René Guénon avait raison : le christianisme fut bien une voie "initiatique" (21/11/2024)
Hors d'oeuvre : Jean Borella dans le rôle d'une "vieille pute" chiant indirectement sur Guénon pour se faire admirer d'une "gamine"
Jean Borella n'est le véritable sujet de ce post, il n'est dans mon propos qu'une sorte de "hors d'oeuvre", d'autre part la dureté du titre puisqu'il est assez franchement insultant est conçu pour éloigner de cet article les abonnés de ce blog trop "sentimentaux", ou les simples badauds qui débarqueraient sur le présent blog par erreur à en déguerpir. A moins qu'une curiosité par trop malsaine ne vienne à leur jouer un tour dont ils pourraient n'avoir pas la moindre idée...
Enfin si vous voulez apprendre quelque chose ne réagissez pas d'une manière "freudienne" et jeter un oeil sur le plat de résistance qu'annonce le titre en tournant la page pour découvrir un peu ce qu'il contient...
Je n'ai rien pour ni contre Borella, aucune haine donc et en vérité il m'amuse. Il ne s'agit donc pas ici d'un vulgaire "règlement de compte" car il n'y a jamais eu le moindre "compte" entre le personnage ci-dessus et votre serviteur car, à l'évidence et sans prétendre à recéler un génie particulier, nous n'appartenons pas au même monde étant donné que l'idée que je me fais d'une éthique correcte n'a absolument rien à voir avec l'espèce de "catho bourgeoisisme" de l'espèce de "faux jeton" représenté ci-dessus...
Qu'il veuille se faire passer pour philosophe et même pour un "théologien", on s'en tape allègrement car sans être un fondu de "métaphysique", ni particulièrement désireux d'expérimenter les "Etats multiples de l'Etre" je me soucie seulement d'exercer un charisme que je considère comme particulièrement "élémentaire", savoir le discernement des esprits...
Aussi et après un "procès" en règle mais assez court de ce "traître" (et parasite assez occasionnel) de l'oeuvre de René Guénon, je vais passer à des choses beaucoup plus sérieuses...
A savoir, une critique assez radicale du catholicisme et du "christianisme" tel qu'il existe et qui n'est qu'un mélange assez détonnant de "paulinisme" agrémenté de plus ou moins d'augustinisme. Les proportions du mélange variant un peu selon les latitudes étant entendu que seuls quelques cercles orthodoxes auraient une conscience plus ou moins aigue de cette sorte de "toxicité"...
Je vous invite par conséquent à bien attacher vos ceintures...
Avant de pousser plus avant le présent "coup de gueule", il me faut préciser ou rappeler à ceux qui ne le savaient pas que dans une de ses lettres le grand philosophe dont vous voyez ci-dessous la mine réjouie avait fini par découvrir qu'il faut prendre tout ce qui vient de votre serviteur comme ayant été conçu cum grano salis... Aucun doute à ce sujet. Je ne mettrai pas à la fin de cet article le smyley mettant en scène une face humaine rigolarde brandissant une pancarte marquée d'un MDR en majuscules car çà ne ferait pas sérieux et je ne suis pas du tout sûr que la farce qui vous attend sera vraiment appréciée à sa juste valeur...
Un vieux comédien "pontifiant" devant une "gamine" c'est pour le moins assez navrant...
Je doute que Borella ait hérité d'une grâce quelconque tellement ce personnage est "daté" mais bon si cela lui fait plaisir de s'en persuader c'est son droit mais enfin n'exagérons rien ce que vous voyez écrit en bleu n'est pas de lui mais de ses propres "thuriféraires" qui font métier de l'encenser et les coups d'ostensoirs il se les cherche et attendant le coup de pied au cul virtuel que je me propose de lui administrer par pure charité chrétienne...
La vidéo ci-dessus est un extrait d'une vidéo déjà vieille de 3 ans qui m'a été signalée récemment. Voici la présentation de l'extrait sur youtube et l'exploit remonte à 3 ans :
Jean Borella critique ici les excès sémantiques des thuriféraires de René Guénon et le sens, la valeur qu'ils ont attribuée au concept « d'identité suprême »... Il évoque aussi de manière sibylline son ouvrage "Les états multiples de l'être" Extrait d'un exposé intitulé "Je suis la voie, la vérité et la vie" par Jean Borella. Journaliste : Sandy Hinzelin Pour accéder au film : https://www.baglis.tv/ame/mystique/35...
Ainsi, sous prétexte de stigmatiser les admirateurs de René Guénon (coupables de ne pas accorder à ses prétentions "théologales" la moindre importance) il chie carrément sur Guénon tout en essayant de se faire mousser part la même occasion...
Une "gamine" nommée Hinzelin
Quant à la "gamine" devant laquelle se pavane, elle m'a l'air d'une oie blanche parfaitement confite en dévotion devant le vieux cabot nancéen, cette Sandy Hinzelin serait docteur en philosophie et chercheur (chercheuse, à moins qu'elle ne se prenne pour un mec...) associé au laboratoire Philosophies et Rationalités (Université Clermont Auvergne). Et ses recherches sont tournées vers l’Orient, plus particulièrement le bouddhisme indo-tibétain, avec une approche qui cherche à unir compréhension métaphysique, éthique et expérience méditative. Parallèlement à l’écriture, Sandy Hinzelin donne des conférences, anime des stages de yoga et philosophie, et elle propose également des cours en ligne sur son site www.etre-un-bouddha.com.
Notons que sur son site, elle a l'air un peu plus "éveillée" car elle ne semble pas avoir moufté une seul mot durant l'exposé privé de l'ex "maître de conférence" qui aurait 94 ans. Force est de constater, une fois de plus que la mauvaise herbe a la vie dure...
Noter au passage dans le choix de l'interlocutrice le préjugé universitaire de notre "vedette" et on va me dire que Guénon conchiait l'académisme en rapport parce qu'il avait échoué à un examen de passage devant Sylvain Lévy...
Une énième version d'un Trissotin se masturbant impudiquement devant une "femme savante"...
Ce Borella je lui trouverais un côté "vieille tante", un style heureusement passé de mode s'il avait choisi de se donner en spectacle devant un jeune homme... Mais il n'a pas osé où n'en a pas eu l'occasion...
Baglis étant une chaîne spécialisé dans la promotion de quelques imposteurs excessivement pédants, dont l'éventuelle érudition ne cache guère qu'un fond de vieille bourgeoisie droitiste dans ce qu'elle a de plus dégueulasse, cette sorte de prestation a bien quelque chose d'inconvenant.
Je viens de jeter un oeil sur cette chaîne TV, il semble que l'on se soit orienté vers des sortes de lieux communs "new âgeux" par de parfaits illustres inconnus...
