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Tariq Ramadan est en prison. L'islamologue suisse a été mis en examen vendredi 2 février dans la soirée, avant d'être incarcéré dans la foulée. Il est soupçonné d'avoir commis des viols et violences volontaires sur des personnes vulnérables. Tariq Ramadan a été confronté à ses deux plaignantes au cours de sa deuxième journée de garde à vue. Il continue de nier les faits et il a refusé de signer le procès-verbal.
"Il n'y a pas un dossier, c'est un dossier complet, estime Me Éric Morin, l'avocat de l'un des plaignantes. On va rentrer dans une nouvelle phase. Je me suis constitué partie civile pour ma cliente. Elle est sortie, non pas soulagée, mais plutôt vidée de cette confrontation. Elle a pu dire ce qu'elle avait de dire en face de monsieur Ramadan. Il a nié. Tout l'enjeu de l'instruction sera d'éclaircir ce qu'il s'est passé."
Une excellente nouvelle qui a du ravir une certaine Caroline...
D'après un certain "Aldo Sterone", Ramadan serait tombé comme est tombé DSK. Représentant l'Islam quatari, les wahhabites seraient derrière cette exécution seraient eux les gagnants... Je suis très réservé quant à cette thèse...
A échappé à beaucoup d'abonnés et de visiteurs, faute d'avoir été correctement "tagué"
C'est la réédition revue et augmentée d'un article très ancien datant des années 90 du dernier siècle. Il concerne entr'autres "vedettes", Vâlsan and co...
Il faut bien dire, que les gens ne savent pas chercher car en mettant "Valsan" dans la fente adéquate à gauche on le trouve en seconde position avec la table des matières. Voir page suivante, cette table manque dans le pdf. Il me faut le refaire, pardonnez moi si j'oubliais car je suis surbooké aillleurs... Le cas échéant me le rappeler...
Table des matières
Présentation
Sur l’actualisation d’un texte paru il y a 20 ans (1998)
Des précisions sur la lignée Vâlsan-Gilis
Quid de la prophétie de Guénon du ressourcement de l’Occident par l’ésotérisme oriental et par l’Islam en particulier
La « boussole infaillible » était détraquée
Grandeur et décadence des « Etudes Traditionnelles »
1962, entrée en scène de René Allar aux E.T.
Fondation de « Connaissance des religions ».
La fin des « Etudes Traditionnelles ».
Le milieu de « Vers la Tradition ».
Quelques remarques sur le sort du « milieu évoliens ».
Les bisbilles entre VLT et le « sheik sans provision ».
Sur les apports de Mark Sedgwick à l'Affaire Schuon.
Parenthèse sur une petite vacherie du même Sedgwick.
Apparition de la revue « Connaissance des religions »
« Connaissance des Religions », un « foyer » pour des auteurs très suspects
Attaques « sur ordre » d’un certain Jacques Viret
Sur Jean Varenne
Epilogue de l’Affaire Schuon
Histoire du « Dossier Schuon »
Son occultation délibérée par le milieu schuono-guénonien
Ce que l'on doit à un "fondu de Schuon"
Sur une adhésion tardive.
Un témoin clé, Mark Koslow.
Du commerce sexuel fantasmatique de Schuon avec un djinn femelle.
Sur la prétendue « pédophilie » de Schuon et le revirement de Koslow.
Koslow un grand caractériel et un personnage odieux.
La « gynécophilie » de Schuon, un virus qui semble très contagieux.
Parenthèse sur l’apparition des prémisses du « féminisme ».
« La Règle d’Abraham » et le conte des « Trois anneaux »
Où il apparaît que le GADLU serait un « travesti ».
Mise en cause de votre serviteur
A propos d’une « mailing-list » guénonienne
La désintégration du groupe valsanien.
Parenthèse au sujet de Maurice Gloton.
Histoires d’intérim...
L’éclatement du groupe vâlsanien d’après le témoignage de « Lutfi »
Ici commence le rapport commenté de Lutfi
La personnalité de Michel Vâlsan (1907-1974).
Vâlsan les Roty et la « Semeuse ».
La rupture avec Schuon.
1974 – Mort de Vâlsan (sa « réalisation descendante »).
Muhammad Valsan, le Madhi ?.
La scission entre le fils Vâlsan et Charles-André Gilis.
Les « vâlsaniens » c’est des « Juifs » !
Histoire de « kibboutz ».
Le château de la Forgeotte.
Un « kiboutz » antisémite et anti chrétien.
Guénon rélégué derrière le sofa.
Différences entre le fils Vâlsan et Gilis.
Le conflit avec C.A. Gilis.
Des « truffes » pour restaurer l’intellectualité occidentale.
Je reviens sur cette note car j'ai fini par recevoir le livre. Je ne l'ai pas lu encore entièrement mais je peux d'ores et déjà faire quelques remarques.
Je signale l'existence de ce livre de Amine Ahmed Khellifa, ouvrage que j'ai commandé et que j'attends d'un jour à l'autre. J'en ferai la recension.
Le Père Edouard-Marie Gallez avait déja situé l'origine de l'Islam plus au Nord en Syrie.
Quelques puissent être le conclusions de l'auteur sur cette thèse dérangeante de Dan Gibson, je suis certain que la Mecque actuelle résulte bien d'une invention tardive, le mot "invention" ne signifiant pas "découverte" mais "création artificielle".
Voici une page avec la liste des articles de cet auteur :
Il s'y trouve des choses intéressantes qui méritent d'être étudiées. Je ne sais pas si j'aurai le courage de publier les recensions qui s'imposent mais au moins puis-je considérer que c'est au moins une occasion de se "changer les idées" vu que le futur n'est pas rose.
La première chose que j'ai faite en recevant le livre c'est de voir les conclusions. Force est de constater que l'auteur n'est pas parvenu à réfuter la thèse d'une origine plutôt nordique de l'Islam, syrienne ou jordanienne lorsqu'on se réfère à la géographie contemporaine.
L'auteur a fait preuve d'honnêteté intellectuelle en instruisant à charge et aussi à décharge.
Parmi les arguments en faveur de Pétra, se référant à une note de Patricia Crone, il reprend le témoignage d'un chroniqueur arménien nommé Thomas Ardzrouni mais sans le présenter. Ce dernier a situé le berceau de l'Islam à Pharan, un lieu situé à l'Est du Sinaï. Ce qui m'agace c'est que l'auteur n'a pas été foutu de situer ce lieu sur une carte par rapport à Pétra et comme la géographie du Moyen-Orient ne nous est pas familière ça n'aide pas !
Peu importe, ça fout en l'air l'histoire de la Mecque actuelle comme lieu d'apparition de l'Islam. Tout converge dans ce sens.
Impossibilité de "preuves extraordinaires"
Enfin l'auteur réclame, pour conforter la thèse 'extraordinaire" de Gibson des preuves non moins "extraordinaires".
Il est clair que l'on ne peut trouver qu'un faisceau d'indications et qu'il est vain d'escompter des fouilles sous la Mecque actuelle. Les saoudiens ont tout ravagés avec leurs grand travaux et s'ils avaient trouvé quelque chose, leur hantise de l’idolâtrie est telle qu'ils auraient détruit tout espèce d'indice ou de pièce à conviction.
L'exigence d'un caractère "extraordinaire" n'est pas justifié car ce qui est important n'est pas de savoir si la Mecque originelle fut Pétra ou Pharan ou tout autre lieu. Ce qui est clair et difficilement réfutable c'est que tout ce que nous avons converge vers une origine "nordique" par rapport au lieu de culte actuel.
Je crains qu'en s'appesantissant sur tel ou tel point de discussion, on ne fasse qu'ajouter à la confusion. D'autre part, l'intérêt du livre évoqué est qu'il résume cette thèse de Gibson et toute la problématique attenante dans un livre en français très correctement charpenté et très agréable à compulser et bien écrit. Pour ceux qui ne lisent pas aisément l'anglais c'est une aubaine que de pouvoir s'approprier le sujet de manière aussi abordable.
Pour pouvoir en dire plus, il me faudrait également annoter, voir surligner certains passages de ce livre et donc abîmer cette très élégante édition. Comme je ne lis guère de longs texte qu'en position allongée, je me vois mal, avec seulement deux mains manœuvre et le bouquin et un blog note car je ne sais écrire proprement qu'à l'aide d'un clavier. Et puis j'ai d'autres livres tout aussi passionnants dans un autre domaine à étudier. Vu la modeste fréquentation de ce blog, je n'ai guère envie de m'étendre d'autant plus que le fait de vouloir toujours aller vite fait que j'ai d'autres notes à reprendre, voir à réécrire.
Il me faudrait résumer la note précédente au sujet des "bruits de bottes" en Syrie et reprendre à part ce qui concerne le catholicisme. Cela dit comme peu me chaut de passer pour le diable incarné et donc d'affiner ma "communication" je n'entends pas m'astreindre à trop d'efforts.
Des limites à la communication
Les blogs sont devenus nécessaires pour s'exprimer librement car les discussions entre personnes physiques sont rarement "rentables" car soit on prêche des convertis, on recherche une approbation ou le plus souvent, on ne fait que perdre complètement son temps dans des dialogues de sourds. A ce propos, je voudrais rassurer certains amis qui se font du souci au sujet de ma solitude et qui me plaindre de n'avoir personne à qui parler sauf au téléphone. Qu'ils se rassurent, ce n'est pas un "problème" et j'ai choisi de me retirer en plaine cambrousse en parfaite connaissance de cause. Enfin je suis obligé de constater que les occasions où, dans des discussions particulières j'ai appris quelque chose d'autrui sont sans doute fort rares. Je n'ai pas à ce sujet de souvenirs marquants !
Les choses iront mieux quand on pourra dicter un texte dans sa tête en lisant des livres et sans ouvrir la bouche et sans avoir à gérer un appareillage forcément encombrant et ce de manière à n'avoir plus que la mise en forme à faire pour publier... On n'en est pas encore là...
J'ajoute que l'informatique est une souffrance : quand on écrit, on ne voit qu'une portion de page à la fois, se relire est un calvaire car on a toujours autre chose de mieux à faire. Je ne parle pas des aléas de l'informatique et des sales tours des souris qui vont se nicher dans le coin suffisantes pour prouver l'existence du diable quand elles ferment une page et qu'on ne leur a rien demandé.
Ce système de merde qu'est "Windaube", cette immonde saloperie saloperie américaines qui travaille dans votre dos, se met à ramer, on ne sait pas pourquoi est un des pires stress que je connaisse. Rien qu'à cause de l'invention de ce système diabolique en position de quasi monopole, je pense très sérieusement qu'il faudrait vitrifier une partie des Etats Unis pour mettre du même coup un terme aux activités notoirement criminelles de ses "faucons" !
N'en déplaise aux religieux de toutes espèces qui ne voient de crimes que dans des histoires de culs, souvent assez innocentes, les pires crimes de l'humanité ou contre l'humanité sont à chercher ailleurs. Dans les guerres évidement, les guerres économiques n'étant pas moindre que celles qui détruisent du matériel et des vies.
Bref, les blogs sont nécessaires à l'équilibre psychique mais leur tenue est aussi une corvée.
Macron sur Poutine Les anecdotes en "off" permettent également de mieux cerner l'attitude adoptée par Emmanuel Macron face à Vladimir Poutine: "Je suis l'égal de Poutine. D'ailleurs, Poutine me comprend. Et si j'ai décidé de frapper la Syrie, c'est pour faire comprendre à Poutine que nous sommes là. Et lui comprend ce discours. C'est une solution pour ramener la paix en Syrie", aurait confié le président français à l'épouse de Jean-Jacques Bourdin.
L'actuel président ne se souvient manifestement pas de ce qui est arrivé à un certain Sarko 1er, à propos d'un entretien privé qui s'est tenu à Moscou. On a pensé, rappelez vous, qu'il avait bu un peu trop de vodka mais en réalité il a été "sonné" par un avertissement du maître du Kremlin qui lui aurait déclaré en substance qu'en fonction de son comportement, il pouvait en faire soit le Roi de l'Europe ou en faire du petit bois...
L'histoire est assurément véridique, elle l'est tellement que j'ai le sentiment d'avoir été présent pour entendre la semonce en français. En fait je crois avoir lu ou entendu une traduction du "live" à l'époque des faits.
Il parait d'autre part, qu'en fait de cibles, les français n'auraient détruit qu'une usine de savons, ou un laboratoire de fabrication de médicaments. Enfin la thèse d'une attaque aux gaz est bel et bien en train de partir en couilles et je m'en réjouis.
Je voudrais bien être un petit rat pour assister en coulisse à ce qui risque d'arriver au lors de son prochain voyage diplomatique du locataire de l'Elysée. Il est tellement "imbuvable" dans la vidéo ci-dessus que n'étant pas masochiste je n'ai pu la visionner. Ce qui s'est passé en "off" suffit pour classer définitivement ce personnage. J'ai oui dire qu'il aurait obtenu un premier prix de Conservatoire en piano, ce qui témoigne d'une bonne dose de courage. Il aurait mieux valu qu'il fit carrière sur d'autres planches car les "fausses notes" éventuelles auraient causé moins de dégâts !
Mais finalement qu'il se soit lâché à ce point en montrant son vrai visage c'est une très bonne chose. Ce visage est celui d'un petit roquet prétentieux. Il est cependant devenu clair qu'il n'a pas besoin d'alcool pour s'illusionner à ce point. Il croit réellement à ce qu'il raconte. D'un côté c'est inquiétant car ça ne présage rien de bon mais d'un autre côté, s'il continue sur cette lancée il va finit par commettre une boulette si monumentale qu'il va se ramasser et que peut-être, enfin, les français vont se réveiller.
On a comparé ce président à un "enfant roi" qui ne se sentirait plus pisser. Oui, il faut le constater, c'est tout-à-fait cela. Les gens sont libres d'aimer qui ils veulent mais ils est cependant des amours qui sont "toxiques". Quand il ne le sont que pour les intéressés ce n'est pas grave mais quand cela risque d'influer sur l'équilibre et le sort d'une nation cela n'est plus très drôle. La cause de cette immaturité persistante pourrait bien n'être que le résultat de l'adoration que lui à voué sa "grand mère Trogneux" en le révélant en tant qu'acteur alors qu'il était encore ado. Hélas c'est vraiment un piètre acteur et il me donne l'impression de se "shooter", quelques verres de "blanc" ont suffi à faire tomber le masque !
Toutes les phrases qu'il prononce sont jolies et bien tournées mais tout cela n'est que du toc. Une fois n'est pas coutume il s'est trouvé des journalistes pour commencer à moucher ce sale gosse ! Je présume ou du moins j'espère que ce n'est qu'un début !
A propos du débat selon l'article 35 organisé après coup et sans vote, c'est du foutage de gueule ! On doit au hollandais d'avoir manipulé la constitution pour en ôter le plus de traits gaulliens.
Il est vrai que l'on peut considérer la guerre européenne à laquelle un certain Napoléon a participé au lendemain de notre sacro sainte "révolution" comme ayant été la "première guerre mondiale". L'adage, jamais 2 sans 3 se trouve donc validé. C'est la thèse de celui qui m'a reproché de faire du Onfray... Il exclut une quatrième guerre mondiale pour les mêmes raisons que Jean-Pierre Petit sauf qu'un dérapage est toujours possible et il ne viendra pas des Russes qui sont en mesure de tenir la dragée haute aux Américains et à leur complices qui apparaissent finalement comme les cons et les dindons de la farce. L'url de la vidéo ci-dessus m'a été communiquée par un autre lecteur.
J'ai supprimé la note qui posait la question d'une 3ème guerre mondiale pour quantité de raisons. D'une part les événements vont trop vite pour que, compte tenu du peu de temps dont je dispose pour examiner la situation, je puisse coller à l'évolution des faits sans risquer d'aller trop vite.
Obstacles contingents à la tenue régulière d'un blog
Je suis informaticien de métier. J'ai eu la responsabilité d'un parc de machine dans une UER mais il n'empêche que l'usage de l'informatique est une source de stress, à cause d'un système hégémonique qui est une saloperie diabolique car il a été manifestement conçu pour être plein de trous en faveur de la NSA. Outre les questions sécuritaires, on ne voit qu'une seule page à la fois. Quand il s'agit d'écrire un livre, on en passe par des impression papier périodiques mais pour un blog il faut passer beaucoup de temps à la relecture, ce que, généralement je néglige. Le jour ou on trouvera un moyen de saisir un texte, tout en lisant un livre, par une seule énonciation mentale, les choses iront mieux. Il n'y aura plus besoin de recopie pour les citations et surtout on pourra rédiger des notes sans passer par un carnet ou une tablette avec du Wi Fi pour vous stériliser les "coucougnettes"... Mais c'est un rêve et de toutes façons, tout va toujours trop vite.
Les Russes ont les plus grosses "coucougnettes"
A propos de "coucougnettes", il me manquait une info capitale. Je ne m'intéresse pas aux armements. Je ne conçois comme moyens offensifs ou défensifs que la puissance des mots et d'une rhétorique adéquate. Je suis un "chévalier du porte plume" et je l'ai acéré. La vidéo qui figure en tête de cet article m'a convaincu qu'en cas de grabuge les Russes seront les plus forts. Je ne suis pas expert en physique ni classique, ni nucléaire et encore moins en MHD mais les dires de Jean-Pierre Petit me semblent hautement crédibles. Les Russes n'ont jamais bluffé et historiquement et techniquement il connait le sujet sur le bout des doigts.
Donc les Russes disposeraient d'un drône sous marin nucléaire capable de provoquer, dans le port de New York un tsunami de 200 mètres de haut. On est dans le cadre d'une dissuasion. Sauf que les Américains sont tellement tarés qu'un dérapage est toujours possible. Mais enfin il est clair que la Russie et Poutine possèdent les moyens d'imposer leurs vues. Ce qui vient de se passer apparaît au final comme une comédie, le trio de coalisé a fait son cirque et les français aurait tapé sur une usine de fabrication de savon. Enfin aux toutes dernière nouvelles, les Russes aurait trouvé un laboratoire artisanal de fabrication de bombes à gaz appartenant aux rebelles.
Je ne peux donc que renouveler mon conseil de suivre tout ça d'un oeil en confrontant les donnés des médias conventionnels avec les sources alternatives : Sputnik et le Réseau Voltaire. Le premier est bien sûr un organe de propagande, l'inconvénient étant que la quantité de textes comparé aux maigres infos décisives est un bouffe temps. Sauf qu'il ne se passe pas de jour, sans qu'une info intéressante fasse surface. On apprend par exemple que des missiles américains n'ayant pas explosé (et n'ayant donc pas été interceptés en vol) auraient été acheminés en Russie afin de permettre l'affinage de la couverture anti-missiles. On nous apprend également que les Russes progressent quant au brouillage des drones yankees. Toutes choses agréables à prendre...
Toujours à propos de Michel Onfray
Pour les autres questions abordées et en ce qui concerne la volonté de m'assimiler à n'être qu'un double d'un certain Michel Onfray, je continue de la trouver insultante. Je répète que je suis parfaitement conscient de ses limites. Il parait qu'il a fait faux bond à un Dominicains lors d'une confrontation qui avait été programmée je ne sais où. Cela ne m'étonne pas concernant la question des conflits au sein de l'église primitive, on me signale l'existence d'une étude capitale, savoir:
Roland Minnerath, "De Jérusalem à Rome, Pierre et l'Unité de l’Église".
Sauf que je n'ai pas l'intention de dépenser 86 € pour acquérir ce livre. La version Kindle est abordable au point de vue prix mais je ne peux pas lire sur une tablette et par dessus le marché, ce format n'est pas imprimable sans passer des heures à récupérer le texte et à le remettre en forme. Notons au passage que dans ce cas précis, la différence de prix est significative car généralement, elle est infiniment moindre.
Le compte-rendu de Persée
En revanche, j'ai trouvé un compte rendu sur Persée d'où je tire ceci :
L'auteur donne l'impression de solliciter un peu certains textes ou d'en passer d'autres sous silence. On eût aimé, sur certains points, une discussion plus approfondie et un jugement plus nuancé.
Nous sommes donc en présence d'un livre important, qui fait réfléchir. L'auteur a voulu replacer dans un certain ordre « les pierres d'une mosaïque » dont, en bon historien, il sait bien au fond que les contours nous resteront toujours flous. Mais le dessin général est clair : une nouvelle religion est née, qui se répand très vite dans toutes les grandes villes du bassin méditerranéen.
Le rôle des hommes y fut déterminant : celui de Pierre certes, mais aussi de Paul, de Jacques, de Jean et d'autres moins bien ou peu connus. Bien qu'il se garde explicitement de toute réflexion ecclésiologique, on sent bien que pour R.M. les racines de la primauté romaine sont déjà en place, même si l'histoire, qui témoigne de la marche tâtonnante de l'Eglise dans son pèlerinage terrestre, allait très vite révéler des divergences d'interprétation sur ces temps fondateurs.
Je suis désolé mais ce compte-rendu ne m'incite pas à me mettre en frais car il n'apparaît pas qu'il puisse vraiment nous documenter sur ce "phénomène étrange" que fut l'apôtre Paul.
Les "mystiques" auront toujours le dernier mot. Basta !
Car d'autre part mon correspondant m'écrivait ceci :
Ok le débat est normal sur l'écclésia première, je suis pas un nervi psychorigide...Ma conviction, outre des arguments objectifs historiques, c'est que si on ne vit pas la christianisme de l'intérieur, dans toutes ses dimensions, on ne peut pas en avoir une vue fiable: on reste à la périphérie, c'est logique. Qd on le vit en plus il y a des expériences qu'on ne peut pas exprimer; même face au confesseur ou dirlo spirituel c'est parfois difficile. Sauf si c'est un Carme ou un moine chenu, en général ils ont pigé avant qu'on est fini de disserter.
Traduction : Lorsque faute d'arguments historiques ou rationnels, on vous oppose les certitudes de la "foi" au travers d'une expérience plus ou moins "mystique", même en l'absence de cette psychorigidité caractéristique de certains catholiques, cela veut dire : fermes ta gueule, tu n'y connais rien puisque du n'est pas chrétien et ne vit pas ce que je vis !
Ce disant, je ne le prends pas mal, je constate simplement que les conditions d'un dialogue parfaitement stérile sont réunies. Quand à ce que ce correspondant est censé vivre comme "expériences", je n'en ai pas la moindre idée.
