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Assez parlé du Vatican et de ses sodomites aussi endurcis qu'empourprés... Empourprés certes, mais point par la honte... Changeons un peu d'air. Celui que l'on va évoquer est-il plus respirable ? A vous de juger !
Un livre est paru en 2017, Queer city, l'homosexualité à Londres, des romains à nos jours...
Si l'on se réfère à internet, Queer est un terme parapluie regroupant les minorités sexuelles et de genres (personnes non-hétéronormées, non-monoamoureuses, non-cisnormées, non-dyadiques). Depuis les années 2000, les mots allosexuel et altersexuel constituent des tentatives de traduction en français.
Bref, il est deux termes qu'il faudrait bannir, c'est "homosexualité" car ce terme relève d'une médecine légale excessivement tardive à vocation norminative et surtout policière. Et Queer, qui recouvre tout un fatras assez franchement merdique à tous égards soit un concept qui tend à me faire venir de l'urticaire.
Je n'ai rien contre les gens qui ne sont pas content de leur sexe et qui veulent en changer, cela les regarde. Dans le cas d'un certain Dimitri, rendu célèbre par Plus belle la vie, le cas de cette fille transformée en garçon est apparemment réussi mais il est toujours à craindre, en allant regarder sous la ceinture, d'être un peu déçu.
Quant à la transformation de mecs en gonzesses, je crains qu'on ait fait le tour de la question avec le théâtre et la célèbre "cage aux folles".
Merci bien ! Je suis désolé mais ça ne m'inspire aucunement. Le transformisme, passe encore pour les cas d'intersexualité où il faut éventuellement trancher, que ce quoi au figuré ou même au sens propre.
A mes yeux, il n'existe, dans le domaine de ces "variations" qu'une seule option qui soit pleinement "fonctionnelle" et c'est l'amour des garçons. Ni trop jeunes ni trop décatis. Embourgeoiser ce dont il est question sous l'étiquette de "mariage" est évidemment chose problématique.
Le livre dont il est question paraît bien avoir démontré un penchant assez marqué des Londoniens, voir des anglais en général pour leur propre sexe ce qui serait une preuve de bon sens, si la chose ne s'était pas accompagnée d'une tendance particulièrement marquée à mélanger le masculin et le féminin avec plus ou moins de mauvais goût. Le livre ne paraît pas suivre une perspective historique donc chronologique mais s'attacher à décrire diverses nuances de comportement et de goût où le caractère "homo" domine.
Sont passés en revue les mous et les fuyants, les frotteuses, les esclaves suceurs, les "mouillés", les Miss Molly, les Flats, les Tiddy dolls, les chevaucheurs de croupes, les omi-palone etc...
J'ai envie de répondre : n'en jetez plus la cour en est pleine ! Beurk, c'est par certains côtés assez gerbant ! Et je me suis arrêté au milieu du livre.
Je tâcherai de le reprendre mais je ne garderai sans doute pas une idée bien nette de son contenu. Je vois que puisque ma tribu est d'origine albionique, que j'ai de qui tenir sauf que tout ce qui est efféminé, à plus force raisons si c'est parodique me dégoûte et surtout me hérisse !
Finalement et comme l'auteur a lourdement insisté sur tout ce que l'homophilie londonienne a pu produire de folklore assez flamboyant et que c'est la seule chose qui parait faire bander ce Peter Ackroyd, on peut se demander s'il a bien démontré que Londres aura été pire que Paname en tant que capitale réputée sodomitique. Tout cela est assez glauque pour dire le moins.
Le livre ci-dessus, pourrait bien constituer, le pendant hexagonal de ce que j'évoque pour Albion. Je dis "pourrait" car je ne l'ai pas lu, je n'en ai vu que des extraits sur Google Books alors que je cherchais à élucider ce que raconte Montaigne à propos d'une église de la porte latine en périphérie de Rome.
Cela dit, je n'ai connu un Paris qui n'était pas encore gay seulement au lendemain de mai 68. J'ai visité par curiosité une sorte de "catacombe" au lieudit La Sorbonne ou un certain Daniel Guérin aurait pratique un strip-tease devenu historique. Je me souviens que l'on m'a fait visiter un sauna particulièrement miteux dont je suis vite ressorti mais quoique l'efféminement était encore à l'ordre du jour et que la mode des "tantes" n'avait point encore passé de mode, il me semble, à en juger par les lectures historiques que j'ai pu faire, que Londres a bien mérité le pompon sous le seul rapport d'un baroquisme de très mauvais goût.
Sauf que je sais par expérience, que la "chose" reste nécessairement plus humaine et plus conviviale à mesure qu'on remonte vers la froideur surtout quand l'humidité s'en mêle. Il ne faut donc pas se laisser tromper par certaines apparences. C'est l'occasion de dire, puisque j'aurai bientôt 40 ans d'expérience d'une humanité sudiste que, tant sous le rapport considéré que sous celui d'une sociabilité générale, il est à craindre d'avoir à dire qu'elle ne vaut pas le déplacement !
En revanche, les paysages sont fascinants par leur caractère accidenté et leur qualité de Feng Shui excessivement variable.
Enfin je ne manque pas de faire la différence chaque fois que je remonte un peu vers le pôle.
MAJ 14/12: Par bonheur Cherif Chekkat, le tueur fou de Strasbourg vient de se faire serrer pendant que le Premier ministre se faisait secouer à l'Assemblée. Cette arrestation devrait contribuer à éclaircir la situation en ce qui concerne les Gilets Jaunes et leur programme.
On a bien vu qu'en ce qui concerne les "gestes" du gouvernement c'est du pipeau ! Personne ne semble avoir remarqué qu'en fait de suppression de taxes sur les produit pétrolier, il ne s'agit en fait que d'un allongement du moratoire.
Je n'avais pas vu que lors du dernier "synode" de l'UPR, Emmanuel Todd a siégé au côté d'Asselineau. ce sont les deux seuls intervenants qui disent la vérité en soulignant que ce que n'ont pas compris les Gilets Jaunes c'est que la marge de manœuvre du Président est excessivement limitée à moins de faire cracher les riches au bassinet. Mais resterait à indiquer comment procéder pour que cela ne cause pas d'effets secondaires indésirables.
Todd, dans une des vidéos a dit en rigolant qu'il ne craint pas une révolution mais plutôt un coup d'Etat, et en fait un resserrement de la vis... On notera qu'il a déjà eu lieu, le fait d'avoir "grillé" Fillon et d'avoir mis le FN en travers comme épouvantail, je me demande bien ce que c'est si ce n'est pas un "coup fourré d'Etat" !
A propos des rumeurs de complot lancées à propos de la fusillade de Strasbourg, elles sont parfaitement ridicules, surtout quand elles émanent de certains Gilets jaunes et l'on rappelle que la diffusion, même de bonne foi, de fausses nouvelles peut coûter 75 000 €. Peut-être que Cherif Chekkat voulait saborder le mouvement des Gilets jaunes, allez savoir ce qui se peut passer dans la tête de ce genre d'olibrius ;>)). Les simples coïncidences peuvent suffire à faire diversion.
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Le genre d'arrogance dont le triste sire qui siège dans le palais construit à l'origine par et pour le Comte d'Evreux, et qu'il a "distillée" au bénéfice des français les plus mal lotis, il est des citoyens, en province, qui la vivent au quotidien de la part de gens qui se prennent pour des "notables". En parlant de violence quotidienne, je ne suis pas en train de vous dire que votre serviteur se ferait violenter chaque jour que Dieu (ou le Diable) fait ! Dieu, merci.
En revanche, il s'agit d'une pratique courante, ce sont des réflexions déplacées et humiliantes, qui tombe sur l'un, un jour et le lendemain sur tel autre... Et hier mercredi ce fut mon tour...
Je me rappelle de l'ère Sarko, pendant laquelle je me suis trouvé, les années d'avant la retraite, au chomdu, j'ai été traité de "parasite". Notamment par des nantis qui ont eu, pour leur commerce, des parents avant eux. Je ne parle pas des problèmes et des menaces éventuelles résultant de ce qu'on peut appeler, pour n'avoir pas à entrer dans des détails trop précis, les tendances maffieuses à l'œuvre dans le Grand Sud.
L'humour et la dérision seront bientôt interdits...
Et vous allez finir par comprendre pourquoi ! Un peu de patience !
Une fusillade plus ou moins "opportuniste"
Vous n'êtes pas sans savoir que mardi soir une fusillade islamique a éclaté à Strasbourg. Immédiatement sur le Net, le gouvernement a été soupçonné de connaître un moment d'extase parce qu'il s'agit d'un drame bien susceptible de constituer une diversion, susceptible, au moins momentanément, de détourner l'attention publique du problème causé par les Gilets jaunes qui voudraient s'incruster.
Mais il y a pire : ce qui est plus grave, c'est qu'une rumeur de complot à couru le Web pour insinuer que le communiqué de la Préfecture concernée conseillant aux gens de demeurer à l'abri chez eux aurait été diffusé 9 heures avant l'attentat qui serait produit avant 20 h 47.
Il faut être clair : les manipulations, provocations et Cie sont de toutes les époques mais si la nécessité s'en était vraiment fait sentir, je pense que l'on aurait utilisé des moyens à la fois plus simples, beaucoup moins risquées et surtout plus efficaces. La ministresse de la Justice qui n'est pas folle a immédiatement déclaré qu'il n'y avait pas matière à déclarer l'Etat d'urgence.