Notez que je ne suis pas jaloux de ce type de "promotion", cette chaîne m'avait contacté je ne sais plus pour quel motif, sans doute pour évoquer l'Affaire Schuon, il y a de cela un bail et j'avais refusé l'invite parce que quand on a des choses à dire on les écrit. Point barre !
J'ai en horreur ce genre de "mondanité" que propose des nouveaux médias style "face de Bouc" où quantité de gens généralement ennuyeux et pas du tout photogéniques déblatèrent souvent un chapelet interminable de conneries...
Un style assez "vieille tante" disais-je...
Je dis cela pour rappeler avoir l'occasion l'existence d'un livre où il s'était invité à y faire un genre de confidences que personne ne lui avait réclamées.
Un livre où il a figuré parmi des "vedettes" d'un type assez "néo spiritualiste" lesquelles furent invitées à faire part à un public du même acabit de leurs coups de coeur plus ou moins "spirituels". Une chose est certaine, je n'ai pas rêvé, et on vient de me rafraîchir la mémoire et l'IA de brave me confirme que Borella a fait partie des personnalités sollicitées dans le bouquin suivant qui a été publié sous la direction d'Eric Vatré :
Borella y avait fait part d'un souci de sa parentèle qui aurait trouvé singulier qu'il ait tardé tant à se marier au point de s'être inquiété en se demandant s'il n'avait point emprunté une voie menant à une sorte de péché philosophique au sujet duquel il n'est nul besoin de vous faire de dessin. Il ne le dit pas clairement bien évidement, mais vu le contexte propre à l'époque c'est assez clair.
J'ai a ce propos le souvenir d'un échange devant une librairie ésotérique du Grand Sud qui ne peut avoir lieu qu'avec un mentor d'inspiration schuonienne qui a connu d'épuisantes alternances entre une pleine lucidité est des épisodes de fascination pour l'exhibitionniste dont la fin de carrière a donné lieu à un procès retentissement. Je rappelle à ce propos que j'ai défendu Schuon contre l'accusation de "pédophilie" et son imposture relève de quelque chose de beaucoup plus tarabiscoté...
Enfin, personne n'a obligé le vieux "mandarin" à évoquer le doute qu'à pu nourrir sa parentèle quand au soupçon ayant balancé en faveur d'une voie quasi monastique mais pas tout-à-fait et au final j'admets volontiers que le livre portant sur l'atmosphère droitiste ayant régné dans le catholicisme d'après guerre, il s'agissait bien d'en rire.
Quoiqu'il en soit ce très saint homme a fini par convoler en "justes noces" et aucune sorcière n'est parvenue à lui "nouer l'aiguillette" puisqu'il s'est assuré une descendance et aurait eu une fille qui serait devenue "nonne"...
Le bureau que vous voyez en arrière plan de notre prêcheur, j'en garde un souvenir assez vif datant d'une visite survenue un 15 juillet d'une année de disgrâce dont j'ai heureusement oublié le millésime...
Souvenir d'un 15 juillet fatidique : que s'est-il passé ce jour là ?
J'ai accompagné un concitoyen intéressé par l'Islam au travers de F. Schuon et ses questions ont porté sur ce que le sheik (sans provision) exigerait comme conditions de vie morale. Lui aussi ne désirait pas se marier mais je vous rassure, il était parfaitement "hétéro" et son problème c'est qu'il n'aimait que les très jeunes filles. C'était un admirateur de Lewis Caroll si vous voyez ce que je veux dire, soit un fou de "Lolitas". Ce sont des choses qui arrivent. J'emploie l'imparfait car il s'agit tout cela remonte aux années 80 et il y a longtemps que j'ai perdu de vue ce garçon...
C'est à cette occasion que Borella nous a raconté diverses histoires dont celle d'un représentant en vins fins qui, après s'être converti, s'était demandé s'il ne devrait pas changer de profession et ce qui nous le plus titillé c'est l'évocation des amours contrariées de Schuon avec une certain Madeleine, une Suissesse... Et comme il faut bien une femme pour tenir sa maison (sic) l'espèce d'illuminé dont j'ai reconstitué l'histoire a fini par se rabattre sur un parti assez purement "utilitaire".
L'expression que j'ai mise en italique est de Borella qui n'a rien d'un personnage "romantique" mais c'est là une chose que je peux comprendre. Les femmes n'ont d'intérêt à mes yeux que si elles assument un minimum de goût pour la maternité en se montrant au moins capables d'empathie et si en plus elles témoignent d'un minimum de curiosité intellectuelle c'est parfait. Cela dit, je n'ai rien d'un "Trissotin" et la "galanterie" c'est pas mon style, il ne s'agit pas d'écraser l'interlocuteur mais d'essayer de l'élever...
Et Borella de conclure que nécessité faisant loi notre génie alémanique, qui s'est bel et bien pris pour une sorte d'avatara, avait du se rabattre en , sur une certaine Catherine Feer, fille d'un diplomate suisse... On comprend alors comment la tariquah a pu se développer au sein d'un milieu assez "huppé"...
Quant à Sedgwick, il n'aurait sans doute jamais pu consacrer un livre de près de 400 pages au phénomène qu'à constitué la secte suisse qui a émigré dans la périphérie de Bloomington. Un ouvrage datant de 2004 intitulé Contre le Monde moderne, le traditionnalisme et l'histoire intellectuelle secrète du XXe siècle.
Et dans ce livre, Schuon qui est présenté sous les traits d'un Soleil à plume p. 221 n'y occupe pas toute la place. Loin s'en faut...
Dans cet ouvrage mon quasi concitoyen, puisque je suis comme lui d'origine albionique, évoque des photos tombées entre ses mains et il n'a pas fait mention de la moindre de la première version du Dossier qu'il m'a commandée dès son apparition, alors qu'il enseignait en Egypte, et cela se comprend.
J'ai été jugé "infréquentable" pour avoir mis les pieds dans le plat en usant d'un style très français et pas du tout britannique, style connu pour être assez compassé et empreint d'une fausse pudeur toute "victorienne".
Les temps ayant changé, j'ai progressivement abandonné le "Nous" de majesté qui ne m'allait pas du tout pour un "Je" assez familier...
Identification de la fameuse "Madeleine mythique"
Cette figure mystérieuse, j'ai fini, sans jamais l'avoir cherché, la chose ne présentant strictement aucun intérêt en soi, par l'identifier par le plus grand des hasards et la situer comme ayant été vendeuse dans une librairie d'art au grand dam d'un certain Mark J. Sedgwick et je me souviens que dans son blog il a fait un peu la grimace.