J'ai eu parfois le sentiment que des interlocuteurs étaient sur la même longueur d'onde que votre serviteur mais en général je n'ai pas tardé à déchanter. Sauf que je vois des gens finir par abonder dans mon sens après avoir expérimenté le soufisme. La déconvenue qui en est résultée était prévisible mais bon c'était leur droit de tabler sur une sorte de pari. Force est de constater que j'ai toujours eu, en matière de discernement, une longueur d'avance dans plusieurs domaines. D'une certaine manière, s'il m'arrive de tenir des propos assez brutaux, c'est que je ne suis pas dans la séduction et que je respecte la liberté de mes lecteurs en leur imposant d'avoir à surmonter ce côté désagréable avant de chercher à creuse quoique ce soit... D'autre part, il est beaucoup moins dangereux pour soi-même de susciter de l'opposition que de risquer d'aller aux devant de flatteries que, pour ma part je redoute car elles imposent de "refroidir" immédiatement ceux qui s'aventureraient dans cette direction.
Ma position vis-à-vis des religions et du christianisme et du catholicisme en particulier
Il est possible que je revienne sur certains points, comme le problème de la résurrection évoquée dans un précédant post mais je dois à la vérité de dire que tout cela m'est finalement assez indifférent. Je l'ai dis et je tiens à ce que ce soit clair. Jusqu'à nouvel ordre je suis plus bouddhiste que chrétien et plus grec que catholique. Je fréquente les églises en tant que musicien spécialisé et je suis aux premières loges pour constater que tout ça c'est mort !
Finalement, en faisant vivre un instrument historique relevé à grands frais, je rends un très mauvais service à la collectivité en procurant à des dévôts ce qu'il faut bien appeler un vulgaire "opium". Fort heureusement, son effet narcotique est assez limité. Là où j'exerce, on aime trop les ondulations d'une certaine musique italienne (voce humana obtenu par un décalage de fréquente entre 2 corps sonores) et la musique française n'a jamais vraiment pris à tel point que les ancêtres des citoyens que j'évoque n'ont jamais payé la facture de l'instrument qui est en cause.
Ce ne sont pas les mêmes gens qui fréquentent et les églises et les festivals. Les paroissiens, à une ou deux exceptions près, on ne les voit jamais aux concerts auxquels on accourt, certains mélomanes pouvant faire plus d'une centaine de kilomètres pour les honorer.
Je crains que le "divorce" ne soit complet entre le catholicisme et celui qui vous parle. Sauf qu'il n'implique aucune agressivité : je peux parler calmement avec un curé et le contredire sans avoir à élever la voix, ce sont eux qui supportent mal qu'on ne soit pas sur leur longueur d'onde. En réalité je distille juste ce qu'il faut pour qu'on ne s'illusionne pas à mon égard. Je vois et j'entends parfois comme on enseigne la religions à des gosses, c'est consternant. Je me souviens des leçons de catéchisme et d'histoire sainte de mon enfance dans les années 50. Du côté des dames patronnesses le côté "nian nian" a toujours été de rigueur mais je vois qu'elles ont déteint sur le bénévolat des laïcs pourvus de toutes les apparences vestimentaires et autre de la virilité contemporaine. Je n'ai jamais assisté à un enseignement aussi minable de la part de curés de mon époque.
Mais rassurez-vous ça se passe bien car je suis plus diplomate qu'il n'y parait. J'ai quelques "fans" qui apprécient mes fonds sonores. Et si je pratique cet exercice assez ingrat, c'est en tant que travail sur moi-même : tout artiste est sujet au "trac", je touche du bois, ça peut toujours revenir... Il s'agit d'une "maladie nosocomiale" que l'on contracte dans les foutus Conservatoires post révolutionnaires et dont on se défait à grand peine, l'enjeu c'est d'arriver à jouer librement et de paraître improviser le texte que l'on a sous les yeux. Et Dieu merci, j'ai certes progressé depuis quelques années...
A vrai dire, le reste je m'en tape, je suis un adepte de la "philosophie pragmatique" et je garde les pieds sur terre. Si j'insiste trop sur le cas de l'apôtre Paul, on mettra ça sur le dos d'un goût supposé hors normes. Or cela a cessé, depuis assez longtemps, d'être un "problème".
Le catholicisme et toutes les religions peuvent être jugées rien que sur la psychologie assez primaire de leurs leaders et pratiquants.Et quelque soit l'angle adopté, cela reste une horreur. Enfin force est de constater que le monde en est rempli, à bientôt septante et une année, j'ai eu le temps de me faire une raison.
Enfin, j'ai d'autres soucis plus constructifs que les religions, si tant est qu'elles en soient un. Je passe le plus clair de mon temps à faire des recherches dans le domaine de la médecine et des diverses thérapeutiques. Enfin peu me chaut de passer pour un diable incarné. Rien n'a changé à cet égard, il en faut peu pour cela et si beaucoup de catholiques ne croient plus à un enfer surtout éternel, les dévots de la laïcité ont tendance à le voir partout car je constate qu'il suffit de quelques "gros mots" pour les faire paniquer !
Le Vatican aurait organisé une formation à visée internationale mais si les critères anciens n'ont pas changé "obligation de parler une langue ancienne ou inconnue et de révéler des choses cachées" les exorcistes doivent passer à côté de beaucoup de cas. Quant à la présence de psychiatres comme garantie d'équilibre laissez moi rigoler. En effet lorsqu'on sait à quel point le définition des "maladies mentales" est sujette à caution, voir les critiques du DSM IV, on ne peut que de gausser de l'entreprise.
Je me rappelle qu'un psychiatre à la noix, à l'époque où j'étais rebelle à l'endroit d'un père excessivement maladroit à qui il m'est arrivé de coller deux yeux aux beurre noir m'avait rangé dans la catégorie des hébéphrènes catatoniques. Je cite Wikipédia :
La schizophrénie hébéphrénique, ou hébéphrénie, est une forme de schizophrénie.
Cette affection psychique caractérise une forme de schizophrénie touchant des sujets jeunes, avec une absence apparente de délire paranoïde et la présence d'un syndrome dissociatif menant rapidement à un retrait social (retrait autistique). Elle évolue généralement vers un appauvrissement intellectuel et relationnel. Le traitement passe par la psychothérapie (individuelle et/ou institutionnelle) et la médication, bien que l'affection puisse se montrer résistante au traitement par neuroleptiques.
Quant à la catatonie Elle était considérée autrefois comme une forme exclusive de la schizophrénie (schizophrénie hébéphrénocatatonique), caractérisée par des périodes de passivité et de négativisme alternant avec des excitations soudaines.
On peut voir au travers de cette dernière définition que tout personne non consensuelle susceptible de cultiver une vie intérieure et de ne se manifester de façon plus ou moins soudaine, voir explosive que quand on lui chie dans le bottes procède d'une vision norminative à l'américaine. Bien évidemment, l'imposition de cette norme conduit à déformer la réalité et n'a guère pour but que de plus ou moins diaboliser les individus qui n'entendent pas se soumettre à l'hypocrisie et à la fausseté ambiante et à la corruption abominable qui en résulte.
A propos de langues anciennes ou inconnues que le patient n'aurait pas apprises à l'INALCO, cela laisserait supposer que Satan ou ses démons seraient demeurés figés dans un état très archaïque de l'histoire du monde. Il se peut que dans de rares cas des gens puissent être possédées par le genre d'entités infernales que l'on voit poindre dans les fantasmagories relevant de la littérature dite "gothique", genre Seigneur des Anneaux et Cie. Le fait est que l'on cultive plus ou moins sciemment ce genre de "culture" et les humains ne peuvent rien imaginer qui ne vienne point de quelque part. Toute la question est de savoir si des vieux rituels pompeux en latin médiéval sont susceptibles de neutraliser pareille engeance.
Je note qu'historiquement autant que traditionnellement, la capacité de prononcer des exorcistes est donnée dès avec l'imposition des "ordres mineurs". Le fait qu'on la réservé à des prêtres et donc à la plénitude du sacrement de l'Ordre n'a nullement amélioré la situation. Je pense pour ma part, que pour certains "exorcismes" s'imposant dans le cadre de la vie ordinaire, il n'est nul besoin d'avoir reçu une mission particulière. Pour ma part, j'ai pris modèle sur Guénon qui faisait ça très bien avec certaines de ses répliques que l'on peut définir génériquement comme relevant des "lettres chargées". J'ai appliqué le procédé avec un certain bonheur et quand il arrive qu'on me chie dans le bottes, j'adresse par la poste ou par Internet ce genre de projectile aux gens qui dépassent les bornes. Ma dernière victime est un curé polonais qui s'est fait détester de pas mal de citoyens, y compris du Maire du patelin. Je lui ai administré le coup de grâce à la suite d'un litige.
Quand on propose à des fidèles présents de commenter l'évangile du jour, il faut accepter les risques encourus. Bien évidement, mon commentaire sur l'accomplissement de la loi revendiqué par Jésus ne pouvait que produire l'effet d'un séisme d'assez forte magnitude, ce qui m'a valu des réactions fort peu chrétiennes. J'ai été traité de quasi nazi, en marge d'une réunion biblique, lors d'agapes par un sale type dont le grand oncle a livré les juifs du patelin à la Gestapo, ce qui lui a inspiré la prétention d'avoir été un résistant. Je passe sur divers la mise sous tutelle d'une cousine dont il pensait hérité avec la complicité et le soutien d'un diacre. L'intéressé a mordu la poussière car le jugement a été levé en appel et la dame, un pilier de l'église locale, a recouvrer sa pleine liberté.
Bien sûr le patron de la paroisse un polonais, a prétendu pouvoir me sommer de rendre les clefs mis à ma disposition pour certaines raisons sans avoir à le faire par écrit et de façon motivée. C'est bien tombé car j'ai une dent contre les manigances de la nation polonaise quant au fait qu'elle entretient depuis le XVIIème siècles des relations privilégiées avec l'Amérique et que ses dirigeants actuels, ont été ravis de se prêter à certaines manigances de l'Otan pour satisfaire un vieux contentieux avec la Russie. Contentieux dont nous ne sommes pas responsables et dont je me contrefous ! Je lui ai rappelé également les effets désastreux de la directive Bolkenstein à propos des "plombiers polonais" et autres artisans qui viennent de l'Est de l'Europe. Tout en terminant pas de cas de ses pareils. En effet, si des prêtres polonais viennent chez nous pour combler les trous qu'engendre la pénurie de vocation, c'est tout simplement parce que, bien que l'Eglise de France risque la faillite, ils sont mieux payés chez nous que chez eux alors que si on appliquait à leur égard la fameuse directive, il nous coûteraient moins cher. Et je vais même jusqu'à dire que dans la mesure où l'Eglise polonaise est riche à milliards depuis qu'elle a récupéré les biens qui avaient été confisqués par l'application d'un régime soviétique, la Pologne pourrait nous faire cadeau des "intérimaires" qu'elle nous adresse !
Enfin, "cerise sur le gâteau", je lui ai fait remarquer qu'on a déclenché une révolution, que si elle a comporté des aspects critiquables et même haïssables, le point positif c'est que depuis lors le catholicisme a cessé d'être "religion d'Etat", que chacun est livre d'adopter la religion ou la philosophie de son choix et qu'il ne sera plus jamais dans nos habitudes et nos mœurs de baiser les mules de curés surtout tyranniques en se roulant par terre à leurs pieds et que par conséquent, s'il n'est pas content de la météo locale, personne ne l'empêche d'aller se faire voir ailleurs, bien au contraire !
Cet idiot, au lieu de garder ça pour lui en a lu des passages à ses fidèles et j'imagine qu'il a procédé à des prélèvements hors contexte. Sauf que si j'avais répliqué en publiant l'intégralité de l'épître, j'aurais sans doute mis pas mal de rieurs de mon côté. Je présume qu'il a été marqué d'un fer rouge et qu'il n'oubliera jamais la claque qu'il a prise. Je ne peux qu'inciter mes lecteurs à pratiquer cette sorte de "mini exorcisme" à l'égard des gens qui dépassent certaines bornes. Les choses iraient sans doute beaucoup mieux si une majorité de citoyens refusaient de plier l'échine devant ce genre de personnage. Il n'y a pas lieu de prendre des gants vis à vis d'une église où la "pédophilie" s'est pratiquée à une grande échelle car si les délinquants ne constituent pas la majorité par esprit de corps ont les a protégé. bref, nous n'avons guère de leçons à recevoir d'une quelconque prélature...
Dernières nouvelles : J'ai reçu du personnage évoqué ci-dessous, des observations complètement falabraques sur des passages d'un post que j'ai supprimé avec l'intention d'en ré-exploiter le contenu dans un cadre différent. Rappelez vous on m'avait reproché de faire du Michel Onfray. Ca tombe bien, voici une excellente occasion de préciser certains points. Vous pourrez constater au passage à quel point certains individus sont doués quand il s'agit de tout comprendre de travers.
Cet individu m'a certes fatigué mais il m'est tout de même arrivé d'éprouver des moment de pur bonheur à remettre à sa place ce quidam. Plus "bouché" que cet olibrius, tu meurs !
Si vous voulez commander son livre au sujet de Guénon, son email est dans le pdf, la souscription devrait aboutir d'ici une quinzaine. Sa nouvelle "Bible" augmentée de textes "proto orthodoxes" et "gnostiques" serait déja disponible. Oui nous avons à faire avec un nouveau gnostique. Notez que j'ai cru qu'il que c'est le nom de Jean Valentin Andreae qui lui avait inspiré son faux blaze mais je me suis planté mais je ne vais pas reprendre mon papier. Il s'agit d'une réincarnation de ce Valentin dont a parlé Tertullien qui faillit être évêque de Rome en 143. Excusez du peu ! On me pardonnera, je l'espère de ne point être passionné de gnosticisme...
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J'ai reçu d'un certain "Jean Valentin" une invitation à souscrire à ce nouveau livre. En voici le sommaire :
Introduction : Guénon, le restaurateur de la Tradition, et ses écueils
Première partie : René Guénon, le catholicisme et l'exotérisme chrétien
Marie-France James, ou l'exotérisme journalistique
Jean Borella : l'ornière de la philosophie exotérique
Jean Daniélou et la reconnaissance marginale de l'ésotérisme judéo-chrétien
L'anti-gnose d'André Allard L'Olivier : thomisme exotérique versus Christianisme initiatique
Jean-Marc Vivenza : l'augustinisme martinésiste contre la Tradition Primordiale de Guénon
Deuxième partie : René Guénon, essais d'aboutissement, et rattachement à l'Islam
Les tentatives de concrétisation et d'« aboutissements » de l’œuvre de Guénon
Le passage ou conversion à l'Islam
Frithjof Schuon et le Christianisme par rapport à l'Islam
Michel Valsân, autre grand guénonien converti à l'Islam
Troisième partie : René Guénon et le Christianisme primitif
Guénon et la tradition chrétienne
Restauration traditionnelle, Réforme et protestantisme
Mystique et ésotérisme, cette « quadrature du cercle »
Un seul chapitre m'intrigue : Jean Borella : l'ornière de la philosophie exotérique. Si j'ai bien lu les deux points peuvent être remplacé par un signe =. En d'autres termes, ce chapitre serait très critique à l'égard de l'auteur cité.
Mais enfin ce projet de livre ne touche pas au cœur du problème, à savoir pourquoi le rendez-vous n'a pas eu lieu. Je présume qu'il ne sera guère que l'occasion de raconter une fois de plus une partie de l'histoire du milieu guénonien sans nous apprendre rien de nouveau. Ce ne peut-être, au final, qu'un plaidoyer en faveur du christianisme qui ne peut être qu'apte à prêcher des convertis...
Pourquoi le rendez-vous n'a pas eu lieu ?
J'ai donné, dans des notes qui ont disparu, des éléments de réponse sans savoir que ce projet de livre existait. Il m'a été signifié le 3 avril, soit avant les posts évoqués mais je n'ai pris connaissance du courrier adressé à Alexandre Palchine par protonmail que ce jour, il y a deux heures à peine.
Si Guénon est demeuré étranger au christianisme, c'est tout simplement parce qu'il y a dans cette religion des éléments non susceptible de le séduire. D'abord un caractère "sentimental" qui est le propre de toutes les religions tardives. On trouve dans le bouddhisme des éléments allant dans ce sens : le bouddhisme est né d'une réaction de l'avatara concerné à la souffrance. Mais cela n'a pas eu les incidences qu'a pu avoir la doctrine de la "rédemption" dont certains attribuent l'invention à Paul.
D'où qu'elle vienne, la thèse selon laquelle un homme, qui plus est "Fils de Dieu" (non en mode adoptif figuré mais au sens où il aurait été engendré, non pas créé) lequel "Fils" aurait été conçu pour nous sauver de nos péchés ne pouvait que présider à la constitution d'un "milieu psychique" assez désastreux. Milieupropice à un certain masochisme plus ou moins névrotique et surtout propice à toutes sortes de chantages affectifs.
Au contraire, le Bouddhisme, ne parle pas d'un "salvateur". Le Bouddha a indiqué des moyens de libération que n'importe qui peut mettre en oeuvre sans avoir à se répandre à pétition de plus ou moins fausse humilité voir en faisant étalage de remords à n'en plus finir. Sans aller jusqu'à la libération, le bouddhisme a développé une psychologie et une philosophie apte, pour le moins, à garantir un certaine harmonie sociale d'où sa vogue actuelle.
Je l'ai dit et je le répète le concept d'avatara ou "descente divines" est intelligible tandis que le mystère de l'Incarnation est parfaitement inintelligible, quant à la Trinité n'en parlons pas, je n'en vois aucune trace dans les évangiles.
J'ai évoqué également, à propos d'un sermon du 3ème dimanche de Pâques, les problèmes posés par la "résurrection" entendant comme liant le corps grossier et l'âme au travers de la mention d'un réapparition "en chair et en os" parfaitement palpables du "ressuscité" et non point assez purement lumineuse comme on peut le concevoir à propos d'un "corps de gloire".
Et ceci à l'opposé de la conception grecque (et essentiellement gnostique) qui sépare l'âme d'un corps prison. J'ai entendu un curé prétendre que la conception gnostique serait manichéenne, or c'est absolument faux et d'autre part, si cette conception est grecque et non chrétienne elle aurait bel et bien imprégné le christianisme. Or si le christianisme s'est signalé par un mépris du corps et une méfiance voire une haine des aspirations contingentes qu'il suscite (sexuelles en particulier) je regrette, mais cette approche négative n'est nullement un trait que l'on rencontre dans le paganisme. A savoir que, d'une manière générale, le caractère festif de tout ce qui pouvait relever de la sensualité en général est précisément ce qui a opposé le "paganisme" au christianisme marqué par le caractère assez maléfique, il faut bien le dire, d'un homme crucifié comme centre de la dévotion chrétienne. L'emploi du mot "paganus" signifiant "paysan" ("plouc" pour être plus clair encore) relève des insultes gratuites.
Quant à mentionner dans le même souffle comme l'a fait le curé que j'ai en vue, ce retour en chair et en os tout en parlent de "corps de gloire", il y a comme une contradiction. La résurrection en chair et en os, pour quoi faire si c'est pour, à l'occasion d'un Jugement dernier, se voir offert la possibilité d'une alternative entre un paradis et des enfers ne pouvant se concevoir que comme "milieux psychiques". Enfin le "retour du Christ" suivi d'un millénium pendant lequel Satan sera enchaîné et après on fait quoi ? Il est clair que ces données ne peuvent trouver place que dans une cosmologie et une cyclologie totalement absente du christianisme. On en trouve des traces dans l'AT et dans la Kabbale mais pour concevoir à peu près clairement tout ce bazar, il faut bien envisager une donnée grecque, à savoir la possibilité d'une apocatastase.
Je suis désolé mais les curés qui veulent se passer de certaines données "païennes" sont en grand danger de se tirer une balle dans les deux pieds et même dans la tête !
Ressuscite t-on en chair et en os avec son fauteuil roulant quand on était handicapé et éventuellement aussi moche qu'on l'a pu être de son vivant ? Il n'y a vraiment aucune raison pour que l'on s'en trouve amélioré.
On notera également que le "purgatoire" est bien une invention du Moyen-Age. Elle a été rendue nécessaire par le caractère abrupt de la conception d'un paradis et d'enfers présentés comme éternels. Il fallait bien un correctif ne seraient ce que parce qu'il existe infiniment plus de gens "gris" qu'il n'en peut exister de "noirs" ou de "blancs". Une majorité sont certes d'un gris assez foncé mais en tout état de cause il est impossible que quelque chose soit "éternel" mis à part le "Dieu unique" pour parler comme la Bible. En effet, quelque chose qui a un commencement, un homme, une femme, doit nécessairement avoir dans ses différentes parties une fin. Il ne faut pas confondre perpétuité et éternité même si en fait et en pratique ça se ressemble énormément.
Guénon s'est attaché à la perspective indienne, dont la théologie et la métaphysique présentent une cohérence susceptible de venir à bout des énigmes que j'ai évoquées et éventuellement de les dissoudre plus ou moins. Il ne pouvait pas adhérer au christianisme. Il n'a consenti à reconnaître le catholicisme comme organisation traditionnelle que parce que s'il ne l'avait pas fait, sa personne et son œuvre eussent été mises à l'index. Mais lorsque l'on prend du recul vis à vis de tout ce qu'il a écrit dans ses livres et sa correspondance, on voit bien qu'il n'a pas changé par rapport à la conception qu'il a exposé en évoquant la Religion avec majuscule et les religions avec minuscule.
Quant à l'auteur du livre, le formulaire de souscription ne le mentionne pas. On ne trouve aucune trace de l'éditeur sur le Web. Jean Valentin ne peut être qu'un pseudo et l'on ne sait pas d'où il sort.
Je n'engage pas mes lecteurs à soutenir le projet participatif de l'auteur qui a toutes les chances de ne mener nulle part. On n'a que trop gâcher des centaines de tonnes de papier pour des sempiternelles redites autour de l'odyssée guénonienne. Basta ! Je suis devenu assez franchement allergique et je ne souhaite pas mourir étouffé en risquant un œdème de Quincke.