Je n'ai même pas lu l'article : j'ai de suite compris qu'un petit malin avait réglé l'heure de son système d'exploitation sur je ne sais quel fuseau horaire, disons américain ou pire encore. Ben oui, non seulement j'ai pratiqué la micro informatique dès 1985 mais j'ai été responsable d'un service universitaire... Comme vous pouvez l'imaginer cela m'a beaucoup amusé. Sauf que la farce ne risquait pas de prendre...
Horreur du voyeurisme
Vous noterez que je me suis abstenu de m'enquérir des détails de l'attentat et ce pour 2 raisons :
Quand on en arrive à se précipiter sur les infos relatives à ce genre de drame, cela relève souvent d'un voyeurisme assez malsain.
Si on veut savoir quelque chose, il faut attendre que les enquêteurs aient le temps de faire leur job et que les choses se décantent.
Nous sommes jeudi matin, je campe toujours sur mon abstention initiale et j'expliquerai pourquoi plus loin. J'ai observé, en cette matière, un genre de "pathologie sociale doloriste" qui soulève un certain nombre de questions.
Une scène de "violence sociale ordinaire" : le cadre
Je vis assez loin de cette métropole qui sert de capitale à notre fameuse "Côte d'Usure". Je n'ai rien à priori contre les "ploucs". Je suis moi-même petits fils de paysan issu d'un point particulier de la portion nordiste de notre infortuné hexagone.
Je vis au milieu de montagnards sudistes et ces gens là regardent assez volontiers leur semblables de très haut. Surtout lorsque ce ne sont pas des natifs du pays. La réflexion favorite d'une méchante sorcière qui règne sur une collection de "croûtes" dont je ne voudrais point pour décorer la niche de mon chien (si j'en avais un), adore, pour toiser les gens auxquels elles souhaite en imposer, en déclarant qu'elle est d'ici. Au point qu'elle a bien failli un jour prendre un coup de canne en montant dans une navette. Figurez-vous qu'elle m'avait cherché noise à tel point que je lui avait réglé son compte par une lettre dont une copie a un peu circulé dans le patelin. Ce qui m'a valu un remerciement très chaleureux d'une dame. Un contentieux était survenue entre elles à propos d'une sombre histoire de panier de Noël. Auparavant elle m'a envoyé les pandores, bien évidemment ces derniers n'ont jamais été informé du contenu de l'épître de sorte que j'ai répondu que si elle voulait porter plainte j'étais prêt à comparaître de sorte que je me ferais une joie de faire rire la galerie...
Il règne dans le secteur ce que l'on appelle une mentalité insulaire. Elle résulte de deux facteurs, le premier est un héritage de l'enclavement de certains lieux assez éloignés de la ville. L'autre facteur c'est le souvenir des razzias infligés durant des siècles par ceux que l'on appelle les barbaresques. C'est la raison pour laquelle beaucoup de villages sont "perchés" et parfois accrochés à des éperons rocheux. Et il existe entre certains de ces villages des haines séculaires qui resurgissent lors des sacros saints "festins".
Confidences confidences
Notez encore en passant que le terme employé est assez galvaudé. Je n'ai rien contre la cuisine niçoise traditionnelle, bien au contraire et je présume qu'avec l'industrialisation de la bouffe la qualité a singulièrement baissé. Notez que si j'accepte de participer au déjeuner mensuel de l'association des ancêtres locaux, c'est parce qu'on a eu la bonne idée de me placer près de gens que je connais bien et qui m'aiment bien. Mais quand au repas de fêtes patronale, je les boude d'abord parce que je n'aime pas passer des heures à table et qu'il y a tellement de bruit à cause des centaines de personnes présentes qu'on ne peut pas s'entendre.
Quand aux spectacles style majorettes, French Cancan avec ou sans prestidigitation, çà m'ennuie. J'évite sauf pour le rinçage de gueule qui suit les vœux du Maire. J'image que si j'avouais que ce dont je viens de parler ne me fait ni chaud ni froid, il y aurait un ou deux mauvais esprit pour insinuer qu'une tribu de Chippendales me ferait plus d'effet.
Et bien pas du tout, d'une manière générale tout ce qui est tentative de séduction outrancière me gave. Et comme les femmes s'ingénient, pour au moins 90% d'entre elles, à cumuler les artifices et à surjouer, l'ennui risque de se muer en mépris.
Notez encore que l'érotisme le plus subtil réside dans la suggestion et consiste donc à montrer tout en cachant.
Nul besoin de s'enfermer dans un espace clos et plus ou moins enfumé pour éventuellement apprécier cette sorte d'excitation. Il suffit de descendre en ville, de marcher dans une rue passante et d'observer. On trouve largement de quoi se livrer au moins à la simple contemplation.
Je signale en passant que l'exercice ne peut présenter un réel intérêt que quand on daigne se poser la question : pourquoi telle ou telle image me fait de l'effet. Je pense qu'il est non pas seulement utile mais impératif d'analyser ses fantasmes, de chercher à discerner ce qu'il recouvre et éventuellement de les déconstruire. La première chose qu'on apprend quand on s'intéresse à la psychologie c'est à se méfier de nos propres projections.
Soixante dix ans d'auto analyse quasi permanente m'ont sans doute immunisé contre le risque d'être subjugué qui que ce soit. Ce genre de lucidité est assez pénible à vivre au moins au début car sans lire textuellement dans les pensées, je devine immédiatement la teneur de ce qu'un interlocuteur ou une interlocutrice va me sortir. Je ne me souviens guère d'avoir connu des surprises agréables.
Mais rassurez-vous, je ne souffre pas du tout. J'ai fait mon deuil d'à peu près tout. Je n'attends plus rien. Je n'aspire qu'à une chose : ne pas mourir idiot et si possible en bonne santé au moins apparente et bien sûr le plus tard possible car si le spectacle qui s'offre à nous m'apparait de plus en plus irréel, je ne crains guère qu'une chose. Puisque j'ai hérité d'un petit pécule, la seule menace tangible est celle d'une nouvelle crise économique, nécessairement pire qu'en 2008. Mais alors nous serons à peu près tous dans la même galère.
Il m'arrive du reste d'exploser de rire et çà m'est arrivé plusieurs fois ces jours-ci en auditionnant des vidéos d'Emmanuel Todd portant sur Macron et son macronisme. Il est des travaux de précision répétitifs qui deviennent fastidieux si on doit les exécuter en silence alors comme il n'y a rien à voir dans les vidéos d'interview ou de conférence, on peut s'affranchir des images. Je suis en train de vous préparer une petite sélection du tonnerre de Zeus.
Parenthèse au sujet de Tobias Smolett
On me reproche d'être toujours trop long mais je vais encore risquer une parenthèse au sujet de ce médecin écossais qui a largement contribué à lancer le tourisme dans la régions vers la fin de l'Ancien Régime. J'éprouve d'autant plus de sympathie que nous avons des origines communes. Ma tribu est d'origine albionique, notre "naturalisation" remonte au moins au XIVème siècle et passe et passe par une certaine ile atlantique. Je situe mes véritables origines plutôt vers l'Irlande. Mon masque russophile, tout le monde le sait est une grosse blague.
Je vous invite à vous procurer les Lettres de l'écrivain que je viens de citer. Elles sont d'une certaine manière assez tordantes et elles m'ont fait me pisser de rire dessus. Car ce voyageur a noté des détails qui sont toujours d'activité à cette différence près c'est qu'une majorité de natifs de l'ancien comté on perdu leur ancienne et relative innocence. Le fric qui a plu sur le secteur au moins jusqu'avant la seconde guerre mondiale a tout pourri. Il reste des braves gens bien sûr mais il faut s'abonner à des revues comme Lou Sourgentin et autres publication pour pouvoir se faire une idée d'un quasi paradis qu'un excès de béton a quasiment pétrifié.
La violence sociale ordinaire : un exemple
Hier matin, me trouvant par hasard sur mon balcon qui donne sur l'une des places du patelin, je vois arriver les amis d'un couple de propriétaires voisins dont je suis devenu l'homme de confiance. Ce sont des gens qui sont envié pour leur richesse.
En échange d'un garage sécurisé pour mon deux roues, j'ai dispose des clefs d'un jardin et d'une maison, j'entretiens les lieux, je balaie les feuilles mortes quand c'est la saison, je plante des végétaux, des arbustes et le cas échéant, en saison, je reçois les vacanciers qui louent le gite rural. Ces amis de mes amis ont un accès pour un entreposage d'olives...
Donc du balcon, j'adresse à ces visiteurs un bonjour et je commente les événements. Ca commence par une phrase du style : alors vous avez vu comment le Macron il a eu chaud au cul... Et j'enchaîne sur une phrase du style : à propos, je viens de découvrir sur Internet que l'attentat qui a eu lieu hier serait le fruit d'un "complot" !
Il va sans dire que j'ai dit ça avec un sourire en coin et sur un ton laissant clairement à entendre qu'il ne pouvait s'agir que d'une plaisanterie, ce que mes interlocuteurs ont parfaitement compris...
Quelle ne fut pas ma surprise, quelques secondes plus tard d'entendre dans mon dos une femme que j'avais vu passer sous mon balcon (sans la reconnaitre...) me brailler : vous n'avez pas honte de dire des horreurs pareilles en un pareil moment ? Et tatati et tatata...
Le temps de comprendre, je me retourne et du tac au tac, je lui rétorque que quand on est une femme bien élevée, on ne s'immisce pas abruptement dans une conversation de tiers à laquelle on n'a pas été invitée. Et pan ! Evidemment, elle n'allait pas se croire battue, il a fallu qu'elle la ramène encore. D'où une nouvelle réplique du style : quand on n'est pas capable de discerner le ton d'une plaisanterie, il vaut mieux la fermer ! Et comme elle a persisté, je lui ai dit de s'occuper de ses fesseset non de celles des autres et comme elle a manqué d'imagination elle m'a retourné le compliment. Ce à quoi j'ai répondu qu'à présent nous étions quitte...
