Il existe deux sortes de travaux sur l'Islam : les livres de chercheurs ou de vulgarisateurs traitant des origines, très embrouillées, de cette religion et des livres plus "modernes" aux ambitions moins scientifiques qui la veulent décrire telle qu'elle est en réalité.
Les premiers sont d'un abord difficile, y compris pour ceux qui s'intéressent à la question depuis des années car à tous points de vue, le sujet est ardu. Nous connaissons mal la géographie et l'histoire de la région du monde où l'islam est apparu, plusieurs problèmes de langue se posent ne serait-ce qu'en raison du fait que le français n'est pas la langue la mieux lotie dans ce domaine.
Il est donc extrêmement difficile de faire le tour de cet aspect de la question et d'en rendre compte. Et dans ce domaine, je suis arrivé à la conclusion que le meilleur moyen de susciter la curiosité du commun des mortels consiste à mettre l'accent sur la thèse, au demeurant très solide de Dan Gibson, un historien canadien, qui tend à démontrer qu'en réalité La Mecque originelle ne serait pas celle que nous connaissons mais bien Pétra en Jordanie.
Ce personnage est infect, il ne faut tout de même pas oublier qu'il a survécu et n'a pas couché sous les ponts grâce à l'hospitalité d'un galeriste homo. Je ne veux pas insinuer qu'il a payé le loyer de sa personne, disons qu'il a fait du gardiennage en échange. Mais il est parfaitement clair qu'il en fait trop en matière de virilité pour n'être pas quelque part, un sale pédé refoulé et cette engeance là est très dangereuse : la vérité c'est qu'il rêve d'enculer des petits sauvageons mais qu'il n'ose pas se l'avouer alors il essaie d'être leur "gourou", et il croit à la possibilité de susciter des musulmans patriotes. Oui cela peut être mais dans une infime proportion et essentiellement chez des petits fils de harkis...
Vous trouverez plus loin un lien vers un article qui est une critique parfois assez dure mais toujours courtoise du petit livret de M. Slimane Rezki paru chez Albouraq, le 1er avril dernier d'après Amazon. L'intersigne annonçait une mauvaise plaisanterie.
Avant de vous parler de cette histoire, je tiens à rassurer les lecteurs qui attendent la réédition de la mise à jour de mon vieux papier sur La postérité spirituelle de René Guénon, je pense pouvoir le faire avant Noël, il suffit que j'y pense. En attendant, je constate, me référent à Google analytics, que la page qui obtient le plus de suffrage est celle que j'ai consacré à "Isik démasqué".
Je connaissais l'existence de ce livre par un certain Lutfi, un ex disciple de la lignée vâlsanienne à qui l'on doit un témoignage accablant sur le père et le fils Vâlsan ainsi que sur Charles André Gilis. Je me souviens qu'il a lu ce livre qui semble l'avoir complètement tourneboulé. Il se serait découvert ensuite des origines juives et est devenu subitement hyper sioniste non sans des côtés délirants.
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Une nouveau livre de Philippe de Villiers (Philippe Marie Jean Joseph Le Jolis de Villiers de Saintignon pour les intimes) vient de faire paraitre un livre au titre évocateur. 
J'ai indiqué dans le post précédant dans quelles circonstances j'ai découvert la Géographie coranique de l'historien canadien Dans Gibson.
Anne-Marie Delcambre, décédée en janvier de cette année 2016, d’un méchant cancer est sans doute partie trop tôt. Devenue agnostique selon ses dires, elle a choqué par son franc parler et son aspect un peu scrogneugneu. Sa conception de l’élégance avec ses fourrures et ses coiffures improbables à la mode des années 50 datait un peu mais à la réflexion et quoique quelques rares individus dont l’auteur pense faire partie sont peu sensibles au « politiquement correct », il se trouve que les tendances allergiques que cette femme a pu susciter chez les auditeurs les mieux préparés à la clarté de son discours relevaient bien de l’influence pernicieuse d’une ambiance exécrable.
C'est en cherchant des réactions autour des deux livres sur l'Islam d'un certain Michel Orcel, psychanalyste freudien établi à Marrakech (on se demande pourquoi...) que je suis tombé sur cette page d'un forum de Liberty Vox sur la détestation de certains orientalistes catholiques, pratiquée en particulier par cet auteur dont je serai peut-être amené à reparler.
Le Dossier tabou de Bernard de la Villardière intitulé L'islam en France : la République en échec, a comme il fallait s'y attendre déclenché un tintamarre de réactions empruntes d'une mauvaise foi et d'une hypocrisie quasi insurpassable. L'observatoire de la laïcité, ce machin gouvernemental, typiquement "socialo" ayant stigmatisé le prétendu "sensationnalisme" du producteur. 
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On se souviendra que d'après les dires de Gustave Lebon dans sa "Civilisation des Arabes", le Coran se serait répandu par la persuasion. Il vaut mieux entendre cela que d'être sourd mais deux sources permettent de réfuter cette vision édulcorée de la conquête islamique, savoir un ouvrage de Alain Daniélou et la prophétie d'une guerre totale, en 2424 contre un monde censé être dominé par les mlecchas (barbares) et plus spécialement ceux de la Mecque.
Raphaël Liogier
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Je vous propose pour commencer une petite expérience, sur Google chez, avec les guillemets turcs de profession, vous aurez la surprise de ne trouver qu'une occurrence contemporaine, toutes les autres sont purement historiques et se rapporte à la définition d'en a donné Péroncel-Hugoz dans son Radeau de Mahomet.
L'objectif de ce post est d'énumérer quelques moyens qui pourraient plus efficace qu'un projet de loi sur les burkinis. Mais il ne faut pas rêver !
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Un fidèle lecteur me fait parvenir les observations suivantes au sujet de la recension du livre de Hela Ouardi sur la fin de Mahomet, j'ai intercalé mes remarques.