Les utilisateurs des TERs de la "Côte d'usure" dénoncent des cheminots chargés de leur entretien en se bornant à déplorer que la profession s'essaient à des jeux plus ou moins innocents plutôt que de s'évertuer à garantir le respect des horaires prévus. Les journalistes sont passés maîtres dans l'art de diriger les regards dans la mauvaise direction pour tout brouiller.
Mon attention a été attirée sur le phénomène par un duo de filles de harkis alors que j'avais commandé au pizzaiolo dont le commerce tend à rendre un peu moins triste la place du village où il exerce. Elles ont entendu parler d'un tag représentant le président avec une épée profondément enfoncée dans le cul.
Et si cette image était le fait de djihadistes avant d'avoir été retouchée à la va vite et sur ordre avant présentation au public ? Notez qu'il est facile de transformer un poignard ou une épée en crucifix, ça se fait en un tournemain en ajoutant un peu de noir? Une bonne macrophotographie permettrait sans doute de discerner des retouche mais on va bien sûr s'empresser de débarbouiller la rame.
Macron a récemment tenté de séduire l'épiscopat. S'il y a parmi les cheminots des "zozos" je ne sache point qu'il y aient parmi eux des gens des catholiques pratiquant intéressés aux problèmes de religion. L'intention la plus naturelle eut été, de la part de tels artistes, de lui fourrer une plume d'autruche dans le fion. Le crucifix ne fait pas "sens" !
Et si le nettoyage des TER a été confié à un personnel externe plus ou moins basané, il est clair que, si, profitant d'un défaut de surveillance, ce personnel avait fait un coup à sa façon, j'imagine que pour éviter le scandale retentissant et un gigantesque éclat de rire planétaire que l'outrage allait causer, on aura préféré travestir l'oeuvre qui a en dévier la "paternité artistique".
Ce qui m'inspire cette hypothèse c'est le contenu d'un film que j'ai dont j'ai vu, dans le même temps, la fin. On y voit une enseignante raciste prendre en otage une classe à dominante colorée. Le scénario est d'une subtilité diabolique en ce sens qu'au terme d'une manipulation de haut vol par le flic qui sert de négociateur, c'est un jeune français de souche contrastant par sa blancheur et la fille parfaitement assimilée d'un couple d'arabes francisés, probablement des harkis qui se fait descendre en assumant seuls, les frais d'une opération tordue visant, comme on dit, à préserver la paix civile. Tandis que le noir ordonnateur d'un viol en réunion et ses camarades s'en tirent sans une égratignure.
Les flics déguisés en journalistes caméramans ont exécuté l'enseignante sur ordre d'une ministresse en pantalon comme caricature d'un certain féminisme ambiant. J'ai pris le train en marche chez un voisin, et je ne sais pas le titre de cette oeuvre remarquable mais j'ai pu en voir suffisamment pour tirer la morale de l'histoire et en dégager les leçons. En dépit des clins d'oeil que l'on discerne dans la loufoquerie de quelques détails de la mise en scène et du scénario, il a bien été conçu pour nous avertir que rien que pour éviter un soulèvement ethnique nos dirigeants sont capables de toutes les saloperies possibles et imaginables.
La synchronicité approximative de ces deux observations a valeur de "signe" à mes yeux. Ma lecture certes me fait encourir le risque d'être traité de cinglé mais qu'importe, non seulement j'ai l'habitude et je suis blindé à cet égard, et ce qui importe c'est qu'il ne saurait s'agir d'un délit. Notons également qu'il ne saurait être interdit de rêver...
Comprenne qui pourra ! Enfin si c'est l'oeuvre de cheminots bien de chez nous, ce serait alors ce que les psychanalystes appellent un "acte manqué". Et si oui, quel dommage !
Jamais deux sans trois : espérons que si un troisième "outrage virtuel" survenait, il sera un peu mieux ficelé!
Succube : nom masculin désignant un démon femelle censé s'unir aux hommes la nuit... La chose est censée ressembler à l'horreur que vous voyez ci-dessus. La littérature et l'imagerie "gothique" dont raffole une partie non négligeable des adolescents contemporains est remplie de ce genre d'horreur. Le contraire du succube c'est l'incube, démon mâle qui s'attaque aux femmes et pas que... Ce dernier filon du pas que est du reste largement exploité par un certain dessinateur dont j'ai oublié le nom. Je n'ai pas eu connaissance d'accidents physiques de ce type mais certains en rêvent et s'en inventent. Chercher à incube gay, à ma connaissance, ces derniers auraient tendance à se manifester sous l'apparence de prétendus "extra terrestres".
Trêve de plaisanterie. J'ai reçu d'un lecteur de très longue date le courrier suivant :
Cher Monsieur,
J'ai eu l'occasion de fréquenter à de multiples reprises un ancien adepte de Schuon qui, après un long et fervent passage de plusieurs années dans la secte islamisante, est revenu à sa religion d'origine, un catholicisme de stricte obédience romaine. Je dois dire que son périple personnel, dont je fut le spectateur, lui a apporté beaucoup et miraculeusement sans en faire le moins du monde un extrémiste catho, genre Ecône.
Nous sommes assez ami pour en débattre maintenant sereinement et pour tomber d'accord quant à la nature de l'influence délétère que Schuon avait sur tant de personnes et dont je me permets de vous faire le résumé suivant:
Tout d'abord, il faut se souvenir que dans sa famille (je crois par son père), on pratiquait le spiritisme. Or ce "sport" (rebaptisé "channeling" car c'est plus vendeur) induit souvent un déséquilibre psychique. Ainsi, au début du siècle passé, il y avait sauf erreur plus de 50% de l'effectif des patients des cliniques psychiatriques de la région de (censuré) qui étaient d'origine spirite.
Si on lit sa prose et surtout son livre autobiographique en allemand, Intitulé "Erinnerungen und Betrachtungen" (Souvenirs et considérations), il paraît assez évident que cette soit disant Vierge Marie, n'était que, faute de mieux, je nomme un "succube", soit une entité maléfique (un "jinn" en Islam) du monde intermédiaire qui littéralement l'a "infesté" à son insu sa vie durant, d'où notamment sa mégalomanie teintée d'exhibitionnisme et d'érotomanie. Dommage qu'il n'en soit pas été la seule victime.
Vous avez le mérite d'avoir eu le courage et la ténacité nécessaire pour en faire la démonstration. On ne vous remerciera jamais assez de cette oeuvre de salubrité publique que vous avez entreprise avec succès.
Bien à vous
Cette lettre, vous vous en doutez, m'est allée droit au coeur, vous vous en doutez car de la ténacité il en a fallu et vous savez les emmerdements qu'elle m'a valu sous la forme notamment d'un style de diffamation tendant à me faire passer pour "pédophile". C'est environ 25 ans qu'a duré l'enquête, le temps d'une génération, heureusement cela n'a pas été à temps plein.
L'ensemble du Dossier Schuon est toujours disponible et en téléchargement libre.
J'ai du indiqué quelque part que le père de F. Schuon a effectivement trempé dans des séances de spiritisme car je me souviens que mon relecteur a beaucoup insisté sur ce point. Pour le cas où cette indication se serait trouvé "noyée" dans la vaste documentation existante, il était bon d'insister sur ce point qui est bien évidemment la clef de toute l'histoire.
J'ai eu en mains le texte original et la traduction en français des souvenirs évoqués. Un autre ancien disciple de Schuon qui avait été très éprouvé par son aventure aux côtés de Schuon a pris la peine de traduire ces fameux souvenirs. J'ai malheureusement oublié son nom et son lieu de résidence. C'était il y a deux décennies et il est probable que depuis lors il est passé dans un autre monde que l'on espère meilleur.
J'ai malheureusement fait la bêtise, à l'occasion d'un déménagement, de mettre en vente et la photocopie de l'original et la traduction de ces fameux "souvenirs" sans avoir pris la précaution de scanner tout cela. Mais qu'importe, à présent plus personne, ne peut mettre en doute mes conclusions et mes jugements. Il existe une surabondance de documents photographiques où l'on voit Schuon posant nu comme un ver en étant seulement coiffé d'une parure indienne à plume. Je ne puis qu'inviter ceux qui en ont la possibilité à imprimer cette documentation, à en relier les volumes et à les déposer ici et là dans quelques bibliothèques d'études fréquentées par les chercheurs en religions afin que ce labeur ne se perde pas.
Il est évident que je ne pouvais rien faire quand à pouvoir guérir les traumatismes de ceux qui sont évoqués dans les deux volumes de témoignages existants mais au moins on peut désormais confronter l’œuvre littéraire de Schuon à ses arrières plans ténébreux. Il faut à présent prendre le parti d'en rire ! Que de temps et de fatigues pour en arriver là !
Faute d'actualités traditionalistes force est de se rabattre sur les prolongement de la "crise du monde moderne". Essayons de faire le tout de la question...
Politique internationale
J'ai préféré Donald Trump à la vieille sorcière nommé Clinton. Son côté décalé ne faisait rire! Il laissait entendre qu'il allait se dégager de différents théâtres d'opérations dont la Syrie mais ça n'a pas été le cas. Il prétend que l'Otan lui coûte trop cher mais les provocations américaines anti russes se multiplient à l'intérieur de l'Europe. Voilà qu'il a dénoncé l'accord iranien et menace le monde entier dont l'Europe de représailles commerciales et l'UE entend répondre sur le même ton. Difficile de prévoir ce qui va résulter de ce vent de folie sauf que cela va probablement nous coûter plus ou moins.
Sur le plan intérieur et franco français, ce n'est pas mieux !
Enfin, bien que la Taubira voudrait réduire Poutine en lamelles, il est rassurant de savoir que la Russie est supérieurement armée, que sa diplomatie est un modèle de prudence et que si les USA allaient trop loin, ils risquent de ne pas peser lourd en cas de conflit.
Il n'empêche que ce qui se trame est assez illisible. La part des "gesticulations" est évidente et l'on apprend au final que la Corée du Nord que l'on croyait out retravaille d'arrache pied à sa nucléarisation...
Après la romance télévisée des amours romantiques du Président avec sa seconde "grande mère" (amie de sa vraie grand mère biologique) un nouveau "foutage de gueule" à l'adresse de la France profonde souffrante et gémissante. Mais qu'à cela ne tienne, il fallait faire connaître à l'étranger l'excellence de la manufacture de Sèvres.
Parlons un peu de la romance en question : on y a évoqué la rumeurs qui a voulu faire du locataire à titre gracieux du palais parisien un "crypto gay". Erreur, il est de plus en plus clair qu'il n'y a guère que la politique qui fasse bander celui qui tient la destinée de la France et des français entre ses mains. Il est probablement "asexuel", c'est une nouvelle maladie qui tend à se répandre.
La Gay Pride bientôt promue fête nationale
Nadine Morano est visée par une plainte pour injure homophobe. Et "Transphobe" ! C'est nouveau, çà vient de sortir !
L'Assemblée Nationale était-elle dans son rôle en pavoisant aux couleurs du mouvement LGBT ? Pourquoi ne pas faire du 14 juillet une seule et même fête Nationale. On réaliserait ainsi le rêve de ces pamphlétaires qui ont lancé des textes impérissables comme Les enfans de Sodome à l'Assemblée Nationale et Les confédérés vérolés et autres plaisanteries. Sauf que la première a revêtu un caractère prophétique.
Nadine Morano n'est pas mon idole mais le fait d'avoir repris une photo publiée dans le journal Minute aux cotés du nouveau drapeau français quasi officiel n'implique pas qu'elle soit homophobe. Les exhibitions constituées pour une large part de "folles tordues" et autres excentricités parodiques ce n'est pas ce qui risque de convaincre la population que le fait d'éprouver de l'amour pour ses semblables puisse constituer un délit, un danger ou une faute de goût. Oui à force de démagogie, la France est devenue "décadente" et s'expose à être méprisée. Quoiqu'il en soit en l'admettant je n'encours aucun risque je n'ai rien contre les "homos" lorsqu'ils s'abstiennent de se ridiculiser de façon grotesque.
Si c'était encore de mon âge, je paraphraserai Sacha Guitry en disant les "homos", je suis contre et même tout contre !
Selon le Pape François c'est "Dieu" qui fait les gays !
«Juan Carlos, le fait que tu sois gay importe peu. Dieu t’a fait ainsi et Il t’aime ainsi et cela ne m’intéresse pas. Le pape t’aime comme tu es. Tu dois être heureux comme tu es.»
Les milieux cathos conservateurs ont préféré faire la sourde oreille et quand on évoque cette saillie, ils vont jusqu'à même en cause la fiabilité du rapporteur. Or l'existence d'un précédant ne permet aucun doute à ce sujet.
Enfin personne n'a pensé à objecter que l'on pourrait appliquer la formule, mutatis mutandi comme dirait Schuon, aux meurtriers. sauf que si le Pape a dit cela c'est qu'il exclut un tel rapprochement. Mais puisque c'est Dieu qui fait les gays, il a manqué de nous dire pourquoi. Or j'ai déjà donné la réponse qui peut s'énoncer ainsi : l'attirance sexuelle et érotique se moque fréquemment de la différence polarité sexuelle et il parait que les pingouins forment volontiers des couples gays. Pas d'autre solution que de voir là un upaya, ou ruse divine susceptible de rapprocher des êtres fort différents au mépris des races et des classes. Maintenant si c'était seulement pour se marier et devenir des parfaits consommateurs afin de faire marcher toutes sortes de commerce, ça serait un peu court...
Rappelons que les églises chrétiennes ont béni des couples d'hommes et de femmes (création de frères) bien avant que le mariage catholique ne soit formalisé 1215), ce n'est certes pas pour favoriser ce que l'on appelle, depuis 1869 "homosexualité". Je présume qu'elle ont fait le pari d'aider ainsi à la sublimation d'affections "sensibles", susceptibles si elles n'étaient pas encadrées de conduire à un certain "nomadisme sexuel". On a essayé de nous convaincre qu'il se serait agi d'alliance comparables aux mariages quand il s'agissait de favoriser des relations harmonieuses et constructives et d'empêcher qu'elles se fassent la guerre. C'est faux archi faux car si ma mémoire est bonne cette institution a été adoptée par des clercs. Voir l'histoire de ces prêtres portugais qui se sont mariés à la messe à Rome telle qu'elle a été rapportée par un célèbre philosophe français qui fit le tour de l'Europe pour prendre les eaux et soigner sa gravelle. J'ai nommé Michel de Montaigne.
Il est question dans son journal de Portugais "qui s’épousaient mâles à mâles à la messe, avec mêmes cérémonies que nous faisons nos mariages, faisaient leurs Pâques ensemble, lisaient le même évangile des noces, et qui couchaient et habitaient ensemble..." Cette innovation d’exagération conformiste produit sa sanction : " Il fut brûlé huit ou neuf Portugais de cette belle secte. "
Après la démagogie pro lobby LGBT la canonisation laïque de Simone Veil
J'imagine qu'après avoir fait de Macron un chanoine honoraire de Latran, le pape François n'a pas du apprécier la panthéonisation d'une "faiseuse d'anges". On ne s'attardera pas sur cette triste nouvelle. Encore une manoeuvre purement démagogique pour rallier les suffrages d'un maximum de femmes.
Scandales pédophiles : quand c'est fini ça recommence !
Cette affaire mettant en cause un professeur de chant exerçant dans une école libre catholique qui vient d'écoper de 16 ans de réclusion est vraiment caractéristique de l'incroyable aveuglement qui règne dans certains milieux. On en est réduit à se pincer en lisant : comment un prof qui se faisait appeler "papa d'amour" a pu exercer ses ravages sur des fillettes pendant si longtemps sans que personne ne bronche !
Interdiction des relations sexuelles aux moins de 15 ans
Le Sénat s'apprête a examiner un texte visant à réglementer les relations sexuelles des mineurs et si possible de les interdire au point de considérer à priori qu'aucun consentement n'est possible de la part de moins de 15 ans révolu avec pour conséquence de faire comparaître en Cours d'Assise les mineurs susceptibles de s'être envoyés en l'air jusqu'à 15 ans révolu moins 1 jour.
Dans ma grande naïveté je croyais le problème résolu depuis longtemps mais ce n'était pas le cas. Une affaire retentissante la démontré. J'ai poussé la prudence jusqu'à estimer qu'il fallait attendre 18 ans voir plus pour prendre le risque de coucher avec un garçon car avant cela il risque toujours de se laisse retourner par son entourage. Ce dernier peut bien sûr exercer un chantage et des juges ont condamné sur la base d'une soustraction à l'autorité parentale même lorsqu'il a été prouvé qu'elle avait cessé d'exister.
La Suède vient de contraindre ses ressortissants adultes à filmer leurs ébats par précaution
Ce pays que l'on présente comme étant à la pointe du progrès en de nombreuses matières vient de voter une loi qui à pour effet de contraindre tous les adultes à s'entourer de précautions lorsqu'il s'agit de "concrétiser" avec une partenaire de rencontre. Ce sont évidemment les hommes qui doivent assurer leurs arrières. Tout cela étant la conséquence du mouvement #Me Too consécutif à l'affaire Weinstein. Évidemment il découle de ce genre d'innovation un véritable renversement quant à l'obligation de preuve.
La preuve d'un fait est à la charge de celui qui l'allègue selon l'un des anciens adages judiciaires. Le mâle étant considéré à présent comme un prédateur constitutionnel et non pas simplement "potentiel", il est présumé coupable et c'est désormais à lui de se prémunir contre une éventuelle accusation et donc de s'équiper d'un matériel discret pour enregistrer, voir filmer, à l'insu d'une partenaire, ses éventuels ébats et bien sûr de hautement sécuriser le preuves de sa bonne foi !
Désormais en Suède, ce sont toutes les relations qui sont visées : celles hors mariage mais aussi celles entre conjoints puisque des femmes accusent leur mari de viol... Il ne reste plus qu'à faire "la chose" sous l'oeil (forcément lubrique) d'un huissier mais une webcam discrète reste plus économique mais combien de téras octets pour toute une vie.
D'autre part, notons encore que la justice estime qu'il vaut mieux tuer 8 enfants (comme Dominique Cottrez qui n'a eu que neuf ans de prison, qui n'a fait que la moitié et qui vient de sortir) plutôt que d'avoir des relations consenties avec quelqu'un de 14 ans et 11 mois, où c'est un crime passible de 30 ans...
Le monde actuel est tellement détraqué que personne, absolument personne n'est plus capable de protester contre cette folie. Ce n'est rien de dire qu'on marche sur la tête !
Pendant ce temps là la ville de Nantes est sujette à des émeutes qui ne présagent rien de bon surtout en plein été...
L'existence de ce livre m'a été signalée par un ami, ancien professeur éminent de Lettres, plutôt assez franchement athée et même voltairien qui l'a découvert dans un dossier du Journal La Croix dont un proche l'a fait bénéficier à l'essai.
Il a retrouvé dans ce dossier trace des faits dont je l'avais informé concernant le traitement de l'homosexualité depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours.
L'auteur est un chrétien de gauche et il n'apparaît pas hostile à priori à l'orientation dont il s'agit. Il avoue avoir cru en Mai 68 et s'en être réjouis avant de déchanter. Comme l'ouvrage se trouve aisément d'occasion pour 3 francs 6 sous, je l'ai acquis et j'ai entrepris de la lire. Tout va bien jusqu'au chapitre 6 intitulé L'Antiquité imaginaire.
Toute ce qui concerne les effets paradoxaux de mai 68, cette révolution sexuelle de la jeune bourgeoisie estudiantine témoigne d'une certaine lucidité. Il commence par pointer la grande cause du retournement que l'on est en train d'observer, à savoir certains excès "pédophiles" qui sont apparus dans la foulée de Mai 68. Il faut rappeler qu'un certain "gauchisme" avait imaginé de "libérer" la sexualité des enfants et des adolescents dans un but de guerre, à savoir de faire saborder le modèle classique de la famille traditionaliste.
Le hasard a fait qu'il m'a été proposé par une professeuse de Yoga de prendre le relais d'un certain Tony Duvert auprès de son fils qui avait fait l'école en bateau. Je n'étais pas venu chez elle pour cela mais pour organiser un colloque d'astrologie. Je l'ai envoyé sur les roses avec perte et fracas car je n'avais pas manqué de l'entendre chaque matin attirer son fiston dans son lit et lui susurrer qu'il avait été sont amant dans une "vie antérieure". Je passe sur les scènes surréalistes dont j'ai été le témoin au clair de lune au dessus d'un village localement célèbre du fait d'une collection de crèches...
Ce qui m'a profondément choqué c'est que personne n'a réagi quand j'ai raconté mon aventure. Pire encore, le "patron" pour lequel j'avais fait le voyage non seulement n'a rien voulu savoir mais m'a remplacé dans l'assos par la "salope" que Duvert n'a pas loupée dans quand mourut Jonathan. Je garde un souvenir assez exécrable de l'indifférence de l'époque, sans parler de la trahison dont j'ai été l'objet. Mais j'avais prévu que tôt ou tard la licence et l'aveuglement qui régnait allait faire place à un véritable "choc en retour" qui a commencé après la fameuse affaire du Coral. ce sont des cercles intégristes qui ont mené la danse mais ensuite ce mouvement a conduit à une hantise généralisée et purement laïque qui a tourné à un pur délire puisque l'on en est arrivé à soutenir la thèse qu'une des caractéristique de l'oligarchie qui nous gouverne consiste en une religion sataniste où des abus pédophiles avec éventuellement des mises à mort constituerait la religion distinctive de cette oligarchie.
L'auteur fait remonter la dérive incarnée par mai 68 à un certain Wilhelm Reich et à ses délires "orgoniques" (p 39 et suivantes). Le seul problème est que les observations de Reich eussent été estimables à propos d'une certaine aliénation ambiante s'il n'était pas allé jusqu'à "matérialiser" l'énergie sexuelle et l'universaliser comme il l'a fait avec les fameux accumulateurs d'orgone dans le traitement du cancer. Guillebaud n'a pas vu qu'il y avait à l'origine de ces délires, quelque chose qui s'enracine dans certaines doctrines traditionnelles qu'il s'agisse de la fameuse Kundalini ou de l'énergie vitale telle que la conçoit la médecine chinoise. Les théories reichiennes sous leur aspect matérialiste continuent d'irriguer un certain courant des médecines dites alternatives et pas que...