Précisions
Cette femme a fait une carrière parisienne en tant qu'agent du Fisc. Il parait qu'elle était très bien notée. Elle a attiré à elle son mari, un simple flic qui aurait rapidement monté en grade. Il s'agit évidement d'une Madame "je sais tout !". Ce couple a trusté plusieurs hochets locaux. Ce fut et c'est peut être encore le patron des chasseurs. Il a dirigé une sorte de club paysan très particulier à la région. Il s'agit d'une institution répandue localement qui me fait penser aux célèbres clubs anglais. Le seul point commun c'est que les femmes en étaient exclues. Ca s'est mixifié. Le modèle anglais tient de l'hôtellerie de luxe. Le cas de figure dont on parle s'apparentait plutôt à un bistrot économique avec des règles assez originales. Les femmes à la messe et les hommes dans ce truc. Je ne doute pas que cela ait eu un sens mais ça s'est transformé assez fatalement en association de fête des voisins. Je participe rarement à ce genre de rassemblement d'abord parce que j'essaie de manger légèrement le soir, voir de jeûner et je considère que les grillages sont à proscrire.
Décryptage
Vous me direz que ce que je décrit est une chose assez banale. Oui sauf que dans le Midi, interviennent des facteurs d'influence assez particuliers, savoir la méfiance voir le rejet des gens venant du Nord de la Loire. De toutes façons le chauvinisme est tels que pour les natifs de xème génération (plus très nombreux), Grenoble, Lyon c'est déjà la Sibérie. Quant à moi je doute de la thèse réchauffiste car lorsque je constate qu'au 14 juillet, on n'est pas sûr d'avoir nos propres tomates, je me gratte la tête.
J'avais oublié un facteur important : un soleil omniprésent qui incite à vivre dehors et à ne recevoir qu'à l'extérieur. Il en découle un souci des apparences à nul autre pareil. La nécessité de faire court me contraint à m'abstenir de trop d'exemples. A ce propos, il se trouve dans le livre de Smolett une observation à propos du motif des pleurs d'un consul anglais que je vous laisse le soin de découvrir. ce détail et d'autres du même jus m'ont donné à réfléchir mais il me semble déjà avoir raconté cela mais ce devait être sur l'ancienne version de ce blog ou ailleurs. Oui ce qui est choquant c'est que les gens qui viennent d'ailleurs ne sont jamais invité chez les locaux. J'ai bénéficié de deux exceptions mais ça ne s'est pas fait en un jour. J'ai bénéficié à cet occasion d'une transmission de la part de la principale "mémoire" du patelin concerné. Notamment à propos d'un épisode datant de la seconde guerre mondiale. Pour ne rien vous cacher, il s'agit des agissements d'un enfant du pays, devenu policier au service de la gestapo. La "mémoire" en question a été chargé par son père, un fonctionnaire, d'alerter tous les juifs du secteur en les incitant à déguerpir dans l'heure. Or il se trouve que j'ai été affronté à un membre de la parentèle descendante du flic gestapiste qui, en une certaine occasion, a braillé que si j'avais vécu au tant de l'occupation allemande j'aurais été un "collabo". Je suis désolé mais il n'y aurait eu aucun risque qu'une telle chose arriva : je n'ai jamais beaucoup apprécié les militaires. Il m'a fallu bien des années pour arriver à considérer la chose comme un mal nécessaire.
A propos d'une certaine "pathologie doloriste"...
En réfléchissant, à la réaction que je viens de dépeindre, je me dis qu'en définitive quelque soit l'hypothèse envisagée, savoir adhésion à la rumeur portant sur une manipulation du pouvoir d'une part, ou plaisanterie, donc ironie d'autre part, j'avais forcément tout faux. Il est interdit de pratiquer la dérision, même sur un point de détail sans lien direct avec le genre d'attentat qui vient d'avoir lieu, surtout si des enfants sont morts.
Des convenances, parfaitement hypocrites obligent ceux qui sont mal vus parce qu'étrangers ou observateurs trop perspicaces à marquer le deuil en prenant un ton grave. A défaut, on encourt le risque d'être présent comme un véritable "monstre". Ce que j'évoque n'est pas particulier au Grand Sud tout en pouvant donner lieu à des accentuations particulières. Je me souviens d'avoir assisté à une scène d'hystérie contagieuse lors de l'enterrement d'un personnage qui, en tant que musicien, était de toutes les fêtes. Que ses fils pleurent derrière le cercueil, c'est chose naturelle, mais qu'ils en viennent à se quasiment rouler par terre et que leurs camarades leur emboîtent le pas, on admettra que c'est assez (...) renversant.
On est assez loin des pleureuses corses, obéissant à un rituel somme toute très ordonné.
Une équation sudiste ! Soleil = extraversion dominante = souci des apparences = risque de sur jouer dans le registre de l'émotionnel
Ceci m'amène à attirer votre attention sur le caractère très émotionnels et très excessif des manifestations de deuils publics en usage sous certaines latitudes et je pense en particulier à des scènes caractéristiques et assez choquantes qui ont suivi le fameux attentat de la non moins célèbres Promenades dites des Anglais. Mais c'est probablement un sujet trop tabou pour pouvoir faire l'objet de trop de précision, surtout dans les circonstances actuelles. Les indications donnés sont suffisantes. J'en ai assez dit assez dit pour que vous soyez capable de méditer tout cela.
Ce que je tire comme conclusion des observations que j'ai relatées en passant un peu comme chat sur braise, c'est qu'il existe dans le Sud une forme de susceptibilité, d'hypocrisie et de fausseté à nulle autre pareille. Disons que tout est amplifié avec en plus, le risque de malentendus plus ou moins dangereux.
Cela fait presque 40 ans que je suis confronté à cette culture particulière, avec depuis plus d'une quinzaine d'années un contact assez direct avec des facteurs de tension découlant de l'impossibilité de toute anonymat. Mais tout cela ne m'impressionne plus car j'ai appris à connaître les ressorts intimes du genre de réaction que je viens de dépeindre dans les grandes lignes. Le sens de la dérision et l'humour qui peut en découler constitue, lorsque ces armes potentielles corrosives peuvent être dosées avec précisions, ou 
Je n'ai pu m'empêcher de reprendre la lecture du "Petit Coco" avant même d'attendre le moment de me mettre au lit. J'ai profité d'un orage en montagne pour débrancher l'ordi et je me suis donc allongé confortablement sous la couette et j'ai terminé le "voyage" entrepris vers 23 heures.
Avant d'aller plus loin, j'ai fini par réaliser que "Coco" est l'abréviation de "cocotte" c'est à dire pute ou grue, l'injure favorite du père. Bien évidemment, je ne crois pas un seul instant qu'elle ait été une pute. En mais 68, elle avait 18 ans, elle avait bien le droit de décider elle-même de ses fréquentations.
Le père qui était quelqu'un a bien existé
En le rallumant, la première chose que j'ai faite, c'est de vérifier l'existence d'un Jean Sigaut, président de l'Ordre des Experts-comptable, président de la Compagnie des commissaires aux comptes etc... Elle n'a rien inventé, le personnage a laissé des traces. Pour les sœurs, je n'ai rien trouvé mais elle a pu changer les prénoms. L'une d'elle est devenue avocate, elle a sans doute été rendue prudente à son égard par l'escroquerie dont elle aurait été victime dans le cadre de la succession de son père. Si cette femme de loi tombe sur ma prose, elle va sûrement se dire que tout en étant impartial, sa sœur, je ne l'ai pas loupée.
La part du "lissage"
Des détails ont sans doute été arrangés mais dans l'ensemble l'histoire se tient assez bien mais ce qui frappe c'est qu'il lui a fallu 32 ans pour sortir du traquenard qu'elle dénonce. Elle aurait fini par avoir la peau de son père et son refus de transiger l'aurait poussé à un suicide par noyade. Mais on ne peut se défendre de penser qu'elle en fait un peu trop. Certes elle n'a pas pu inventer ce "nœud de vipère", j'ai reconnu au passage une "technique" que je connais bien, savoir essayer de faire passer pour fou ou folle un enfant qui résiste à l'autorité parentale. c'est un grand classique : on se défausse sur un "psy" qui ne pouvant servir de conciliateur essaie de fourguer des "médocs" que le gosse refuse ou recrache discrètement.
Histoire de Gardénal, fausse épilepsie
Elle dénonce des manœuvres classiques à l'époque où j'étais enfant, dans son cas le Gardénal, un "medoc" antiépileptique, a été utilisé souvent comme calmant. Pour d'autres parents c'était le Phénergan, on en donnait même au bébés. Donc le Gardénal, c'était avant que l'on n'inventa le syndrome d'hyperactivité et que Big Pharma ne propose des "spécifiques" tous plus pourris les uns que les autres. Le problème c'est qu'il y a quelque part une contradiction. On était resté sur la thèse d'une crise d'épilepsie en bas âge qui se révèle n'avoir été qu'une mystérieuse toxicose mais notre héroïne, d'un combat à mort contre un paternalisme tyrannique. Le duo Gardénal au coucher avec amphétamine au réveil a duré 10 ans !
Une première vocation frivole
Bien sûr la vocation de la Marion ce n'était pas l'expertise comptable, elle avait goûté aux joies naturistes des baignades avec des tas de garçons nus en Israël et, tenez-vous bien, elle avait appris au kibboutz l'art de composer des cosmétiques et elle voulait faire une école d'esthéticienne et elle occupait ses loisirs à faire des patchworks avec des petits carrés de 1,5 cm de côté. On est loin de la passion de l'histoire. Les cosmétiques maison, je parie qu'elle est devenue une cliente assidue de Aromazone...
