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"Le petit prince de la rue" n'était qu'un vulgaire petit "truqueur"

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MAJ du 2/9 : La vérité finit par se faire jour, voir :

https://www.bfmtv.com/societe/l-histoire-de-maelig-le-petit-prince-de-la-rue-remise-en-cause-par-son-pere-1515270.html

C'est bien un petit "truqueur", une semaine avant il était en vacances à Toulon et a été mis en garde à vue. Il a offert des cadeaux coûteux à la famille qui ne peuvent être que le produit de rapines. Il est méchant avec sa famille et s'est toujours pris pour le centre du monde. S'il devait emménager avec une copine soit c'est un mytho soit elle a vu clair et l'a jeté...

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Je suis tombé, comme beaucoup, sur le joli minois (enfin d'assez loin et même de très loin...) de ce "petit prince" qui a suscité un élan de solidarité. Mais quand je me suis rapproché de la créature, par une vidéo interposée, le charme au demeurant très relatif a cessé brutalement d'opérer. La tendresse a fait place à de la répulsion. Ce que les gens peuvent être aveugles...

On apprend qu'il a été en foyer deux ans et a filé. Donc les assistantes sociales et les "psys" ne sont pas arrivés à en faire quelque chose.

Vous me direz que veut dire "truqueur" ?

"Truqueur" est le terme autrefois consacré par les "homos" (avant mai 68) pour désigner ces jeunes à la dérive qui avaient recours à toutes sortes de manigances pour éventuellement se faire héberger et restaurer par un "pédé" et le voler voir même le massacrer plus ou moins consciencieusement. Les manigances ça allait du faux SDF au faux amateur d'attouchements. Autrefois la drague avait surtout lieu à l'air libre et l'on était en principe rompu à l'exercice consistant à séparer le bon grain de l'ivraie ou à pratiquer le discernement des esprits très utile en ce genre d'occasion. Nous autres prétendus "prédateurs" avons du flair. Le métier d'assistant social on a connu çà. On a volontiers passé la main en faveur des institutions dédiées au secours de la jeunesse à la dérive. Si un jeune se retrouve à la rue, il a des chances d'être plus ou moins irrécupérable.

Quand l'intuition féminine s'est faite la malle...

Notez que ce que je trouve assez savoureux c'est qu'aucun "collègue" ne semble être tombé dans le panneau. Il n'y a guère eu que des "meufs" (jeunes et vieilles confondues) pour s'être faites pigeonner  après avoir été alertées par tout un tintouin médiatique du fait de ces incontournables et maudits "réseaux sociaux". Une mamie s'est fait couillonner de son smartphone et a porté plainte ! Il fallait s'y attendre et je ne vais surtout pas la plaindre. Il semble que la fameuse intuition féminine ait vécu. En fait selon la revue Psychologie elle n'aurait même jamais existé.

 

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