Je n'ai pas terminé ce livre mais là où les choses se compliquent c'est quand il veut absolument nous persuader que les monotéismes ne porteraient aucune responsabilité dans l'aliénation sexuelle telle qu'elle est en train de s'épanouir après la révolution ratée que l'on sait. Certes l'Antiquité ne saurait avoir été un paradis sur terre mais il n'en reste pas moins vrai qu'elle n'a jamais fait d'histoires à propos de l'homosexualité et que c'est bien ce qui la distingue des condamnations sans appel du Lévitique. Je n'ai pas manqué de souligner que le christianisme n'a commencé à devenir vraiment répressif que vers le XIIème siècle et je suis d'accord sur le fait que la pudibonderie la plus hypocrite et la plus stupide a attendu le XIXème siècle pour s'épanouir avant qu'une réaction en sens contraire ne finisse par provoquer un retour de balanciers avec les excès dont on souffre à présent.
Ce que Guillebaud n'a pas compris c'est que certains mots constituent une flétrissure et une humiliation beaucoup plus redoutable qu'un bûcher. Au XIIIème siècle survient la hantise de la "sodomie" d'abord fort mal définie car le mot recouvrait quantité de péchés dont la zoophilie et pas seulement les relations dites "contre nature". Je n'ai cessé de souligner qu'il existe une différence entre les Grecs et nous du seul fait qu'il se sont bornés à comparer l'amour des garçons avec celui des femmes avec un fort préjugé en faveur du premier mode cité. Concernant les Romains, une seule chose les a préoccupés à savoir qu'un homme libre s'abstienne de jouer dans la relation un rôle passif, mis à part cela le reste importait peu. Les sociétés antiques étaient ouvertement esclavagistes certes mais est-ce que la société contemporaine l'est moins. A mon humble avis, elle est par certains côtés pire car l'esclavagisme elle le pratique non pas ouvertement mais par le jeu de contraintes purement économiques. On sait que le meilleur moyen de faire baisser le coût du travail consiste à faire en sorte de ménager un important de chomâge. Actuellement, l'Espagne est complice dans l'importation et l'introduction en Europe et notamment en France de migrants sud américains qui sont sous payés et ne donne pas lieu à la perception de charges sociales selon les barèmes en vigueur. Alors que l'on cesse de ce foutre de notre gueule en noircissant à outrance l'Antiquité sans voir que rien n'a beaucoup changé au fond.
L'auteur s'efforce de prouver que des mouvements païens conduisant à l'abstinence ont existé. Il cite Platon à la rescousse. C'est un fait qu'il a anticipé certaines voeux catholiques contemporains et j'ai démontré, citations à l'appui, que certains passages des Lois ont influé, par un jeu d'influences interposées, sur le contenu de certains articles du "Nouveau cathéchisme". Platon est vraiment un "cas". Il semble s'être repenti à la fin de sa vie de ses penchants pour le même sexe mais il a mis en scène un personnage, Socrate, assez provocant. Mais quel fut le vrai Socrate, nous ne le savons pas plus que nous n'avons de preuves de ce qu'un certain Jésus aurait vraiment dit. Sauf qu'il n'a rien dit de ce qui a provoqué chez un certain Paul, un assez mémorable "caca nerveux".
Guillebaud s'est efforcé de redorer le blason du "treizième apôtre" qui n'a pas connu le Christ et celui de l'inventeur du "péché originel" un certain Augustin. Mais cette réhabilitation n'est pas du tout convaincante.
Un mythe terrifiant qui fait toute la différence
La grande différence entre l'Antiquité et les monothéismes c'est qu'il n'a jamais existé dans le corpus grec ou romain de mythes, tels que la destruction de Sodome pour servir à littéralement "crucifier" certaines préférences. Pire encore : dans un chapitre des Lois on voit Platon se prendre à rêver de pouvoir en imaginer un de toutes pièces pour condamner ce que nous appelons à tort "pédophilie" et qui à l'époque concernait des adolescents ayant atteint la majorité sexuelle tels que nous la concevons en principe de nos jours. J'ai relevé ça il y a fort longtemps dans un article de la revue que j'ai dirigée à propos d'un article du "nouveau catéchisme".
Ainsi et à partir du chapitre 6, la lecture de La tyrannie du plaisir devient assez gonflante et même gavante ! L'étalage d'érudition dont use l'auteur ne sert qu'à dissimuler l'évidence que je viens de mettre en exergue à propos de la présence ou de l'absence d'un mythe terrifiant. Bref, il est bien clair que les monothéismes et le christianisme usuel ont bien créé une idée du péché et même de péché mortel qu'aucune espèce d'autre religion ne lui envie !
Néanmoins, il faut immédiatement corriger cette affirmation relative à l'influence d'un mythe terrifiant spécifique aux monothéismes en soulignant qu'il a bien fallu attendre la répression typique d'un certain XIXème siècle, répression qui est plus le fait d'un courant de médecine légale spécifiquement laïque pour atteindre certains sommets dans la discrimination en défaveur des "homos".
Sauf que dans cet ordre d'idée un chapitre est particulièrement remarquable et c'est p. 213 celui intitulé onanisme et délires scientistes. Et la hantise de l'onanisme s'inscrit entre 1750 et 1850 dans une littérature qui n'a rien de religieux. L'auteur signale du reste quelque part que Voltaire en personne était ami avec le célèbre Dr Tissot, ce qui n'a rien d'étonnant vue l'hypocondrie du personnage dont on sait qu'il était devenu végétarien. Je présume que le fait d'avoir été "pédophilisé" par des jésuites avait sérieusement ébranlé son état psychique et son goût immodéré pour les lavements peut s'interpréter comme un besoin de purification de cette voie par laquelle il avait subi une effraction sans doute assez douloureuse...
Notons que les sexologues allait réagir en faveur de l'onanisme non seulement en en faisant un passage obligé de toute rééducation de la libido mais en déclarant la chose "créative". Elle réclame en effet une bonne part d'imagination et même de capacité de visualisation dont l'absence éventuelle se trouve présentement largement compensée par un déferlement de pornographie. Et les intérêts mercantiles se combinent volontiers avec un souci d'ordre public : en effet les citoyens ont la possibilité de "faire baisser leur tension" rapidement grâce à cet expédient ce qui ne manque pas d'engendrer un véritable "autisme sexuel" de plus en plus flagrant chez les jeunes qui deviennent incapables de s'affronter à la réalité en devenant esclave de pures virtualités. Il est donc vain de gueuler contre le porno puisque le phénomène participe d'un moyen de "contrôle social"...
Globalement, pour ce qui concerne l'homosexualité, la réaction agressive incarnée actuellement par le lobby LGBT sensible dans les procès pour injures réelles ou supposées est bien davantage liée en réaction à l'explosion de pudibonderie du XIXème siècle qu'aux 17 siècles de christianisme précédents. En effet, il faut se rappeler que la révolution française a aboli tous les textes visant la "sodomie" et ce n'est que très progressivement que les différentes versions du code pénal ont durci le ton mais en relation seulement avec la protection des mineurs et on est en train d'atteindre, avec le projet d'interdire toute relation avec des moins de 15 ans en les voulant considérer systématiquement comme "viol", à un sommet délirant dont on ne peut pas dire qu'il soit le fait de l'Eglise. Cette dernière, avec la proclamation récente d'une "tolérance zéro" ne fait que suivre une pression populaire qui n'a rien de chrétien. Il n'empêche que les excès à caractère qui exclusivement laïques qui se poursuivent tout particulièrement en ce moment s'en racinent bien dans des tabous monothéistes quand bien même tout esprit religieux qui se respecte serait porté à priori à une certaine indulgence dont on n'observe plus désormais aucune trace nulle part, excepté chez quelques citoyens qui n'ont plus guère droit à la parole.
Je rejoins dans une certaine mesure l'auteur lorsqu'il évoque, pour le haut moyen Age, la dureté des législations païenne sur l'adultère sauf que je crains qu'il ne se foute du monde quand il évoque, du côté du christianisme, la représentation chrétienne de la nudité comme affirmation joyeuse d'une créature "bonne mais dépendante de Dieu, avec ou sans le péché" (p 195). Notez qu'il ne donne pas la source de sa citation.
Il faut noter également que dans l'appréciation des effets d'un "mythe terroriste", il faut compter avec le degré d'alphabétisation d'une part et le niveau de contrôle social. Insister sur certains interdits païens relativement au traitement de l'adultère chez les Romains et autres chapitres sans mentionner que de nos jours les évolutions législatives sont amplifiées par des médias bavards et aux ordres et que nous vivons dans une société fliquées par des légion de caméras et la possibilité d'être photographiés et filmés à notre insu par des cafards munis de "portables" hyper sophistiqués revient à comparer ce qui n'est pas comparable !
Une partie au moins des deux tiers terminaux de ce livre, en l'absence de la moindre mention d'un mythe terrifiant susceptible d'avoir fait la différence entre paganisme et christianisme pour le cas de l'homosexualité, sonne comme une tentative outrée de complètement innocenter les monothéismes. Or, si l'on prend du recul à l'échelle de la planète, il reste bien clair que c'est bien dans le secteurs d'influence des monothéismes et et nulle part ailleurs que l'on s'est ingéniés à systématiquement dramatiser cette question ! La chose est absolument INDISCUTABLE ! A savoir que toutes les autres sociétés autres que monothéismes ou monolatres, indiennes, asiatiques se sont arrangées de cette modalité de manière à ce qu'elle trouve une place sans bouleverser la société. La preuve en est : quand un occidental veut, à cet égard fuir le climat de contention imposé ici, il s'exporte par le biais d'un certain tourisme sexuel. Mais le "système" local est si pernicieux qu'il s'est arrangé pour que les touristes transportent avec eux les lois du pays d'origine !
L'auteur essaie de faire passer les Jésuites pour des promoteurs d'une version joyeuse du christianisme. J'ignore où il a vu cela car il ne cite pas d'exemple et ne donne aucune preuve.
Oui certes le jésuitisme s'est avéré assez jouissif mais uniquement pour l'usage personnel de ses ressortissants, c'est-à-dire quand il s'est agi, pour ses éducateurs, de baiser à loisir ces culo d'angelo qui leur étaient confiés par les bourgeois et aristocrates de l'époque. Dont, très probablement celui d'un certain François-Marie Arouet, devenu "Voltaire" par la grâce de sa plume vitriolée car son "homophobie", qui contraste singulièrement avec la licence de son époque, ne peut guère s'expliquer que par le souvenirs d'abus subits mais non consentis. Je suis du reste étonné que personne ne semble avoir soulevé ce lièvre.
Cette question de présence ou d'absence d'un mythe terrifiant pour les "homos" reste primordiale quant aux distinguos qui s'imposent lorsqu'il s'agit de juger de la qualité de diverses ambiantes culturelles, voir cultuelles. Je suis en droit d'accuser Guillebaud d'avoir déformé tous les dires d'écrivains qu'il a annexé à sa réhabilitation un peu forcée des monothéismes et du catholicisme. Je pense en particulier à sa mise à contribution des dires de Paul Veyne. J'ai lu une bonne partie des écrits de ce derniers et je ne les ait pas quittés en en retirant l'impression assez sombre que dégage l'opinion de Guillebaud. Mais je remarque que c'est une tendance assez classique chez les chrétiens que de vouloir relativiser l'influence totalitaire des monothéismes en matière de contrôle des moeurs.
Une parfaite méconnaissance de la philosophie romaine, stoïcienne en particulier
Il vaut la peine de rapporter la métaphore retenue par l'auteur de la part de Paul Veyne : l'âge de la chair et du péché ayant succédé à celui de la gestion des plaisirs. Cette simple phrase suffit à montrer que Veyne avait bien noté le caractère dramatique introduit par la notion de "péché". Guillebaud essaie, quand à lui, de présenter la philosophie stoïcienne en particulier comme quelque chose de contraignant et d'assez sombre. Il lui manque visiblement la connaissance et la pratique du bouddhisme qui a très certainement, quoique indirectement, influencé la philosophie occidentale de la fin de l'Antiquité. Voir à ce propos La rencontre du bouddhisme et de l'Occident du cardinal Henri de Lubac (1952).
Le durcissement contemporain de la répression sexuelle, un retour de paganisme ?
Enfin, j'espère qu'on ne va pas finir par nous dire que si la tendance à alourdir la répression de certains dérapages sexuels réels ou supposés quand cela touche les mineurs, puisqu'elle est bien à caractère assez purement laïque, serait un effet d'un résurgence de la dureté des législations païennes que Guillebaud s'est efforcé de pointer. Il est parfaitement clair que si l'innovation du "mariage pour tous" s'est soldé en France par une recrudescence de comportements homophobes, la cause est bien à chercher dans cette engeance à tendance totalitariste qu'ont constitué en soit les monothéismes.
Guillebaud pousse le bouchon assez loin quand il compare ce que peut raconter une dévote chrétienne à la Madone à la façon dont une déité païenne correspondante réagirait aux demandes d'une "pécore" (sic). S'il est une chose sur laquelle il est difficile d'être fixé c'est bien sur les attitudes subjectives des dévots de système aussi éloignés dans le temps que le paganisme et la dévotion particulière à la mère de Jésus.
Le patchwork de citations qui constitue l'ouvrage recensé donne l'impression de n'être qu'une manipulation assez laborieuse et malhonnête des faits au bénéfice des monothéismes et du christianisme qu'il s'agit de complètement innocenter. Sauf que l'on ne peut pas attribuer le durcissement actuel de la répression à un quelconque "néo paganisme" car lorsque "néo paganisme" il y a réellement la tendance a consisté soit à vouloir restaurer la "pédérastie" (Michelt Caignet au travers de la geste de Gaie France Magazine) ou du moins à ne pas considérer cette institution comme forcément scandaleuse (Guillaume Faye).
Mais enfin voilà sans doute un ouvrage qui devrait ravir le correspondant et ami qui m'a récemment encore reproché de faire du Michel Onfray. Faut-il préciser que je ne me suis jamais présenté comme un champion d'un quelconque hédonisme ? Le mot tend a me faire horreur au même titre que l'abus du mot spiritualité. Il est clair que la recherche du plaisir pour lui-même est une tendance assez détestable, voire dangereuse et que cela n'a rien à voir avec le fait avec le fait de ne jamais bouder un plaisir quand il se présente spontanément ou qu'il peut être expérimenté sans nécessiter le recours à des artifices ou à des complications peu économique. Concernant la romanité, ce qui m'a frappé, en dépit d'un début de l'histoire assez tumultueux et très problématique (enlèvement des Sabines), c'est un certain sens de l'économie mais cela n'est pas forcément très apparent.
Je noterai pour terminer que page 181, dans un sous chapitre intitulé Face aux désordres païens, que l'auteur nous montre Jean Chrysostome frémissant face à la cité d'Antioche encore dominée par le paganisme, grouillante de mendiants et vouée aux jeux orgiaques. Ce qui ne cadre pas du tout avec l'image sombre et très répressive du paganisme qu'il essaie de nous vendre par ailleurs.
Ce livre n'est pas inintéressant, on y découvre des pratiques oubliées et assez bizarres comme le maraîchinage vendéen et l'albergement savoyard consistant en des flirts poussés entre les jeunes des deux sexes pratiquées jadis au XIXème siècle alors que régnait à un som
Texte rewrité et complété le 20/08 : les ajouts ou modifs sont en bleu
La tenue d'un blog, est, dans certains cas une activité excessivement fatigante voire éreintante surtout lorsqu'il s'agit de traiter certains sujets délicats : religion, spiritualité, musicologie et médecines en particulier.
Rien n'est plus pénible que les procès résultant de malentendus. Cela dit je peux admettre que j'en suis en partie responsable dans la mesure où je ne prends pas la peine de développer certaines vues ou ce qu'elles sous entendent.
Néanmoins, quant il s'agit de vues en rapport avec des données eschatologiques, il faudrait peut-être ne pas prendre ce qui est dit au pied de la lettre lorsqu'il est exprimé au travers de raccourcis se voulant comiques... L'eschatologie judéo chrétienne, n'est pas si simple. Si je ne m'abuse on parle bien de l'attente de la résurrection (des corps). Que se passe t-il dans cette attente? Mon correspondant ma repris à propos du la thèse d'une invention du purgatoire. Il évoque un vague projet d'ouvrir un blog intitulé La planète des sages. Qu'attend t-il pour entreprendre cette oeuvre salutaire ? N'est ce pas manifester beaucoup de prétention ?
Cela dit le fait qu'il m'ait assommé de près d'une quarantaine de pages où il a accumulé toute sa rancoeur provient en partie du fait qu'il n'a accès à Internet que par éclipse. Ce particulier m'a rendu assez de service pour que je puisse juger opportun de l'en remercier en prenant à ma charge un abonnement internet à son domicile. Mais il n'acceptera jamais.
Enfin plutôt qu'un blog je lui conseille d'entreprendre la rédaction d'un livre sur les particularité des perspectives eschatologiques en milieu judéo chrétien comparées à ce qui est proposé ailleurs. Ce sera très utile il n'existe rien de précis. Cela dit, il faudrait qu'il daigne se plier à mon contrôle en tant que directeur de thèse au moins de façon à ce que je puisse indiquer là où telle donnée poserait problème.
De la politesse consistant à structurer son propos
J'ai donc reçu d'un lecteur la première heure, qui découvrit la revue que j'ai dirigée lors d'une vacation à la BN, un long tissu de remontrances servies en vrac sans queue ni tête. Pour commencer, je tiens pour incontournable le fait que lorsqu'on écrit à quelqu'un on se doit de structurer son propos. Je prends la peine de faire en sorte de publier des posts aussi "construits" que possible car il sont pourvus d'un "balisage" sous forme de sous titres qui sont là pour éviter des noyades.
Ce que j'ai reçu ressemble à une véritable diarrhée, et même une colique explosive de celles qui, en homéopathie se traitent par Baptisia Tinctoria. On en prend un jet dans la figure en croyant la rubrique épuisée, ça s'arrête et ça recommence, quasi indéfiniment.
Traiter de sujets d'actualité est certes scabreux
Il n'y a qu'un point sur lequel nous sommes d'accord, à savoir que traiter de sujet d'actualités est forcément "casse gueule". Tout cela va trop vite etc... Aussi dois je préciser que les remontrances en question sont datées du 2 août tandis qu'elles portent, en particulier, sur le contenu d'un post daté d'avril et effacées depuis longtemps.
Il est clair que cette pratique n'a jamais eu d'autre but que de combler provisoirement les vides des actualités en matière de "guénonisme" afin de maintenir un lien avec les lecteurs réguliers et que d'autre part, il était parfaitement clair que je n'entendais pas poser en temps que modèle de rigueur journalistique. Mon correspondant me reproche d'avoir publié une photo de Macron embrassant ou embrassé par Trump alors qu'il s'agirait d'un grossier montage. D'une part, en tant qu'ancien photographie, il serait étonnant qu'un "grossier montage" m'ait échappé et s'il y a eu montage, on s'en tape car symboliquement, il a bien résumé ce qui se passe à savoir que depuis Sarkozy, la France prend ses ordre à Washington.
Il est à noter que je n'avais pas pris garde au fait que les premières pages, complètent et justifient certains de mes propos touchant à la geste de de Gaulle, au problème algérien sans parler du rôle joué par les Anglo-Saxons et certains industriels américains dans le réarmement de l'Allemagne. J'ai du reste l'intention d'évoquer brièvement un livre récent portant sur les causes secrètes de la première guerre mondiale. Sauf qu'on ne peut pas le faire sans évoquer, la thèse d'une lutte entre deux courants sionistes contenue dans une préface proposée pour le livre et qui a été refusée, je pense, à très juste titre. Ce n'est pas que j'ai peur d'aborder cette question mais les sempiternelles polémiques autour du thèmes des "influences juives" me procure des crampes d'estomac. Je doute de la thèse de Pierre Hillard et rien que l'idée de devoir consacrer beaucoup de temps à un Atlas du mondialisme qui doit reparaître suffit à me mettre sur les rotules...
Je ne parle pas des menaces, dysfonctionnements informatiques du à Windaube, du défaut d'ergonomie de certains soft en forme d'usine à gaz, çà me tue et si j'en avais les moyens, je n'hésiterais pas à loger une balle dans la tête d'un certain Bill Gates et même de vitrifier son campus. Si on pouvait quantifier les nuisances causée par l'entreprise, il s'agirait bien d'un gigantesque "crime contre l'humanité".
Je voudrais à présent me borner à quelques remarques assez rapides.
L'auteur de ces remontrances est un abonné à qui je dois une aide considérable quant à la traduction des documents sur lesquels repose le fameux Dossier Schuon. Toutefois cette aide précieuse ne lui a pas donné le droit de me chier dessus comme il l'a fait en m'accablant du produit de ses indigestions.
Ai-je prôné une sexualité débridée ? Sûrement pas !
Ces remarques, après environ 25 pages de déjections confuses débouchent sur ce passage :
En vérité lorsque des gens reprochent un tel mépris du corps c'est plutôt au plaisir sexuel qu'ils pensent: il n'est plus tolérable qu'une instance émette des interdits sur la façon dont on entend s'envoyer en l'air; comme disait je ne sais plus qui: le principal "droit de l'homme" c'est à présent le droit à l'orgasme. C'est devenu l'horizon indépassable. D'ailleurs promouvoir une sexualité débridée est-ce respecter le corps ? Non évidemment c'est le considérer comme un gadget.
Ai-je préconisé une "sexualité débridée" et présenté l'orgasme comme un "horizon indépassable"? Pas que je sache ! Alors pourquoi me dire çà à moi si ce n'est parce qu'on serait persuadé que je serait un obsédé sexuel.
Est-ce compatible avec le bouddhisme qui est hyper draconien sur la question du sexe, du moins pour sa partie monastique. Sauf que pour le reste il laisse place à un certain pragmatisme.
J'ai adressé à l'auteur une réponse assez courte en réclamant des explications. Mais je crois que je perds mon temps à attendre une réponse qui ne viendra jamais. J'ai consacré trop de temps et d'énergie à trop temporiser. En effet, en dépit l'emploi de qualificatifs assez violents, mais qui ne s'adresse à personne en particulier, j'ai toujours essayé d'éviter les ruptures brutales. Mais là s'en est trop et je dis à ce correspondant d'aller se faire (..) voir ailleurs !
Les catholiques sont-ils des idiots ?