En ce qui me concerne, l'art des ravalements de façade, ce n'est pas ma tasse de thé mais je trouve sur ce site des huiles essentielles et quelques poudres utilisées en médecine ayurvédique pour composer des gélules à usage "perso"... Les médecines traditionnelles, c'est quand même un peu plus "noble" que les fonds de teint, les repulpants et Cie... J'imagine que Mame Sigaut doit faire une grande consommation d'acide hyaluronique (tiré de crête de coq, 13,50 € les 5 g. actuellement) et de Gotu Kola, Centella Asiatica qui, dit-on, est excellent pour la cellulite. Passons...
Avortement et fausse couche
J'arrive donc au milieu du livre et je tombe sur une histoire d'avortement puis de fausse couche assez dramatique. Ca commence pour la fausse couche p. 123 je cite le début : autant il m'avait été possible avec Jacques de prendre un risque par désespoir, autant avec Jean-Pierre, il n'en était pas question. J'en étais venue à ne plus pouvoir le supporter physiquement. A peine lui-posais-je la tête sur l'épaule pour un câlin qu'il me montait dessus (sic). La seule chose qui pouvait le détendre et l'empêcher de devenir fou, c'était de tirer un coup : je faisais l'affaire comme aurait fait une chèvre avec un tablier ! Je vous fais grâce de la suite et je résume. Elle se retrouve accusé de frigidité et elle proteste : Frigide, moi !
Accusée d'avoir piégé un "richard"
S'ensuit un nouveau drame. Comme le Jean-Pierre était riche à millions, elle décide de garder l'enfant, alors la parentèle l'accuse d'avoir voulu piéger un innocent car elle s'est faite conseiller par le planning familial qui l'encourage à contraindre le géniteur à casquer. Le père et les sœurs prennent le parti de l'accabler et de la pousser une nouvelle fois à avorter tandis qu'un très douloureuse fausse couche survient opportunément et pour ainsi dire providentiellement laquelle se termine en salle d'opération après intervention de S.O.S. médecins place Jussieu. Il ne reste de son espoir d'être mère qu'un amas de sang coagulé en putréfaction (p. 138). Etre mère d'un enfant de goujat ? Mais certes deux avortements à peine un an d'intervalle c'est lourd quoiqu'en dise une certaine Marisol qui veulent interdire certains sites d'informations dénoncés pour des arrière pensées anti-avortement.
Escroquerie à l'héritage
La fin du livre relate sa thérapie avec un certain Jeff qui la plantera au moment le plus crucial, et surtout il relate la manigance démoniaque conçue à partir d'une donation-partage qui semble avoir été conçue pour servir de piège afin de lui porter le coup de grâce. Notre essayiste a du être escroquée mais il faudrait pouvoir vérifier les comptes. Ainsi elle nous raconte la longue histoire des vaines promesses de son père qui lui avait promis de lui acheter une maison. Or quand, en Bourgogne, elle trouve la maison idéale, le père lui fait faux bond. Or la maison qu'elle décrit dans le livre ressemble étrangement à celle que l'on entrevois dans plusieurs vidéos. Si donc elle n'a pas été acquise à partir de la liquidation du patrimoine familiale, comment a t-elle été payée ?
Les manœuvres qu'elle décrit, venant d'une famille étendue assez cosmopolite et de surcroît très riche, j'en ai connu le type mais dans un cadre beaucoup plus modeste, et ça ne venait pas d'un père vicelard. Elle n'a pas pu tout inventer mais quoiqu'il en soit, il se dégage de cette autobiographie l'impression très nette d'un besoin assez malsain de se faire plaindre et de se justifier.
Tentation du suicide et envie de meurtre
Ce qui frappe c'est les crises de nerfs répétées jusqu'à 32 ans. Or tout commence par l'évocation dans sa prime enfance d'une dormition de la fillette entre papa et maman présentée comme le comble de l'extase. Toujours ce besoin effarant de "Love bombing", être bombardée d'amour ! Par la suite, les envies de suicides et/ou les envies de meurtres à la Kalatch (ne pas oublier l'épisode de la grenade asphyxiante sortie du tiroir de la commode) c'est un grand classique, j'ai connu ça moi aussi, sauf que je n'ai jamais cherché à refouler. Elle avait imaginé de tirer dans les pieds de sa parentèle : je lui signale que le ventre c'est plus raffiné...
Pour la jeune femme, le suicide c'eut été le crime parfait venant du père et des sœurs et également le piège parfait pour le "mouton noir" de la famille : la parentèle aurait pu enterrer l'importune en écrasant une larme de crocodile et la messe était dite. Circulez, il n'y a plus rien à voir...
Elle n'était pas "folle" mais elle est devenue "schizo"
Ce livre m'a rappelé quelques vagues souvenirs de ce que j'ai moi-même subi avant de m'échapper vers 18 ans mais je ne comprends toujours pas comment cette Marion Sigaut peut aujourd'hui vomir sur Alfred Kinsey, sur mai 68 et la révolution sexuelle alors qu'elle avoue quelque part qu'elle ne pensait qu'à baiser (sic) en présentant cela comme un besoin naturel. Comment peut-elle désormais éprouver le besoin d'aller se faire aduler dans des milieux cathos connus pour leur caractère excessivement réactionnaires alors que c'est bien la continence exagérée qu'à imposé le catholicisme tel qu'il a été façonné par l'hypocrisie du XIXème siècle bourgeois qui est bien, en dernière analyse, la cause première de son malheur.
Cette femme pourra bien raconter tout ce qu'il lui plaira : son retour à la foi de son enfance ou c'est du flan ou c'est pure schizophrénie. Certes, elle a du finir par devenir frigide pour avoir oublié à ce point ce que ses sœurs dénonçaient comme des frasques.
J'appelle ça aller de Charybde en Scilla
Drogue de substitution
Dans la mesure où, si elle n'était pas folle à l'époque, elle l'est bien devenue en une certaine manière avec ses contes à dormir debout à propos de "pédotempliers" et autres délires à la Reisman, le souci que nous devons avoir de la salubrité publique nous fait un devoir de constater que son évolution n'est au fond qu'une sorte de régression. Elle ne prend plus de Gardénal, elle conserve l'unique flacon de Tranxene qu'elle n'aurait jamais consommé dans son petit musée personnel mais en fait elle ne se rend même pas compte qu'elle a troqué une drogue contre une autre : un besoin irrépressible de "reconnaissance", hélas basé sur un commerce à base d'affabulations, de mensonges.
Dissonance et "hybris"
Bref, cette comédie a assez duré, il fallait se résoudre à la dénoncer sans la moindre faiblesse et mettre ses supporters en face de la triste réalité. Son péché a quelque chose à voir avec une forme particulière d'hybris. Nous avons un point commun, la musique, son piano, cet instrument de chaudronnier disait Voltaire, lui est demeuré cher, sauf qu'à mon humble avis, il y a quelque chose de très dissonant chez cette femme. Qu'on se le dise !
Faute d'actualités traditionalistes force est de se rabattre sur les prolongement de la "crise du monde moderne". Essayons de faire le tout de la question...
Politique internationale
J'ai préféré Donald Trump à la vieille sorcière nommé Clinton. Son côté décalé ne faisait rire! Il laissait entendre qu'il allait se dégager de différents théâtres d'opérations dont la Syrie mais ça n'a pas été le cas. Il prétend que l'Otan lui coûte trop cher mais les provocations américaines anti russes se multiplient à l'intérieur de l'Europe. Voilà qu'il a dénoncé l'accord iranien et menace le monde entier dont l'Europe de représailles commerciales et l'UE entend répondre sur le même ton. Difficile de prévoir ce qui va résulter de ce vent de folie sauf que cela va probablement nous coûter plus ou moins.
Sur le plan intérieur et franco français, ce n'est pas mieux !
Enfin, bien que la Taubira voudrait réduire Poutine en lamelles, il est rassurant de savoir que la Russie est supérieurement armée, que sa diplomatie est un modèle de prudence et que si les USA allaient trop loin, ils risquent de ne pas peser lourd en cas de conflit.
Il n'empêche que ce qui se trame est assez illisible. La part des "gesticulations" est évidente et l'on apprend au final que la Corée du Nord que l'on croyait out retravaille d'arrache pied à sa nucléarisation...
Après la romance télévisée des amours romantiques du Président avec sa seconde "grande mère" (amie de sa vraie grand mère biologique) un nouveau "foutage de gueule" à l'adresse de la France profonde souffrante et gémissante. Mais qu'à cela ne tienne, il fallait faire connaître à l'étranger l'excellence de la manufacture de Sèvres.
Parlons un peu de la romance en question : on y a évoqué la rumeurs qui a voulu faire du locataire à titre gracieux du palais parisien un "crypto gay". Erreur, il est de plus en plus clair qu'il n'y a guère que la politique qui fasse bander celui qui tient la destinée de la France et des français entre ses mains. Il est probablement "asexuel", c'est une nouvelle maladie qui tend à se répandre.
La Gay Pride bientôt promue fête nationale
Nadine Morano est visée par une plainte pour injure homophobe. Et "Transphobe" ! C'est nouveau, çà vient de sortir !
L'Assemblée Nationale était-elle dans son rôle en pavoisant aux couleurs du mouvement LGBT ? Pourquoi ne pas faire du 14 juillet une seule et même fête Nationale. On réaliserait ainsi le rêve de ces pamphlétaires qui ont lancé des textes impérissables comme Les enfans de Sodome à l'Assemblée Nationale et Les confédérés vérolés et autres plaisanteries. Sauf que la première a revêtu un caractère prophétique.
