En ce qui concerne les réactions à ce blog, elles se limitent à celles de trois personnes, pas une de plus. Celle d'un maçon portant un blaze flamand que je ne suis pas sur de restituer correctement sans faire de recherche, celle d'un catholique varois qui m'a puissamment aider pour la rédaction finale du Dossier Schuon et qui a fini par m'incendier littéralement et celle que je viens d'évoquer. J'espère que la personne en question ne se vexera pas des remarques que je viens de faire.
Précisions importantes
Alors je vais jouer carte sur table : on ne peut pas être un tant soit peu "guénonien" sans être assez franchement "marcionite", je crois pas qu'il ait existé le moindre caractère "initiatique" au sein de la Maçonnerie apparue en 1717, il est maintenant clair que c'est une construction artificielle et ce n'est pas moi qui le dit mais bien des historiens maçonniques appartenant au sérail (Dachez et Cie...).
Guénon, à cet égard, s'est complètement "planté" et il est resté tributaire d'idées occultistes plus ou moins délirantes et ne s'est pas vraiment affranchi d'un mentalité ayant cours à son époque. Guénon a cherché à SEDUIRE les catholiques, bien mal lui en a pris, dès 1910 il s'était tourné vers l'Islam confrérique. Il a été initié par un artiste qui a tristement fini sa carrière en passant sous un train espagnol. On sait pour quelles raisons, il a eu des problèmes avec son pays d'origine, la Suède si je ne m'abuse... Il faut être clair, comme plusieurs autres que j'ai pointé, il a été intéressé par l'Orient en vertu de certaines possibilités inhérentes à un genre particulier de "tourisme sexuel". Comme ça posait problème et que ça en pose toujours il s'est efforcé de trouver un "alibi spirituel" en s'agrégeant à une tariquah impliquée dans le culte d'un certain Ibn Arabi personnage à l'égard duquel mes sentiments, et pas seulement les miens, sont excessivement "mélangés".
Cela dit je veux bien croire qu'il y a "quelque chose" dans l'Islam mais il y a tout de même un problème : ce dernier réside dans la déclaration tardive de Guénon à propos de la nécessité d'un exotérisme. Or la version islamique de cet exotérisme est bien ce qui existe de pire ! A ce propos, je veux bien croire et j'admets parfaitement que Schuon a écrit des choses qui ne sont absolument pas contestables et qu'il avait parfaitement raison d'en avoir ras le bol et que d'autre part il était parfaitement fondé à émettre certaine criques à l'adresse de Guénon. Mais voilà il y a eu le fameux procès public de Bloomington qui a suscité un afflux de témoignages sur sa conduite en tant que chef de secte mégalomaniaque responsable chez de nombreux disciples de blessures psychiques graves et même impardonnables, il fallait leur rendre justice.
On m'objecte qu'il avait bien le droit de baiser autant de femmes qu'ils voulait. D'une part, ce n'est pas du tout exact dans la mesure où il a décrété que plusieurs femmes canoniquement mariées à des disciples devaient se reconnaître siennes. Ceci étant, je l'ai défendu des accusations mensongères et ridicules de "pédophilie" venant de Koslow. Mais l'on aurait voulu que je fasse abstraction de certains témoignages et que je ne considère que ce qu'il y aurait d'intéressant dans ses livres. Or ce n'est pas à moi de le faire et j'ai invité ceux qui veulent sauver ce qui mérite de l'être de s'en charger. Force est de constater que j'attends toujours... Bien évidemment, on ne peut rien attendre de ceux qui continuent d'en faire une idole alors qu'il a été démontré qu'il n'a jamais reçu le moindre mandat d'initier qui que ce soit à la baraka de la tariquah dont il s'est recommandé. Donc, à cet égard, il reste quelque chose à faire, la chose n'est pas de mon ressort ! Donc je passe la main...
Passons maintenant à l'exécution de la promesse faite voici quelques jours...
====================
Ici commence le post dans sa version remaniée...
C'est un ami prénommé Zoltan qui m'a fait découvrir ce livre paru en 1983. Je me sens un peu honteux d'en avoir ignoré l'existence si longtemps tant il est intéressant. J'en connaissais de vue la couverture mais je suis si allergique à l'occultisme que j'ai du feuilleter le sommaire sans tilter....
Sur l'auteur veuillez vous reporter à la notice de Wikipedia.