Il me reproche de prendre tous les catholiques pour des idiots tout en présentant la catholicisme comme n'était qu'un "organisation maffieuse". Il n'a pas compris que je critique surtout le catholicisme tel qu'il existe et non tel qu'il devrait être. Bien évidemment, s'il était conforme à la façon dont il est censé avoir été conçu, les choses seraient bien différentes. En d'autres termes, ce qu'il devrait être en fait n'existe nulle part !
Je pense qu'il existe des gens qui peuvent se dire "chrétiens" mais ils ont tendance à fuir les églises et quand ils se trouvent contraint d'y aller, ils n'ont pas voix au chapitre. Ils peuvent même n'avoir pas de religion, j'ai été formé à certaines disciplines par un agnostique que bien des catholiques auraient pu prendre pour modèle.
Le catholicisme est-il une organisation maffieuse ?
Puisqu'il faut mettre les points sur les i, et bien oui, mis à part un certain âge d'or médiéval, le catholicisme a de plus en plus tendu à ressembler à une "maffia", il y a eu les horreurs d'une certaine inquisition, le scandale du trafic des indulgences, enfin la dissimulation et la protection des "pédophiles" et j'en passe etc...
Toutefois je souligner que ce n'est pas moi qui ait parlé d'organisation "maffieuse".
Mais je n'exclus pas que ça puisse changer mais encore faudrait-il jeter dehors les éléments les plus "toxiques".
Le catholicisme "organisation toxique" assurément !
La thèse d'une organisation assez foncièrement "toxique" depuis quelques siècles n'est assurément pas discutable.
Je regrette mais en tant qu'organiste, j'ai suis aux premières loges pour savoir comment tout se passe. Toutes ces "bonnes femmes" qui n'ont rien d'autres à foutre que de constituer une "garde rapprochée" autour des curé et qui 9 fois sur 10 foutent la merde, je connais ! Certes il faut éviter les conflits ouverts et agir avec diplomatie et faire en sorte que les éléments perturbateurs se plantent en révélant eux-mêmes leurs déficiences et incompétences.
Sacro sainte "pédophilie"
A propos de cette dernière, on m'objecte que les "pédophiles" dans l’Église ont constitué une minorité. Il n'empêche que même minoritaire, cette pratique n'est nulle part plus scandaleuse que dans le christianisme en raison d'un interdit majeur, celui de l'homosexualité.
Partout ailleurs, du moins dans les cultures où le bisexualité ne fait pas ou fait moins problème c'est moins choquant. Qu'un sportif et son entraîneur puisse éprouver une attirance plus ou moins réciproque et l'assumer c'est à la fois banal et légitime si le jeune est largement pubère et a atteint un minimum d'équilibre et d'autonomie psychique. Mais que pendant tant d'année la hiérarchie ait couvert les prêtres qui ont abusé de jeunes, c'est franchement criminel dans la mesure où il y a incompatibilité et qu'ils n'ont pu que causer un trouble considérable chez leurs victimes.
Mais enfin le problème n'est pas un problème de quantité, ce qui est haïssable, ce n'est pas tant le dérapage de quelques uns (car il faudrait juger au cas par cas du caractère plus ou moins sordides de la chose) mais, je le répète, les protections dont ils ont bénéficié. Ce qui avait été caché est en train de nous sauter à la figure et si je reparle de cela c'est qu'un réseau vient encore d'être exhumé aux USA. Et quand on fait les comptes des milliers et des milliers de victimes totalisées par les différentes affaires qui furent répertoriées, on est quand même obligé de se poser la question de savoir si dans le catholicisme en particulier il n'existe pas un facteur qui a favorisé cette profusion. Mais enfin, je dois dire que de n'est pas ça qui peut m'empêcher de dormir.
Néanmoins, je me réjouis des proclamation actuelle en faveur de la "tolérance zéro".
Cela dit la hantise actuelle de "pédophile" continue de poser un problème. Il faut distinguer le cas du contexte religieux chrétien de celui d'un contexte purement laïque. Or la hantise en cause n'a rien de religieux même si la cause lointaine est un tabou du Lévitique. La notion de "pédophilie" ne demande qu'à s'étendre jusqu'à l'âge de la majorité politique (18 ans chez nous) et même au delà. On doit se poser la question de savoir comment quelque chose qui est à présenté jugé innocent voir bon ou excellent chez des adultes serait problématique chez des mineurs largement pubères ? Si l'on fait bien les comptes le caractère éventuellement excitant de la chose n'implique guère qu'un risque (en plus des MST) celui de trouver ça trop bon au point de ne pas préparer son avenir avec, à terme, le risque de terminer comme clodo...
Cela dit, j'ai fait ma vie, j'ai eu pas mal d'aventure "homos". Ce n'est point que j'éprouve du remords mais passé un certain âge, on a d'autres priorités que la recherche forcément assez dérisoire d'orgasmes. J'ai arrêté les frais voici une trentaine d'années et je ne suis pas frustré, et quand l'énergie vient à tendre à s'épuiser on a dautres soucis que de "baiser. A savoir par exemple de pratiquer une hygiène de vie suffisante pour éviter ou limiter les effets du naufrage que constitue la vieillesse.
Hanté par le personnage de Michel Onfray
J'ai noté dans ces remontrances, la persistance d'une hantise à propos de l'incontournable Michel Onfray. A ce propos, il suffit de se reporter à ma recension de son dernier livre, Décadence, pour s'apercevoir que ce n'est pas mon idole. J'ai déclaré que je n'était pas sûr de parvenir à tout lire et effectivement je n'ai fait que survoler cet ouvrage. De cet auteur, je préfère, son dynamitage du personnage de Freud.
Mon contradicteur, est tellement pris par sa défense de l'apôtre Paul, qu'il s'est complètement planté et n'a pas lu attentivement le court reportage que j'ai fait d'un sermon d'un curé qui est mon "patron" en ma qualité d'organiste. Cette homélie évoquait le prêche de Paul à Athènes. Le sujet s'était le constat d'une différence de perspective découlant d'une confrontation du contenu de la philosophie grecque avec le concept de résurrection. L'abonné fidèle dont je parle s'est focalisé sur la réaction des Grecs, or le prêtre en question ayant mis l'accent sur les lazzis, je rappelle que ce n'était pas le problème...
Le problème des "raccourcis" humoristiques
A propos d'une réflexion humoristique en lien avec les ressuscités (en chair et en os) du style où va t-on mettre tout ce beau monde ? mon censeur essaie d'insinuer que j'aurais de la chair biblique une conception trop, je cite, viandesque...
En attendant, quand on parle de "résurrection des corps" et que l'on sait que Jésus est apparu en chair et en os à ses disciples, il me semble difficile d'escamoter une modalité "viandesque". Mais mon censeur prétend que Jésus aurait seulement montré et non fait toucher ses plaies quoique qu'il y aurait une exception. Enfin l'organiste attentif que je suis a bien entendu, à l'époque de l'ascension son patron insister sur le fait qu'il ne se serait pas agi d'un fantôme (sic) de Jésus. En définitive, je ne crois rien, je me pose des questions sauf que ces questions ne vont pas jusqu'à troubler mon sommeil. J'ai reçu une éducation chrétienne très correcte et je n'ai pas d'efforts spéciaux à faire pour appliquer les règles basiques de l'éthique qu'elle suppose...
Les limites de la vision "créationniste"
Il n'a pas saisi que derrière la question apparente, il s'en profilai d'autres plus subtiles... A savoir que la vision créationniste des "monothéismes", et du "plan divin" qui l'accompagne est trop marqué du sceau d'un antropomorphisme assez dérisoire pour n'être pas problématique. Le problème est que cette fameuse résurrection même sous une forme subtile (formelle mais invisible) ne résout rien. En effet, s'il se trouve que le problème de l'espace disponible s'en trouve escamoté, on se heurte à une autre difficulté : à quoi rime cette fixation sous une forme purement individuelle ? Du côté oriental, on échappe aux paradis par le haut. Mais enfin si le contenu des paradis peut être figurer par un orgasme infini non sexuel, il n'y aurait pas lieu de s'en plaindre.
Mais enfin chaque religion se projette dans l'au-delà en fonction des particularités de la culture qui les incarne. Amour platonique non sexuel chez les chrétiens, lupanar bisexuel chez les musulmans, paradis d'éternels étudiants dans le bouddhisme sans risque d'être perturbé par la présence de "dindes" plus ou moins hystériques.
Remarque occasionnelle sur la thèse d'une "tradition primordiale"
Quand à la thèse d'une "tradition primordiale", c'est une vue de l'esprit très abstraite et même très ingénieuse de Guénon mais il n'en fourni aucune preuve. Ce dernier part de l'(idée d'un prototype parfait qui subit divers dégradations qu'il nous présente comme des "adaptations" tandis que la comparaison grossière mais parlante que je viens de camper à propos de trois modèles paradisiaques militerait plutôt en faveur de la thèse de religions comme étant des création spontanée de cultures différenciées.
Je serais tenté de dire que l'idée d'un plan divin bien à la mode de chez nous, aurait de défaut de ne pas prendre en compte le pourquoi des dinosaures. Ce serait ridicule de demander si eux aussi vont ressusciter car le problème a été réglé : ne peuvent ressusciter que des créatures ayant occupé un "état central". Il est à craindre que la plupart des gens qui me lisent doivent être un peu bouchés pour n'avoir pas compris où je voulais en venir.
Je suis étonné que l'on ne m'ait pas encore dit que je raisonnerais à la façon des dévots de l'Union rationnaliste... Quoiqu'il en soit vous pouvez constater que ce n'est pas le cas !
La thèse d'une hybris
Peut-être que René Guénon a été atteint d'une forme d'hybris quand il a revendiqué une sorte de mission de source au demeurant fort mystérieuse en montrant le tableau de la crémation d'un brahmane et en suggérant qu'il aurait eu un lien avec le personnage ou du moins sa fonction. La chose ne pouvant être que supposée dans une "vie antérieure". Or pour quelqu'un qui niait la réincarnation, ç a la fout mal !
J'en viens pour finir à une accusation grave mais assez risible : il vient donc de m'être reproché un comportement qui relèverait d'une hybris. Il fallait oser ! D'une certaine manière, c'est une autre façon d'insinuer que je serais un dangereux "contre-initié". Bien évidemment, on n'en serait pas arrivé là si l'on ne s'était pas borné à une lecture très littéraliste de mes propos. J'ai certes été trop expéditif mais je crains qu'il existe des éléments de réflexion qui échappent plus ou moins à toute formulation efficace.
Soupçon de "récupération"
Je vois pour finir que celui qui m'avait porté aux nues comme novateur en tant que critique de Guénon, ne m'a apprécié que parce que je lui ai fourni un peu de "matos" pour dézinguer Guénon. Présentement, à l'entendre il n'a jamais investi dans Guénon, a toujours su que c'est de la foutaise, sa connaissance intime de son catholicisme l'ayant dispensé de toute errances. Il se compare à un dominicain qui lui aurait déclaré que les livres de Guénon avaient tendance à lui tomber des mains.
Je résume bien évidemment. En fait c'est un mensonge, celui dont je parle a suivi grosso modo le même parcours que moi. Plus ou moins échaudé par les limites de notre "monothéisme" local, il a cherché à l'élargir avant de mesurer l'ampleur des limites et insuffisances de Guénon. Ou même il y sera venu par suite d'une désillusion.
Mon censeur semble avoir rejoint le camp de mes ennemis
Enfin, pour oser insinuer que je serais partisan d'une "sexualité débridée" en s'imaginant que l'attrait d'orgasmes puisse encore me faire courir, il faut avoir chuté brutalement ou être resté au niveau de ces schuoniens ou anciens schuoniens et autres semis ou purs guénonolâtres qui auraient aimé pouvoir me faire la peau !
Si tant est que j'aurais eu tort de prétendre que le christianisme tel qu'il est assez généralement vécu tant à se solder par un "mépris du corps", il est évident que c'est faire preuve d'un véritable dualisme que de me prêter le dessin de justifier ce dont on vient de parler. Cette façon de réagir signifierait qu'il n'y aurait pas de place pour un "juste milieu". Enfin si la réflexion est valide à l'égard d'une majorité de contemporains pourquoi me balancer ça à la figure. Enfin je ne suis tout de même pas assez stupide pour pourvoir l'ignorer.
De l'art de carrément "flinguer" la thèse que l'on veut défendre
Soit dit en passant vouloir prouver que le christianisme serait étranger à tout "mépris du corps" en soulignant que la caractéristique de cette religion, c'est le "mystère de l'Incarnation" impliquant que le "fils de Dieu" ait accepté de naître d'une femme revient à flinguer sa propre démonstration.
Oui Jésus est bien né de Marie, sauf que c'est supposé être arrivé sans le concours d'une relation sexuelle avec un homme. Supposition qui implique une méfiance et même une répulsion pour certaine modalités charnelle. Certes toute religion à tendance à ménager certaines règles de pureté rituelle car la sexualité constitue bien une pente terriblement glissante.
En fait, il suffisait de se référer à l'exemple même de Jésus, qui en dehors de pratique de jeûne, n'a pas jugé impur d'admettre des femmes comme interlocutrices ou disciples. Et on se fout de savoir s'il à coucher avec une certaine Marie Madeleine, et on peut seulement dire que c'est hautement improbable.
Il y a, dans la remontrance évoquée, des remarques récurrentes qui montre surtout que mon correspondant est allergique à cette liberté d'expression qui se traduit notamment par l'apparition d'un déluge de blogs.
Tout cela est lassant et même très épuisant mais je n'en mourrai pas ! Enfin on ne s’étonnera pas que j'aspire à prolonger la période des vacances. Quoiqu'il en soit, je viens de démontrer que s'il est légitime de douter des prétentions de Guénon et surtout de la pertinence de certaines de ses thèmes et s'il est manifeste qu'il a traité le christianisme par dessus la jambe, il est clair que mon fidèle lecteur de la première heure s'avère avoir la cervelle complètement phagocytée par une certaine "propagande" qui m'est totalement inintelligible.
Je pense que nous n'avons plus rien à dire et je prie ce lecteur de me ficher la paix ! Il ne peut plus
Il y a des thèses et des prises de position fort discutables chez Guénon, un certain JRL, dont les remontrances sont l'objet ici de plusieurs posts, m'a communiqué assez souvent des remarques critiques assez intéressantes. J'avais proposé à l'intéressé de les classer par thème de façon à ce qu'on puisse les exploiter en les évoquant de façon méthodique. Vu la difficulté, depuis la clôture du Dossier Schuon, a entretenir des relations épistolaires régulières, ces remarques se sont perdues.
Je n'exposerai que la dernière des remarques afin d'équilibrer le négatif par un peu de positif et je voudrais simplement avoir l'occasion de souligner que je suis conscient de devoir une partie de mon équilibre et de ma solidité intellectuelle à l'auteur dont on parle. Il n'est donc pas question de se risquer à donner l'impression de vouloir casser du sucre sur son dos. Ce sont ceux qui se revendiquent plus ou moins de son patronage qui sont assez franchement problématiques et même détestables.
C'est un certain JRL qui parle, cet ex correspondant de longue date :
Je pense aussi à une exégèse vraiment bizarre de RG sur les 6 jours de la Genèse: selon lui la mention scandée du "soir" et du "matin" relèverait , le "soir" étant mentionné en premier, de quelque héritage...atlantéen. L'Atlantide étant en "occident" on l'aura compris. Pourtant l’exégèse traditionnelle est bien plus profonde (cf Augustin ou Eckart entre autres): le "soir" symbolise alors la connaissance que les substances séparées (angéliques) ont du créé en tant que conditionné par son état propre, et le "matin" celle du créé dans le Verbe prototypique. Mais bon c'est moins excitant pour ceux qui sont addict aux mystères de l'Atlantide c'est certain (JRL)
Il est clair que Guénon a proféré une belle "connerie"... Cela dit l'interprétation traditionnelle rapporté par mon ex admirateur me passe complètement au dessus de la tête. Sans doute me faut-il admettre que je suis un peu "mongol".
D'autre part, Guénon, dans sa correspondance, se serait livré à des supputations sur "la vie cachée de Jésus". Je n'avais pas remarqué mais je suis sûr qu'il ne s'est pas soucié d'attribuer à Jésus une femme... On me reproche des citations tronquée tandis que là il s'agit d'allusions assez perfides et en réalités desaffirmations qu'il faudrait commencer par documenter.
Palchine est compétent sur bien d'autres sujets, les médecines alternatives, la musicologie ou autres, mais ça n'implique pas qu'on a la science infuse parce qu'on est compétent par ailleurs. C'est la fable du chinois de première force au jeu de go, qui croyait qu'il était supérieur par là à tout le monde.
Je note qu'un certain JRL étant totalement ignorant dans les domaines indiqués, je me demande comme il peut m'accorder un brevet de compétence.
Cela ma fait penser à la façon dont on rabroue les femmes quand elles veulent s'immiscer dans des débats masculins : sois belle et tait toi ! Mon érudition nécessairement limitée tenant lieu d'ornement.
D'autre part je ne prétends pas à la possession d'une "science infuse".
Pour le christianisme, Palchine n'est pas assez au courant; je me souviens par exemple qu'il ignorait le sens de la formule "le Fils de l'Homme"; il pensait que ça voulait simplement dire "le fils d'untel". Or ce terme a deux acceptions dans l'A.T : 1) l'homme dans sa condition précaire en gros et 2) il s'agit d'une figure eschatologique messianique (cf Daniel, psaumes, Ezechiel).
Je n'ai pas pu dire une telle chose : fils de Untel n'aurait pu être rendu que par fils d'un homme dépourvu de majuscule. Or cette dernière crève les yeux : pas d'autre solution que de traduire par Fils de l'Humanité. Là encore l'interprétation traditionnelle m'est inintelligible. Fils de Dieu et Fils de l'Humanité sont, en raison de la thèse d'un "Mystère de l'Incarnation", deux figures parfaitement contradictoire. Mais enfin cela a l'avantage de nous prouver que le christianisme est décidément une religion très très (...) ésotérique !
En réalité, çà désigne un fils d'Adam au statut très particulier, un point c'est tout !
Il est 15 heures, j'ai un RV dans deux heures. Je dois me montrer synthétique, je note du reste que de nombreuses pages des remontrances d'un lecteur dont j'extrais ce qui suit ne sont référées à aucune citation. mais j'ai bien parlé de Vatican II en public ou en privé. C'est le cas de ce qui va suivre :
Autre exemple sur Vatican II: non ce concile n'a en rien été, comme le dit Palchine, une catastrophe. Du reste qui a lu tous les textes de ce concile ? Si l'Eglise a été diminuée depuis, c'est dans le contexte global d'une crise des "vocations" tous azimuts touchant la société en d'autres domaines et d'une crise de la paternité générale. Le concile en lui-même n'y est pour rien; liturgiquement il y a eu des abus, non instillés d'ailleurs par le concile, mais par des débordements incontrôlés (voir le témoignage d'un Louis Bouyer).
En matière de liturgie, ce concile était bien conçu pour favoriser pire que des abus, savoir une véritable décadence. Il n'aurait jamais fallu admettre la possibilité d'une adoption des langues vernaculaires pour l'ordinaire de la messe. Si en tant qu'organiste j'étais amené à passer une frontière pour officier, je serais complètement perdu, il me faudrait un interprète pour intervenir à bon escient.
La liturgie selon les textes du concile n'a pas été celle appliquée: il y a eu débordement, dû à l'atmosphère de l'époque, sur les textes conciliaires.
Encore une fois c'était à prévoir compte tenu de l'atmosphère de l'époque. Il n'était nul besoin de l'assistance du Saint Esprit pour prévoir ce qui allait arriver. Après les "gélinoteries" on a vu pire...
D'autre part la liturgie n'a cessé d'évoluer au fil des temps: création de la Pâque annuelle au IIème siècle, de Noël au IV je crois; on s'offusque de la réduction de l'offertoire dans tel canon, mais dans la messe dominicaine l'offertoire était quasi absent. Les exemples abondent de ces modifications qui ne touchent pas à l'essentiel.
Certes, certes mais je parle de la partie musique : qui en dehors des deux hymnes comme le Veni creator et l'Ave Maris Stella connaît encore les grands hymnes, leur signification et leur usage. Mercredi dernier, j'ai eu recours à des variations de Frescobaldi et Fasola sur le dernier cité. Une sacristine qui avait ce jour là un compte à régler avec moi pour une raison qu'elle n'a pas dite m'a reproché de jouer trop fort (sur le bourdon et la montre, elle doit souffrir d'hyperacousie à éclipse) des pièces où on n'y comprend rien. Bien sûr qu'il n'est pas aisé de reconnaître un thème oublié
Le seul problème c'est l'épidémie charismatique, pas mal endiguée depuis; cependant ce genre de courant existe aussi dans l'orthodoxie, mais on n'en parle pas.
J'en sais quelque chose en tant qu'organiste car si j'exerce dans une "paroisse de poche" (sic) j'ai suivi de nombreux stages d'harmonie au clavier dans des cathédrales, notamment à Aix, dans des temples protestants et j'ai des échanges privilégiés avec de nombreux collègues en poste dans des paroisse citadines. Tous s'arrachent les cheveux.
L'état du catholicisme en général, quantitativement c'est plutôt brillant, Europe de l'ouest à part, mais cette fraction du monde est l'objet d'une crise globale de toute forme d'engagement à long terme, comme le note Jean-Luc Marion, dans tous les domaines, comme je viens de le dire. En France ? la nef prend l'eau de toute part , c'est exact; nous sommes passés d'un athéisme raisonné à un indifférentisme amorphe qui ne se donne plus la peine d'argumenter.
Il existe des causes antérieures à Vatican II et un climat particulier à la France mais il est bien clair que le concile a constitué une circonstance aggravante indéniable. Cela dit j'ai lu et étudié les 16 constitutions et le concile a fait naître un "intégrisme bien particulier" et je ne suis pas sans savoir que Mgr Lefebvre avait tout avaler sauf le décret sur la liberté religieuse. Comprenne qui pourra. Je crains que laisser entendre que sur ce point je n'y connais rien soit un peu fort de café.
L'avenir en terme quantitatif catho est africain, asiatique, sud-américain. Mais qui peut présager de sa situation européenne ou en juger: je ne vois pas qui peut prétendre évaluer le niveau du catholicisme subsistant ex cathedra, à partir des faiblesses de sa paroisse ou d'éléments circonscrits.