Nadine Morano n'est pas mon idole mais le fait d'avoir repris une photo publiée dans le journal Minute aux cotés du nouveau drapeau français quasi officiel n'implique pas qu'elle soit homophobe. Les exhibitions constituées pour une large part de "folles tordues" et autres excentricités parodiques ce n'est pas ce qui risque de convaincre la population que le fait d'éprouver de l'amour pour ses semblables puisse constituer un délit, un danger ou une faute de goût. Oui à force de démagogie, la France est devenue "décadente" et s'expose à être méprisée. Quoiqu'il en soit en l'admettant je n'encours aucun risque je n'ai rien contre les "homos" lorsqu'ils s'abstiennent de se ridiculiser de façon grotesque.
Si c'était encore de mon âge, je paraphraserai Sacha Guitry en disant les "homos", je suis contre et même tout contre !
Selon le Pape François c'est "Dieu" qui fait les gays !
«Juan Carlos, le fait que tu sois gay importe peu. Dieu t’a fait ainsi et Il t’aime ainsi et cela ne m’intéresse pas. Le pape t’aime comme tu es. Tu dois être heureux comme tu es.»
Les milieux cathos conservateurs ont préféré faire la sourde oreille et quand on évoque cette saillie, ils vont jusqu'à même en cause la fiabilité du rapporteur. Or l'existence d'un précédant ne permet aucun doute à ce sujet.
Enfin personne n'a pensé à objecter que l'on pourrait appliquer la formule, mutatis mutandi comme dirait Schuon, aux meurtriers. sauf que si le Pape a dit cela c'est qu'il exclut un tel rapprochement. Mais puisque c'est Dieu qui fait les gays, il a manqué de nous dire pourquoi. Or j'ai déjà donné la réponse qui peut s'énoncer ainsi : l'attirance sexuelle et érotique se moque fréquemment de la différence polarité sexuelle et il parait que les pingouins forment volontiers des couples gays. Pas d'autre solution que de voir là un upaya, ou ruse divine susceptible de rapprocher des êtres fort différents au mépris des races et des classes. Maintenant si c'était seulement pour se marier et devenir des parfaits consommateurs afin de faire marcher toutes sortes de commerce, ça serait un peu court...
Rappelons que les églises chrétiennes ont béni des couples d'hommes et de femmes (création de frères) bien avant que le mariage catholique ne soit formalisé 1215), ce n'est certes pas pour favoriser ce que l'on appelle, depuis 1869 "homosexualité". Je présume qu'elle ont fait le pari d'aider ainsi à la sublimation d'affections "sensibles", susceptibles si elles n'étaient pas encadrées de conduire à un certain "nomadisme sexuel". On a essayé de nous convaincre qu'il se serait agi d'alliance comparables aux mariages quand il s'agissait de favoriser des relations harmonieuses et constructives et d'empêcher qu'elles se fassent la guerre. C'est faux archi faux car si ma mémoire est bonne cette institution a été adoptée par des clercs. Voir l'histoire de ces prêtres portugais qui se sont mariés à la messe à Rome telle qu'elle a été rapportée par un célèbre philosophe français qui fit le tour de l'Europe pour prendre les eaux et soigner sa gravelle. J'ai nommé Michel de Montaigne.
Il est question dans son journal de Portugais "qui s’épousaient mâles à mâles à la messe, avec mêmes cérémonies que nous faisons nos mariages, faisaient leurs Pâques ensemble, lisaient le même évangile des noces, et qui couchaient et habitaient ensemble..." Cette innovation d’exagération conformiste produit sa sanction : " Il fut brûlé huit ou neuf Portugais de cette belle secte. "
Après la démagogie pro lobby LGBT la canonisation laïque de Simone Veil
J'imagine qu'après avoir fait de Macron un chanoine honoraire de Latran, le pape François n'a pas du apprécier la panthéonisation d'une "faiseuse d'anges". On ne s'attardera pas sur cette triste nouvelle. Encore une manoeuvre purement démagogique pour rallier les suffrages d'un maximum de femmes.
Scandales pédophiles : quand c'est fini ça recommence !
Cette affaire mettant en cause un professeur de chant exerçant dans une école libre catholique qui vient d'écoper de 16 ans de réclusion est vraiment caractéristique de l'incroyable aveuglement qui règne dans certains milieux. On en est réduit à se pincer en lisant : comment un prof qui se faisait appeler "papa d'amour" a pu exercer ses ravages sur des fillettes pendant si longtemps sans que personne ne bronche !
Interdiction des relations sexuelles aux moins de 15 ans
Le Sénat s'apprête a examiner un texte visant à réglementer les relations sexuelles des mineurs et si possible de les interdire au point de considérer à priori qu'aucun consentement n'est possible de la part de moins de 15 ans révolu avec pour conséquence de faire comparaître en Cours d'Assise les mineurs susceptibles de s'être envoyés en l'air jusqu'à 15 ans révolu moins 1 jour.
Dans ma grande naïveté je croyais le problème résolu depuis longtemps mais ce n'était pas le cas. Une affaire retentissante la démontré. J'ai poussé la prudence jusqu'à estimer qu'il fallait attendre 18 ans voir plus pour prendre le risque de coucher avec un garçon car avant cela il risque toujours de se laisse retourner par son entourage. Ce dernier peut bien sûr exercer un chantage et des juges ont condamné sur la base d'une soustraction à l'autorité parentale même lorsqu'il a été prouvé qu'elle avait cessé d'exister.
La Suède vient de contraindre ses ressortissants adultes à filmer leurs ébats par précaution
Ce pays que l'on présente comme étant à la pointe du progrès en de nombreuses matières vient de voter une loi qui à pour effet de contraindre tous les adultes à s'entourer de précautions lorsqu'il s'agit de "concrétiser" avec une partenaire de rencontre. Ce sont évidemment les hommes qui doivent assurer leurs arrières. Tout cela étant la conséquence du mouvement #Me Too consécutif à l'affaire Weinstein. Évidemment il découle de ce genre d'innovation un véritable renversement quant à l'obligation de preuve.
La preuve d'un fait est à la charge de celui qui l'allègue selon l'un des anciens adages judiciaires. Le mâle étant considéré à présent comme un prédateur constitutionnel et non pas simplement "potentiel", il est présumé coupable et c'est désormais à lui de se prémunir contre une éventuelle accusation et donc de s'équiper d'un matériel discret pour enregistrer, voir filmer, à l'insu d'une partenaire, ses éventuels ébats et bien sûr de hautement sécuriser le preuves de sa bonne foi !
Désormais en Suède, ce sont toutes les relations qui sont visées : celles hors mariage mais aussi celles entre conjoints puisque des femmes accusent leur mari de viol... Il ne reste plus qu'à faire "la chose" sous l'oeil (forcément lubrique) d'un huissier mais une webcam discrète reste plus économique mais combien de téras octets pour toute une vie.
D'autre part, notons encore que la justice estime qu'il vaut mieux tuer 8 enfants (comme Dominique Cottrez qui n'a eu que neuf ans de prison, qui n'a fait que la moitié et qui vient de sortir) plutôt que d'avoir des relations consenties avec quelqu'un de 14 ans et 11 mois, où c'est un crime passible de 30 ans...
Le monde actuel est tellement détraqué que personne, absolument personne n'est plus capable de protester contre cette folie. Ce n'est rien de dire qu'on marche sur la tête !
Pendant ce temps là la ville de Nantes est sujette à des émeutes qui ne présagent rien de bon surtout en plein été...
Je reproduis ci-après des critiques qui m'ont été faites.
Sur la question de l'EI, il est possible que je me trompe, cela pourrait même être probable mais il se trouve que je préfère tabler sur l'intelligence d'une majorité de musulmans qui devraient avoir au moins la reconnaissance du ventre et considérer qu'ils sont mieux chez nous que dans les pays de tyrannie dont ils proviennent.
Le fait de m'être réconcilié avec un ex guénonien devenu soufi après avoir été très catholique n'est sans doute pas étranger à cette espèce de revirement mais que l'on ne se méprenne pas ! Si d'aventure un islamiste venait à me chier dans les bottes, il serait reçu avec les honneurs dus à son rang. Par chance je vis dans un endroit où, grâce à la prévoyance de notre Maire, on est encore préservé des mauvaises rencontres. Certaines communes ont évité l'implantation de HLMs et donc d'habitations à loyer modéré et si nous subissons une forte pression gouvernementale nous espérons éviter encore longtemps le genre de confrontation auxquelles certains quartiers sont soumis.
Parenthèse sur le 6ème pilier de l'islam
Mais n'allez pas croire que j'ai changé de point de vue sur l'Islam. On m'objectera du reste que les "bons musulmans" s'ils existent n'ont pas lu le Coran et particulièrement la sonate n° 9. Pardon je voulais dire la "sourate n° 9", j'ai reproduis le lapsus d'un ami musicien qui m'a fait l'observation. On notera au passage qu'une caricature de Tariq Ramadan en violeur parue dans Charlie Hebdo est en train d'ameuter les musulmans mais que les catholiques ne bronchent pas quand le même support représent Dieu le père abusé par le fils représenté une plume dans le cul...
