GPA, PMA, avortement, transexualisme et Cie : petit essai d'inventaire d'une société bordélique (29/08/2018)

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MAJ arrivée quelques minutes après l'annonce du post :

A propos de votre récent post, deux petites précisions :

1) le fœtus a un ADN différent de celui de sa mère (forcément car sinon elle n'engendrerait que des filles, identiques à elle), le fœtus ne fait donc pas partie du corps de la mère, elle ne fait que l'héberger, et elle n'a pas plus le droit de le tuer qu'un aubergiste qui tuerait ses hôtes façon "Auberge Rouge".
 
2) En plus du phénomène de petits garçons élevés uniquement par une femme, sans repère masculin, on dénonce aussi de plus en plus qu'à l'école aussi, les garçons ne sont plus élevés que par des femmes, de la maternelle au CM2, les instituteurs étant très minoritaires, voire en voie de disparition. Non seulement, comme vous dites, ils sont supposés agresseurs sexuels par nature, mais nombre d'entre eux renoncent à l'enseignement primaire vu les risques d'accusations suite à une simple réprimande à un enfant, y compris 30 ou 40 ans plus tard...

Bien à vous.

Paul
 
 
Paul est un ami de longue date, réfugié politique de longue date. On s'est connu en tant que musiciens. C'est aussi un excellent juriste, très affuté qui a eu à soutenir des procès épuisants et qui plaide jusque devant le conseil d'Etat. Il s'efforce d'influer sur les décisions en cours des parlementaires (députés et sénateurs), chose que je ne peux pas faire n'étant pas assez "diplomate". Je vise un autre public, celui des particuliers qui n'ont pas encore la cervelle en compote. Il faut pour cela user d'un langage particulièrement imagé qui soit en prise avec un style plus contemporain que celui des polémistes d'ancien régime ou encore celui des bretteurs trop "vieille France" comme l'était un certain René Guénon. Il faut vivre avec son temps et s'adapter !
 
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Je m'aperçois que je n'ai pas su tenir ma promesse de prendre des vacances. C'est que quoique je fasse, je finis toujours par surmonter les coups de mou et la fatigue qui en résulte en rebondissant à la première occasion.

Quelques réflexions en vrac, tellement le sujet me casse la tête et tend à m'énerver tout en m'occasionnant des nausées. Enfin le moyen de surmonter le malaise c'est encore de tenter de l'affronter avec des idées claires....

Patience une vidéo amusante devrait vous récompenser de la peine prise à me lire. Il parait que fait et refait le tour du Web mais je suis assez casanier et je ne fréquente pas ou guère les "réseaux sociaux" qui sont une des inventions modernes les plus démoniaques et les plus aliénantes.

Les français et la GPA ! Majoritairement pour ? Archi faux !

D'après un Nouvel Obs datant de mars dernier, les français seraient pour la GPA, la gestation pour autrui.

Faux archi faux ! On nous prend pour des crétins des Alpes !

Seulement 32 % disent oui pour les couples hétéros et homos sans conditions. Mais on trouve au total 55% en décomposant des sous options. Un décompte à dormir debout ! Il n'y aurait dans ces 55% que 2% de oui pour les couples homos. En fait il manque le pourcentage pour les couples de lesbiennes, celui pour les couples d'homos mâles car ce sont les seuls chiffres qui pourraient être représentatifs d'une réelle ouverture des français. Mais on embrouille tout à dessein dans l'espoir de manipuler l'opinion de ceux qui sont réfractaires à cette pratique.

Pour ma part je considère toujours que rien n'est jamais mauvais en soi et que bien des choses peuvent être acceptables mais sous certaines conditions. Seulement plus on complique les choses au niveau des lois plus on entrave cette forme de créativité judiciaire qu'est la part de la jurisprudence...

J'ai assez étudié le droit pendant des années pour savoir que notre France républicaines a brillé par la sagesse de certains juges mais tout cela est en train de carrément foutre le camp... Et le Conseil d’État commence à donner des signes de faiblesse inquiétante dans certains domaines touchant notamment à la neutralité religieuse qui sied à une république bien née.