La chose s'est faite en deux temps, j'ai d'abord rencontré à Karma Ling, une dame dont l'oncle ou le grand oncle avait opposé son veto au mariage et ce n'est que beaucoup plus tard que j'ai eu connaissance du nom et des circonstances précises de la rencontre initiale.
Le contact avec cette femme s'est fait incidemment par son fils, un gamin très jeune, dans les 13/14 ans qui s'ennuyait dans le stage de yoga selon Kalou Rinpotché comme un rat mort. Il m'a "branché" pour une promenade dans les bois et j'ai accepté par curiosité et à un moment donné il a voulu sortir des sentiers battus, c'est clair qu'il avait envisagé une sorte de flirt. J'ai stoppé le jeu car j'ai vu s'y superposer une scène analogue mais en mode "hétéro" survenue dans un cadre assez particulier et datant de plusieurs décennies en arrière. Cette sorte de "synchronicité" en miroir ayant présenté un aspect assez "hallucinatoire" quoique parfaitement réelle et j'en ait perçu immédiatement la signification symbolique... Les deux expériences ayant eu pour cadre les abords forestiers d'une ancienne abbaye, la similitude m'a vivement frappé j'ai arrêté le "film"
Le soir venue à la veillée, le garçon a recommencé par des agaceries par trop voyantes, j'ai du en référer à sa mère en lui demandant s'il avait l'habitude de s'éprendre à ce point d'un inconnu et elle m'a répondu que oui, il pourrait partir au bout du monde, bref je n'ai pas poussé l'interrogatoire mais il devait avoir manqué à ce fils la présence d'un père et nous avons parlé d'autre chose...
La seule chose intéressante dans cette histoire c'est que dans le cadre de l'enquête sur la secte de Schuon toutes les informations et les documents sont venus spontanément à moi à partir du moment où j'ai publié les premiers éléments en ma possession au point que j'en ai été estomaqué. Un personnage tenant un site assez "apocalyptique" y a vu une singulière enquête de police parce qu'évidement, il est ressorti de tout cela des aspects fort peu reluisants que Borella devait découvrir par lui-même un an après la visite...
Revenons au cadre de la fameuse visite...
Nous en étions resté à la requête de jeune guénonien que j'avais accompagné
Et c'est alors que je suis intervenu en disant à peu près ceci : Eh bien vous nous en comptez là de bien bonnes, je n'ose pas imaginer la tête que ferait Schuon si un visiteur désireux de d'obtenir sa guidance, se présentait en tant que préférant ses semblables aux femmes...
J'ai usé d'un ton assez franchement railleur et Borella n'a pas pu s'imaginer que je pouvais avoir caressé la moindre envie de marcher sur ses traces et plus encore de bénéficier de la guidance de Schuon au travers de sa propre personne. Il faut préciser que nous avons rendu visite à ce personnage en sachant qu'il était encore une sorte de moquadem de Schuon à destination des chrétiens fascinés par rôle de "Messie du pérennialisme" qu'il s'était arrogé.
Notre hôte voyant là deux idiots semblant prêts à s'agréger à la troupe des ses propres disciples est tombé dans le piège qu'il s'est tendu lui-même. Il a donc pris la décision de consulter le "maître" au sujet d'une question qui n'en était pas une. J'avais discerné dans l'oeuvre de son "patron" des dissonances flagrantes à propos de ce dont il vient d'être question et le penchant qui me caractérise ne m'a jamais posé de problème "moral", il s'agit en toutes choses de s'abstenir d'excès, point barre...
Je savais que l'oracle qui allait me revenir ne pouvait que s'avérer calamiteux... Ma religion était faite sur le cas de Schuon et je n'en ai jamais changé... Bien sûr, on a eu tout intérêt à s'imaginer que j'aurais voulu m'en venger et j'ai simplement décidé de défendre à défaut de vérité avec un V majuscule le parti de ce que l'on appelle le bon sens...
Et je peux être fier d'avoir littéralement foutu à poil ce très singulier personnage et personne ne saurait me le reprocher puisqu'il adorait s'exhiber dans le plus simple appareil nanti d'une coiffe emplumée...
Le verdict du "procès" de Borella
"Vieille pute" ! Oui c'est le terme qui convient car il n'a pu s'entourer de "clients" que parce qu'il s'est fait connaître en devenant une sorte de "mokkadem" chrétien de Schuon, qu'il a fait des dupes, qu'il les a emmené méditer ou faire je ne sais quelles simagrées mantrique dans une forêt proche de Nancy avant de les larguer lâchement et brutalement quand, s'étant rendu à Bloomington, il a découvert, épouvanté, le "pot aux roses" et surtout l'étendue des dégâts.
En résumé
Borella à 94 ans, il n'aura été qu'un universitaire de seconde zone (les méchantes langues disent qu'il n'aura été qu'un vulgaire "maître de conférences" en philo), sans référence à Guénon et plus encore a Schuon il serait très probablement demeuré un illustre inconnu.
Qu'il ait tiqué à propos de Guénon en vertu d'un préjugé de type "gnostique" assez classique dans le milieu catho dévot se piquant de haute spiritualité, je veux bien mais qu'il n'ait pas vu venir ce qui allait se solder par le fameux procès de Bloomington c'est assez parfaitement incompréhensible. Je ne suis pas voyant, je n'ai pas prévu le fameux scandale mais en revanche les dissonances émanées du personnage étaient parfaitement visible dans son oeuvre.
Quant à Schuon, on ne peut pas lui reprocher d'avoir "trahi" Guénon, c'est-à-dire de lui avoir planté un couteau dans le dos car il a toujours annoncé la couleur du moins à ses disciples les plus proches et son crime n'est pas d'avoir critiqué le "maître", n'importe qui peut s'arroger ce droit à condition d'avancer des arguments crédibles et tout n'est pas faux dans ce que Schuon a relevé.
Rappel au sujet du rôle de Jean Hani dans une tentative d'éviction d'un colloque rémois de "Vers la Tradition"
Je vais m'arrêter là en me bornant a rappeler que Borella a du renseigner Hani sur la teneur des échanges ayant suivi la fameuse visite et ce dernier s'est ingénié à tenter de convaincre Roland Goffin de ne pas m'inviter au fameux colloque où j'ai été amené, non sans une certaine surprise de représenter le bouddhisme au grand dam du Dr Schnetzler qui s'est esbigné et a fait lire sa communication par Hani. Ce dernier m'a attaqué perfidement en me poussant à répondre à une question posée lors d'une table ronde à propos de la thèse de Guénon portant sur la prétendue infaillibilité pontificale.