Incertitudes au sujet des origines du christianisme
Je rappelle également que j'ai mis l'accent récemment sur les obscurités qui entourent les origines du christianisme. Ces origines ce sont au moins deux siècles dont on ne sait rien et ce que l'on nous présente comme "paroles de Jésus" peuvent avoir été plus ou moins manipulées. Bien sûr je ne peux pas croire que Jésus ait été marié à Marie Madeleine ou encore qu'il ait éprouvé un penchant charnel envers un certain Jean comme tel saint médiéval l'a prétendu pour aider certains disciples à supporter leur tendance "païenne" en matière de mœurs mais ce n'est pas une raison pour tomber dans une sorte de "catho-centrisme" plus ou moins contraignant.
Il est un fait que pour obscures qu'elles oient les origines de l'Islam sont infiniment plus claires même si tout est relatif. J'ai fait ma part pour mettre à disposition du plus grand nombre certaines recherches telles celle d'un canadien qui a tendu à prouver que la Mecque n'a jamais été en plein désert arabique mais à Pétra dans l'actuelle Jordanie.
La seule chose sûre c'est qu'il existe un Saint Suaire et que ce document est daté de l'époque du Christ et qu'il ne peut pas s'agir d'un faux mais d'un phénomène unique en son genre. Enfin et de toutes façons si la hiérarchie chrétienne daigner incarner ce que l'on sait du message attribué à Jésus le catholicisme présenterait un tout autre visage que celui qu'on lui connaît de sorte que j'applique les évangiles aussi fidèlement que je le peux et je me contrefous de toutes sortes de subtilités apologétiques qui me laisse de glace !
Je tiens donc à montrer avant tout que si les commentaires ne seront jamais ouverst, je ne pratique pas pour autant la censure. D'autre part, si l'auteur souhaite améliorer son texte (que j'ai laissé tel quel en me contenant d'ajouter des sauts de ligne) je substituerai une version éventuellement améliorée.
Et pour ce qui concerne mon salut éventuel, je me contente d'essayer d'être un "honnête homme" et ne me soucie nullement d'avoir toujours raison.
Encore quelques mots sur Jean Robin
Concernant les commentaires sur le "reniement de Pierre" vu par Robin, je verrai par la suite s'il est nécessaire d'y revenir. Les remarques faits sont trop expéditives et ne suis pas certain d'avoir tout compris.
Je ne suis pas sûr que Robin lui-même soit derrière ce blog.
Ce lien vers http://principestraditionnelsmusique.blogspot.fr/ où il est question de la dualité du dièse et du "bémol" m'incite à penser qu'il se peut que je connaisse fort bien l'auteur du blog dédié aux textes de Jean Robin. L'auteur de cette fausse dualité musicale (que je ne partage pas) et qui prouve qu'il n'a rien compris à mon livre si même il se trouve qu'il l'estime hautement est le même personnage qui sévit derrière un certain blog apocalyptique. Breton, seulement d'adoption il pourrait bien être l'auteur de la collecte des textes donnés de la part de Robin...
Dans le première version de ce texte, j'ai émis un doute sur ces textes en fait ce sont des extraits de livres que j'avais oubliés.
J'ai relevé quelques points de votre blog très rapidement mais impossible de m'attarder sauf sur ce que vous dites trop rapidement sur l'Eglise romaine. Voir ci après; je vs donne mon opinion sur ce sujet plus compliqué qu'il ne semble.
Quoi d'autre ? Sur la déconfiture de l'EI et la baisse de menaces terroristes attenantes, j'ai des doutes. Par exemple un Merah a accompli ses actes sans organisation le chapeautant. De plus l'EI est largement un logo commode sans substance. Voyez Nice: le mec a agit sans Big Boss derrière lui. l'EI revendique aussi des trucs dans lesquels il n'a rien à voir comme récemment la tuerie au fusil d'assaut aux USA...L'EI de même est largement un phénomène bidon : si on examine un peu la réalité géostratégique l'EI n'a conquis que dalle en Syrie : le territoire soit-disant impressionant tombé sous sa coupe, eh bien ...Personne n'y vit : c'est un désert : bravo la "conquête". Enfin les rares villes investies sont...sunnites; donc étaient déjà acquises. Enfin et surtout le "djihadisme" est une donnée pour l"instant indispensable aux intérêts disons etats-uniens et israeliens, donc appelé à perdurer un moment.
Pour votre approche des rapports "spirituel/temporel" et de l'"anomalie" de la primauté du pape, ce schéma me semble trop influencé par certaines affirmations polémiques issues des milieux dits Orthodoxes.
Pour éclaircir le débat il faut dégager quelques points cruciaux.
S'agissant des rapports "spirituel/temporel" le christianisme se distingue de tout autre forme traditionnelle car 1) il unit ce qu'on avait usage de distinguer (Dieu et l'homme) et 2)distingue ce qu'on avait usage d'unir (le religieux et le politique). Assez remarquablement seul le bouddhisme rejoint le christianisme dans cette particularité; c'est à méditer étant donné que ces deux formes, bouddhisme et christianisme se sont manifestées en réaction contre une certaine sclérose à l'égard de ces problématiques. Dans les conceptions paiennes, et juives (en partie) les sphères du divin et de l'humain étaient distinguées (Dieu ou les dieux et les mortels) et celles du second ordre confondues (l'empereur/le roi prêtre/pontife). A la place le christianisme propose l'Incarnation*/kénose du Verbe + et la distinction du spirituel et du temporel.
* L'Incarnation du Verbe n'a aucun rapport avec la conception hindoue des "descentes" divines". A l'origine le terme employé était d'ailleurs "pradurbhava" (manifestation). Le Christ ne "manifeste" aucunement sa divinité sauf moments privilégiés par e. lors de la Transfiguration : il apparaît comme un homme, finit par être rejeté, et condamné à mourir comme un criminel; on est loin d'un Krishna ou d'un Ganesh.
On pourrait d'abord, pour éclaircir ce débat, rappeler quelques points relatifs à la spécificité du christianisme dans sa conception des rapports "spirituel/temporel"et les raisons de l'institution d'une autorité centrale représentée par le pape; cette institution était déjà implicite aux début du christianisme et s'est developpée au cours des temps en partie face aux réalités des rapports parfois tendus entre les états européens et l'Eglise Romaine. La conception des rapports spirituel/temporel se fonde d'abord sur des données scripturaires et ensuite des contingences historiques:
S'agissant de la papauté dérivant de la primauté de Pierre elle peut se prévaloir d'une certaine cohérence : Jésus ne dit pas "vous êtes des "Pierre" "à tous les Douze, et Pierre, selon la tradition a bien subit le martyre à Rome, non à Antioche ou Byzance.
Encore plus que l'épisode du "rendez à César" (susceptible d'une exégèse plus métaphysique) , sur l'attitude générale du Christ envers les messianismes de nature politique/militaire/temporel on pourrait noter le passage: "il s'enfuit"
Ce point est bien illustré par l'épisode de Luc 12, 13-15 où Jésus refuse de se poser en arbitre d'une querelle juridique en Luc : Quelqu'un dit à Jésus, du milieu de la foule: Maître, dis à mon frère de partager avec moi notre héritage. Jésus lui répondit: O homme, qui m'a établi pour être votre juge, ou pour faire vos partages?… Pas de "sharia" en christianisme (alors que les problèmes d'héritage font la joie des juristes musulmans!) Comme le montre la fin du passage, les règles humaines ne sont pas normées par des injonctions divines : la seule injonction portera sur le principe d'une exigence morale portée par la liberté de l'Esprit et la raison humaine (entendue : la raison éclairée par le Logos). Ceci est en relation avec la "loi naturelle" qui doit être entendue comme la raison humaine participant du Logos divin; ce n'est pas du tout une loi déduites des modes de la nature déchue . En théologie il n'y a pas d'état de nature tel qu'on l'entend à présent. Thomas discerne 4 sortes de lois: Eternelle, divine (exprimée dans la torah), humaine et naturelle.
L'attitude de principe du christianisme fut de maintenir ces distinctions face aux tentatives des pouvoirs temporels de s'arroger le domaine spirituel ( par e. les "Investitures", les abus du "Saint Empire" ou le funeste "gallicanisme" qui est du philétisme, ou encore le maurrasisme) et aussi malgré les tentations internes à l'autorité spirituelle d'user de son influence à des fins temporelles (querelles des Bénéfices écclésiastiques, soutien à des régimes iniques, genre Franco ou Pinochet, ou plus récemment "théologie de la Libération"...) En relation avec ces vicissitudes, l'Eglise a donc du se constituer un pré carré hors d'atteinte du pouvoit temporel (en théorie du moins !) : les "donations de Constantin" sont en l'occurence un pieux mensonge tout à fait providentiel, un genre d'upaya ! D'où la papauté en ses états (et parfois dans "tous ses états" !).
Que l' insititution papale se soit parfois "durcie" c'est évident, qu'elle eut face à elle des états qui n'étaient pas les derniers à se "durcir" jusqu'à torgnoler le Pape comme à Agnani, est certain. On connaît donc les divers abus de la papauté parfois hauts en couleur mais dans le monde des contradictions où se déroule les affaires humaines on ne gagne jamais sur tous les tableaux.
Bref, finalement c'est cette conception seule qui peut garantir la liberté des deux domaines. Le fusion dans la sphère humaine de ces deux principes (c'est ce qu'on appelle le césaro-papisme -terme qui est non comme on le répète souvent venu de Papes qui voulaient faire le roi mais au contraire de l'amalgame Empereur/Eglise des conceptions byzantines.)
Le terme de "saint" Empire "Romain" avait été évidemment choisi pour affirmer des volontés césaro-papistes, donc une confusion des deux domaines. Les conceptions de Guénon à ce sujet sont peut-être trop simplistes, ou plutôt ont le défaut de plaquer sur une figure temporelle une union des deux domaines qui ne peut-être que réelle spirituellement : soit, en contexte chrétien, dans le cas du Christ Prêtre et Roi, soit dans celui du baptisé, prêtre, prophète et roi.
