Harcèlement de rue : Affaire Marie Laguerre, et si c'était une sorte de "montage" (29/08/2018)

Frottez vous les yeux, regardez attentivement la vidéo et lisez bien en vous concentrant sur chaque mot...

Observez bien cette vidéo, elle révèle au moins un détail ou plutôt des détails assez singuliers...

Toute se passe dans le champ de vision de la caméra de surveillance de l'établissement dont on voit les clients. Le fille et son harceleur se croisent au delà de la terrasse. La fille est court vêtue, au ras de la moule pour être clair. Autrement dit, si la provoc n'excuse pas le harcèlement textuel, sa tenue que l'on aurait dite "immodeste" autrefois n'est celle qu'on attend d'une "honnête femme".

Elle répond "ta gueule" aux bruitages à visée sexuelle du type et tout se passe comme si elle avait préalablement repéré les lieux, prévu l'agression et la possibilité qu'elle soit filmée et finalement exploitée sur Face de Bouc de sorte que :

Cette dénonciation et les images ont été relayées massivement sur les réseaux sociaux. Marie Laguerre avait alors enchaîné les interviews dans les médias français et internationaux. Avec le soutien de militantes féministes telles que l’association Les Effrontées, elle a, depuis, lancé une nouvelle plateforme en ligne#NousToutesHarcèlement – pour partager les témoignages similaires de femmes agressées dans la rue.

Et qu'apprenons-nous pour finir : que le type n'est pas un individu normal, qu'il est soigné dans un Hôpital psychiatrique, qu'il a caillassé une voiture et qu'il s'est fait serrer environ un mois après l'agression du 24 juillet en tant que déséquilibré mental caractérisé.

Je ne peux évidemment pas prouver à l'aide de cette vidéo que la fille avait repéré le type, que ce dernier passait régulièrement devant le bar, qu'elle l'aurait sciemment provoqué par sa tenue pour le "piéger" devant une caméra mais ce qui est suspect c'est que pour une étudiante se voulant ordinaire, comme les autres, enchaîner les interviews des médias français et étrangers avec le soutien d'une association effrontée n'est pas l’attitude normale d'une fille modeste. Cela pue la mise en scène jusque dans le coin, proche de la caméra ou la prétendue victime s'est fait claquer au point que son abondante chevelure ait volé.

Quoiqu'il en soit, ce qu'il convient de retenir, c'est que la démonstration va à l'encontre du but poursuivi qui est de prouver que beaucoup d'hommes harcèleraient les femmes dans la rue. Il s'agit, je le répète d'un malade mental ! On peut même ébaucher un diagnostic rien qu'en voyant l'atittude du type, très sûr de lui, qui ne fuit pas mais visiblement ne se prend pas pour de la merde. On le voit même discuter assez calmement avec des employés du bar et repartir non moins calmement.

Enfin ce n'est pas la police qui a requis la vidéo mais la fille qui n'a pas souhaité de confrontation... Je cite :

Outre son aveu, il a également été identifié par la victime dans le commissariat du 19e arrondissement parisien où il avait été placé en garde à vue. Il n’y a toutefois pas eu de confrontation. « Je ne l’ai pas souhaité, et cela n’était pas nécessaire », les photos comme les premières déclarations du suspect montrant clairement qu’il s’agissait de son agresseur, a-t-elle dit à l’Agence France-Presse.

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/08/29/...

Concluez-vous mêmes ! Le moins que l'on puisse dire c'est que tout cela est gerbant ! Par chance je ne risque pas d'être classé parmi les mâles harceleurs, les bonnes femmes court vêtues qui dandinent du cul me laissent de glace et n'excitent que mon souverain mépris pour ces allumeuses. Les chiennes de garde, les effrontées il faudrait les fouetter publiquement mais elle n'attendent que cela pour se dire victimes innocentes. Ha ils sont beaux les ex machos qui n'osent même pas répliquer en faisant les constatation que j'ai faites et en soulignant que tout cela est plus que suspect !

Pour ma part je ne crois pas à un tel enchainement de hasard mais c'est à croire que les gens ont de la merde dans les yeux...

Souvenirs de métro

Je n'ai pas mis les pied à Paname depuis au moins une quinzaine d'année si ce n'est plus. J'ai le souvenir de n'avoir vu que des zombies dans le métro. Je n'ai assisté à aucun incident du type harcèlement.

Mais dans les années 60 il en allait tout autrement, aux heures de presse les hommes avaient tendance à se séparer des femmes et là où les mecs, jeunes et plus vieux confondus s'entassaient, les pelotage de fesses et de couilles ça y allait. Bon mais ça se passait sans anicroche, si on aimait pas on envoyait un petit coup de talon discret sur les orteils de l'importun et il n'insistait pas. Je me souviens de m'être fait pister plusieurs fois dans les couloirs quand j'avais la vingtaine. Pas méchant suffisait de faire demi tour brusquement pour surprendre le suiveur. Tout ce que je regrette c'est que ces admirateurs anonymes n'aient jamais été à mon goût, s'il se fut agi de jeunes de mon âge, j'aurais sans doute réagi autrement.

Il peut se trouver des dingues qui se masturbent en public mais ce que j'ai vu et vécu n'est absolument plus d'actualité. Avec la libéralisation de la pornographie sur Internet, la plupart des gens se lâche en se branlant chez eux au point de devenir autistes, et je ne crois pas un seul instant que la parisiens d'où qu'ils viennent se soient relâchés au point que ce qu'un Marie Laguerre raconte soit fiable ! 

Un nom prédestiné

Laguerre est-ce son vrai nom, ou un pseudo ? Dans un cas comme l'autre il s'avère significatif d'un besoin de "règlement de compte". Pauvres types que ceux qui la bouclent en se laissant impressionner...

Je suis persuadé que la Marie dont il s'agit a calculé son coup en choisissant au moins le cadre mais quelque part elle l'a bel et bien raté ! Qu'on se le dise !

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