On a le droit de croire à un miracle à base de métanoïa. S'il devait se produire, il devra être précédé d'un changement d'attitude à l'égard des organistes. A mon avis ça ne risque pas d'arriver, il n'y a pas que dans ma "paroisse de poche" que les choses vont mal. On doit pouvoir compter sur les doigts d'une main les paroisses où la liturgie ressemble à quelque chose. Sur ce point, on pourrait demander l'avis d'un ami avec qui j'ai travaillé il y a 30 ans, cette "pointure internationale" a bien voulu endosser le costume de "suppléant" dimanche dernier. Il est bien le parrain d'une cloche de Notre Dame de Paris.
Quant des paroisses françaises ont des prêtres qui "en veulent", des pugnaces, ça repart question baptême et fréquentation.
Oui certes, mon précédant patron, qui faisait de la propagande contre le "mariage pour tous" en attifant les jeunes brancardiers chargé de porter une certaine Sainte Marguerite a attiré du monde. L'Eglise était quasiment plaine et l'audience a chute à une misère 20 à trente personnes en comptant les nourrissons avec l'arrivé d'un polonais. Cela dit les femmes étaient folles de ce jeune curé ! Un maire des environ s'est même plein qu'il lui aurait soufflé une dame dont il s'était entiché. En réalité, je suis pratiquement seul à avoir découvert son homosexualité, par l'astrologie d'une part et par la confirmation d'un ami bouddhiste qui a connu ce futur prêtre que ses fans du salon beige voyait déjà pape.
En réalité c'est raté, il aurait fait un burn out et a du subir une cure de désintoxication, non parce la tâche était épuisante mais tout simplement parce qu'il est assez mal dans sa peau.
Ce que je veux dire c'est que pour avoir vu la fréquentation chuter quasiment d'un dimanche à l'autre après le départ du curé dépressif, il fallait bien que sa "pugnacité" n'ait pu produire qu'un résultat artificiel. Cela dit il existe bien des conversions de musulmans et ça me semble plus solide...
On va s'arrêter là, non seulement mon RV est à 10 kilomètres mais quand à échapper au risque d'un tsunami islamique, il faudrait peut être que la société civile commence par s'efforcer de clouer le bec de cette extrême gauche quand elle s'emploie à promouvoir une qualification à base d'islamophobie pour tenter de museler les gens que entendent sauvegarder notre civilisation qu'elle soit ou non "chrétienne".
Les religions : des "boîtes de conserve" à des degrés divers
Les religions sont comme des boîtes de conserve qui tendent à enfermer les gens. Il faut en faire éclater le couvercle sans pour autant avoir envie de sauter sur tout ce qui bouge ou faire les 400 coups. La libération fut-elle relative, c'est d'abord dans la tête que ça se passe.
J'ai une fois de plus la preuve que vouloir échanger entre pratiquants de perspectives différentes est une perte de temps et d'énergie. Et pas seulement avec les musulmans. Cependant je n'ai jamais voulu dire que mon correspondant serait "exclusiviste" comme il me le reproche. Il s'est intéressé sérieusement à l'hindouisme et au bouddhisme. Mais il n'empêche que le fait de penser que le Christ est la parole définitive de Dieu, et en effet l'unique médiateur. A mes yeux toute parole de sagesse vient de Dieu d'où qu'elle sorte.
Enfin, l'intéressé me rebat les oreilles avec l'invention par le christianisme de la notion de personne. Le problème c'est que dans les monothéismes, on se heurte à la thèse de types de personnes intrinsèquement mauvaises ne m'ont pas donné d'explications satisfaisante de ma "personne", or elle n'a rien de criminel. Enfin la démagogie aidant on a essaie de leur redorer un peu la pilule en évoquant un désordre intrinsèque. désolé, certaines religions font des complications de presque tout.
Dans un autre passage , l'auteur, se félicite de l'existence d'un Jésus empêcheur de tourner en rond. Quelle rigolade : ce sont bien les religieux qui excellente à faire tourner les gens en rond. Il faut rappeler l'histoire de la femme adultère.
C'est illisible en français par traduction automatique mais il ressort clairement que ce qu'elle raconte de sa vie n'a ni queue ni tête. On a peine à suivre ses pérégrinations, au travers de l'Europe. Maude Murray semble avoir vécu en France et tout laisse en penser qu'elle comprend cette langue. Je l'ai donc abonné au blog afin qu'elle soit informée de cet écho.
Elle raconte sa vie de façon assez cahotique et produit un email d'un tiers au sujet de la fameuse Madeleine qui a tant occupé l'esprit de Schuon. Je suis sans doute le "guénonien" qui aura été le mieux informé au sujet de l'identité de cette femme et du milieu social dans lequel elle a évolué. Sedgwick s'y est intéressé vainement et je me rappelle d'un mail de sa part voulant me tirer les vers du nez. Je me souviens d'avoir publié tout ce que je savais, sans doute dans l'ancienne version du blog aujourd'hui disparue suite à des manœuvres dont on devine le ou les auteurs. Le blog était encore sous le régime de la gratuité et en l'absence de contrat, les éditeurs ne font pas de quartier. Je ne retrouve rien à ce sujet.
Le "dieu hasard" comme facteurs de connexions (...) assez providentielles
C'est à Karma Ling, lors d'un stage, que j'ai eu les premiers éclaircissements à propos de l'aventure amoureuse de Schuon. Ma cellule était proche de celle d'une femme venue avec son fils, un gosse dans les 12 ans. Il s'ennuyait et il m'a littéralement "dragué", je l'ai laissé faire pour commencer histoire de savoir où il voulait en venir. Il avait visiblement besoin d'une affection masculine, il a commencé par me convier à une promenade dans les bois pour jouer les "amoureux"... Quand j'ai su de quoi il retournait, j'y ai mis le hola en lui disant que l'on pouvait être copains sans ça...
Le jeu commençait, le soir, à tourner à un "harcèlement" un peu trop voyant. . Donc je me suis tourné vers la mère, ma voisine en lui disant : qu'est-ce qui ce passe ? Votre fils il a un problème, on dirait qu'il n'a pas de père ou qu'il se cherche un grand frère et qu'il est près à suivre le premier adulte susceptible d'être trouvé sympathique mais je suis très gêné car son manège pourrait être mal interprété etc...
Elle m'a donc confirmé ma thèse d'un déficit d'affection masculine, le père était absent, sans s'émouvoir de la spontanéité du gosse et c'est ainsi que nous avons fait connaissance. Lui ayant dit que j'étais revenu à la nécessité d'avoir une religion par la lecture de René Guénon, éventuellement de Schuon et Cie, c'est là qu'elle m'a raconté toute l'histoire de Madeleine. Si j'ai bonne mémoire c'est son oncle qui s'était opposé au mariage et j'ai su qu'elle faisait partie d'une famille d'antiquaires. Par la suite, longtemps après, j'ai trouvé les noms et le cadre. N'étant pas indiscret, je n'ai pas questionné, à quoi bon ! Je note simplement que lorsqu'on a besoin de savoir quelque chose, le hasard se montre très ingénieux quant à établir les connexions nécessaires.
Je précise pour ceux qui auraient l'esprit mal tourné que certes j'adore les enfants, j'aime les regarder jouer de loin, c'est rafraichissant mais je suis comme je vis en ermite, quand ils m'adressent la parole, j'ai du mal trouver les mots pour leur répondre. Sauf que les villages ayant un côté grande famille, ma maladresse tend à s'arranger sauf que j'ai conscience d'un immense fossé culturel entre votre serviteur et le monde des ados contemporains.
Décidément, il y a dans les madeleines un élément assez perturbateur. Il y a celles de régurgitations enfantines de Proust vieillissant, il y a celle d'un certain Jésus avec laquelle il est censé avoir été "pacsé" et enfin celle de Schuon. La fréquence des actrices nommées Madeleine et me mystère autour de la figure de Marie de Magdala comme origine du prénom semble témoigne d'un potentiel ambigu, voir assez toxique...
Le mail visé plus haut est intéressant en ce qu'il démonte à quel point Schuon a été perturbé par sa Madeleine au point d'imposer à sa tariquah naissante des pratiques auspicieuses en vue de la réussite de son projet matrimonial. Il me semble que c'est nouveau...
L'omission de Mark Koslow
On a reproché à Maude Murray, d'avoir, dans l'espèce de confession qu'elle nous livre, omis son aventure avec Mark Koslow par laquelle le scandale est arrivé et elle a fait preuve d'honnêteté en ne faisant pas disparaître le commentaire à ce sujet. Peut-être qu'elle ne sait pas comment procéder car j'ai cru comprendre qu'on lui reproche également d'avoir apposé un lien vers la version 2011 de mon "Dossier Schuon". Seulement cette version n'est que la dernière synthèse et elle figure sur archive.org qui pour des questions de copyright a viré le plus important. Mais à présent tout le monde sait où trouver la totalité de la documentation existante sur le sujet.
Quel est la finalité de ce blog ?
Célébrer Schuon comme
Enfin de compte, je me demande ce que veut démontrer Maude Murray. Elle à aspiré à se justifier, c'est assez clair mais de quoi, comment et à quel titre ? Il m'est impossible de parvenir à comprendre où elle veut en venir exactement. Sauf que le titre indique qu'elle n'est pas encore revenue de son aventure et que probablement elle n'en reviendra jamais.
Frithjof Schuon: Un mystère dans le génie spirituel et le caractère
Comme elle donne une adresse pour correspondre, je vais l'abonner pour qu'elle sache que je viens de parler d'elle. Ce faisant je l'invite à user de son droit de réponse, si elle le désire, en français de préférence.
Avant d'aller plus loin, si mes propos risquent de vous raser, personne ne vous retient ! Ne soyez pas masochistes !
J'ai fait allusion, à plusieurs reprises, à un placard de remontrances mal ficelées d'une quarantaine de pages. Je m'excuse d'avoir encore à chantourner (sic) quelques petites vacheries pour essayer de faire circuler un peu d'air frais afin d'alléger cette "canicule spirituelle" par laquelle on aura voulu me couper le sifflet. Notez qu'il s'agit de clore un certain débat. Il y a manifestement encore des gens qui ne comprennent pas que la culture d'une certaine dérision est incompatible avec la thèse d'une hybris. cette blague on ne me l'avait pas encore faite.
Dernier acte d'un échange aigre-doux
Je viens donc de recevoir deux réponses à mes contre-remarques dont je vous donne des extraits assez courts. A la fin d'un long mail de régurgitation au sujet de l'Apôtre Paul, avec qui j'ai correspondu m'écrit ceci :
Ce que je crains pour vous c'est qu'il semble que vous vous soyiez toujours querellé avec tout le monde au bout d'un moment et que pour vous se soit toujours "la faute aux autres". Trait de caractère qui remonte sans doute à l'enfance et comme je l'ai dit à cette mentalité particulière des générations baby boomesques !
Écrivant ceci : Je tiens à vous faire observer que si mes opinions sont bien sûr discutables comme toute espèce d'opinions, je respecte mes lecteurs en faisant l'effort de structurer et de baliser mes textes ! Et bien cette sorte de politesse, vous me la deviez également, en retour. A moins que le but unique ait été de vous "lâcher" et surtout de me blesser.
Ce à quoi il m'était répondu : Impossible car je n'ai pas le temps de lire ce blog ni d'y relever les points contestables.
Il s'est attiré la réponse suivante :
Je vous trouve très contradictoire. Vous n'avez pas le temps de lire mais vous trouvez celui de balancer en vrac en mélangeant tout. Les pannes d'ordi (évoquées ailleurs) ont bon dos !
Merci pour la "psycho" de bas étage sur la parano et le besoin de se quereller avec tout le monde.
Voici, venant de ce valeureux chrétien un diagnostic témoignant de son incomparable discernement spirituel :
Vous faites un petit délire parano. Mon ordi avait planté et j'ai du attendre avant de poster ce mail , ensuite j'avais autre chose à faire voilà tout. Bon sang je me fiche de votre blog, vos opinions et cie. Dernièrement vous avez publié pas mal de sottises et c'était vs rendre service de le faire remarquer. Vous avez eu du mérite s'agissant de la critique de certains gusses des milieux guénoniens et sur le dossier Schuon, c'est déjà bien . Même si à mon avis le dossier Schuon a des défauts.
Le "Dossier Schuon" a certes des défauts, l'enquête s'est étalée sur 25 ans, la masse d'informations est volumineuse, j'ai du m'y reprendre en 36 fois, j'ai fait le maximum pour synthétiser dans la version 2011. Celui qui me reproche des "défauts" a eu tout le loisir de m'indiquer comment les éviter. Je me rappelle qu'il s'était entiché d'une thèse à base de "contre initiation" et que je me suis tué à lui faire admettre que démontrer le côté carnaval, la parodie, l'hybris et le mélange des formes était suffisant, que dans cette histoire il n'y a pas à proprement parler de "pédophilie". Si défaut il y a soit et c'était inévitable, qu'il daigne prendre sa part de responsabilité.
Dans le dernier mail j'ai répondu ceci à propos des jugement psychiatrique de ce traducteur et conseiller bénévole :
A propos des lieux communs de vos "psychotages" venimeux, vous devriez faire un stage de formation rapide et vous mettre psychothérapeute, je pense que ça gagnerait plus que d'essayer de vendre vos lavis colorés quoique c'est peut-être ce que vous auriez fait de mieux. Vous possédez un réel talent et je regrette de ne pouvoir vous aider dans la promotion que vous mériteriez et le fait d'avoir à galérer comme un malade pour survivre n'aide pas à l'objectivité. Enfin ce n'est pas mon problème. Je vous souhaite bon vent ! Il y a bien longtemps que nous n'avions plus rien à nous dire.
A propos de oeuvres artistiques de mon ex correspondant, je signale à ceux qui aurait l'occasion durant ces vacances de longer la Côte d'Usure, qu'une expo serait en cours du côté de Fréjus. Si vous tombez dessus vous la reconnaîtrez aisément, il s'agit d'une collection de portraits constitué de lavis de plusieurs couleur par un coloriste de grand talent. Si vous souhaitez faire faire votre portrait ou ceux de vos enfants ayez la bonté de convenir d'un prix décent, il mérite d'être aidé et soutenu car il n'est pas du tout agréable d'être un "assisté" dans les circonstances actuelles. J'aurais pu obtenir le mien mais je ne suis pas narcissique et comme Guénon je me débrouille pour échapper aux éventuelles séances de photos. C'est que sans être spécialement parano, bien au contraire, je crois à l'existence de la "magie noire".
Je disais également dans ce même mail :
En fait ce que j'ai publié ne vous a intéressé que dans la mesure où vous y avez puisé de quoi démonter Guénon et Cie. Vous êtes censé avoir tout compris en ce qui le concerne avant que je n'en parle et réalisé que c'était un charlatan et à la limite vous n'aviez besoin de moi que pour trouver des formules percutantes pour cristalliser ce que vous auriez pressenti.
A d'autres ! vous êtes comme tout le monde : vous avez espérer trouvé un élargissement en Guénon mais vous avez fini par être déçu. Cela vous a incité à approfondir le christianisme mais vous ne vous rendez pas compte à quel point ce que vous rapportez de la part de certaines figures (Augustin en particulier) est complètement inintelligible. Je crois avoir cité des exemples.
Mon correspondant a donc vivement réagi quand je l'ai traité de menteur. Je l'aurais insulté. C'est la vérité ou plutôt la réalité qui est insultante, pas moi.
Enfin dans tout ça vous n'avez pas pris le moindre risque. Bien sûr vous avez mieux à faire. Vous êtes un artiste, vous avez des expos à préparer, vous avez votre vie spirituelle etc... Vous me balancez d'un seul coup d'un seul un déluge de critiques mal ficelées
La critique est facile mais l'art est difficile.
Diagnostic de Palchine en tant que médecin de service
La prochaine fois que vous serez affronté à des problèmes digestifs, prenez ou de l'argile ou mieux du charbon actif, ça s'achète au kilo dans les labos d'oenologie. 3 cuillères à soupe à diluer dans un pot à vis contenant de l'eau, fermer, agiter, boire avec une paille chaque soir à 4 heures du dernier repas ou prises médicamenteuses deux ou trois jours de suite. A répéter par petites cures. Çà c'est pour la désintoxication intestinale, pour la digestion proprement dire je peux vous indiquer d'excellents remèdes pour le foie.
Absence totale d'humour
Réponse de JRL : OK bravo ça vole haut ! quand on raconte des sornettes il faut s'attendre à se voir contredit. Après on reconnaît ses erreurs ou pas et on dialogue, normalement....!
Sauf que je ne vois pas comment discuter avec quelqu'un qui n'est pas foutu de me tenir un discours structuré et qui me noie sous 40 pages, surtout quand de toutes façons il objecte n'avoir pas le temps de discuter.
Conflit générationnel ?
Mon opinion est que vous êtes au fond bien de votre génération; une génération assez gâtée et qui a développé une certaine arrogance et une tendance à jouer les "voitoussétou" et à ne pas supporter la contradiction.
On va en rester là j'ai autre chose à faire que de perdre du temps avec des gugusses acariâtres.
Moi acariâtre ? Mon humour est certes grinçant mais il se cache derrière un immense éclat de rire !
Oui M. JRL doit avoir une vingtaine ou une trentaine d'année de moins que votre serviteur qui en a 71. Il vit dans une ville en partie colonisée par des retraités qui ont bénéficié des Trente glorieuses et il crève la faim. Mais je ne vois pas ce que j'ai de commun avec les horribles bourgeois et "bobos" qu'il souhaiterait noyer dans un port voisin. J'ai été logé à la même enseigne, il m'a fallu attendre de liquider une modeste retraite et d'hériter de ma mère pour gagner un peu d'aisance. Qu'est-ce que c'est que cette crise ?
Menace d'atomisation (sic)
Ne vous plaignez pas : si j'étais le genre d'ordure que vous décrivez d'un style chantourné j'aurai eu d'autres moyens de vous atomiser via internet si j'avais voulu. Mais comme je n'ai rien de perso contre vous et que j'ai une éthique ( qui comprend la politesse) c'est absolument exclu.
Délire de persécution ?
En plus je lis entre les lignes que je souffrirai d'un délire de la persécution ! Et puis quoi encore ! Notez en passant qu'un sinistre crétin de "psys" a voulu me coller une étiquette en tant qu'hébéphrène catatonique ! Moi, catatonique ? Ce devait eêtre une plaisanterie mais non pas du tout. Enfin et à l'évidence je suis tout ce qu'on voudra sauf "catatonique" ! Cela dit je ne suis pas du tout schizophrène mais pour cela il fallait trouver le moyen de sortir des griffes du catholicisme.
Cette saillie comporte une allusion au fait que la teneur de certains jugements psychologiques de la part de JRL m'ont simplement fait penser à ceux des "Isik" et Cie, à savoir des "ordures" qui ont eu recours à la thèse d'une sorte d'hystérie homosexuelle pour me diffamer. Mon correspondant n'a pas osé aller jusque là mais je le soupçonne fortement d'avoir adhéré à ce genre de thèse en son for intérieur. Le cas échéant cela m'est complètement égal ! Je sais ce que je fais et j'ai du être configuré pour survivre à ce genre de tentative d'empoisonnement à répétition sinon je serais crevé depuis longtemps.
Conclusion : le catholicisme est devenu hyper toxique et c'est INDISCUTABLE !
Je maintiens ma thèse, à savoir que les monothéismes (ou monolatries, comme on voudra !) ont toujours tendu à faire des tas d'histoires de la sexualité et en particulier de ce qu'on appelle "homosexualité" (concept qui ne date que de 1869) et à tout pourri !
Au sein du christianisme, le catholicisme a battu tous les records en ce qui concerne la création de conditions particulières qui ont aboutit tant chez les "hétéros" que "les gens d'en face" à un état ambiant de véritable névrose, un phénomène aujourd'hui relayé et amplifier par la société civile héritière des tabous religieux au travers d'un certain développement de la médecine légale. Et sous couvert d'une prétendue libération. Aucun citoyen n'échappe à cette ambiance hyper toxique, avec d'un côté des intégristes hyper coïncés de l'autre des "bobos" complètement déjantés et plus ou moins agnostiques. Avec au milieu quelques fidèles qui essaient de démontrer la possibilité d'un "juste milieu" lequel est absolument introuvable. Et pour cause !
Quant à rameuter les "brebis perdues"...
On s'est mis en tête, de rameuter les brebis perdues, les "homos" en particulier mais tout en continuant à les considérer plus ou moins implicitement comme des "malades".
C'est la religion qui a rendu les "homos" malades...
Il faut inverser la proposition. La tendance à préférer des semblables est parfaitement naturelle. La pastorale actuelle est vouée à l'échec d'une part car la situation est intenable. On a poussé les "homos" à devenir invisibles pour pouvoir les déclarer honteux. A présent c'est l'inverse, on les a poussé à la visibilité uniquement pour permettre aux marchands de les exploiter. Mais quoiqu'il fasse ils auront toujours tort. Le seul problème c'est que la gratuité de la chose suscite un nomadisme et des excès mais on n'a pas besoin de curés (plus ou moins pédophiles...) pour gérer nous-mêmes la chose.
En finir avec la "pédophilie"
Or qu'est-ce qui fait qu'il existe tant de curés pédophiles, notamment chez les catholiques ? Et bien c'est tout simplement parce que la Bible présente la première femme comme n'ayant été qu'un vulgaire support de Satan. Il est vrai que la misogynie est à la base de bien des religions mais nulle part en dehors des "monolatries" il n'existe une telle hantise de ce qu'on appelle "homosexualité". Tout les sociétés anciennes et certaines actuelles se sont arrangée de ce problème, ce qui a permis au tourisme sexuel de rapporter beaucoup d'argent à certains investisseurs.
Il faudrait pouvoir retourner à l'opposition antique entre amour des garçons et amour des femmes. Ce sujet de controverses, vieux comme le monde, a fait les délices des lettrés du moyen-âge et il s'agissait de religieux. Il a fallu attendre les XII et XIIIème siècle, pour que les amateurs de la premières rubrique commencent à vraiment sentir le souffre. Suffit de livre John Boswell, en faisant abstraction de quelques cagades, pour s'en rendre compte.
Sur un plaidoyer fort problématique en faveur de l'Eglise
Mes dernières remarques au sujet du phénomène de la "pédophilie" dans le catholicisme (on en parle beaucoup moins du côté orthodoxe sans doute parce que le phénomène est moins répandu ou traité de manière plus pertinente.