La PMA ? Elle va profiter uniquement aux couples de lesbiennes en aggravant un déséquilibre existant

Le curé d'Ars et les "filles mères"

Je me suis faire dire de tout par un brillant avocat du catholicisme (suivez mon regard vers les posts précédents) parce que j'ai raillé le curé d'Ars au motif qu'il était obsédé par les bal du samedi soir.

Il paraît qu'il n'était pas contre ces réjouissances mais que c'est seulement parce qu'il craignait que des filles n'y trouve l'occasion de devenir "filles mères" avec l'espèce de mort sociale susceptible d'en résulter.

Oh je sais, il ne manquait pas de discernement, quand il a été amené à auditionner les prétendus voyants de La Salette, il aurait émis des doutes à propos notamment de Maximin mais il se serait repris par la suite ou on aurait "rectifié" à son insu de plein gré ses dires, le problème étant que les dévots de cette très manifestement fausse apparition on été de fieffés manipulateurs.

Quoiqu'il en soit, sachant que le diable réside dans des détails, l'affection toute particulière du Curé d'Ars pour son tracassin personnel fait que le personnage, au demeurant très respectable et assurément très bien intentionné, m'inspire forcément quelques sourires en coin. Sourires certes assez bienveillants mais qui ne peuvent pas combler les aspirations d'une majorité de catholiques.

La multiplication des "filles mères"

Je veux bien croire que le curé d'Ars aura été motivé par sa charité chrétienne à propos des risques encourus par les filles lors des bals de toutes sortes mais il n'empêche que tout cela est "daté" et qu'il ne serait sûrement pas très content de ce qui se passe depuis que la Sécurité Sociale finance et encourage les filles à devenir mère sans la tutelle d'un père. Il n'y a plus lieu de parler des "accidents" bien qu'il en arrive encore puisque la légalisation du pis aller qu'est l'avortement permet d'en neutraliser éventuellement les conséquences.

Transformation en "mères célibataires"

En revanche, les portes sont désormais grandes ouvertes en faveur du phénomène que le saint curé aurait voulu combattre : ainsi quand on veut acclimater une anomalie on change le nom de la chose. Il est donc désormais interdit de discriminer les "filles mères", on doit se plier à une appellation neutre.

Le seul problème est que quand un garçon est élevé par une femme sans aucun référent mâle, ça risque d'être 9 fois sur 10 la cata ! Il risque d'être littéralement "endoctriné" et psychiquement émasculé par la tendance féministe à systématiquement criminaliser tous les mâles comme prédateurs potentiels. Qu'il s'agisse d'un hétéro ou d'un homo, le résultat ne pourra être qu'un adulte plus ou moins aliéné sexuellement et aussi socialement.

Avec la possibilité pour les couples de lesbiennes d'accéder à la PMA ça va être le bouquet !

Le fossé va une fois de plus s'élargir entre les deux sexes puisque les couples de mecs ne peuvent que recourir à l'adoption ou à la GPA. La première possibilité est très limitée. La seconde l'est encore plus à moins d'être richissime...

Ce que constituait déjà un déséquilibre avec la dédiabolisation des filles mères va donc s'accentuer d'une façon assez franchement scandaleuse. Encore heureux que les psychanalystes ne manquent pas de dire que l'absence de référent paternel est très préjudiciable. Mais comme ils n'ont pas bonne presse, il pèsent leurs mots...

L'orientation sexuelle comme élément identitaire

Le fait d'aimer les garçons de préférence aux femmes a pu être, dans des société qui considéraient l'amour des garçons comme chose parfaitement naturelle pouvait à la rigueur constituer un élément de l'identité d'un individu. Platon et Socrate on été des "pédés" et le second s'est exprimé en tant que tel mais il s'est efforcé de démontrer sa maîtrise à propos d'Alcibiade. Sauf que l'histoire est compliqué car Platon, à la fin de sa vie, a bel et bien anticipé, au moins d'une certaine manière, la hantise de la pédophilie telle qu'elle s'est imposée à nous. Il suffit d'ouvrir le nouveau catéchisme à la bonne page pour constater que la démoralisation vécu par le Platon vieillissant y a laissé des traces profondes. Ceusses que cela intéresse trouveront dans un numéro de mes Cahiers de Recherches une recension très claire à ce sujet.