Nous sommes le 4 mars à 21h 18, la nuit dernière, j'ai bénéficié d'une insomnie, cela arrive parfois, je me suis donc décidé à entreprendre le massage terminal sur la "magie sexuelle". Il s'agit d'une rubrique qui me donne des boutons pour la raison suivante : la sexualité est une contingence à base de "magnétisme" qui ne peut pas avoir pour seul but la perpétuation de l'espèce, c'est tout de même un peu plus compliqué que cela ! J'ai parlé quelque part d'un upaya, ruse divine. Ce que je veux souligner c'est que l'on ne peut pas s'en sortir sans adopter une attitude purement pragmatique. Or on constate que, très curieusement, l'instrumentation de la sualité à des fins prétendument spirituelle (je dirais purement énergétiques...) repose sur le même postulat dogmatique...
Alexandrian m'a bluffé sur ce chapitre car tant en ce qui concerne les possession de Loudun, les sabbats de sorcières ou encore l'affaire des poisons, il a réussi, en peu de pages à documenter le sujet d'un façon à la fois synthétique tout en étant exhaustive, de sorte que malgré le temps déjà passé pour m'informer sur ses matières je constate que si j'avais eu la chance d'ouvrir ce livre voici des années, j'aurais gagné un temps précieux. La fin je ne la connais pas, je me suis arr^été au milieu du chapitre et ma foi quand j'aurais bouché cette partie du volume, je n'escompte pas en reparler car j'entends ne vous influencer en rien.
Je vous recommande particulièrement, à partir de la page 293 le chapitre sur la poursuite de la "Chose" par les disciples de Martines de Pasqually et consorts. Un régal... ce passage est à rapprocher du fameux livre d'une certain Alice Joly intitulé un mystique lyonnais, les secrets de la Franc-Maçonnerie : Jean-Baptiste Willermoz.
Voir

Mise à jour du 4 mars
La version originale de ce compte-rendu a été jugée trop succincte et l'on m'a suggéré, avec une certaine insistance, des compléments. Je tiens à préciser que j'ai d'autres soucis que ce blog (médecine, musique baroque d'église) qui est devenu un peu la dernière roue du char vu la complète décrépitude du milieu et des études traditionnelles. Bref, je suis harcelé de partout, d'un côté parce que j'ai relayé ailleurs les prescriptions du Pr Raoult pour le traitement de la Covid-19 et qu'alors que je croyais en avoir terminé je vais devoir taper du poing sur la table et dire pourquoi il à tout faux en matière de vaccination. Bref j'avais promis de compléter ce post, et que je sache je tiens toujours mes promesses, et je les probablement au delà de ce que l'on en attend...
Je souhaitais donc pouvoir faire un break de quelques jours mais chacun à ses priorités et même ses "idées fixes"...
La demande de complément provient d'un personne qui est centré sur sa conception particulière de la "Science des Lettres", orn en dépit de mes efforts pour comprendre sa perspective, je ne suis pas parvenu à trouver la "porte d'entré" de sa conception de la chose. Je ne dis pas qu'elle est fausse où qu'il manquerait de pédagogie dans son exposition, je n'en sais fichtre rien mais ça ne me parle pas et par ailleurs on me reproche d'être "hors sujet" pour telle ou telle digression.
Ce qui a le don de m'agacer prodigieusement car ce genre de reproche recouvre une certaine tendance égocentrique que je viens d'évoquer, et cela me rappelle une certaine pédagogie en usage dans le secondaire à propos de dissertation. Cela dit cela me rappelle un concours qui m'a permis de devenir "rédacteur juridique" pour les accidents corporels dans une certaine compagnie d'assurance, équivalente au régime général d'Assurrance Maladie.
J'avais pour chef de service un type que je risquais de croiser le soit dans certains lieux de drague rémois, et il était horrifié à l'idée que je puisse obtenir une promotion. Je ne me rappelle plus le sujet qu'il m'avait été donné de traiter mais ce dont je me souviens c'est que je l'ai en quelque sorte, littéralement pulvérisé, en démontrant, justement par des "digressions" que la question posée était, en quelque sorte, une fausse question. Or le principal examinateur, que était un homme intègre et loyal s'est opposé au "complot" dont j'ai été l'objet, et m'a, en quelque sorte imposé et évidemment vous pouvez imaginer les gens de remous que cela a pu engendrer.
