La promotion, en décembre dernier, d'une autorisation pour les prêtres de bénir des couples considérés comme "irréguliers" selon les canons en usage dans le catholicisme (divorcés remariés et couples de même sexe) est à l'origine d'un vent de panique en suscitant des réactions de rejet avec menace de sécession chez les évêques africains, proposition aux Pays bas de bénir séparément chaque composante du couple est à l'origine d'un remue-ménage qui finira comme toujours par, la lassitude aidant, se calmer.
La mesure n'a été appréciée qu'en Allemagne et plus spécialement autour de la cathédrale de Cologne où des clercs tonsurés s'étaient distingués en anticipant ces bénédictions dans une atmosphère de Gay Pride avec étalage de drapeau LGBTQI à l'appui, ce qui relève bien d'une forme d'hystérie carnavalesque hautement parodique et même parfaitement indésirable...
En fait, beaucoup de bruit pour rien et l'agitation des évêques africains est sans doute ce qu'il y a de plus ridicule quand à celle des évêques hollandais, elle laisse perplexe quand on sait le rôle joué par les Pays bas dans les années 70/80 en faveur d'une normalisation des relations entre gays mineurs et majeurs. Sauf qu'à l'époque on n'était pas obsédé par la "pédophilie", c'est venu après et il serait intéressant de retracer l'histoire de cette véritable "hantise"...
Enfin notons que les curés ont béni n'importe quoi des commerces et pires encore des engins de guerre : chars, canons de sorte que certains seraient bien inspiré de fermer un peu leur gueule !
En résumé une bénédiction n'engage pas le "bon Dieu" (s'il existe et on est en droit d'en douter vu la tournure prise par le monde de cinglés auquel on est confronté par contre l'existence de "diables" est on ne peut plus assurée...) de sorte qu'une bénédiction est toujours conçue pour valoir ce que de droit.
Et puis merde ! y en a marre de ces délires homophobes : on a le droit de vivre avec qui ont veut. La famille nous est imposée et les femmes deviennent de plus en plus dominantes et souvent d'une vulgarité crasse.
Une parenthèse à propos des femmes contemporaines en France car ailleurs c'est peu-être différents. Elles me font penser aux immigrés musulmans de xème génération. Minoritaires sont ceux qui se manifestent ouvertement comme désireux de se venger d'un colonialisme qui n'est pas le fait des français mais d'une pseudo "élite" plus ou moins corrompue mais que le salafisme et autres fondamentalismes viennent à conquérir le pouvoir et ils auront derrière eux une majorité revancharde prête à en découdre avec les indigènes.
La proportion de musulmans conscient de la chance qu'ils ont d'avoir pu venir s'installer chez nous doit être sensiblement égale à celle des femmes qui fonctionnent normalement sur le plan psychologique sans être inféodées à des idées égalitaristes plus ou moins utopiques et elle ne doit pas dépasser 10 à 20% maximum.
Même proportion quand à ceux qui auraient réalisé que l'U.E. n'est qu'une vulgaire colonie américaine et que nous sommes devenus les esclaves d'une brochette d'anciens hérétiques anglais mitigées de bandits de grand chemin avec un lot de putes aux pulsions génocidaires...
Enfin je rappelle que le moyen âge a conçu des contrats dits d'affrèrement comme précurseur de notre PACS et les églises orientales ont institué des "bénédiction de même sexe" (en fait des "créations de frères") et bien évidemment le but n'était pas de parodier le mariage hétéro bourgeois car ce que l'idéologie LGBT et les gouvernements actuels promeut à cette égard est à carrément à dégueuler !
Enfin les attirances entre personnes quelqu'en soient la polarité opèrent nécessairement sur des bases SENSIBLES alors il faut être réaliste. Cela étant si au départ l'attrait peut être de nature érotique c'est une chose qui se périme vite et ne s'accommode pas de la routine et les Anciens, qui étaient réalistes, savaient ce qu'il faisaient en instituant ce que je viens d'évoquer mais quand on voit que les sexologues professent qu'il serait normal d'avoir envie de baiser avec fougue jusque dans le 3ème âge et même à l'article de la mort il faut comprendre que ce sont des malades qu'ils aurait fallu piquer à la naissance.
Basta de toutes ces histoires quand à François 1er du nom à dérapé c'est d'abord en participant à l'imposition des vaccins anti-Covid et en en faisant une sorte de "sacrement chrétien". On savait ce qui se cachait derrière cette dinguerie et à présent il faut être aveugle et de mauvaise foi pour oser nié le caractère criminel de cette campagne assortir de confinements. Malheureusement, on n'est sans doute pas sorti de l'auberge et tout indique qu'on va encore nous coller sur le râble une nouvelle plandémie.