J'ai répondu en substance qu'il s'est agi d'une connerie, j'ai su par la suite que le concept d'infaillibilité n'existe pas dans l'orthodoxie qu'il ne saurait exister de doctrine à propos des "moeurs" et j'ai fait un peu du Henri Montaigu, en disant Vérité en deçà des Pyréennées,, erreur au delà pour souligner la relativité des décrets en la matière. C'est alors que Hani a sauté sur l'occasion pour insinuer que pour professer une chose pareille je ne devais pas être très clair en matière de moeurs.
Moyennant quoi il s'est pris une râclée assez foudroyante devant une salle comble et à bien failli s'étrangler et j'ai cru qu'il allait nous faire une crise d'apoplexie. Je n'ai pas de souvenir précis de la réplique mais elle a fait son effet, ensuite dans Vers la tradition je l'ai achevé en temps que professeur de grec classique n'ayant rien compris à Platon.
Votre serviteur, un "agent infiltré" du "LGBTisme" ? Ce fut une très mauvaise blague...
Il me faut préciser qu'en 1984, j'avais publié 2 articles sur la teneur probable d'une Ere du Verseau en exploitant le contenu mythique très franchement "ganymédique" du signe. J'avais du reste annoncé une "ère d'inversion versatile" et nous y sommes, je ne vois pas ce que ces articles ont pu comporter d'alarmant et de scandaleux mais on m'a bel et bien présenté et dénoncé comme indiqué ci-dessus...
S'il existe bien un défaut de la cuirasse pouvant caractérisé toute espèce de "milieu traditionaliste" c'est bien une tendance assez paranoïaque et à ce propos Schuon n'a pas eu tout-à-fait tort quand il l'a déploré de la part de Guénon sauf que lui s'est affranchi de toute limite en n'ayant absolument peur de rien jusqu'à ce que toutes ses constructions lui pètent à la figure. A présent, j'entends des gens me dire que ses livres leur tombent des mains, ce à quoi j'ai envie de leur répondre qu'il leur a fallu beaucoup de temps pour en arriver là...
Et la "blague" a fini par se retourner contre ses propagateurs
Comment j'ai été invité au colloque de "Vers la Tradition" en 1991
Ci-dessous une image du Grand Hôtel rémois datant de 1925 où Roland Goffin m'a logé au frais de son association. Je peux me vanter d'avoir été le seul intervenant qui a été défrayé de son voyage et de ses frais de séjour mais je venais de fort loin. L'hôtel du Lion d'Or tenu pour une sorte de "palace" a probablement disparu et je n'ai trouvé qu'une chocolaterie sous l'appellation évoquée.
J'ai fréquenté le bouddhisme et je suis l'auteur d'une Lettre ouverte assez tranchante à propos de certaines pratiques de lamas qui ont fini par défrayer la chronique et il ne s'est pas agi d'abus sexuels apparu bien après. J'ai toujours été suspicieux envers l'actuel Dalaï Lama bien que je sois sont jumeau astrologique à 12 ans de distance, jour pour jour. Il a le grand trigone Jupiter/Soleil/Saturne et je n'en ai que la première partie. Ceci présageait une célébrité mais dans un cadre réservé donc assez "ésotérique".
Je savais que Roland Goffin était énervé comme je l'ai été par certaines tendances du "néo bouddhisme" en vogue et j'ai du lui faire parvenir ma copie mais je ne pensais pas qu'il sauterait sur l'occasion pour me requérir. Je n'étais même pas abonné à sa revue, je pourrais la lire gratuitement en l'empruntant à un libraire ami.
Par la suite, j'ai été informé de certaines "affinités" entre Goffin et moi-même. Il ne s'est aucunement agi de "franc maçonnerie", je le précise quoique le milieu auquel on m'a apparenté à tort est réputé entretenir ce genre de "pratique solidaire". Rien de tout cela ne me concerne, j'ai toujours préciser que je suis et reste un "électron libre"...
Quelques mots sur René Guénon
J'ai, dans une certaine mesure, marché sur ses traces en passant momentanément par un milieu occultiste (celui des astrologues et des praticiens de ce qui a survécu de certaines "sciences" dites "traditionnelles") ensuite je suis entré en contact avec la philosophie chinoise qui est assez purement non dualiste avant de découvrir Guénon par le biais d'une préparation sous la forme d'un ouvrage traitant de la trajectoire et de l'oeuvre de Julius Evola.
Je reproche à Guénon d'avoir conservé certaines tendances occultisantes avec le côté excessivement "conspirationniste" qui va avec..
Guénon son "Roi du Monde" et un pseudo Agartha
Là où il a merdé c'est quant à son engouement envers sa mise en scène d'un "Roi du monde" alors qu'il n'a rien voulu savoir de ce qui s'en serait rapproché le plus dans le bouddhisme tibétain à savoir le fameux mythe de Shamballa,. Je ne vais pas revenir là-dessus...
Au lieu d'y regarder de plus près, et je n'accorde pas de valeur particulière à cette légende, il s'est fasciné pour une thèse à base d'un royaume souterrain, ce fameux Agartha du non moins fameux Saint Yves d'Alveydre et il l'a associée à une thèse voulant que les "centre spirituels" se seraient occultés en s'infernalisant si je puis dire alors qu'il eût été plus logique qu'ils que l'influence spirituelle censée en émanée ait eu tendance à s'esquiver en retournant à sa source céleste.
Je ne vais pas revenir là-dessus mais il faut rappeler que Guénon s'est bel et bien émerveillé pour un témoignage )à base de "terre creuse"
A ce propos, je suis prêt à parier que Jean Borella qui vient de s'en prendre plein la g..... (disons la figure) pour pas un rond, sera contraint d'admettre que la logique symbolique est bien de mon côté...
Sur "Autorité spirituelle et Pouvoir temporel"
Là aussi je crains que Guénon ait merdé quant à sa condamnation de l'Action Française et quoiqu'il en soit, il a tout ignoré de l'orthodoxie en général et de sa doctrine symphonique censée harmoniser et égaler ces deux aspect de pouvoir.
En plus, il s'agit là de théorie car dans l'ecclésiologie orthodoxe non seulement le "papisme" latin n'est pas concevable mais le pouvoir temporel se doit d'imposer des limites territoriales à l'autorité spirituelle. Les évêques se trouve donc soumis à un pouvoir royal ou impérial. Et l'évêque de Rome n'a pu revendiquer que l'examen de cause en appel mais on va voir bientôt et sous ce rapport la première Rome à littéralement déconné et cela dès ses débuts de sorte que les cagades que j'ai en vue ne sont absolument pas rattrapables...
Dans ces conditions que François, 1er du nom, ait décidé que la bénédiction des divorcés remariés ou des couples "homos" soit devenue licite, je n'en ai rien à caguer. Vu tout ce que je sais à présent des causes d'un foirage du catholicisme originel, dans un cas comme dans l'autre, je me verrais mal dans la position consistant à solliciter ce genre "gris gris"...
