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n correspondant guénonien et grand érudit, m'a suggéré de lire cet ouvrage. La suggestion lorsqu'elle a concerné l'ouvrage d'Amin Maalouf m'a surtout incité à retenir quelques passages de l'épilogue qui, en dépit du cannibalisme initial des Francs, ont compensé ce handicap par la reconnaissance de certaines qualités qui sont autant d'infirmités (sic) chez les arabophones musulmans. Qualité visibles dans la gestion équitable des fermiers palestiniens sous protectorat francs avant l'expulsion finale.
Rien qu'en lisant un résumé du propos de l'auteur trouvé sur le Net, on comprend pourquoi cet ouvrage fait l'objet actuellement d'au moins deux éditions contemporaines en français par des éditeurs musulmans (Al-Bustane et Casbah). Auparavant, ce propos avait été récupéré par un éditeur musulman et traduit en perse et en arabe.
Malheureusement, le propos en question n'est que le résultat d'une vision idyllique et donc purement romantique. Tout est faux dans le résumé que je vais citer...

Je connaissais bien des détails que l'on retrouve dans ce livre mais les ayant trouvés semés dans des articles plus ou moins arides, ils ne permettaient pas de reconstruire une scénographie vivante et mémorisable de la fin de Mahomet.
Je connaissais l'existence de ce livre paru en 1983. J'en connaissais vaguement le contenu par un certain J.M., fils de pieds noirs, qui fut mon mentor dans la découverte de l'œuvre de René Guénon et quand à la connaissance du problème algérien. Ce "rat de bibliothèque" n'a jamais pu se départir de son engouement pour F. Schuon d'où rupture. Je me souviens qu'il avait attiré mon attention sur l'état déplorable de la médecine franque comparée à la médecine arabe. 

Après le carnage du 14 juillet à Nice, les habitants ont eu très peur et ont cru qu'un Boeing allait percuter l'hôpital Lenval. On a vu pilote et co-pilote se disputer dans la cabine. La purge parmi le personnel de la compagnie suit au putsch raté a sans doute nuit à la qualité des équipages si bien qu'un malheureux accident aurait pu réjouir les stratèges de l'EI. L'aéroport niçois étant d'un abord délicat vu certaines contraintes, on risque encore des peurs... Je suis bien content de m'être tiré de cette ville et les lignes commerciales passent à l'écart de ma retraite. J'ai assisté une fois à un rase motte, c'est impressionnant mais c'était au dessus de la mer et j'étais assez loin de la plage...
Ce blog n'a pas vocation a commenter indéfiniment de tels scandales. L'immense majorité du grand public ne possède pas le capacités de finesse nécessaires pour évaluer la somme de aberrations qu'il recouvre. Les lecteurs auront-ils la patience de lire et d'assimiler les remarques de notre ami belge ? Force est de constater que même parmi les juristes de profession le niveau a chuté de façon abyssale.







Des animaux inquiétants font leur apparition sur nos plages. Il ne s'agit pas d'une nouvelle variétés de phoques mais d'une nouvelle mode hallal...