L'auteur du commentateur, il s'agit d'un producteur de films vidéos, m'a fait remarquer que les dérives des curés pédophiles sont des fautes individuelles, qu'un employeur n'a pas à intervenir s'il apprend qu'un employé maltraite sa femme, que d'autre part le secret de la confession interdit à l'encadrement des prêtres commentant des délits sexuels de les dénoncer et que c'est aux victimes, ou du moins à leurs parents d'opérer les dénonciations non pas à l'évêque dans la mesure où il n'existe plus de tribunaux d'église mais au commissaire de police le plus proche. Ce qui en général ne se produit que 50 ans après. C'est évidemment un peu tard.
Des analyses biaisées
En regardant les choses par ce que j'appelle le petit bout de la lorgnette, c'est à dire en ne prenant pas le recul nécessaire, on trouve toujours le moyen d'exonérer l'Eglise.
Il n'empêche que le catholicisme en particulier est responsable de tout ce qui arrive. Je répète qu'il a joué un rôle social positif jusqu'au XIIIème siècle époque où on a trop parlé de sodomie. L'étau se resserre de plus en plus sur la sexualité et les prétendus "déviants". On arrive ainsi aux (fausses) Lumières et après une révolution initiée par la haute aristocratie parlementaire vient le stupide XIXème siècle, cette excroissance d'un bourgeoisisme haïssable. Il n'y a pas lieu de s'étonner qu'un mouvement de revendication "homo" (et féministe) ait beaucoup pesé dans la révolte des étudiants bourgeois de mai 68. On assiste aujourd'hui à un retour de flamme d'essence purement laïque qui finalement, en matière d'harmonie sexuelle, va finalement nous ramener très en arrière car évidemment les moyens techniques de flicage progresse.
Mais puisque l'on s'accorde généralement à admettre que notre civilisation à des racines essentiellement chrétiennes, comment peut-on vouloir exonérer la hiérarchie catholique de tout ce merdier auquel on assiste. Les catholiques ont gueulé comme des cochons qu'on égorge lors des inventaires qui ont découlé de la séparation de l'Eglise et de l'Etat en 1905. Mais la hiérarchie a fini par comprendre que l'Etat lui avait ôté une sacré épine du pied. Elle n'a plus a entretenir à ses frais son ancien patrimoine immobilier, tous les citoyens sont tenus de se cotiser pour faire perdurer ces monuments historiques. Toute cette hiérarchie n'est qu'une bande d'hypocrites, de faux jetons et parfois de jouisseurs et les curés qui sont conscients des erreurs de pédagogie historiques qui ont été commises sont obligés de la fermer ou de partir, au besoin en claquant la porte.
Le problème c'est que quand c'est un "homo" qui la ramène, soit on le prend pour un hystérique soit on va jusqu'à dire, j'ai entendu ça d'un diacre, que le phénomène est si minoritaire que... on n'avait pas à en tenir compte. Depuis lors on s'est rendu compte que finalement ça fait pas mal de monde...
Enfin du côté des cathos, j'exagère à peine, mais quand on argue des "racines chrétiennes de l'Europe" c'est quasiment pour inciter les fidèles à accueillir à bras ouverts des migrants sont un certain nombre n'hésiteront pas, au nom d'un certain Islam, à nous planter un couteau dans le dos un jour ou l'autre. Les migrants je veux bien mais qu'on accueille en priorité des chrétiens orientaux qui pourraient aider à ressourcer la catholicisme archi pourri que l'on a sous les yeux.
Bref, si nos racines sont judéo-chrétiennes, et c'est assez évident, car ces racines ont été dominantes, tout ce qui se produit sous nos eux est, globalement parlant, le résultat d'une dégénérescence progressive des doctrines et de la philosophie sociale qui en a découlé.
Maintenant quant au traitement en interne et en externe (judiciaire) des "curés pédophile", c'est une toute autre histoire qui n'a absolument rien à voir avec la sorte de responsabilité que je viens d'évoquer. Ce traitement dépend d'un code pénal et d'un code de procédure contemporain nécessitant des éléments de preuve et c'est aux victimes ou à leur parents d'en faire état.
Repentance quand tu nous tiens !
Dans un texte que m'a communiqué un ami qui est un excellent juriste, il est fait mention d'une "repentance" à propos de la "pédophilie". J'attends autre chose de l’Église à savoir une repentance à propos de la persécution des "homos". Mais pour cela il faudrait que l’Église daigne revenir au bons sens qui a prévalu durant le premier millénaire encore irrigué par ce que le monde antique a pu comporter de raison et de bon sens. Mais voilà, l'Antiquité, c'est les "païens", et chez ces paysans les hommes aimant les garçons les baisaient à couilles rabattues. Il est clair que ce qui à choqué les chrétiens, en fait l'apôtre Paul, c'est cette licence, au demeurant assez relative ! Il suffit de s'enquérir des différences de conception entre grecs et romains pour évidemment comprendre qu'il existait derrière tout cela une ordonnance.
En fait, les Romains trouvaient tout à fait naturel qu'un homme puisse être excité par un semblable. Mais les fils de famille, pas touche ! Pas question de "mariage pour tous". Mais voilà que l'Eglise catholique a adopté les thèses freudiennes aberrantes sur le sujet et a couvé un prétendu "expert" de cette sorte d'imposture, le fameux Tony Anatrella qu'elle a fini par "exfiltrer" en silence. Il est tout de même curieux que la clique des activistes maudits du lobby LGBT n'ait même pas célébré l’événement...
Cependant on pourra bien tourner la choses comme l'on voudra mais si des faits, dits à tort ou à raison comme étant de "pédophilie", s'observent partout où il y a des jeunes, c'est bien dans le christianisme et plus spécialement encore qu'ils ont pris le tour, à la fois quantitatif et franchement pathologique que l'on sait.
Toutes les arguties de mon correspondant catholique ne sauraient tenir la route. Et j'affirme que c'est la mauvaise foi qui le fait parler.
On découvre presque chaque jour de véritables réseaux de prédateurs ensoutanés et il
Frottez vous les yeux, regardez attentivement la vidéo et lisez bien en vous concentrant sur chaque mot...
Observez bien cette vidéo, elle révèle au moins un détail ou plutôt des détails assez singuliers...
Toute se passe dans le champ de vision de la caméra de surveillance de l'établissement dont on voit les clients. Le fille et son harceleur se croisent au delà de la terrasse. La fille est court vêtue, au ras de la moule pour être clair. Autrement dit, si la provoc n'excuse pas le harcèlement textuel, sa tenue que l'on aurait dite "immodeste" autrefois n'est celle qu'on attend d'une "honnête femme".
Elle répond "ta gueule" aux bruitages à visée sexuelle du type et tout se passe comme si elle avait préalablement repéré les lieux, prévu l'agression et la possibilité qu'elle soit filmée et finalement exploitée sur Face de Bouc de sorte que :
Cette dénonciation et les images ont été relayées massivement sur les réseaux sociaux. Marie Laguerre avait alors enchaîné les interviews dans les médias français et internationaux. Avec le soutien de militantes féministes telles que l’association Les Effrontées, elle a, depuis, lancé une nouvelle plateforme en ligne – #NousToutesHarcèlement – pour partager les témoignages similaires de femmes agressées dans la rue.
Et qu'apprenons-nous pour finir : que le type n'est pas un individu normal, qu'il est soigné dans un Hôpital psychiatrique, qu'il a caillassé une voiture et qu'il s'est fait serrer environ un mois après l'agression du 24 juillet en tant que déséquilibré mental caractérisé.
Je ne peux évidemment pas prouver à l'aide de cette vidéo que la fille avait repéré le type, que ce dernier passait régulièrement devant le bar, qu'elle l'aurait sciemment provoqué par sa tenue pour le "piéger" devant une caméra mais ce qui est suspect c'est que pour une étudiante se voulant ordinaire, comme les autres, enchaîner les interviews des médias français et étrangers avec le soutien d'une association effrontée n'est pas l’attitude normale d'une fille modeste. Cela pue la mise en scène jusque dans le coin, proche de la caméra ou la prétendue victime s'est fait claquer au point que son abondante chevelure ait volé.
Quoiqu'il en soit, ce qu'il convient de retenir, c'est que la démonstration va à l'encontre du but poursuivi qui est de prouver que beaucoup d'hommes harcèleraient les femmes dans la rue. Il s'agit, je le répète d'un malade mental ! On peut même ébaucher un diagnostic rien qu'en voyant l'atittude du type, très sûr de lui, qui ne fuit pas mais visiblement ne se prend pas pour de la merde. On le voit même discuter assez calmement avec des employés du bar et repartir non moins calmement.
Enfin ce n'est pas la police qui a requis la vidéo mais la fille qui n'a pas souhaité de confrontation... Je cite :
Outre son aveu, il a également été identifié par la victime dans le commissariat du 19e arrondissement parisien où il avait été placé en garde à vue. Il n’y a toutefois pas eu de confrontation. « Je ne l’ai pas souhaité, et cela n’était pas nécessaire », les photos comme les premières déclarations du suspect montrant clairement qu’il s’agissait de son agresseur, a-t-elle dit à l’Agence France-Presse.
Concluez-vous mêmes ! Le moins que l'on puisse dire c'est que tout cela est gerbant ! Par chance je ne risque pas d'être classé parmi les mâles harceleurs, les bonnes femmes court vêtues qui dandinent du cul me laissent de glace et n'excitent que mon souverain mépris pour ces allumeuses. Les chiennes de garde, les effrontées il faudrait les fouetter publiquement mais elle n'attendent que cela pour se dire victimes innocentes. Ha ils sont beaux les ex machos qui n'osent même pas répliquer en faisant les constatation que j'ai faites et en soulignant que tout cela est plus que suspect !
Pour ma part je ne crois pas à un tel enchainement de hasard mais c'est à croire que les gens ont de la merde dans les yeux...
Souvenirs de métro
Je n'ai pas mis les pied à Paname depuis au moins une quinzaine d'année si ce n'est plus. J'ai le souvenir de n'avoir vu que des zombies dans le métro. Je n'ai assisté à aucun incident du type harcèlement.
Mais dans les années 60 il en allait tout autrement, aux heures de presse les hommes avaient tendance à se séparer des femmes et là où les mecs, jeunes et plus vieux confondus s'entassaient, les pelotage de fesses et de couilles ça y allait. Bon mais ça se passait sans anicroche, si on aimait pas on envoyait un petit coup de talon discret sur les orteils de l'importun et il n'insistait pas. Je me souviens de m'être fait pister plusieurs fois dans les couloirs quand j'avais la vingtaine. Pas méchant suffisait de faire demi tour brusquement pour surprendre le suiveur. Tout ce que je regrette c'est que ces admirateurs anonymes n'aient jamais été à mon goût, s'il se fut agi de jeunes de mon âge, j'aurais sans doute réagi autrement.
Il peut se trouver des dingues qui se masturbent en public mais ce que j'ai vu et vécu n'est absolument plus d'actualité. Avec la libéralisation de la pornographie sur Internet, la plupart des gens se lâche en se branlant chez eux au point de devenir autistes, et je ne crois pas un seul instant que la parisiens d'où qu'ils viennent se soient relâchés au point que ce qu'un Marie Laguerre raconte soit fiable !
Un nom prédestiné
Laguerre est-ce son vrai nom, ou un pseudo ? Dans un cas comme l'autre il s'avère significatif d'un besoin de "règlement de compte". Pauvres types que ceux qui la bouclent en se laissant impressionner...
Je suis persuadé que la Marie dont il s'agit a calculé son coup en choisissant au moins le cadre mais quelque part elle l'a bel et bien raté ! Qu'on se le dise !
MAJ arrivée quelques minutes après l'annonce du post :
A propos de votre récent post, deux petites précisions :
1) le fœtus a un ADN différent de celui de sa mère (forcément car sinon elle n'engendrerait que des filles, identiques à elle), le fœtus ne fait donc pas partie du corps de la mère, elle ne fait que l'héberger, et elle n'a pas plus le droit de le tuer qu'un aubergiste qui tuerait ses hôtes façon "Auberge Rouge".
2) En plus du phénomène de petits garçons élevés uniquement par une femme, sans repère masculin, on dénonce aussi de plus en plus qu'à l'école aussi, les garçons ne sont plus élevés que par des femmes, de la maternelle au CM2, les instituteurs étant très minoritaires, voire en voie de disparition. Non seulement, comme vous dites, ils sont supposés agresseurs sexuels par nature, mais nombre d'entre eux renoncent à l'enseignement primaire vu les risques d'accusations suite à une simple réprimande à un enfant, y compris 30 ou 40 ans plus tard...
Bien à vous.
Paul
Paul est un ami de longue date, réfugié politique de longue date. On s'est connu en tant que musiciens. C'est aussi un excellent juriste, très affuté qui a eu à soutenir des procès épuisants et qui plaide jusque devant le conseil d'Etat. Il s'efforce d'influer sur les décisions en cours des parlementaires (députés et sénateurs), chose que je ne peux pas faire n'étant pas assez "diplomate". Je vise un autre public, celui des particuliers qui n'ont pas encore la cervelle en compote. Il faut pour cela user d'un langage particulièrement imagé qui soit en prise avec un style plus contemporain que celui des polémistes d'ancien régime ou encore celui des bretteurs trop "vieille France" comme l'était un certain René Guénon. Il faut vivre avec son temps et s'adapter !
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Je m'aperçois que je n'ai pas su tenir ma promesse de prendre des vacances. C'est que quoique je fasse, je finis toujours par surmonter les coups de mou et la fatigue qui en résulte en rebondissant à la première occasion.
Quelques réflexions en vrac, tellement le sujet me casse la tête et tend à m'énerver tout en m'occasionnant des nausées. Enfin le moyen de surmonter le malaise c'est encore de tenter de l'affronter avec des idées claires....
Patience une vidéo amusante devrait vous récompenser de la peine prise à me lire. Il parait que fait et refait le tour du Web mais je suis assez casanier et je ne fréquente pas ou guère les "réseaux sociaux" qui sont une des inventions modernes les plus démoniaques et les plus aliénantes.
Les français et la GPA ! Majoritairement pour ? Archi faux !
D'après un Nouvel Obs datant de mars dernier, les français seraient pour la GPA, la gestation pour autrui.
Faux archi faux ! On nous prend pour des crétins des Alpes !
Seulement 32 % disent oui pour les couples hétéros et homos sans conditions. Mais on trouve au total 55% en décomposant des sous options. Un décompte à dormir debout ! Il n'y aurait dans ces 55% que 2% de oui pour les couples homos. En fait il manque le pourcentage pour les couples de lesbiennes, celui pour les couples d'homos mâles car ce sont les seuls chiffres qui pourraient être représentatifs d'une réelle ouverture des français. Mais on embrouille tout à dessein dans l'espoir de manipuler l'opinion de ceux qui sont réfractaires à cette pratique.
Pour ma part je considère toujours que rien n'est jamais mauvais en soi et que bien des choses peuvent être acceptables mais sous certaines conditions. Seulement plus on complique les choses au niveau des lois plus on entrave cette forme de créativité judiciaire qu'est la part de la jurisprudence...
J'ai assez étudié le droit pendant des années pour savoir que notre France républicaines a brillé par la sagesse de certains juges mais tout cela est en train de carrément foutre le camp... Et le Conseil d’État commence à donner des signes de faiblesse inquiétante dans certains domaines touchant notamment à la neutralité religieuse qui sied à une république bien née.
La PMA ? Elle va profiter uniquement aux couples de lesbiennes en aggravant un déséquilibre existant
Le curé d'Ars et les "filles mères"
Je me suis faire dire de tout par un brillant avocat du catholicisme (suivez mon regard vers les posts précédents) parce que j'ai raillé le curé d'Ars au motif qu'il était obsédé par les bal du samedi soir.
Il paraît qu'il n'était pas contre ces réjouissances mais que c'est seulement parce qu'il craignait que des filles n'y trouve l'occasion de devenir "filles mères" avec l'espèce de mort sociale susceptible d'en résulter.
Oh je sais, il ne manquait pas de discernement, quand il a été amené à auditionner les prétendus voyants de La Salette, il aurait émis des doutes à propos notamment de Maximin mais il se serait repris par la suite ou on aurait "rectifié" à son insu de plein gré ses dires, le problème étant que les dévots de cette très manifestement fausse apparition on été de fieffés manipulateurs.
Quoiqu'il en soit, sachant que le diable réside dans des détails, l'affection toute particulière du Curé d'Ars pour son tracassin personnel fait que le personnage, au demeurant très respectable et assurément très bien intentionné, m'inspire forcément quelques sourires en coin. Sourires certes assez bienveillants mais qui ne peuvent pas combler les aspirations d'une majorité de catholiques.
La multiplication des "filles mères"
Je veux bien croire que le curé d'Ars aura été motivé par sa charité chrétienne à propos des risques encourus par les filles lors des bals de toutes sortes mais il n'empêche que tout cela est "daté" et qu'il ne serait sûrement pas très content de ce qui se passe depuis que la Sécurité Sociale finance et encourage les filles à devenir mère sans la tutelle d'un père. Il n'y a plus lieu de parler des "accidents" bien qu'il en arrive encore puisque la légalisation du pis aller qu'est l'avortement permet d'en neutraliser éventuellement les conséquences.
Transformation en "mères célibataires"
En revanche, les portes sont désormais grandes ouvertes en faveur du phénomène que le saint curé aurait voulu combattre : ainsi quand on veut acclimater une anomalie on change le nom de la chose. Il est donc désormais interdit de discriminer les "filles mères", on doit se plier à une appellation neutre.
Le seul problème est que quand un garçon est élevé par une femme sans aucun référent mâle, ça risque d'être 9 fois sur 10 la cata ! Il risque d'être littéralement "endoctriné" et psychiquement émasculé par la tendance féministe à systématiquement criminaliser tous les mâles comme prédateurs potentiels. Qu'il s'agisse d'un hétéro ou d'un homo, le résultat ne pourra être qu'un adulte plus ou moins aliéné sexuellement et aussi socialement.
Avec la possibilité pour les couples de lesbiennes d'accéder à la PMA ça va être le bouquet !
Le fossé va une fois de plus s'élargir entre les deux sexes puisque les couples de mecs ne peuvent que recourir à l'adoption ou à la GPA. La première possibilité est très limitée. La seconde l'est encore plus à moins d'être richissime...
Ce que constituait déjà un déséquilibre avec la dédiabolisation des filles mères va donc s'accentuer d'une façon assez franchement scandaleuse. Encore heureux que les psychanalystes ne manquent pas de dire que l'absence de référent paternel est très préjudiciable. Mais comme ils n'ont pas bonne presse, il pèsent leurs mots...
L'orientation sexuelle comme élément identitaire
Le fait d'aimer les garçons de préférence aux femmes a pu être, dans des société qui considéraient l'amour des garçons comme chose parfaitement naturelle pouvait à la rigueur constituer un élément de l'identité d'un individu. Platon et Socrate on été des "pédés" et le second s'est exprimé en tant que tel mais il s'est efforcé de démontrer sa maîtrise à propos d'Alcibiade. Sauf que l'histoire est compliqué car Platon, à la fin de sa vie, a bel et bien anticipé, au moins d'une certaine manière, la hantise de la pédophilie telle qu'elle s'est imposée à nous. Il suffit d'ouvrir le nouveau catéchisme à la bonne page pour constater que la démoralisation vécu par le Platon vieillissant y a laissé des traces profondes. Ceusses que cela intéresse trouveront dans un numéro de mes Cahiers de Recherches une recension très claire à ce sujet.
En l'état actuel des choses, l'orientation sexuelle et particulièrement homosexuelle comme élément identitaire n'est qu'un piège tendu par le lobby LGBT pour embarquer tous les "homos" dans une croisade dont il ne peuvent être que les dindons d'une farce assez sinistre. Il faut qu'il comprennent que ce n'est pas en se travestissant et en se ridiculisant lors de ce carnaval d'été que sont les Gay Pride qu'ils peuvent gagner la sympathie d'un large public.
Le problème est que si parmi les "homos", il y eu autrefois une espèce d'élite avec des artistes de valeur, des chroniqueurs et des moralistes un peu à la mode du XVIIème siècle, des critiques de la société bourgeoise assez efficaces, cette génération, qui, non seulement a mêlé le meilleur et le pire a été de toutes façons étendue raide morte par l'épidémie de Sida. Cette dernière n'a guère eu qu'un effet positif en médecine en servant à mettre au premier plan le problème générale de l'immunité sous ses diverses formes, de la biologie au psychisme.
L'avortement, un progrès ?
On a vite fait le tour de la question : la légalisation de ce pis aller n'a eu que des effets négatifs. Les femmes considèrent les embryons comme partie d'elle-même et donc de leur corps de manière à pouvoir en disposer. C'est faux ! L'expression populaire qui parler d'avoir un polichinelle dans le tiroir lorsqu'il s'agit de grossesse non désirée exprime une vérité non manipulable. L'enfant à naître ne saurait être que littéralement un corps étranger à la femme qui le porte. Pas question d'en disposer et de le tuer pour convenance personnelle.
Il est désormais interdit de militer contre l'avortement mais il ne saurait être interdit de professer son dégoût et son mépris pour ses femmes qui avortent jusqu'à 7 fois de suite au point de se faire larguer par les organisme type planning familial et Cie. Une fois, sa passe, deux fois à la rigueur mais à la troisième ça devrait casser ! Enfin on ne manque pas de moyens de contraception.
Sur l'inégalité homme femme
Je suis bien conscient que le plaisir sexuel chez les femmes comporte un risque qui n'existe pas chez nous autres mecs. C'est le risque d'une naissance non désirée. A moins de procéder par la "porte arrière" selon un moyen de contraception éprouvé euro-méditerranée.
Je sais que c'est ragent de savoir qu'un mec peut baiser une nana et se tirer mais je n'y peux rien c'est à la "meuf" de faire gaffe. Pour ma part je suis absolument sans péché sous ce rapport. Je considère que lorsque les garçon font l'amour entre eux (et on peux bien se contenter de choses assez "superficielles") l'aglité ne se situe que quand aux risque d'attraper un MST mais il existe des protections efficaces que l'on peut fort bien inclure dans ses fantasmes. Du reste le lobby LGBT a réussi la performance qui consiste à avoir pu publier des petits romans photos de poche où on explique aux garçons comment mettre une "capote" et lutiner son petit copain. Ainsi sous prétexte de prévention, on a laissé ce lobby faire de la propagande en prêchant pour sa paroisse. J'ai plutôt tendance, bien que je sois "homo", à trouver ça assez choquant mais bon je me dis que ça n'a tué personne bien au contraire !