Quelques mots sur mon parcours
J'ai fini par découvrir mes lointaines origines albioniques et elles remontent au XIème siècle, la tribu dont je suis un des héritiers transgénérationnels, s'est développée entre le Pays de Galles, le comté de Stafforshire et l'Ecosse. Elle s'est exportée en France par Ars en Ré avant de se fixer dans le Porcien avant d'en rayonner. Et si vous vous souvenez que ceci réfère à à l'animal de compagnie de la déesse Ardhuina, savoir un sanglier ce n'est pas tout-à-fait innocent !
Cette tribu aurait arboré 3 blasons, le premier étant surmonté d'un "Lion de Judas" découle probablement d'une reconstitution à postériori. Je n'en ai pas trouvé de traces historiques. Il découlerait du blaze originel choisi par mes lointains ancêtres, savoir Davy soit un prénom d'origine hébraïque porté par ce monarque connu pour s'être follement amouraché d'un certain Jonathan. Ce prénom signifierai le bien aimé, c'est tout-à-fait possible mais franchement je n'ai jamais rien remarque de spécial à ce sujet...
Le second blason est celui d'une lignée regroupant les apanages des deux castes supérieures, avec un chevron herminé encadré par trois annelets d'or.
Le dernier ou le second qui soit vraiment historique est constitué des armes parlantes d'un évêque assez fameux, il s'agit cette fois d'un arbre totémique doté d'une forte vitalité. Enfin si on tire les consonnes du nom évoqué ou d'une de ses corruptions in situ, c'est assez clair tant en latin qu'en sanskrit. Ca explique mon goût dans une certaine forme de divination, en mode chinois de préférence.
Je reconnais volontiers que l'humilité ne m'a jamais étouffé et que j'ai toujours eu tendance à ramener ma fraise mais il ne faudrait tout de même pas confondre fierté adamantine (un concept franchement bouddhique) et orgueil des plus vulgaires.
Enfin si la lignée a produit des brahmanes (clercs tonsurés) et des Khatriyas (probablement des magistrats), ce legs transgérationnel je l'ai trouvé très lourd à porter.
J'ai du faire preuve de beaucoup d'humour : le premier garçon que j'ai dragué, un jeune cuisinier d'origine espagnole, après avoir consenti à me suivre dans un endroit de la nature protégé des regards indiscrets m'a déclaré que non ce n'était pas possible lui ayant fait l'effet d'un curé... Bref, j'étais particulièrement "coincé" par mon éducation et j'ai du m'alléger... Et voici à quelles conclusions je suis arrivé quant aux vertus du faux "christianisme" tel qu'il se pratique.
Guénon avait sans doute raison quand il professait que le christianisme n'a pu être qu'une "voie initiatique"...
J'invite mes lecteurs à se coltiner une sorte de voyage au travers de plusieurs ouvrages d'un certain Laurent Guyénot dont vous allez trouver ci-après les photos de couverture.
Mais auparavant, je conseillerai à ceux qui auront fait l'effort de me suivre jusqu'ici de s'intéresser de près à l'oeuvre d'un Paul Veyne qui a sans doute été le plus brillant spécialiste de la civilisation antique grecque et surtout romaine.
Avant d'aller plus loin je vous informe ou je vous rappelle que cet auteur et le seul intervenant à avoir fait là critiques des délires que l'on a répandu à propos de l'existence d'une nouvelle religion censée être pratiquée par ce que l'on désigne comme formant l'élite mondialisée. J'ai nommé le "pédosatanisme". Cela fait bien longtemps que j'ai commencé à mettre en garde mes lecteurs contre ce genre de dérive franchement paranoïaque. La "pédocriminalité" existe, cela ne fait aucun doute et je ne suis pas en mesure de l'évaluer.
Voici pour commencer, Du yahvisme au sionisme, 2500 ans de manipulation. Cet ouvrage ne se trouve plus qu'en occase, c'est le plus important.
Il faut le compléter par la version courte de Qui est Dieu ? de Jean Soler, un ancien diplomate d'origine juive. Ce dernier livre a fait couler beaucoup d'encre car il a été subitement révélé que YHWH, Jéovah, appelez comme vous voudrez, avait une parèdre à la façon des déités hindoues et elle s'appelait Ashera...
Un "Dieu" tribal finalement assez franchement "démiurgique" soit un entité plutôt "archontique" pour employer un langage typiquement "gnostique".
Archontique se traduisant en français par "non terrestre" et surtout "parasitaire". Je ne vous fais pas de démonstration...
Enfin, le "sionisme" tel qu'il s'incarne à Gaza et dans la périphérie du "nouvel Israël", une création anglo-judaïque, par mécénat Rothschildien interposé, est en tous points comparable aux horreurs abominables que l'on peut lire dans l'Ancien Testament à base de massacres et de colonisations. Je me rappelle d'un évocation d'un passage de Cananéens dans des fours destinées à la cuisson de briques et cette histoire me rappelle furieusement certaines confusions dénoncés dans des écrits dit révisionnistes qui ne sont interdits qu'en France et en Europe tout en demeurant libres dans la culture anglo saxonne pourvu qu'ils s'efforce de recourir à une impartialité à caractère scientifiques.
Malheureusement vous ne trouverez pas ce livre dans un repaire de pirates connus sous l'appellation de Z-Library, outre qu'il est de plus en plus difficile d'y accéder ne s'y trouvent que la version anglaise mais que vous pouvez aisément traduire en un tournemain, mais par morceau en usant de Google ou d'un autre site plus "professionnel". soit https://www.deepl.com/fr/translator.
Ce que je me demande c'est pourquoi ce livre n'a pas été réédité.
L'inconvénient étant qu'il n'est pas seulement difficile d'accès, il est excessivement copieux. cela étant on ne peut pas me reprocher de faire dans le racisme, la haine ou l'antisémitisme en lui faisant de la publicité car Guyénot à largement pompé dans l'enseignement d'un professeur au Collège de France d'origine suisse.
J'ai nommé Thomas Römer, qui est un historien et philologue spécialisé dans les textes sacrés, notamment la Bible hébraïque.
Il a mené des recherches sur l’origine du dieu Yahvé et sa transformation en Dieu unique... De sorte qu'avant de pouvoir intenter un procès au repreneur de ses révélation, il faudrait oser traduire en justice ce très éminent chercheur. Les ouvrages tel celui que je viens d'évoquer on n'a pas d'autre ressources que de les cacher sous un tapis. Je n'ai connaissance d'aucune recension à son égard.