En l'état actuel des choses, l'orientation sexuelle et particulièrement homosexuelle comme élément identitaire n'est qu'un piège tendu par le lobby LGBT pour embarquer tous les "homos" dans une croisade dont il ne peuvent être que les dindons d'une farce assez sinistre. Il faut qu'il comprennent que ce n'est pas en se travestissant et en se ridiculisant lors de ce carnaval d'été que sont les Gay Pride qu'ils peuvent gagner la sympathie d'un large public.

Le problème est que si parmi les "homos", il y eu autrefois une espèce d'élite avec des artistes de valeur, des chroniqueurs et des moralistes un peu à la mode du XVIIème siècle, des critiques de la société bourgeoise assez efficaces, cette génération, qui, non seulement a mêlé le meilleur et le pire a été de toutes façons étendue raide morte par l'épidémie de Sida. Cette dernière n'a guère eu qu'un effet positif en médecine en servant à mettre au premier plan le problème générale de l'immunité sous ses diverses formes, de la biologie au psychisme.

L'avortement, un progrès ?

On a vite fait le tour de la question : la légalisation de ce pis aller n'a eu que des effets négatifs. Les femmes considèrent les embryons comme partie d'elle-même et donc de leur corps de manière à pouvoir en disposer. C'est faux ! L'expression populaire qui parler d'avoir un polichinelle dans le tiroir lorsqu'il s'agit de grossesse non désirée exprime une vérité non manipulable. L'enfant à naître ne saurait être que littéralement un corps étranger à la femme qui le porte. Pas question d'en disposer et de le tuer pour convenance personnelle.

Il est désormais interdit de militer contre l'avortement mais il ne saurait être interdit de professer son dégoût et son mépris pour ses femmes qui avortent jusqu'à 7 fois de suite au point de se faire larguer par les organisme type planning familial et Cie. Une fois, sa passe, deux fois à la rigueur mais à la troisième ça devrait casser ! Enfin on ne manque pas de moyens de contraception.

Sur l'inégalité homme femme

Je suis bien conscient que le plaisir sexuel chez les femmes comporte un risque qui n'existe pas chez nous autres mecs. C'est le risque d'une naissance non désirée. A moins de procéder par la "porte arrière" selon un moyen de contraception éprouvé euro-méditerranée.

Je sais que c'est ragent de savoir qu'un mec peut baiser une nana et se tirer mais je n'y peux rien c'est à la "meuf" de faire gaffe. Pour ma part je suis absolument sans péché sous ce rapport. Je considère que lorsque les garçon font l'amour entre eux (et on peux bien se contenter de choses assez "superficielles") l'aglité ne se situe que quand aux risque d'attraper un MST mais il existe des protections efficaces que l'on peut fort bien inclure dans ses fantasmes. Du reste le lobby LGBT a réussi la performance qui consiste à avoir pu publier des petits romans photos de poche où on explique aux garçons comment mettre une "capote" et lutiner son petit copain. Ainsi sous prétexte de prévention, on a laissé ce lobby faire de la propagande en prêchant pour sa paroisse. J'ai plutôt tendance, bien que je sois "homo", à trouver ça assez choquant mais bon je me dis que ça n'a tué personne bien au contraire !

J'ai tendance à rire quand je vois dans Plus belle la vie, une grande bourgeoise tomber amoureuse d'une chirurgienne débutant qui a sauvé son fils Hugo. Mais bon je ne suis pas une femme, je ne peux pas savoir ce qu'elles peuvent ressentir. Je ne peux que juger de ce que j'ai expérimenté. ce qui est génial c'est, en principe du moins, la gratuité de la chose... On peut aimer plusieurs garçons en même temps ou à la suite sans que cela pose de problèmes insurmontables mais bon il y a une limite : çà ne peut durer qu'un temps. Au delà de 35 ans la situation risque de devenir rapidement assez improductive. Il faut avoir cultivé la contemplativité et les choses peuvent évoluer en une amitié et une simple complicité purement fraternelle ou paternelle. Sinon on se casse littéralement la gueule !

Mais enfin il y a tout de même des faits significatifs : les garçons peuvent fermer le cercle, tous les gars du monde peuvent certes se donner la main mais je ris quand je sais qu'ils pourraient être soudés et solidaires d'une façon beaucoup plus efficace.

Enfin je comprends que tout çà puisse faire raquer les meufs mais je n'y peux rien et si elles ne sont pas contentes elles n'ont qu'à adresser une pétition au créateur si tant est qu'ils existe sous la forme sous laquelle on se le représente.

