Que peut-on faire pour réduire la pression islamiste ? (07/09/2016)

attentat-fanatique-islamiste.jpgL'objectif de ce post est d'énumérer quelques moyens qui pourraient plus efficace qu'un projet de loi sur les burkinis. Mais il ne faut pas rêver !

 

Rendre à nouveau la "société de consommation" plus attractive en inversant la pente qui mène à un paupérisme de plus en plus exponentiel, nécessite de reprendre, des mains des banquiers (qui sont tous "privés") le pouvoir régalien de la création monétaire.

Il faudrait revenir à l'état d'avant 1973 causé par un Président tout juste bon pour animer des bals musettes. Chose très hautement improbable. François Asselineau n'a aucune chance d'être élu !

Limiter les allocations familliales à deux enfants par couple : lorsque je vois une cours de récréation en ébullition je me demande, avec le chômage qui galope ce que l'on va bien faire de tous ces marmots. Pas de la chair à canons, les guerres actuelles sont souterraines et purement économiques, moins choquantes mais tout aussi sinon plus meurtrières car elles engendre un état dépressif généralisé !

Ce serait sans doute un frein. Sauf que la polygamie existe en France mais elle est cachée. Les muslims polygames ont une femme officielle et des concubines, officiellement mères célibataires à qui l'on doit fournir un appartement ce qui est encore plus ruineux que le serait une polygamie affichée avec un grand appartement pour toute la nichée. Evidemment, pas question d'un "contrôle de mœurs" et d'une surveillance des cas suspects. On n'imagine pas la levée de boucliers de cette ligue proprement infernale des "droits de l'Homme". Mais cette surveillance on l'ose, quoique rarement, au détriment de françaises dites de souche.

Nul doute qu'une mesure dans le sens indiqué serait dissuasive à l'égard des candidats migrants.

Décréter que l'on ne rendra pas les corps des djihadistes et qu'on le brûlera pour jeter leurs cendres dans le premier cours d'eau venu. Ce serait-un moyen sinon radical, du moins très dissuasif de calmer le jeu ? Mais qui osera édicter une telle loi ? Discuter en pure perte autour d'une improbable loi anti burkinis est plus avantageux pour ce qu'il en est de distraire l'opinion... Personne n'osera. Même pas le FN à qui j'ai soufflé l'idée. Marine préfère attendre que pourrisse la situation car elle s'imagine que les attentats travaillent en sa faveur. Je suis très pessimiste et je crains que le scénario récurrent que l'on connait de la peur au dernier moment ne s'éternise !

Concernant l'accueil des migrants, nous sommes prisonniers d'une loi de non discrimination, qui part du principe que toutes les religions et toutes les cultures se valent. Nous ne pouvons pas préférer aux musulmans des chrétiens orientaux qui pourraient constituer une sorte de "perfusion" susceptible de restaurer les bons côtés des valeurs chrétiennes. Il faut dire que Rome n'y tient certainement pas. Le pape François malgré sa bouille sympathique s'avère être un crétin fini qui parait n'avoir rien compris à la pièce !

Cette loi est suicidaire et on ne la changera pas. J'ai tenté dans les années 90 d'opérer, sur certains thèmes une comparaison entre l'ancien et le nouveau code pénal. J'ai été littéralement terrorisé à l'idée de publier mes observations. J'avais noté entre autres innovations, en fait régressions,  le passage du concept d'attentat à la pudeur (indexé automatiquement sur l'évolution des mœurs) au délit d'exhibition sexuelle, qui favorise un littéralisme menaçant. Si pressé par un besoin urgent, un particulier vient à pisser contre un mur, il risque de se retrouver en taule, à plus fortes raisons s'il a dans son entourages des ennemis susceptibles de faire circuler des rumeurs sur son compte.

Ce n'est qu'un détail parmi les moins préoccupants. Il y a bien plus menaçant ! Pour rester dans le domaine des mœurs, vu certains développements au sujet d'actes barbares, il est vivement déconseiller de s'éprendre d'un(e) handicapé(e), un "psy" pouvant prétendre après coup qu'il était incapable de consentir. D'où la somptueuse hypocrisie de l'obligation de portes de cathédrale dans les chiottes publiques, et d'ascenseurs spacieux menant aux étages pour les locaux, médicaux en particulier, recevant du public et de l'autre la misère sentimentale qui résulterait de la prise en compte de la menace évoquée si tous les citoyens étaient dotés d'un minimum de discernement.

Pour ce qui concerne l'évolution des lois antidiscriminatoires, personne ne s'est sérieusement attaqué à un tel sujet. On trouve  des aperçus intéressants mais aucun travail magistral portant sur l'ensemble du sujet.

Faut-il aider à la construction de mosquées ?

La loi de séparation de 1905 s'y oppose, mais il se trouve qu'elle est régulièrement truandée. Dans un complexe contenant un lieu de culte, on sépare arbitrairement ce qui concerne l'activité cultuelle proprement dite (la mosquée) des bâtiments abritant des activités culturelles.

Or quand il s'agit d'une bibliothèque et d'une école coranique, aucun juge administratif ne paraît avoir eu le courage et l'audace de déclarer illégale une telle subvention. Il eut pourtant été facile d'user de deux arguments décisifs pour rejeter un financement de la part de l'Etat ou d'une collectivité territoriale.