Ce livre ci-dessus est une clef : il dénonce le catholicisme romain comme n'ayant été qu'une gigantesque imposture et cet abcès n'en finit par de crever... Cela étant, il reste encore nécessaire pour des gens en quête de repères. On ne peut pas imaginer une société dépourvue totalement de "religion" mais comme disait Guénon il y a la Religion et les religions... A noter qu'en dépit de son peu de goût pour le christianisme, répulsion que je peux comprendre, il a tout de même gravement fauté en faisant du catholicisme et de la Franc-Maçonnerie les deux seuls piliers restant d'une enseignement pouvant être qualifié de traditionnel. Il a défendu la religion romaine tant qu'il a pu mais cela ne lui a attiré que des emmerdements et il n'a commencé à pouvoir respirer qu'après avoir été lâché en pleine nature égyptienne par une mécène d'origine américaine avec laquelle il a escompté se remarier.
Force est de constater qu'il a péché par beaucoup par une sorte de naïveté qui n'est plus désormais pratiquable.
Pour en revenir à l'ouvrage ci-dessus, la fameuse Donation de Constantin qui est censée avoir conféré à la Rome Vaticane, le pouvoir temporel en sus d'une autorité spirituelle, savoir ce qui est revendiqué au travers du "mythe" des "deux clefs" est connu des historiens comme n'ayant été qu'un vulgaire faux.
Et sur ce point Laurent Guyénot accuse la papauté d'avoir cédé à la dernière tentation que Satan aurait fait miroiter à Jésus durant ses 40 jours de jeûne dans le désert à savoir la possibilité de devenir en quelque sorte le "Roi du Monde". Or l'on sait qu'il l'a "dégagé" par un vade retro Satanas dans la langue du pays, l'araméen...
Laurent Guyénot a donc produit là un vaste procès contre l'église catholique en démontrant qu'elle n'aura été que le principal moteur de la folie hégémonique de l'Occidentale telle qu'elle s'exerce actuellement par impéralisme "amerloque" interposé... Et il en a vu les prémisses dans l'imposition part la papauté de "croisades" comme prétexte à un véritable colonialisme dont les excès sont en train de nous revenir en plein tronche. Notamment en Afrique où notre pauvre France est en train de complètement perdre les pédales. Et je dois vous dire que ce n'est pas une chose qui soit susceptible de me contrarier au contraire !
Je ne vous fais pas dessins sur ce que je pense de la CIA, de l'Otan et de plus de 800 bases militaires conçues à des fin de contrôle à travers le monde.
Au cas où vous l'ignoreriez, François Asselineau est le seul homme politique à avoir la culture et la carrure pour sortir la France du piège européen mais quand bien même il se serait abstenu de compromettre son image en cédant à deux tentatives à base de népotisme ayant consisté à vouloir séduire deux chauffeurs successifs en leur faisant des propositions réputées malhonnêtes alors qu'il est marié et ce sur les instance d'un démon particulier qui ne fut point de midi mais plutôt de minuit, il se trouve qu'il n'y a pas lieu de regretter quoique ce soit. Quand bien même il se serait tenu à carreau, il se trouve qu'il n'a jamais eu la moindre chance d'atteindre seulement 3% des suffrages.
Mais au moins aura t-il contribué à une certaine éducation populaire en expliquant en quoi la création de l'Europe résulte d'un complot à peine voilé, mitonné de longue date depuis l'outre-atlantique. Encore s'est-il bien gardé de donner tous les détails car il faudrait remonter aux conditions de la création de la Grande Banque d'Angleterre par des corsaires, s'intéresser au rôle joué par Cromwell et son philosémitisme qui nous vaut un "sionisme chrétien" archi florissant dans le "nouveau monde" en sa partie anglo saxonne et j'en passe...
Ensuite il faut connaître des dessous de la guerre de 14-18, savoir que ce sont les anglais qui ont machiné le coup tout en se gardant d'apparaître comme les instigateurs, puis tenir compte du rôle joué par le coulage du Lusitania qui a permis aux américains d'être présents à la table du partage avant de dynamiter le Traité de Versailles en travaillant au réarmement de l'Allemagne et en favorisant indirectement la montée du nazisme pour apparaître en temps que "libérateurs"...
Je me suis encore égaré et cela étant, je n'ai pas de souvenir que Laurent Guyénot ait abordé le côté excessivement faisandé de la "mystique latine" et son goût immodéré des "stigmates", le plus souvent faux comme dans le cas de Padre Pio, de Marthe Robin avec en prime le courant prophétique à la Marie Julie-Jahenny du hameau de La Fraudais ce aurait du constituer pour tout être un peu "éveillé" un signe déterminant comme dans le cas de la pseudo apparition de Melle De la Merlière au lieudit la Salette-Fallavaux (ou val du mensonge). Le "diable" dans les cas de ce genre ne peut parvenir à cacher le bout de sa queue fourchue mais on le sait : plus c'est gros, plus c'est "éhnaurme" mieux ça passe !
Bref, je vous laisse découvrir et éventuellement apprécier ce livre, qui, je n'en doute pas fera faire la grimace à un Jean Borella.
Je ne parle pas d'un conférence mais d'un livre et je n'ai trouvé que cette image qui soit nette. De Laurent Guyénot, j'ai nommé Anno, Domini, le bug de l'an mil.
L'auteur a rassemblé tout ce que les thèses à base de "récentisme" comporte de meilleur. De cette thèse dont j'ai découvert assez récemment l'existence découle que le premier millénaire aurait été allongé d'environ 7 siècles fantômes, Guyénot en a tiré le meilleur mais bien évidemment je me garderai bien de conférer à cette thèse un imprimatur quelconque.
Elle reste largement hypothétique et l'auteur l'a lui-même reconnu. Je constate seulement qu'elle présente une certaine cohérence et aurait pour effet de rendre plus "lisible" l'épopée de l'islam s'il était apparu au IIIème siècle et non au VIIème siècle soit 5 siècles plus tard. Dans ce cas de figure bien des choses s'expliqueraient puisqu'on lui a assigné une origine "nazaréenne" et que ce courant est censé avoir disparu au temps assigné à un certain Mahomet pour venir au monde et qui serait décédé en 632, un 8 juin très exactement...
Ce qu'il convient de retenir c'est que la thèse en question fait l'économie d'une "antiquité tardive" et d'un "haut moyen âge" pour passer de la fin de l'Antiquité au XIème siècle.
Cette thèse à pour elle des données d'archéologie stratigraphique et une possible identité entre une crise survenu à la fin du IIIème siècle et une autre à minima tout-à-fait analogue à celle qui aurait eu lieu au Xème siècle. Crise économique et dépopulatrice assortie de signes célestes mystérieux interprétés à l'époque selon les "superstitions" ayant cours. Cela étant j'aurais assez tendance à aimer les "superstitions" dans la mesure où Guénon nous a fourni un minimum de clefs symbolique pour les décrypter assez correctement.