J'ai tendance à rire quand je vois dans Plus belle la vie, une grande bourgeoise tomber amoureuse d'une chirurgienne débutant qui a sauvé son fils Hugo. Mais bon je ne suis pas une femme, je ne peux pas savoir ce qu'elles peuvent ressentir. Je ne peux que juger de ce que j'ai expérimenté. ce qui est génial c'est, en principe du moins, la gratuité de la chose... On peut aimer plusieurs garçons en même temps ou à la suite sans que cela pose de problèmes insurmontables mais bon il y a une limite : çà ne peut durer qu'un temps. Au delà de 35 ans la situation risque de devenir rapidement assez improductive. Il faut avoir cultivé la contemplativité et les choses peuvent évoluer en une amitié et une simple complicité purement fraternelle ou paternelle. Sinon on se casse littéralement la gueule !
Mais enfin il y a tout de même des faits significatifs : les garçons peuvent fermer le cercle, tous les gars du monde peuvent certes se donner la main mais je ris quand je sais qu'ils pourraient être soudés et solidaires d'une façon beaucoup plus efficace.
Enfin je comprends que tout çà puisse faire raquer les meufs mais je n'y peux rien et si elles ne sont pas contentes elles n'ont qu'à adresser une pétition au créateur si tant est qu'ils existe sous la forme sous laquelle on se le représente.
Je souhaite à toutes les "garces" qui voudraient nous bouffer la cervelle faute de pouvoir nous couper la queue, bon courage. Elles sont loin d'avoir encore gagné la partie !
Le transexualisme
Je regrette de n'avoir pas pu noter tout ce que j'ai entendu comme connerie en matière de revendication d'unité sexuelle et c'est là un chapitre que l'on pourrait m'aider à développer en vue d'une actualisation de cette rubrique.
Il y a des hommes manifestement hommes qui ne veulent pas être appelés ainsi. Je pense à une émission de télé dont on m'a assez vaguement rapporté le contenu. Le fait de porter une barbe n'impliquerait pas qu'on parle nécessairement à un homme. L'intéressé étant susceptible de se vivre comme femme ou même comme n'étant ni homme ni femme. Mieux vaut se pisser de rire dessus quand on entend ça car on est là dans la parodie d'une rubrique plutôt "spirituelle". Celle du mythe de l'Androgyne, un adolescent ou un jeune pas trop usagé peut revendiqué une allure androgyne quoique je pense qu'il ne faut pas confondre ce qui relève d'un reste d'enfance et ce que l'on considère à tort comme une tendance efféminée.
J'ai à ce propos, la chance d'avoir des repères musicaux : parmi les gens qui sont pratiqués sur mon instrument il y a les dialogues qui se marquent par une opposition forte/piano mais pas que. Dans la réponse "piano" (douce) les fréquences aiguës sont prédominantes certes mais pas que. Ce que je veux dire c'est que pour une oreille sensible, s'il existe une communauté de d'échelle ou de registre, la diction et le timbre comparé d'un chant d'enfant avec un chant de femmes, évoquent des choses bien différentes. La femme véritable, si l'on peut dire n'a rien à voir avec les planches à pain revanchardes et criardes que la mode nous impose. Soit dit en passant la Bartoli n'existe pas à côté de la performance si naturelle d'un Philippe Jaroussky. La Bartoli, elle me donne l'impression de n'être pas loin de cracher ses poumons pour suivre la cadence...
Je ne sais pas si, pour nous autres créatures à 5 membres, le fait de pouvoir couvrir un registre très étendu du grave à l'aigu, rien que par une simple technique vocale appropriée, sans se faire couper les coucougnettes est une preuve de supériorité mais sur le plan symbolique ça m'en a tout l'air.
Cela dit, je suis tolérant à l'égard des "trans". Sauf si le faire de vouloir passer du statut de mecs à celui se meufs n'aboutit qu'à produire une folle tordue de plus. Mais j'avoue ne pouvoir être qu'un mauvais juge. En effet la plupart des femmes sont si "contrefaites" par leur manie d'être toujours dans la séduction qu'il m'est, au final, bien difficile de différencier vraiment le modèle de sa parodie éventuelle. J'ai de la sympathie pour certaines femmes, en général elles se déclarent peu féminines mais en aucun cas je ne peux les confondre avec des hommes. A mes yeux ce sont là des "femmes normales" et je trouve non moins normal et légitimes qu'elle revendiquent une autonomie et je la leur accorde volontiers.
On ne nous dit pas tout !
La transformation d'une fille en garçon a donné lieu à un miracle, le miracle s'appelle Dimitri dans Plus belle la vie. Dans le civil il est devenu Jonas Ben quelque chose. Le cas est d'autant plus remarquable qu'il ne s'agit pas d'un "français de souche". Je sais qu'on lui a greffé un "zizi". S'agit-il d'un "zizi" venant d'un donneur décédé comme par exemple un jeune qui serait décédé d'un accident de moto et aurait fait don de ses organes ou s'agit-il d'une imitation de "zizi" à l'aide de tissus emprunté au patient de ci de là. Et dans tous les cas de figure est-ce que cette "pièce rapportée" est bien animée d'une capacité de réaction émotionnelle et plus encore d'une sensibilité capable de procurer à un Dimitri une extase et des orgasmes lorsqu'il viendrait à s'en servir. Franchement j'ai des doutes. Je ne vois pas comment on aurait pu lui greffer une prostate laquelle joue un rôle de premier plan dans les orgasmes masculins, y compris quand on l'active par une porte dérobée.
Si j'avais 40 à 50 ans de moins j'aurai eu le béguin, si j'avais pu croiser un "Dimitri reconstitué" mais n'aurais-je pas été un peu déçu en constatant que sa prothèse n'est pas susceptible de donner le change. Mais enfin s'il est content je n'ai rien à dire. Chacun voit midi à sa porte !
Conclusion provisoire
ce qui semble en voie d'acceptation généralisé c'est que les enfants et particulièrement les garçons élevés par un couple d'homos mâles que ce soit au terme d'une recomposition conjugale ou autrement ne son pas malheureux et ne deviennent pas forcément "homos" eux-mêmes.
Pour le reste, il y a encore beaucoup de chemin à faire si j'en juge par ce qui se passe lorsque débarquant dans un village de ploucs, il y a toujours des gens jaloux pour se venger de leur vide sentimental et sexuel en voulant combler celui des autres quand ils ne le souhaitent pas. Que l'on soupçonne quelqu'un qui ne reçoit pas de femmes chez lui de baisé ou d'avoir baisé du "mauvais côté", cela peut se comprendre. Mais quand il ne reçoit personne et se montre assez taiseux et quand il y a encore des gens pour faire des contes ou vouloir lui nuire quand ils se sont fait remettre en place, et cela plus d'une décennie plus tard, on est obligé de se demander quel est le bilan de l'agitation du milieu LGBT.
En France, il est non seulement à peu près nul et même assez franchement négatif ! Ailleurs je ne sais pas, je n'y vis pas. Enfin je crois qu'il existe chez nous une mentalité réactionnaire très haïssable. Elle a émané d'une certaine "contre-révolution" mais elle s'est largement exportée au delà et à quasi complètement gangréné une bonne partie de la mentalité purement laïque. Enfin de quelque façon que l'on examine la situation, rien ne va plus. Et les "cagades" du Vatican ne sont guère que le reflet de la maladresse de gens totalement incapable de maîtriser la situation.
On n'a pas encore vu la fin des scandales de "pédophilie" dans le monde catholique, certains ne sortiront probablement jamais comme la relation de ce qui s'est passé dans et autour d'un séminaire lillois à propos du décalque d'un "Preynat" toujours en fonction mais en tous les cas, il n'est pas honnête de prétendre que le phénomène est minoritaire. C'est absolument faut : partout où a existé un cadre autoritaire pour manager des enfants ou des jeunes (scoutisme, séminaires etc...) il y a eu, bien placée à la tête ou dans les rangs de la hiérarchie des brebis galeuses qui ont fait de très gros dégâts.
Quand un journal catholique n'est même pas capable de définir correctement les mot pédophilie, pédérastie et éphébophilie, c'est à hurler. Et à VOMIR !
La racine Philein dans "pédophilie" désigne un amour abstrait comme dans philo-sophie, pédérastie assemble paida (enfant) et erastes (amour sexuel) sauf que les Grecs avaient fixés des limites (autour de 16 ans), quand aux éphèbes, il ne saurait être question que le mot puisse concerner les filles et donc les deux sexes !!!!!!!!!!!!!!!!!! C'est vraiment du n'importe quoi ! Il faut vraiment être complètement taré pour ne pas savoir ceci:
Un éphèbe (en grec ancien ἔφηβος, éphêbos, contraction de ἐπί-ἥβη, dérivé de ἥβη hếbê, la jeunesse, cf. la déesse Hébé) était, chez les Grecs anciens, un jeune homme, en pratique un garçon ayant quitté l'autorité des femmes. Par extension, le terme désigne aujourd'hui un jeune homme d'une grande beauté.
Quand à la beauté si particulière de certains garçons, durant une période très courte, elle n'a rien à voir avec une quelconque féminité mais passons.
Parenthèse sur une "opiomanie catholique"
Je plains le pape François dont la langue a fourché car je pense que c'est un assez brave homme mais il est complètement dépassé, néanmoins je me réjouis que l'Eglise romaine soit dans la tourmente et je dis à ceux qui veulent conserver leur foi, si vous avez une requête à faire adressez vous directement au "bon Dieu", plutôt qu'à ses saints, à Jésus, à la Vierge Marie à qui vous voudrez mais de grâce fuyez l'ambiance toxique de cette église.
J'irai même plus loin : si vous aimez la musique religieuse et l'orgue particulièrement soyez sur vos gardes : tout cela n'est que pur opium! La remarque vaut également pour les concerts baroques ! Sachez que si je remplis un office à cet égard, c'est uniquement pour faire vivre un instrument appartenant à notre patrimoine culturel dont la conservation à coûté très cher. D'autre part ce n'est, à mes yeux, qu'une simple occasion de cultiver et d'entretenir une technique d'en développer
C'est bien un petit "truqueur", une semaine avant il était en vacances à Toulon et a été mis en garde à vue. Il a offert des cadeaux coûteux à la famille qui ne peuvent être que le produit de rapines. Il est méchant avec sa famille et s'est toujours pris pour le centre du monde. S'il devait emménager avec une copine soit c'est un mytho soit elle a vu clair et l'a jeté...
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Je suis tombé, comme beaucoup, sur le joli minois (enfin d'assez loin et même de très loin...) de ce "petit prince" qui a suscité un élan de solidarité. Mais quand je me suis rapproché de la créature, par une vidéo interposée, le charme au demeurant très relatif a cessé brutalement d'opérer. La tendresse a fait place à de la répulsion. Ce que les gens peuvent être aveugles...
On apprend qu'il a été en foyer deux ans et a filé. Donc les assistantes sociales et les "psys" ne sont pas arrivés à en faire quelque chose.
Vous me direz que veut dire "truqueur" ?
"Truqueur" est le terme autrefois consacré par les "homos" (avant mai 68) pour désigner ces jeunes à la dérive qui avaient recours à toutes sortes de manigances pour éventuellement se faire héberger et restaurer par un "pédé" et le voler voir même le massacrer plus ou moins consciencieusement. Les manigances ça allait du faux SDF au faux amateur d'attouchements. Autrefois la drague avait surtout lieu à l'air libre et l'on était en principe rompu à l'exercice consistant à séparer le bon grain de l'ivraie ou à pratiquer le discernement des esprits très utile en ce genre d'occasion. Nous autres prétendus "prédateurs" avons du flair. Le métier d'assistant social on a connu çà. On a volontiers passé la main en faveur des institutions dédiées au secours de la jeunesse à la dérive. Si un jeune se retrouve à la rue, il a des chances d'être plus ou moins irrécupérable.
Quand l'intuition féminine s'est faite la malle...
Notez que ce que je trouve assez savoureux c'est qu'aucun "collègue" ne semble être tombé dans le panneau. Il n'y a guère eu que des "meufs" (jeunes et vieilles confondues) pour s'être faites pigeonner après avoir été alertées par tout un tintouin médiatique du fait de ces incontournables et maudits "réseaux sociaux". Une mamie s'est fait couillonner de son smartphone et a porté plainte ! Il fallait s'y attendre et je ne vais surtout pas la plaindre. Il semble que la fameuse intuition féminine ait vécu. En fait selon la revue Psychologie elle n'aurait même jamais existé.
Je me suis procuré ce livre sur le conseil d'un ami.
Je ne suis pas sûr de pouvoir faire une recension scrupuleuse de ce pavé de près de 400 pages. C'est même très improbable car il n'existe aucune version numérique et je me vois mal le scanner de façon à pouvoir faire les nombreuses citations qui s'imposeraient.
Le prologue est remarquable qui démontre que nous sommes tombé sous le joug d'une véritable pornocratie.
Les choses commencent à se gâter dès le premier chapitre sur le XVIIIème siècle où l'auteur situe le grand renversement de la métaphysique occidentale, de Pascal à Sade.
D'abord, il ne s'agit pas d'un renversement métaphysique mais plus simplement des conséquences d'un simple dualisme augustinien entre sa théorie opposant son projet d'un cité de Dieu à celle d'une cité du diable.
Dans le fragment 43, p 51 l'auteur déclare que Augustin a négligé un détail - qui se révèle au moment où il affirme la nécessité du "mépris de soi". C'est, dit l'auteur, étrange puisque Augustin est tout simplement l'inventeur du concept de "personne" avec son intériorité en Occident.
Un petite parenthèse pour souligner qu'un ancien lecteur m'a récemment rebattu les oreilles avec le personnalisme comme invention propre au christianisme. Oui certes mais c'est tardif et on retombe toujours sur le duo notoirement suspect de Paul et d'Augustin. Soit dit en passant l'orthodoxie consent du bout des lèvres à considérer Augustin comme "saint" mais rejette assez violemment la qualité de Père de l’Église qui lui est accordé par le catholicisme romain. Pour ceux que cela intéresserait voici de quoi s'informer sur la position de la théologie orthodoxe:
Je ne suis certes pas très catholique puisque je consens a me revendiquer comme "un peu païen" mais il me semble assez difficile de vouloir me faire griller sur un bûcher en tant qu'hérétique.
Une opposition radicale entre "amor Dei" et "amor sui"
L'auteur s'est finalement aveuglé au point de ne même pas s'être rendu compte que c'est l'OPPOSITION RADICALE entre amor Dei et amor sui (amour de soi) qui allait tout faire exploser.
Mais il s'est tout de même rendu compte que quelque chose clochait : p 52 l'auteur souligne qu'aucune confession n'est possible si le soi n'entend pas le soi. Le "détail" qui manque c'est que le soi ne peut être entièrement objet de mépris. Mais bien sûr ce n'est pas à nous d'administrer cette leçon à Augustin. Et bien au contraire ! Soyons sans complexe, remettons Augustin à sa juste place. Il n'est pas sorti de son dualisme initial, voilà tout et il a littéralement empoisonné tout l'Occident et on est en train d'en crever !
Le prétendu "saint" Augustin c'était Tout pour Dieu, rien pour ma pomme ! Forcément ça devait craquer et même exploser et ç a donné Sade qu'il aurait fallu piquer à la naissance ou écarteler !
Jean-jacques Rousseau comme "correcteur" de "saint" Augustin
Et là on croit rêver, savez-vous qui est l'augustinien qui, à quatorze siècle de distance se serait chargé de corriger le maître et bien, figurez vous que ce serait l'illustre Jean-Jacques Rousseau. Franchement je subodore une très méchante blague mais l'auteur est tellement pince sans rire que l'on n'arrive pas toujours à déterminer si il parle de lard ou de cochon... On le sait Rousseau a renouvelé le genre Confessions initié par l'évêque d'Hippone.
Je penche volontiers en faveur de l'hypothèse d'une blague assez fine... Les confessions on veut bien mais il faut que ce soit revigorant et avec Augustin ion ne peut que se tirer une balle dans la tête.
L'évocation du "moteur à deux temps" de Pascal, des moments hyper jouissifs
Le conflit entre deux amours chez Pascal a produit des ratés, des emballement et même une grosse surchauffe qui s'est soldée par toutes sortes d'atroces souffrances sous la forme de véritables somatisations. Il serait cruel de s'en réjouir mais en attendant on se marre bien. très franchement c'est si finement amené et si joliment tourné qu'on n'est pas loin de connaître l'orgasme.
Facéties lacaniennes
Bon évidement, un tel plaisir qui frôle parfois le pur bonheur se mérite et ne vient pas tout seul. Il réclame un minimum de culture philosophique. On a même droit à des jeux de mots lacaniens du style con-cul-pisse-sens pour concupiscence.
Je sais c'est un peu vulgaire et je n'apprécie que modérément mais l'auteur est un grand étymologiste qui gagne à être connu.
Enfin le miracle c'est que la grandeur de l'homme c'est d'avoir tiré de la concupiscence un si bel ordre. Et c'est Pascal qui parle encore.
Je suis pour l'instant arrêté à la page 102 et je vous invite à acheter le livre et à ne surtout pas y bouder votre plaisir.
Oubli ?
Il semble que l'auteur n'ait pas eu l'idée de souligner que l'omniprésence de la pornographie est surtout un excellent moyen de contrôle social. Je l'ai déjà dit, c'est pour les jeunes une catastrophe, elle favorise l'autisme et pas que dans le domaine sexuel, c'est donc avant tout un extraordinaire moyen de contrôle social. le problème c'est que l'air en est empoisonné.
Post scriptum
J'attends les ouvrages de Bernard de Mandeville dont parle l'auteur, en particulier sont Traité sur les passions (hystériques et mélancoliques) + sa Vénus la populaire ou apologie des maisons de joie (bordels)... Le premier on n'en parle guère or Mandeville a largement précédé Freud. Quand au second livre cité, je ne lui accorde à priori qu'une vertu purement récréative.
Je veux savoir de quel esprit était animé ce personnage. Il est à noter que la "mélancolie" ou bile noire est un sujet classique ancien et je me souviens d'avoir publié là dessus une recension d'un livre d'un théologie chrétien. Il est clair que si c'est un mal ancien et assez mystérieux, la théologie augustinienne l'a singulièrement aggravé avec la formule Tout pour Dieu rien pour ma pomme !
Notez que la plupart des ouvrages de cet auteur sont numérisés sur Gallica sauf le traité des passions qui me semble capital à connaître du moins pour le quasi médecin que je suis...
Je compte commenter La cité perverse par petites touches...
Non seulement voilà bien de quoi relancer certaines rumeurs mais en plus, avec l'idylle avec Benalla, ce faux Alexandre, on découvre que le patron préfère les sujet exotiques à ses sujets "de souche".
Enfin merde quand on occupe la tête d'un Etat, on garde un minimum de distances !!!!!!!!!!!!!
Un ami astrologue (c'est le seul que je connaisse qui soit au fait de toutes les techniques mais inutile de le solliciter il ne consulte pas) vient de publier une étude astrologique sur "la Montini" à propos de la canonisation d'un pape assez franchement "démoniaque" non parce qu'il fut gay mais parce que ses passions on sans doute permis à certains cercles d'influence de le tenir sous leur coupe. Soit il a collaboré de son plein gré mais il se peut aussi qu'on l'ai fait chanter...
Attention : cette page donne un lien foireux vers un fichier en gzip et j'ai eu un mal de chien à en tirer quelque chose. Le lien télécharge un fichier sans extension et j'ai passé une heure à trouver une solution.
Vous trouverez ici un fichier en pdf reproduisant la page de catholicapedia, un site qui dénoncer certaines anomalies. L'inconvénient de ce pdf est qu'il n'est pas indexé sur l'évolution possible de la page. Je ne comprends pas du tout la politique de ce site. En fait, j'ai noté des tas d'anomalies sur ce site dont une partie aurait été récupérée dans le cache de Google.
Enfin beaucoup d'informaticiens sont tarés, l'est également celui de mon hébergeur qui interdit d'entreposer des fichiers txt qui sont sans danger.
Notez que les cagades façon gay friendly n'ont pas manqué à Rome, il faut se souvenir de l'admiration de Benoist XVI et de son très remarquable secrètaire pour le fameux Gay Circus !
L’Eglise catholique est une nouvelle fois face à ses contradictions. Elle condamne, hypocritement l’homosexualité, mais elle fait saint un homosexuel notoire. Franchement je préfère rire de cet énième épisode de la comedia del arte.
Mais l’article ci-dessus va beaucoup plus loin. Il accuse carrément l’archevêque MONTINI, en lien avec les services secrets britanniques et soviétiques, ainsi que le parti communiste italien, d’assassinats de prêtres. Ces liens avec les services secrets ne doit pas nous étonner, compte tenu de la présence de Neptune, maître de X en maison XII.
Ces assassinats, même si ce n’est pas lui qui les a commandités, peuvent aussi s’expliquer par le dc 7 où l’on voit Mercure, gouverneur du thème de naissance, en maison VIII et conjoint au Dragon, carré à la Lune maître de XII.
Cette canonisation frise l’imposture. Voilà à présent 3 papes franc-maçons qui sont canonisés en très peu de temps, comme si le temps pressait : Jean XXIII, Paul VI et Jean-Paul II. Le prochain sur la liste sera-t-il BENOIT XVI qui a reconnu en 2012 – ne riez pas – les « vertus héroïques » de PAUL VI.
Cette canonisation ne frise pas l'imposture, elle est pure imposture. Enfin quand je pense qu'il y a encore des jeunes qui se culpabilisent parce qu'il sont gays et vont jusqu'à se suicider, c'est à hurler !!!! Suivez vos penchants mais maîtrisez les !
L'histoire du catholicisme n'a été qu'une suite d'abus et d'excroqueries en tous genre. On ne peut pas nous demander d'adhérer à la soit disante "infaillibilité pontificale". Le Vatican n'est qu'une caverne de voleurs et de dangereux parasites...