Le Dossier tabou de Bernard de la Villardière intitulé L'islam en France : la République en échec, a comme il fallait s'y attendre déclenché un tintamarre de réactions empruntes d'une mauvaise foi et d'une hypocrisie quasi insurpassable. L'observatoire de la laïcité, ce machin gouvernemental, typiquement "socialo" ayant stigmatisé le prétendu "sensationnalisme" du producteur. 

Bien évidemment, un reportage qui montre la réalité de ce qu'est l'Islam sous ses différentes facettes ne pouvait que provoquer un électrochoc dans la population. En effet il est apparu clairement que certaines instances musulmanes ont un plan de conquête et le cas des écoles musulmanes auxquelles certains Maires, tel celui de Sevran ouvrent une voie quasi royale car lorsque ces écoles sont sous contrats, elles ne sont absolument pas contrôlés par l'Education nationale qui doit recourir à des biais sur la sécurité pour éventuellement les sanctionner ne pouvait qu'inquiéter le français moyen.

Bref, le journaliste a, on peut le dire, mis les pieds dans le plat, notamment avec l'histoire de cette mosquées parisienne incluse dans un institut culturel.

Bien évidemment, ce reportage ne m'a rien appris que je ne sache déjà et il faut espérer qu'il va finir par ouvir les yeux des français qui roupillent encore. 

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Une fois de plus, il n'y a que la vérité qui fâche...

Samia Orosemane, une comédienne tunisienne prétend avoir été trahie par le journaliste. Elle représente dans ce reportage l'élément le plus sympathique mais j'imagine qu'elle a du se faire taper dessus pas la communauté pour avoir en quelque sorte servi à "équilibrer" ledit reportage. Enfin elle reconnaît que ses propos n'ont pas été coupés alors de quoi se plaint-elle ? Le journaliste n'allait pas la prévenir du potentiel subversif d'une telle enquête.