En d'autres termes, le seul problème qui se pose et que les éventuelles digressions nécessiterait soit une mise en notes, très laborieuse sur un blog, ou une mise en caractère plus petit. Je pense que j'en fais assez et que ceux à qui mes propos ne conviennent pas peuvent aller se faire voir ailleurs. Cela étant, je suis absolument sûr que ce blog est tout-à-fait unique en son genre mais il va de soit que je ne m'attends pas à ce que l'on m'en fasse l'éloge...
Je vais donc réécrire et surtout compléter ce post datant de quelque jours.
On notera que ne disposant pas d'une édition numérique du livre, je ne peux pas m'astreindre à copier de larges portions du texte en guise de citations. Mais si l'on estime que cela manque, on peut le faire à ma place et m'envoyer des extraits, j'en ferai bon usage. Mais est-ce vraiment nécessaire ? Non ceci est une invitation à lire cet ouvrage capital et chacun est libre d'aviser.
En ce qui concerne les réactions à ce blog, elles se limitent à celles de trois personnes, pas une de plus. Celle d'un maçon portant un blaze flamand que je ne suis pas sur de restituer correctement sans faire de recherche, celle d'un catholique varois qui m'a puissamment aider pour la rédaction finale du Dossier Schuon et qui a fini par m'incendier littéralement et celle que je viens d'évoquer. J'espère que la personne en question ne se vexera pas des remarques que je viens de faire.
Précisions importantes
Alors je vais jouer carte sur table : on ne peut pas être un tant soit peu "guénonien" sans être assez franchement "marcionite", je crois pas qu'il ait existé le moindre caractère "initiatique" au sein de la Maçonnerie apparue en 1717, il est maintenant clair que c'est une construction artificielle et ce n'est pas moi qui le dit mais bien des historiens maçonniques appartenant au sérail (Dachez et Cie...).
Guénon, à cet égard, s'est complètement "planté" et il est resté tributaire d'idées occultistes plus ou moins délirantes et ne s'est pas vraiment affranchi d'un mentalité ayant cours à son époque. Guénon a cherché à SEDUIRE les catholiques, bien mal lui en a pris, dès 1910 il s'était tourné vers l'Islam confrérique. Il a été initié par un artiste qui a tristement fini sa carrière en passant sous un train espagnol. On sait pour quelles raisons, il a eu des problèmes avec son pays d'origine, la Suède si je ne m'abuse... Il faut être clair, comme plusieurs autres que j'ai pointé, il a été intéressé par l'Orient en vertu de certaines possibilités inhérentes à un genre particulier de "tourisme sexuel". Comme ça posait problème et que ça en pose toujours il s'est efforcé de trouver un "alibi spirituel" en s'agrégeant à une tariquah impliquée dans le culte d'un certain Ibn Arabi personnage à l'égard duquel mes sentiments, et pas seulement les miens, sont excessivement "mélangés".
Cela dit je veux bien croire qu'il y a "quelque chose" dans l'Islam mais il y a tout de même un problème : ce dernier réside dans la déclaration tardive de Guénon à propos de la nécessité d'un exotérisme. Or la version islamique de cet exotérisme est bien ce qui existe de pire ! A ce propos, je veux bien croire et j'admets parfaitement que Schuon a écrit des choses qui ne sont absolument pas contestables et qu'il avait parfaitement raison d'en avoir ras le bol et que d'autre part il était parfaitement fondé à émettre certaine criques à l'adresse de Guénon. Mais voilà il y a eu le fameux procès public de Bloomington qui a suscité un afflux de témoignages sur sa conduite en tant que chef de secte mégalomaniaque responsable chez de nombreux disciples de blessures psychiques graves et même impardonnables, il fallait leur rendre justice. On m'objecte qu'il avait bien le droit de baiser autant de femmes qu'ils voulait. D'une part, ce n'est pas du tout exact dans la mesure où il a décrété que plusieurs femmes canoniquement mariées à des disciples devaient se reconnaître siennes. Ceci étant je l'ai défendu des accusations mensongères et ridicules de "pédophilie" venant de Koslow. Mais l'on aurait voulu que je fasse abstraction de certains témoignages et que je ne considère que ce qu'il y aurait d'intéressant dans ses livres. Or ce n'est pas à moi de le faire et j'ai invité ceux qui veulent sauver ce qui mérite de l'être de s'en charger. Force est de constater que j'attends toujours... Bien évidemment, on ne peut rien attendre de ceux qui continuent d'en faire une idole alors qu'il a été démontré qu'il n'a jamais reçu le moindre mandat d'initier qui que ce soit à la baraka de la tariquah dont il s'est recommandé. Donc, à cet égard, il reste quelque chose à faire, la chose n'est pas de mon ressort !