Je souhaite à toutes les "garces" qui voudraient nous bouffer la cervelle faute de pouvoir nous couper la queue, bon courage. Elles sont loin d'avoir encore gagné la partie !

Le transexualisme

Je regrette de n'avoir pas pu noter tout ce que j'ai entendu comme connerie en matière de revendication d'unité sexuelle et c'est là un chapitre que l'on pourrait m'aider à développer en vue d'une actualisation de cette rubrique.

Il y a des hommes manifestement hommes qui ne veulent pas être appelés ainsi. Je pense à une émission de télé dont on m'a assez vaguement rapporté le contenu. Le fait de porter une barbe n'impliquerait pas qu'on parle nécessairement à un homme. L'intéressé étant susceptible de se vivre comme femme ou même comme n'étant ni homme ni femme. Mieux vaut se pisser de rire dessus quand on entend ça car on est là dans la parodie d'une rubrique plutôt "spirituelle". Celle du mythe de l'Androgyne, un adolescent ou un jeune pas trop usagé peut revendiqué une allure androgyne quoique je pense qu'il ne faut pas confondre ce qui relève d'un reste d'enfance et ce que l'on considère à tort comme une tendance efféminée.

J'ai à ce propos, la chance d'avoir des repères musicaux : parmi les gens qui sont pratiqués sur mon instrument il y a les dialogues qui se marquent par une opposition forte/piano mais pas que. Dans la réponse "piano" (douce) les fréquences aiguës sont prédominantes certes mais pas que. Ce que je veux dire c'est que pour une oreille sensible, s'il existe une communauté de d'échelle ou de registre, la diction et le timbre comparé d'un chant d'enfant avec un chant de femmes, évoquent des choses bien différentes. La femme véritable, si l'on peut dire n'a rien à voir avec les planches à pain revanchardes et criardes que la mode nous impose. Soit dit en passant la Bartoli n'existe pas à côté de la performance si naturelle d'un Philippe Jaroussky. La Bartoli, elle me donne l'impression de n'être pas loin de cracher ses poumons pour suivre la cadence...

Je ne sais pas si, pour nous autres créatures à 5 membres, le fait de pouvoir couvrir un registre très étendu du grave à l'aigu, rien que par une simple technique vocale appropriée, sans se faire couper les coucougnettes est une preuve de supériorité mais sur le plan symbolique ça m'en a tout l'air.

Cela dit, je suis tolérant à l'égard des "trans". Sauf si le faire de vouloir passer du statut de mecs à celui se meufs n'aboutit qu'à produire une folle tordue de plus. Mais j'avoue ne pouvoir être qu'un mauvais juge. En effet la plupart des femmes sont si "contrefaites" par leur manie d'être toujours dans la séduction qu'il m'est, au final, bien difficile de différencier vraiment le modèle de sa parodie éventuelle. J'ai de la sympathie pour certaines femmes, en général elles se déclarent peu féminines mais en aucun cas je ne peux les confondre avec des hommes. A mes yeux ce sont là des "femmes normales" et je trouve non moins normal et légitimes qu'elle revendiquent une autonomie et je la leur accorde volontiers.

On ne nous dit pas tout  !

La transformation d'une fille en garçon a donné lieu à un miracle, le miracle s'appelle Dimitri dans Plus belle la vie. Dans le civil il est devenu Jonas Ben quelque chose. Le cas est d'autant plus remarquable qu'il ne s'agit pas d'un "français de souche". Je sais qu'on lui a greffé un "zizi". S'agit-il d'un "zizi" venant d'un donneur décédé comme par exemple un jeune qui serait décédé d'un accident de moto et aurait fait don de ses organes ou s'agit-il d'une imitation de "zizi" à l'aide de tissus emprunté au patient de ci de là. Et dans tous les cas de figure est-ce que cette "pièce rapportée" est bien animée d'une capacité de réaction émotionnelle et plus encore d'une sensibilité capable de procurer à un Dimitri une extase et des orgasmes lorsqu'il viendrait à s'en servir. Franchement j'ai des doutes. Je ne vois pas comment on aurait pu lui greffer une prostate laquelle joue un rôle de premier plan dans les orgasmes masculins, y compris quand on l'active par une porte dérobée.