Je m'abstiendrai d'apporter ma caution en faveur de cette thèse en puisant dans l'œuvre de Laurent Guyénot portant sur des thèmes "médiévaux". Le livre que vous voyez-ci-dessous, je l'ai parcouru en version ebook en la Z-Library.
Je ne suis pas enclin à m'infliger ce "pavé" mais il m'a tout de même inspiré quelques réflexions.
Voilà que je réalise que j'avais situé le courant littéraire qu'il décrit comme étant antérieur au XIème siècle selon l'historiographie officielle en vigueur. Or ce courant il le date bien du XIIème-XVème siècle. Et je me demande si l'auteur n'en a pas "capté" seulement des vestiges littéraires et si ses fondements ne seraient pas antérieurs à la crise du Xème siècle. Car il décrit les amours de chevaliers pour des "fées", soit des créatures issu d'un monde intermédiaire d'où un lien symbolique entre un Eros provenant de quelque chose de "mort" (Thanatos).
Quoiqu'il en soit ce courant littéraire "pré romantique" s'avère on ne peut plus "anti chrétien" et même assez franchement "païen" c'est pourquoi n'ayant pas zieuté attentivement la couverture je l'avais situé comme antérieur à la réforme grégorienne.
Selon Wikipedia la réforme grégorienne est une politique menée durant le Moyen Âge sous l'impulsion de la papauté. Si les historiens admettent que le pape Léon IX (1049–1054) a commencé le redressement de l'Église, c'est néanmoins le pape Grégoire VII (1073–1085) qui a laissé son nom à la réforme. De plus, les efforts pour sortir l'Église catholique d'une crise généralisée depuis le xe siècle se poursuivent bien après le pontificat de Grégoire VII. Ainsi, l'expression « réforme grégorienne » peut paraître impropre puisqu'elle ne s'est pas limitée à quelques années mais concerne au total près de trois siècles.
Peu importe la durée de cette réforme, on la présente comme faisant suite à une "crise généralisée" ce qui rappelle la crise supposée antérieure survenue à la fin de l'Antiquité et qui garde un caractère mystérieux. Quoiqu'il en soit le pseudo "christianisme" tel que nous le connaissons n'existe qu'à raison de cette prétendue "réforme" laquelle pourrait n'être que la cristallisation de la "tentation mondialiste" à laquelle la Rome occidentale, que l'on présente comme la "première" et qui au final se trouve être la "marâtre" de la "dinguerie occidentale" telle que nous la subissons actuellement.
Laurent Guyénot a également consacré un ouvrage à un thème bien connu celui de la conquête du Graal. Tout commence avec la légende voulant que Joseph d'Arimathie, lequel aurait recueilli le sang du Christ dans une coupe devenue magique aurait débarqué en Grande Bretagne, il serait arrivé avec les Saintes Maries de la Mer et leur servante Sarah fêtées en Camargue ces immigrés se serait partagé l'évangélisation de l'Europe antique.
Une histoire qui me rappelle le goût de mes lointains ancêtres pour l'épopée d'un Roi David. Si ce légendaire anglo-breton me parle, je n'ai pas reçu de lumières particulières à ce sujet et quoiqu'il en soit la mode en faveur de la recherche d'un "Saint Graal" est complètement passée et l'ennemi à abattre c'est le "wokisme" et si j'avais mon mot à dire sur la question, je m'inspirerais d'un décret du Sieur Poutine interdisant tout espèce d'activisme dans les écoles de cette immonde cochonnerie quand des être d'apparence femelle aux cheveux teints de couleur violentes et assez fluo agressent des garçonnets pour les inciter à se demander s'ils ne seraient pas des filles et vice-versa
Cela dit si le futur président des U.S.A., le Sieur Trump et le dernier des Kennedy ne se font pas rétamer les propagateur de ce courant merdique ont bien du souci à se faire. Il parait que ses propagateurs se roulent par terre, déchirent leur vêtements alors j'ai payé ChatGPT pour représenter d'une manière marrante ce que cela pourrait donner chez nous autres et voici le résultat :
Je ne suis pas parvenu à ce que cette horreur que les dévots d'un certain Macronescu ont fêté en arrivent à déchirer ses vêtements mais on conviendra que l'IA a des bons côtés et çà mérite bien un abonnement qui ne coûte que 22 balles par mois et je ne pense pas que Orion ne fera mieux...
En d'autres termes, la légende selon laquelle Joseph d'Arimathie aurait évangélisé les lointains ancêtres de ceux dont la trace peut-être suivie à partie du XIème siècle me renvoie aux origines davidiennes non moins légendaires de ces ancêtres en m'incitant à vous faire une assez mauvaise blague.
Je suis persuadé que mon appro group dominant n'est pas le J présent chez des askhénazes et des sépharades mais le R1b quant à la thèse selon laquelle, un certain jésus de Nazareth serait de la lignée de David, Joseph le charpentier n'étant pas censé être son "père biologique", la chose relèverait également d'une légende, père céleste ou père biologique, il faut arrêter de spéculer sur ce chapitre et dans le meilleur des cas Jésus aura été ce que l'on appelle un "délivré vivant"...
A noté que Laurent Guyénot a produit deux livres en rapport avec les démêlés de Jésus ou de ses disciples avec ceux d'un Jean- Baptiste...
Cela étant je peux concevoir que les Lusignan aient eu comme ancêtre une "serpente" rencontrée au voisinage d'une source après qu'elle ait atterri en provenance d'un autre monde rempli de djinns des deux sexes de qualités diverses et pas que...
Je vais donc passer à des choses plus aisément assimilables.
Deux livres sur le "réincarnationisme" à ne pas manquer
Puisque j'en suis à une sorte de revue de l'oeuvre de Laurent Guyénot, je dois leur existence.
On peut se passer du premier et le second a démontré la fausseté des observations ou plutôt des conclusions d'un certain Ian Stevenson en faveur d'une "réincarnation" car il s'avère que les cas qu'il a relevés en Inde relève de la "possession" littérale d'enfants résulte d'une occupation par l'esprit ou l'âme de personnes décédées de mort violente...
Je vais à présent examiner la fameuse thèse de Guénon au sujet du christianisme
Où il apparait que Guénon a eu probablement raison quant à la vraie nature du christianisme
A l'en croire la voie prêchée par Jésus n'aurait été qu'une sorte de "tariquah" à l'intérieur du judaïsme.
C'est une façon de présenter les choses...
