Un correspondant guénonien et grand érudit, m'a suggéré de lire cet ouvrage. La suggestion lorsqu'elle a concerné l'ouvrage d'Amin Maalouf m'a surtout incité à retenir quelques passages de l'épilogue qui, en dépit du cannibalisme initial des Francs, ont compensé ce handicap par la reconnaissance de certaines qualités qui sont autant d'infirmités (sic) chez les arabophones musulmans. Qualité visibles dans la gestion équitable des fermiers palestiniens sous protectorat francs avant l'expulsion finale.
Rien qu'en lisant un résumé du propos de l'auteur trouvé sur le Net, on comprend pourquoi cet ouvrage fait l'objet actuellement d'au moins deux éditions contemporaines en français par des éditeurs musulmans (Al-Bustane et Casbah). Auparavant, ce propos avait été récupéré par un éditeur musulman et traduit en perse et en arabe.
Malheureusement, le propos en question n'est que le résultat d'une vision idyllique et donc purement romantique. Tout est faux dans le résumé que je vais citer...