Si j'avais 40 à 50 ans de moins j'aurai eu le béguin, si j'avais pu croiser un "Dimitri reconstitué" mais n'aurais-je pas été un peu déçu en constatant que sa prothèse n'est pas susceptible de donner le change. Mais enfin s'il est content je n'ai rien à dire. Chacun voit midi à sa porte !

Conclusion provisoire

ce qui semble en voie d'acceptation généralisé c'est que les enfants et particulièrement les garçons élevés par un couple d'homos mâles que ce soit au terme d'une recomposition conjugale ou autrement ne son pas malheureux et ne deviennent pas forcément "homos" eux-mêmes.

Pour le reste, il y a encore beaucoup de chemin à faire si j'en juge par ce qui se passe lorsque débarquant dans un village de ploucs, il y a toujours des gens jaloux pour se venger de leur vide sentimental et sexuel en voulant combler celui des autres quand ils ne le souhaitent pas. Que l'on soupçonne quelqu'un qui ne reçoit pas de femmes chez lui de baisé ou d'avoir baisé du "mauvais côté", cela peut se comprendre. Mais quand il ne reçoit personne et se montre assez taiseux et quand il y a encore des gens pour faire des contes ou vouloir lui nuire quand ils se sont fait remettre en place, et cela plus d'une décennie plus tard, on est obligé de se demander quel est le bilan de l'agitation du milieu LGBT.

En France, il est non seulement à peu près nul et même assez franchement négatif ! Ailleurs je ne sais pas, je n'y vis pas. Enfin je crois qu'il existe chez nous une mentalité réactionnaire très haïssable. Elle a émané d'une certaine "contre-révolution" mais elle s'est largement exportée au delà et à quasi complètement gangréné une bonne partie de la mentalité purement laïque. Enfin de quelque façon que l'on examine la situation, rien ne va plus. Et les "cagades" du Vatican ne sont guère que le reflet de la maladresse de gens totalement incapable de maîtriser la situation.

On n'a pas encore vu la fin des scandales de "pédophilie" dans le monde catholique, certains ne sortiront probablement jamais comme la relation de ce qui s'est passé dans et autour d'un séminaire lillois à propos du décalque d'un "Preynat" toujours en fonction mais en tous les cas, il n'est pas honnête de prétendre que le phénomène est minoritaire. C'est absolument faut : partout où a existé un cadre autoritaire pour manager des enfants ou des jeunes (scoutisme, séminaires etc...) il y a eu, bien placée à la tête ou dans les rangs de la hiérarchie des brebis galeuses qui ont fait de très gros dégâts.

Post-Scriptum

Rappel de la "fonction de la pédérastie"

Voyez https://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Pedophilie-pe...

Quand un journal catholique n'est même pas capable de définir correctement les mot pédophilie, pédérastie et éphébophilie, c'est à hurler. Et à VOMIR !

La racine Philein dans "pédophilie" désigne un amour abstrait comme dans philo-sophie, pédérastie assemble paida (enfant) et erastes (amour sexuel) sauf que les Grecs avaient fixés des limites (autour de 16 ans), quand aux éphèbes, il ne saurait être question que le mot puisse concerner les filles et donc les deux sexes !!!!!!!!!!!!!!!!!! C'est vraiment du n'importe quoi ! Il faut vraiment être complètement taré pour ne pas savoir ceci:

Un éphèbe (en grec ancien ἔφηβος, éphêbos, contraction de ἐπί-ἥβη, dérivé de ἥβη hếbê, la jeunesse, cf. la déesse Hébé) était, chez les Grecs anciens, un jeune homme, en pratique un garçon ayant quitté l'autorité des femmes. Par extension, le terme désigne aujourd'hui un jeune homme d'une grande beauté.

Quand à la beauté si particulière de certains garçons, durant une période très courte, elle n'a rien à voir avec une quelconque féminité mais passons.

Parenthèse sur une "opiomanie catholique"

Je plains le pape François dont la langue a fourché car je pense que c'est un assez brave homme mais il est complètement dépassé, néanmoins je me réjouis que l'Eglise romaine soit dans la tourmente et je dis à ceux qui veulent conserver leur foi, si vous avez une requête à faire adressez vous directement au "bon Dieu", plutôt qu'à ses saints, à Jésus, à la Vierge Marie à qui vous voudrez mais de grâce fuyez l'ambiance toxique de cette église.

