Les "turcs de profession" sont devenus légion et on n'en parle plus ! Pourquoi ? (07/09/2016)
Je vous propose pour commencer une petite expérience, sur Google chez, avec les guillemets turcs de profession, vous aurez la surprise de ne trouver qu'une occurrence contemporaine, toutes les autres sont purement historiques et se rapporte à la définition d'en a donné Péroncel-Hugoz dans son Radeau de Mahomet.
Pourtant, des "Turcs de profession" nous en avons des tonnes, à commencer par celui qui risque demain de diriger notre infortuné hexagone.
D'où cela vient-il que l'on préfère stigmatiser l'Islam et les musulmans alors qu'il faudrait d'abord mettre hors d'état de nuire ceux qui font la courte échelle à ceux qui voudraient nous imposer la Sharia. Soyons réalistes, de tout ce que nous pouvons faire pour leur être agréable, ils n'en seront jamais reconnaissants. Nous sommes à leurs yeux, des tarés, des mécréants, des koufars, autrement dit des moins que rien, de la merde en barre. Leur religion est la meilleure, elle doit dominer à la fin des temps, c'est écrit, alors tout leur est du.
Certes, il y a lieu de dénoncer les incohérences du Coran qui portent les traces de quantités de manipulations, comme il est légitime de critiquer les aberrations qu'entraîne la loi islamique mais il importe avant tout de protéger notre espace vital.
Alors pourquoi l'appellation en question est-elle à ce point tombée en désuétude alors que nous sommes cernés par les "Turcs de profession" ?
Pourtant, ce ne sont pas les critiques qui manquent sur ces Maires qui courtisent l'islamisme. Le croirez-vous si je vous dit que l'Observatoire de l'islamisation ne renvoie rien lors que l'on glisse l'expression dans sa fonction de recherche.
Alors pourquoi l'expression "turc de profession" a t-elle été bannie du vocabulaire contemporain ?
La réponse est donnée par Google qui renvoie une seule occurrence contemporaine, la voici :
http://resistancerepublicaine.eu/2014/10/17/vous-savez-ce...
Vous n'avez pas encore compris, alors je vous explique ! Riposte laïque mais c'est l'extrême-droite et c'est caca !
En d'autres termes, il s'agit d'une expression tiré d'un vocabulaire "vieille France", et la vieille France çà pue, c'était des bourgeois catholiques friqués et paternalistes. Et puis ça sent la polémique et on déteste la polémique. On s'évertue à discuter en long en large et en travers de l'impertinence des burkinis militants et fondamentalement ostentatoire mais c'est pas de la polémique car les dès sont pipés au départ pour que ceux qui vont mordre à l'appât s'épuisent en vaines parlottes. Cela ne profite qu'aux employés des "merdias".
La polémique c'est quand quelqu'un sort un scandale dans des termes tels qu'il n'existe aucune possibilité de nier l'évidence et que la cible de cette polémique n'a plus qu'à se cacher ou se trouve tellement ridicule que quoiqu'elle fasse elle ne fera que s'enfoncer fera l'unanimité contre elle.
Prenons un exemple ! Tel ministre a été pris la main dans un compte en banque en Suisse. Il a nié puis rattrapé par la Justice il tente de s'excuser en disant qu'il l'a fait pour le compte d'un collègue qui est mort quelques jours avant le procès. Et l'on voit tout le monde admettre plus ou moins que cela pourrait constituer une excuse alors que la réaction normale serait de le lyncher au moins médiatiquement car la faute est double : cela n'excuse rien et le supposé bénéficiaire est six pieds sous terre dans l'incapacité de se défendre ou de témoigner.
Il va donc falloir s'employer à un inventaire, forcément non exhaustif, et l'on commencera par rappeler le souvenir de ceux que Péroncel-Hugoz a cloué au pilori et l'on essaiera d'allonger la liste. Le cardinal Barbarin, par exemple, qui fut déclaré innocent des faits de complicité de pédophilie me semble une candidat potentiel mais c'est à étudier... Et si l'on commençait par ce phénomène?
16:20 | Lien permanent | Commentaires (0)