De plus, à concevoir comme normatif et idéal dans le champ de la gouvernance terrestre un pontifex unissant les deux fonctions on abouti alors à une sorte de figure "infaillible" et encore plus infaillible qu'un Pape puisque du moins un Pape n'a, on le sait, pas de "divisions" à sa disposition. Le comble de cette hypostase bifrons c'est évidemment l'agharta. Guénon dans les "Aperçus" note, et non d'une façon positive, que l "infaillibilité" est bizarrement "concentrée tout entière" (sic) dans la fonction papale. Mais en en fait c'est faux: dans la doctrine catholique on distingue l' infaillibilité active qui est d'abord celle du Christ, déléguée à l'Eglise et donc au pape quand il parle en son nom et aux évêques en union avec le pape, et l'infaillibilité passive qui est celle de tous les prêtres et fidèles en tant qu'ils enseignent la doctrine catholique.
Il n'y a donc pas d'infaillibilité exclusivement "concentrée" en une personne de la hiérarchie romaine. Sans parler du fait que l'infaillibilté papale n'a été exercée qu'une ou deux fois, donc on est loin de la dictature de la foi et des moeurs dénoncée par certains: à côté des fatwas de l'islam, le Vatican est très bon enfant je trouve. Soit dit en passant je suis souvent amusé par le fait que bien des gens dénonçant cette "infaillibilité" papale (mal comprise donc) s'octroie volontiers l'infaillibilité pour eux-mêmes, se prononçant ex cathedra sur tous les sujets sans souffrir contradiction, et insultent copieusement le moindre avis divergent (cf Gilis et autres guénonistes, libre-penseurs, protestants etc)
Si on considère comment les choses se déroulèrent du côté "Orthodoxe" force est de constater que la fameuse "symphonie" ne s'est jamais exercée que dans l'idéal: dans les faits si le monachisme constituait parfois une sorte de "protestation" face à l'hégémonie du Basileus, le monachisme n'étant pas toute l'Eglise, il ne pouvait parvenir à équilibrer efficacement les rapports entre le pouvoir impérial et l'Eglise. Dans les faits, donc, et les Orthodoxes qui ont souvent une idée manichéenne de l'histoire, l'oublient volontiers, l'Empereur faisait et défaisait les patriarches. La conception symphonique était une fiction, et même une monodie où le religieux se confondait avec l'état: le philétisme et ses expressions ultimes dans le soutien écclésial à des nationalismes brutaux, la soumission brutale du clergé russe à partir de Pierre le Grand, les accointances de certains écclésiastes russes avec le KGB, les abus temporels du clergé grec et tutti quanti.
Si on examine les faits on s'aperçoit que c'est bien l'absence d'instance centrale régulatrice comme la Papauté qui a contribué à la faillite de l'Orthodoxie. Par exemple, les rivalités, encore actuelles, et d'une mesquinerie fréquente, entre "juridictions". Ces querelles entre patriarcats, en quoi sont-elles plus édifiantes que celles internes à l'église Romaine ? En quoi serait-il mieux d'avoir ainsi plusieurs "papes", ce qui est l'état de fait du monde Orthodoxe, se disputant la juridiction de la moindre disapora, de la plus obscure paroisse au lieu d'un seul Pape? A ma connaissance aucun orthodoxe n'a jamais osé relever ce type de paradoxe.
En fait les conceptions manichéennes et illogiques de l'Orthodoxie face à ces questions institutionnelles et historiques relève de l'irrationnel et je pense qu'elles proviennent de la pire des motivations, qui est la même que celle qui empoisonne une bonne part de l'Islam actuel: le ressentiment. Le "c'est la faute à l'autre" si ça ne va pas...l'"autre", ce méchant, qui m'a fait du mal à moi, l'innocent. Alors on ressasse sans fin 1204 (sans remettre les faits dans leur contexte) et on peste contre les Croisades, preuves de l'agressivité Catho, en oubliant qu'après la déculottée de la bataille de Manzikert ce sont bien...les Byzantins qui ont appelé Rome à l'aide pour contrer les envahisseurs turcs! On fulmine au sujet du Filioque (en réalité une affaire sans importance, un coupage de tifs en quatre, qui est devenu le polichinelle habituel qui sort de la boîte du ressentiment Orthodoxe quand il n'a rien d'autre à dire). On s'aigrit sur l'uniatisme: et là à ce sujet je relèverais un paradoxe: les Orthodoxes qui reprochent à Rome l'uniatisme devraient au contraire s'inspirer de celui-ci vu la nullité des actions entreprises par l'Orthodoxie pour "prosélyter" en occident.
Je dis la "nullité" mais en fait il faudrait dire l'hypocrisie des Orthodoxes en ce domaine car c'est un des points qui m'avait le plus aterré dans mes fréquentations des paroisses orthodoxes parisiennes: dans le discours édifiant officiel l'occident s'est égaré et l'Othodoxie a maintenu le Vrai Dépôt de la Foi dans son Intégrité, alors que dans la pratique, ils s'en tapent et ne font rien. Les paroissent vivotent en autarcie, mi-églises mi-assocs du genre les Bougnats à Paris, et n'acceptent quasiment pas de membres issus de l'extérieur, partie par mollesse, partie pour raison de diplomatie envers l'Eglise d'accueil. C'est pas joli-joli tout ça !
Je remarquerai un dernier truc: un historien britannique, Acton, en analysant l'histoire des rapports séculaires entre les pouvoirs temporels et Rome relève que c'est de ces conflits qu'est né la liberté civile, bref un espace où le temporel peut faire "ce qu'il sait " sous la régulation des exigences éthiques de l'Eglise. Si l'Eglise s'était purement identifiée à la forme des trônes oints par son autorité , l'Europe "aurait tourné à un despotisme à la byzantine ou à la moscovite". C'est aussi à cause de cette spécificité, unique au monde, que l'Europe n'est pas devenue un "empire", n'ayant d'autre référent que lui-même, à la façon d'une "oumma", le pape ayant constitué un obstacle à l'hégémonie des empereurs et des rois.
Et chaque fois qu'un pouvoir ou une idéologie a voulu prédominer de façon absolue en Europe un de ses objectifs était toujours de s'en prendre à la papauté en particulier et au catholicisme en général: on le voit non seulement dans les conflits médiévaux entre les deux pouvoirs (le cas Frédéric II est l'acmé du genre), avec l'alliance entre Luther et les princes allemands et la Réforme coïncidant avec le développement du capitalisme mondialisant, avec le Risorgimento, les lois anti congrégations et autres mesures répressives de la république des frères *** : virer les congrégations, y compris des franciscains qui n'auraient pas fait de mal à une mouche, c'était préparer le terrain à ce que nous contemplons: un vide spirituel rempli par des musulmans rancuniers qui eux sont prêts à décapiter une mouche non halal.
Ce n'est pas sans raison si à présent l'europe et son reliquat de libertés civiles héritées du catholicisme et à présent liquidées par les démocraties en phase terminale est menacée par des résurgences païennes (l'Imperium du "village global"). Ainsi que par des épiphénomènes variés qui se signalent par leur culte de l'immanence et vont de la parodie des libertés réelles comme la théorie du "genre" ou celle du transhumanisme (héritages gonstiques). Et evidemment par l'islam ( ou plutôt la umma djihadisante, phénomène issu d'une secte rigoriste dont le développement est financé par les capitaux américains et affiliés).
Ci dessus une horreur aseptisée, américanisée même et faussement romantique...
C'est en cherchant à éclaircir ce qu'à raconté Montaigne dans son journal de voyage à propos de prêtres portugais qui se seraient épousés de mâles à mâles à la messe que je suis tombé sur 2 textes intéressants.
Voici quelques précisions et une découverte qui ne va pas manquer d'intéresser "Isik" quoique son érudition, dans le domaine de l'historiographie des "millieux gays" est infiniment supérieure à celle de votre humble serviteur.
Du mariage romain au mariage catholique après 1215
Le premier, d'un certain Damien Boquet, daté du 9 janvier 2013 a l'avantage de bien remettre les pendules à l'heure concernant l'évolution du mariage et de ses contenus de la Rome païenne au catholicisme tardif et pas seulement. En effet, il résume de façon assez admirable les différences entre Grecs et Romains quant à la perception de ce que nous appelons "homosexualité" depuis le XIXème siècle et surtout les limites de ce qui était permis dans ce domaine. Voir :
Les cathos, et particulièrement les factions intégristes, osons le dire, nous emmerdent avec leur vision rigide du mariage car elles est tardive. Le mariage catholique ne date du concile de Latran (1215). Ils conviendraient, chaque fois qu'il milite, de les envoyer carrément se faire foutre et de nous lâcher la grappe avec leurs hantises !
J'ajoute que l'homo-sociabilité qui a marqué tout le moyen-âge fournissait un cadre correct au besoin d'amitiés viriles que pouvaient ressentir les gens de cette époque et cela a permis d'éviter le genre d'ignoble parodie carnavalesque qu'on est obligé de se farcir chaque année à l'occasion des spectacles féliniens auquel donnent lieu les Gay Pride. Une pratique assez libre de l'adoption permettait à deux hommes de se considérer comme frères et de gérer en commun des biens ou de se prêter une assistance réciproque. Il aurait fallu en rester là !