En effet, Jésus, à deux reprises a affirmé qu'il n'était venu que pour sauver les brebis perdues d'Israël. Et c'est le même qui aurait invité les douze a prêcher à toutes les nations.
Je regrette la dernière proposition n'est pas possible et comme les deux premières déclarations ont toutes les chances d'être fiables, la troisième se trouve exclue. Elle ne peut avoir été qu'apocryphe et ce sont les "pauliniens" qui auraient pratiqué une "interpolation"...
Quant à Paul, on connaît ses démêlés avec Pierre, on les trouve dans les Actes des apôtres. Paul, le treizième apôtre qui n'a pas connu Jésus, a persécuté les chrétiens avant d'être touché par la grâce d'un "buisson ardent" au point d'en perdre la vue est une sorte d'OVNI des plus suspects !!!
C'est lui qui avec le fameux Augustin a inventé de toutes pièces la prétendue doctrine du "péché originel" comme instrument de police particulièrement infernal au service d'une cléricature qui s'est érigé,e après la récupération d'un des courants du "christianisme", comme une sorte de "Manitou" avec les procédés et les résultats qu'à dénoncés Guyénot et çà a donné côté occidental la fameuse "Inquisition", chose parfaitement inconnur du côté grec et oriental se présentant comme l'Orthodoxie. Malheureusement, ce courant est lui aussi infesté de plus ou moins de "paulinisme" et d'augustinisme mais à un degré bien moindre.
Quant à l'érection du "christianisme" en tant que "religion d'Etat" par le premier des Constantin en 313 et donc au IVème siècle, soit à la fin de l'Antiquité, la chose n'a aucun sens.
Je cite : Mon royaume n'est pas de ce monde et Rendez à césar ce qui est à César !
Et voici à présent le "coup de grâce" à l'adresse des admirateurs du "constantinisme" !
Comment pouvez-vous croire que le commandement de tendre l'autre joue quand on nous a frappé puisse être applicable dans une société civile surtout la nôtre. Là encore cela n'est concevable que dans l'intimité d'un groupe restreint donc dans une type de "voie" que l'on désigne comme "initiatique".
Et que reste-il du "christianisme" sous entendu "médiéval" ?
J'ai eu l'occasion de discuter de cela avec quelqu'un qui fréquente les églises pour des raisons professionnelles et nous avons convenu qu'il ne nous reste que des monuments certes admirables mais remplis d'un symbolisme pour partie assez "païens" et je pense à la fréquence des zodiaques dispositif comportant de véritables anomalies d'un point de vue chrétien et surtout "paulinien".
Tout ce que le pouvoir temporel en version laïque a gardé c'est un vestige de l'ancienne inquisitoire et son type de procédure ad hoc qui constitue une monstruosité comparée à la procédure accusatoire restée en usage dans la culture anglo-saxonne. Je pense sincèrement que mes ancêtres que je soupçonne d'avoir déguerpi en provenance d'Albion ont du le faire au moment de la rupture de Henri VIII avec Rome et aurait fait là la pire des conneries car la haute église anglicane comporte un caractère médiéval qui lui confère un charme totalement absent de la version romaine...
La question des "sacrements" (catholiques) conçus en tant qu'initiation
Voici une idée qui ne vient pas de Borella, et surtout pas de Guénon mais de Schuon !!!!
Rappelez-vous la fameuse affaire des "mystères christiques...
Et qui a extrait venant d'une loge maçonnique des plus historiques (celle dont Albert Lantoine fut le Grand Maître) le fameux Dossier confidentiel inédit venant de Maurice Clavelle si ce n'est votre serviteur... Exhumation que des mercantis italiens se sont empressés de traduire dans leur langue et de vendre alors que je n'en ai pas tiré un centime et qu'elle a contribué à ajouter aux emmerdements que m'ont valu par ailleurs le Dossier Affaire Schuon...
Alors ce que je pense des "sacrements catholiques", rien de bon cela va de soi, ni de particulièrement mauvais, ce sont la foi et les bonnes jambes qui sauvent selon un proverbe. Parmi ceux que je vois consommer une hostie tout les dimanche, les bons chrétiens restent ce qu'ils sont : soit des "braves gens" et les "langues de vipères" et organisateurs de coups plus ou moins fourrés demeurent fidèles à eux-mêmes. Je vois là un monde figé ne présentant aucun intérêt dont il n'existe qu'une simple façade sans rien de solide derrière.
Rien d'étonnant à cela, la "sainteté" côté latin, n'a guère consisté qu'en des sortes d'héroïsme assez parfaitement gratuits à base d'un ascétisme forcené et surtout sexuel et bien évidemment le "choc en retour" de cette "politique" apparue au XIIIème siècle avec l'obsession de la "sodomie" lors du procès des Templiers puis sa répression a abouti par contrecoup au déréglément des mœurs que nous avons sous les yeux.
Tout excès dans une sens produit une réaction aussi violente dans l'autre et jamais le balancier ne s'équilibre. Au contraire, il finit par s'emballer...
Toutefois si je compare l'avant et l'après mai 68 je préfère l'avant mais bien évidement non sans l'importation d'une expérience de l'après car en fin de compte on ne connaissait pas notre bonheur... Mais cela n'a jamais été possible...
A propos de "dolorisme" chrétien
La disparition de ce dolorisme auquel j'ai assisté dans mon enfance, sauf du côté des fractions catholiques intégristes, semble avoir vécu mais ce n'est pas pour autant que la religion romaine serait devenue joyeuse. Elle a récupéré une fraction des mouvements évangéliques charismatiques avec ses manifestations de parler en langues qui me font penser à un des critères de possession. Ainsi comme elle se sait en perte de vitesse Rome s'efforce d'essayer de sauter sur tout ce qui paraît bouger. Ca avait commencé avec Vatican II et son imposition d'une vernacularisation des offices y compris l'ordinaire de la messe, sans parler des chants ou cantiques entonnés par les fidèles soit un usage qui ne peut pas avoir remonté au delà d'une période de "missions" post révolutionnaires et qui ont donné lieu à l'apparition d'une catégories particulière d'OVNIS sous la forme de croix volantes, pseudo apparitions virginales etc...
Bref, toutes ces formes vieillissantes et pseudo renaissantes, c'est "mort" comme disent certains jeunes... Mais si des gens y trouvent du réconfort, il ne convient pas de les en dégoûter. Je n'ai tiré de tout ce fatras qu'un chose. La seule demande qui vaille d'être tentée c'est de solliciter des "signes" pour sa propre gouverne et de développer la faculté de les interpréter correctement. Bien évidemment des djinns plus ou moins mal intentionnés peuvent être amenés à brouiller ce jeu
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