  1. La culture chez nous ne peut s'envisager que selon la perspective laïque censée nous affranchir de toute influence d'un parti ou d'une religion quel qu'elle soit !
  2. Quand des lieux prétendument culturels ne sont en fait que l'entourage d'un lieu cultuel et que ce lieu cultuel est manifestement la principale raison d'être du projet en son entier, la séparation envisagée n'est qu'une argutie conceptuelle.

Tout le monde aura compris, que le fait de vivre sous un régime démocratique, est en présence de tels problèmes la pire des catastrophes. Or s'il en est ainsi c'est à cause d'une certaine révolution : le démocratisme a été substitué à l'absolutisme royal tel une machine de guerre antichrétienne et à présent nous en payons le prix. On en est au point que la plupart des gens de gauche nient l'existence des racines chrétiennes de l'Europe pourtant flagrante et donc indiscutables. Or on peut garder ce qu'il y a de bons dans ces racines sans avoir à s'inféoder à un quelconque parti chrétien. C'est même chose à exclure radicalement sans pour autant offrir son cul aux islamistes plus ou moins modérés.

On est en train de ressusciter une fondation pour l'Islam tout en parlant ml à propos d'un Islam de France alors qu'il ne peut être question que d'un Islam en France ! Quant à déterminer s'il est ou non "soluble" dans la République, on s'en tape ! Aux musulmans de se débrouiller pour respecter nos lois sinon la porte est ouvertes. Qu'il aillent en Syrie ou ailleurs mais qu'ils y restent ! Notons que les Corses auraient fait circuler un ultimatum fort clair ! Et je note qu'après la tentative de privatisation d'une crique de Sisco, les musulmans locaux auraient déclarés qu'ils sont prêts à respecter les lois. Habitués depuis des siècles à des gouvernement plus ou moins tyranniques, ils ne comprennent que la force ! C'est malheureux à dire mais c'est bien ainsi !

Un régime idéal : le concordat !

C'est malheureux à dire mais la seule chance que nous ayons de résoudre le problème du "vivre ensemble", ce serait d'étendre à la France entière le régime alsacien du Concordat. Ce qui permettrait effectivement en payant, le cas échéant, de pouvoir contrôler ce qui se passe dans les mosquées.

Présentement on crache sur nos deniers, mais on ne contrôle rien. On fait seulement un peu semblant à la faveur d'un "état d'urgence", sauf que la justice étant court-circuitée, le citoyen perd tout contrôle sur cette répression qui peut servir à d'autres fins que de prévenir le terrorisme. 

Dénoncer et stigmatiser les "Turcs de profession"

Tous ces français comme "Ali Juppé" sont bien des "turcs de profession" dans la mesure où pour leur commerce électoraliste, ils sont prêts à nous sacrifier sur l'autel de leur ambition démentielle. Les évêques et leurs curés se content d'ordonner des prières universelles afin que nous soyons bien dirigés. Ils devraient au contraire ordonner des neuvaine d'exécration et excommunier avec perte et fracas les dirigeants coupables de soumission.

Mais l'Eglise de France est, il ne faut pas l'oublier, dans la position d'une "femme entretenue" car elle est logée gratis pro deo au titre des "monuments historiques"/ Et j'ajoute bâtiments et personnel ecclésial compris. Seuls quelques "intégristes" osent déroger mais ils le font mal à propos et seulement dans leur propre intérêt. La résistance à l'islamisme peut s'appuyer sur des principes chrétiens mais elle ne doit en aucun être conçu dans l'intérêt du Vatican ou de quelque autre faction. 

Il est à noter que quand un religieux chrétiens entreprend des recherches sur les origines de l'Islam, il devient automatiquement suspect et se trouve pratiquement disqualifié d'office. Cela vient de ce que mis à part un Alfred-Louis de Prémare (dont je n'avais pas réalisé le lien avec le catholicisme), ces chercheurs ont du mal à séparer la critique proprement dite de l'Islam de leur option en matière de salut. Il faudrait dans ces études pouvoir demeure sur le seul terrain de l'intérêt purement civil. C'est pourquoi les E.M. Gallez ont besoin d'interprètes et de "traducteurs" de leur travaux pour n'en retenir que la valeur scientifique. La difficulté, à un certain niveau étant de synthétiser leurs apports sachant que le grand public est à la fois inéduqué et paresseux, ce qui est pire que tout !

Conclusion

Si personne actuellement n'est décidé à entendre raison, il n'est pas interdit de semer des idées claires. J'ai pu oublier des moyens et j'invite mes lecteurs à éventuellement compléter mon propos que je corrigerai s'il le faut. Mais quoiqu'il en soit je suis pessimiste. 2016 a été une année catastrophique et je l'avais annoncé à partir d'un signe ayant touché l'Arabie (un gigantesque incendie qui a marqué le Nouvel an à Dubaï) et en tenant compte du millésime de l'année, le nombre 16 étant celui de la Tour foudroyée qui rappelle la Babel antique. Ce nombre, il faut le rappeler a signalé son caractère maléfique à deux reprises, il a marqué la fin de la royauté franque et la démission d'un pape fragilisé par le fameux discours de Ratisbonne.

L'attentat niçois du 14 juillet dernier associé au nombre 16 la confirme. Mais il est à craindre que 2017 marque une nouvelle chute.

Cela dit l'incendie de Dubaï, et les catastrophes à répétition qui ont marqué le destin de la Mecque (inondations catastrophiques, paniques meurtrières, grues folles) sont un motif d'espérer.

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