J'irai même plus loin : si vous aimez la musique religieuse et l'orgue particulièrement soyez sur vos gardes : tout cela n'est que pur opium ! La remarque vaut également pour les concerts baroques ! Sachez que si je remplis un office à cet égard, c'est uniquement pour faire vivre un instrument appartenant à notre patrimoine culturel dont la conservation à coûté très cher. D'autre part ce n'est, à mes yeux, qu'une simple occasion de cultiver et d'entretenir une technique d'en développer la maîtrise et de gagner en liberté dans son jeu. Dans les conservatoires, on contracte automatiquement une maladie nosocomiale appelée trac qui, à ma connaissance est inconnue en Orient. Cette "maladie", il faut bien le dire peut-être surmontée et donner lieu à une ou des rémissions, mais on n'en guérit pas parce qu'elle résulte de ce qu'il faut bien appeler une situation fausse

Cela dit, la liturgie s'est tellement dégradée que je ne risque guère de sombrer dans une quelconque addiction ! Elle pourrait bien retrouver son éclat que le charme ne risquerait pas d'opérer. En fait il n'a jamais eu vraiment de prise. J'ai toujours écouté les homélies avec attention mais je me souviens aussi que pour surmonter un certain ennui, je n'avais guère d'yeux que pour les garçons que je trouvais charmants. Sauf que celui que j'avais trouvé le plus à mon goût était toujours au dernier rang. Ainsi, j'avais l'excuse de pouvoir admirer le buffet de mon instrument favori avant de laisser redescendre mon regard vers le jeune gars qui m'avait "allumé" sans le savoir. Il portait du reste un nom prédestiné puisqu'il s'appelait Briquet. Le feu n'a jamais pris rassurez vous ! J'aurais sans doute été déçu si cela avait été le cas. On est souvent victime de projections malencontreuses dans cette sorte d'amourettes...

Revenons à nos moutons   

Je rappelle en ce qui concerne la "pédophilie" que derrière la hantise savamment orchestrée, il existe un besoin manifeste de systématiquement criminaliser la pédérastie, qui ne s'adresse pas à des bébés ou à des impubères mais à des adolescents en état de fonctionner sexuellement. Une relation d'amour entre un adolescent et un jeune adulte est redoutable pour le "Système" car s'il s'avérait capable d'immuniser son "élève" contre le "formatage" en vigueur et bien le "Système" il pourrait aller se rhabiller.

Mais un tel contrefeu est inimaginable, d'abord parce qu'il ne peut pas exister assez de "pédérastes" compétents pour lutter efficacement et que d'autre part, il faut être complètement à la masse pour oser se risquer à ce jeu où l'on ne peut que perdre à tous les coups. En revanche, on a le droit de dire ce que l'on pense de ce qui se passe réellement et mis à part des hystériques des deux sexes qui ne comprendront jamais rien à rien, ceux qui tirent vraiment les ficelles derrière le concept de "Système" façon Orson Wells 1984 on inventé une parade très efficace pour empêcher que la solidarité "homo" puisse servir de canal à un certain type de transmission éducative.

On ne pouvait pas continuer à brimer les "homos" comme on l'a fait, le mieux était de les inciter à consommer et en fait, il ne s'agit là que d'un cas particulier car sous ce registre, le plan vise autant les hétéros que les homos.

J'ai commencé la lecture d'un livre fort intéressant intitulé La cité perverse. Je n'en suis qu'au début et je risque de trouver à redire sur certains points de détails. Tout ce que j'ai dit et écrit en relation avec les problèmes liés à la sexualité me semble s'accorder assez parfaitement avec ce que dénonce l'auteur. Il est clair que nous vivons bien dans une pornocratie et si certains se sont imaginé que je poursuivrais un dessein hédoniste à la Michel Onfray, il leur faut réapprendre à lire ou du moins à se concentrer sur ce qu'on leur donne à lire.

Mieux vaut rire que pleurer !

Je terminerai cette revue assez expéditive par l'évocation d'un lapsus assez "miraculeux" puisqu'il a eu pour cadre la ville de Lourdes.

 

 

 
 

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