Le blog d'Alexandre Palchine

Le décryptage n'est pas de moi, et je voudrais avant d'aller plus loin souligner que la thèse du sacrilège à propos de la parodie de la Cène de Léonard de Vinci avec  la scène au premier plan d'un chanteur connu pour collectionner ses merdes (scène inspirée par un tableau flamand censé représenter Le festin des Dieux) mer laisse de glace. Le catholicisme Rome est en train de se farcir le choc en retour provoqué par ses excès de répression à propos de ce qui a suscité de la part d'un certain Paul, un véritable "caca nerveux" dans une Lettre aux Romains.

En d'autres termes, je me contreficherais quasiment du déluge de "femmes à barbes" et de "drag queens" employées pour l'occasion avec la bénédiction de l'Elysée si cet étalage de vulgarité dégoûtante et parfaitement débandante n'était pas en train de porter un tort considérable à la cause de ces "homos" qui sont assimilés, spécialement depuis l'apparition de Marcel Proust, à l'idée qu'il s'agirait d'une fraction de la population particulièrement efféminée.

C'est évidemment totalement faux puisque le goût dont il est question a été partout l'apanage de la caste guerrière qui ne saurait avoir été composée de "femmelettes"...

Je dis bien "quasiment" car cette sorte de saltimbanques ne devrait pas sortir de cirques rigoureusement interdits aux enfants et adolescents en dessous de 18 ans...

Je recommande cette vidéo, elle comporte des temps morts où l'auteur jacte un peu trop mais au moins il n'impose pas sa gueule et je le trouve sympathique. J'avais vu de lui la vidéo sur l'affaire Lola. S'agissant d'un arabe, il est au top pour les histoires de djinns.

Je ne garantis pas la totalité de ses déductions. Par exemple la référence à une opération parisienne de Aleister Crowley comme rappel anniversaire est une pure coïncidence.

Faut arrêter la vidéo pour lire le texte et je ne l'ai pas fait. Quand au signe représentant Jupiter pour les JO, le CIO a du vouloir faire plaisir à Macron.

Et l'on apprend  qu'à présent le président se prendrait pour Vulcain...

Vulcain et Pluton c'est quasiment choux vert et vert choux or l'auteur a décrypté le passage où l'on voit des enfants naviguer dans une barque : c'est évident que la cérémonie a été présidée par Charon qui au final se mue en cavalier mortuaire de l'Apocalypse.

Ce type est doué assurément et c'est un spécialiste du symbolisme qui vous le dit...

Noter la référence à un bal masqué au château de Le Ferrière dont il a tiré une composition sinistre évoquant la hantise populiste des rituels "pédosataniques" sauf que je crois que ces "signes" ne seraient, en définitive, que le produit d'une manipulation de mauvais goût visant les "sans dents".

Se souvenir toujours de l'apparition de la Vilaine Lulu en 1967 comme sacrifiant des gosses à Vénus...

Les mises en scène de Thomas Jolly, un "gay" des plus morbides sont d'une grande richesse symbolique mais il ferait bien de se calmer car on ne joue jamais impunément avec les symboles