Passons maintenant à l'exécution d ela promesse faite voici quelques jours...
====================
Ici commence le poste dans sa version remaniée...
C'est un ami prénommé Zoltan qui m'a fait découvrir ce livre paru en 1983. Je me sens un peu honteux d'en avoir ignoré l'existence si longtemps tant il est intéressant. J'en connaissais de vue la couverture mais je suis si allergique à l'occultisme que j'ai du feuilleter le sommaire sans tilter....
Sur l'auteur veuillez vous reporter à la notice de Wikipedia.
Nous sommes le 4 mars à 21h 18, la nuit dernière, j'ai bénéficié d'une insomnie, cela arrive parfois, je me suis donc décidé à entreprendre le massage terminal sur la "magie sexuelle". Il s'agit d'une rubrique qui me donne des boutons pour la raison suivante : la sexualité est une contingence à base de "magnétisme" qui ne peut pas avoir pour seul but la perpétuation de l'espèce, c'est tout de même un peu plus compliqué que cela ! J'ai parlé quelque part d'un upaya, ruse divine. Ce que je veux souligner c'est que l'on ne peut pas s'en sortir sans adopter une attitude purement pragmatique. Or on constate que, très curieusement, l'instrumentation de la sualité à des fins prétendument spirituelle (je dirais purement énergétiques...) repose sur le même postulat dogmatique... Alexandrian m'a bluffé sur ce chapitre car tant en ce qui concerne les possession de Loudun, les sabbats de sorcières ou encore l'affaire des poisons, il a réussi, en peu de pages à documenter le sujet d'un façon à la fois synthétique tout en étant exhaustive, de sorte que malgré le temps déjà passé pour m'informer sur ses matières je constate que si j'avais eu la chance d'ouvrir ce livre voici des années, j'aurais gagné un temps précieux. La fin je ne la connais pas, je me suis arr^été au milieu du chapitre et ma foi quand j'aurais bouché cette partie du volume, je n'escompte pas en reparler car j'entends ne vous influencer en rien.

Je vous recommande particulièrement, à partir de la page 293 le chapitre sur la poursuite de la "Chose" par les disciples de Martines de Pasqually et consorts. Un régal... ce passage est à rapprocher du fameux livre d'une certain Alice Joly intitulé Un mystique lyonnais, les secrets de la Franc-Maçonnerie, Jean-Baptiste Willermoz 1730-1824.
Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3331727h.texteImage
La question a été traitée dans ce post ou j'ai parlé d'un livre censuré par René Guénon.
Voir : http://dossierschuonguenonislam.blogspirit.com/archive/2017/11/22/des-nouvelles-de-la-grande-triade-3099094.html
Voilà donc l'une des précisions donc je comptais bien m'acquitter. J'ajouterai que je supporte d'autant plus mal que l'on me tarabuste quand les choses ne viennent pas assez vite que je souffre terriblement
Dans la division portant sur Les mystères de la Kabbale, je vous recommande particulièrement, page 89, La doctrine du siècle doré. Il y est question de Guillaume Postel et de la "mère Joana" dont François Secret, dans son livres sur Le Kabbalistes Chrétiens de la Renaissance a fait tout un plat sans la présenter. Évidemment s'il l'avait située, ne serait ce qu'en précisant qu'il s'est agi de la vieille cuisinière du couvent où ledit Postel a passé un moment, le mystère de celle qu'on présente un peu comme une "prophétesse" en aurait beaucoup pâli. Je regrette de n'avoir pas d'édition numérisée du livre d'Alexandrian, sinon je vous en aurais offert quelques citations roboratives. Mais devoir recopier à la mains les passages hilarants est au dessus de mes forces. On trouve ce livre d'occase à moins de 10 €, ne vous gênez pas...
En ce qui concerne l'ouvrage de François Secret, il est carrément illisible. Les longues citations sont pratiquement indiscernables de ce qui vient de l'auteur. Tout çà parce qu'on n'est pas fichu de prendre la moindre licence vis à vis d'un code typographique désuet qui prescrit seulement l'ouverture et la fermeture de guillemets quand il faudrait recourir à des italiques tout en s'abstenant de produire de longs bloc de texte sans sauf de ligne. Une véritable chiasse érudite certes mais qui, sur le fond, est absolument creuse. On n'apprend pas grand chose dans ce pensum si ce n'est que les kabbalistes Chrétiens ont voulu absolument trouver des trace de la sacro sainte "Trinité" et du "Fils premier né". Franchement qu'est qu'on s'en tape ! Alors quand à comprendre que Postel a été rejeté comme fou tant par les cathos que par les réformés tout en étant adoré et subventionné par les princes, on n'a guère de chances d'y arriver : endormi par l'ennui après deux pages de lecture ce pavé vous tombe de mains. A utiliser uniquement pour éventuellement faire des économies de Zolpidem...
Revenons à Alexandrian, j'ai longtemps cherché, mais en vain, à m'informer sur Mesmer et son magnétisme animal. Dans le livre que j'évoque le sujet à été dépeint avec une extraordinaire pertinence en 5 pages seulement à partir de la 248. Et avec une telle justesse que je peux bien dire que j'en ai été bluffé.
Votre serviteur, qui est hypercritique vous le savez et aux yeux duquel peu de gens trouvent grâce, ne peut que résumer son propos ainsi : dans cet ouvrage, c'est comme dans le cochon, tout est bon ! Le propos est non seulement érudit, mais synthétique, et parfois drôle, ce qui ne gâte rien. L'auteur étant décédé en 2009, il représente une espèce d'écrivain non pas seulement en voie de disparition mais sans doute bel et bien disparue.
Dans la division portant sur Les mystères de la Kabbale, je vous recommande particulièrement, page 89, La doctrine du siècle doré. Il y est question de Guillaume Postel et de la "mère Joana" dont François Secret, dans son livres sur Le Kabbalistes Chrétiens de la Renaissance a fait tout un plat sans la présenter. Évidemment s'il l'avait située, ne serait ce qu'en précisant qu'il s'est agi de la vieille cuisinière du couvent où ledit Postel a passé un moment, le mystère de celle qu'on présente un peu comme une "prophétesse" en aurait beaucoup pâli. Je regrette de n'avoir pas d'édition numérisée du livre d'Alexandrian, sinon je vous en aurais offert quelques citations roboratives. Mais devoir recopier à la mains les passages hilarants est au dessus de mes forces. On trouve ce livre d'occase à moins de 10 €, ne vous gênez pas...
En ce qui concerne l'ouvrage de François Secret, il est carrément illisible. Les longues citations sont pratiquement indiscernables de ce qui vient de l'auteur. Tout çà parce qu'on n'est pas fichu de prendre la moindre licence vis à vis d'un code typographique désuet qui prescrit seulement l'ouverture et la fermeture de guillemets quand il faudrait recourir à des italiques tout en s'abstenant de produire de longs bloc de texte sans sauf de ligne. Une véritable chiasse érudite certes mais qui, sur le fond, est absolument creuse. On n'apprend pas grand chose dans ce pensum si ce n'est que les kabbalistes Chrétiens ont voulu absolument trouver des trace de la sacro sainte "Trinité" et du "Fils premier né". Franchement qu'est qu'on s'en tape ! Alors quand à comprendre que Postel a été rejeté comme fou tant par les cathos que par les réformés tout en étant adoré et subventionné par les princes, on n'a guère de chances d'y arriver : endormi par l'ennui après deux pages de lecture ce pavé vous tombe de mains. A utiliser uniquement pour éventuellement faire des économies de Zolpidem...
Revenons à Alexandrian, j'ai longtemps cherché, mais en vain, à m'informer sur Mesmer et son magnétisme animal. Dans le livre que j'évoque le sujet à été dépeint avec une extraordinaire pertinence en 5 pages seulement à partir de la 248. Et avec une telle justesse que je peux bien dire que j'en ai été bluffé.
Votre serviteur, qui est hypercritique vous le savez et aux yeux duquel peu de gens trouvent grâce, ne peut que résumer son propos ainsi : dans cet ouvrage, c'est comme dans le cochon, tout est bon ! Le propos est non seulement érudit, mais synthétique, et parfois drôle, ce qui ne gâte rien. L'auteur étant décédé en 2009, il représente une espèce d'écrivain non pas seulement en voie de disparition mais sans doute bel et bien disparue.