Mais à mesure que les femmes ont pris de l'importance (et ça avec la vogue de l'amour courtois et le besoin d'encourager la natalité après les épidémies de peste noire), on a assisté à une véritable inversion qui se solde avec l'apparition d'un certain "féminisme radical" ou des "gouines rouges" tiennent le faut du pavé... Pour l'instant, les mâles culpabilisés courbent l'échine mais en ce qui me concerne, étant innocent de toute espèce de mauvais traitement à l'égard d'une femme, je n'entends pas me soumettre à ces harpies.
Voilà donc un texte de nature à clouer le becs des leaders des diverses sectes nostalgiques d'un régime pourri qui a fait son temps.
Une élucidation du témoignage de Montaigne en 1581
Ci-dessus une vue actuelle de l'église où auraient eu lieu des mariages entre hommes relatés par Montaigne...
Le texte du compte-rendu est en anglais. En voici une bonne traduction en français :
Gary Ferguson. Le mariage homosexuel à Rome Renaissance: la sexualité, l' identité et la communauté dans l'Europe moderne. Ithaca: Cornell University Press, 2016. 232 pp 35,00 $ (tissu), ISBN 978-1-5017-0237-2..
Evalué par Catherine Fletcher (Université de Swansea) Publié le H-Histsex (Mars 2017) Commandé par Katherine Harvey
Au cours de ses voyages à Rome en 1581, l'essayiste français Michel Montaigne dans son journal l'histoire curieuse d'une cérémonie de mariage de même sexe qui avait eu lieu dans la ville quelques années auparavant.
Un groupe d'hommes se sont réunis à l'église de San Giovanni a Porta Latina, en marge de Rome. Ce fut un lieu plutôt négligé, habité par un Portugais, Marco Pinto, qui peut avoir été le gardien de l'église, et avoir rassemblé autour de lui quelques jeunes « ermites » (et partenaires sexuels). San Giovanni a été un site pour les réunions régulières d'un groupe d'hommes qui avaient des relations sexuelles entr'eux, et ils avaient prévu pour le 20 Juillet 1578, un mariage pour deux de leurs membres, et un banquet.
Le mariage prévu n'a pas eu lieu, pour l'un des partenaires, un palefreniers étant malade.
Le pire était à venir: le projet a été découvert et les participants arrêtés. Huit d'entre eux auraient été brûlés sur lun bûcher.
La relation par Montaigne de ces événements a été supprimé ou expurgée par des copistes au début, mais il a été inclus dans l'édition 1774 du Journal de voyage, avec la note d'un éditeur qui décrit l'affaire comme un « sacrilège et monstrueuse impiété » (p. 13).
Ce dont il est question a constitué le point de départ d'un enquête de micro histoire de Gary Ferguson, moyennant un travail de détective en archives qui remet en question les opinions dominantes sur l'identité sexuelle au début de l'Europe moderne.
A côté de Montaigne, Ferguson évoque d'autres aspects de cette affaire: lettres de diplomates, des fragments du procès, et les dossiers de la Confraternité de San Giovanni Decollato (qui a offert réconfort aux prisonniers condamnés).
Il identifie les huit hommes condamnés: les Portugais Marco, six Espagnols (Gasparo, Francisco, Girollimo, Antonio, Bernardo et Alfonso), et Baldassare, de l'Albanie de Venise.
Les fragments du dossier d'essai survivants révèlent que trois autres hommes ont été arrêtés, mais l'exécution évité; d'autres semblent avoir échappé aux autorités. Un bulletin d'information à la banque Fugger (?) a rapporté que les documents d'essais originaux ont été incendiés, « afin d'en effacer toute la mémoire » (p. 85). Le détail précis de ce qui est arrivé le jour reste obscur: Ferguson suggère l'existence d'un caractère ludique; la possibilité d'une certaine gravité et la dimension collective et communautaire.
Le cas est aussi fascinant pour l'intersection de cette communauté sexuelle avec d'autres groupes marginalisés à Rome de la Renaissance.
La plupart des hommes que nous rencontrons dans cette histoire étaient des migrants.
Leurs interrogateurs étaient désireux de découvrir s'ils avaient des relations sexuelles avec des jeunes juifs.
Un bulletin d' information envoyé au duc d'Urbino fait référence aux Espagnols comme marranes, un mot péjoratif pour les Juifs convertis. Les faits de ces liens entre les communautés à la périphérie de la ville sont difficiles à cerner. Ferguson note à ce sujet « un aperçu fugace ... d'une culture sexuelle coupant à travers les clivages religieux et des points communs, et même une solidarité apparente, entre deux groupes marginaux » (p. 104).
L'importance de ce livre réside dans ses deux grands défis à l'historiographie existante. Comme Ferguson le reconnaît, au début de l'Europe moderne, il était un modèle assez fixe des rôles sexuels pour les hommes ayant des rapports sexuels entre hommes: plus jeunes et/ou de rang inférieur hommes se contetant généralement jouer un rôle passif dans les rencontres sexuelles.
Au fil du temps, en vieillissant un homme pouvait passer d'un rôle à l'autre. Dans des circonstances idéales, il se mariait, et ayant eu accès à une femme comme partenaire sexuel, il pouvait cesser toute relation sexuelle avec des semblables.
Une remarque en passant à l'adresse de mes diffamateurs
Je note pour ma part qu'en Grèce, dans la caste guerrière à l'origine, selon les canons en vigueur, ce genre de pratique constituait un intermède avant le mariage pour l'adulte jeune. Tout "homo" qui se respecte est plus ou moins condamné à mal vieillir.
Je l'ai fort bien compris dès le départ, et j'ai cessé progressivement toute espèce de commerce de cet ordre entre 35 et 40 ans et je m'en porte très bien ! Mais pour cela il faut avoir quantité d'autres centres d'intérêt. Toute cette clique de "guénoniens" qui ont cherché à salir ma réputation en me présentant comme un militant LGBT se sont fourré les doigts d'au moins une main dans l'oeil et il eut sans doute mieux valu qu'il se les fourrasse ailleurs en les y agitant bien fort...
Je pense aux Borella et Cie qui ont distillés, avec toute l'onction ecclésiastique dont ils sont capables, quantité de vâcheries sur quelques collègues considérés comme "hérétiques" ...
Le problème est que je suis "inassimilable" et que je suis aussi étranger à la secte des "hétéros" qu'a celles des gens d'en face ! Que je me sens dans la peau d'un voyageur tombé par inadvertance dans un monde étrange. Enfin, instruit par l'expérience, j'ai tendance à vivre toute marque d'intérêt trop appuyée comme potentiellement "toxique". Bref, le silence et la solitude me sont nécessaires.
Revenons au groupe de San Giovanni
Cependant, les hommes du groupe San Giovanni ne sont pas ou pas tous liés à des rôles déterminés. Certains étaient ce qu'on appelle aujourd'hui « polyvalents » heureux de changer de scénario avec leurs partenaires sexuels.
De nos jours les gays se proclament "auto-reverses", d'une certaine manière c'est donc une sorte de "retour aux sources".
Son étude remet en question davantage la périodisation des subcultures queer. Ceux-ci sont le plus souvent liés à la croissance des centres urbains en Europe du XVIIIe siècle (les molly-maisons de Londres ou de leurs équivalents à Paris, que Ferguson introduit comme point de comparaison dans la partie 3 du livre). L'étiquette « sous-culture » appliquée bien au groupe d'hommes qui se sont réunis à San Giovanni de la Porte Latine est un sujet de débat, Ferguson montre de façon convaincante que leur communauté avait quelques-unes des caractéristiques du sorte de "sous culture".
Ces résultats soulèvent des questions importantes pour les recherches futures sur la question de l'identité sexuelle au début de l' Europe moderne. Tout d' abord, si Ferguson a raison de plaider en faveur de la présence de sous culture diverses dans la Rome du XVIe siècle, des telles sous-cultures ont-elles existé dans d' autres villes européennes?
Quelle est l'importance de l'appartenance ethnique des hommes impliqués: y a t-il quelque chose de spécifiquement "ibérique" dans leur identité sexuelle ou de comportement? Quelle est la fréquence des exemples de polyvalence sexuelle dans cette étude de cas? Rome est-elle l'exception? Ou est-ce Florence, sur laquelle la recherche novatrice de Michael Rocke sur les relations sexuelles entre hommes en Italie de la Renaissance était fondée? Voir :
Pour beaucoup de lecteurs, l'intérêt de cette étude résidera dans sa résonance pour les campagnes modernes autour du mariage de même sexe, une question que Ferguson aborde dans son chapitre de clôture. L'incertitude sur la nature du mariage prévu à San Giovanni ne fait pas de ce cas un exemple facile non plus pour les partisans du droit au mariage pour tous.
Revenons au témoignage de Montaigne
Voici pour finir le texte de Montaigne dans l'édition originale. Cliquer sur l'image pour l'agrandir :
Toute la question est maintenant de savoir si ce qui s'est passé à Saint jean de la Porte Latine en 1578 relève d'une sorte de parodie récréative ou s'il s'agirait d'une application locale tardive d'une de ces rituels, parfaitement "canoniques" puisqu'ils sont conservé dans des recueils à vocation didactique, de bénédictions de couples de même sexe évoqué par John Boswell. La description de la cérémonie telle que la relate Montaigne avec les mains sur l'évangile ressemble étrangement à ce qu'on lit dans les rituels.
On discute beaucoup sur le fait de savoir si les esprits romains désignent des ecclésiastiques éclairés de l'époque mais il est clair que Montaigne s'est informé auprès d'une élite. Les faits remontaient à 3 ou 4 ans et le quasi témoin évoque une "belle secte", il se peut qu'il se soit agi d'une survivance liturgique ancienne mais plus ou moins dégradée.
Ce qui m'intrigue dans cette histoire c'est la mention de portugais. Or celui qui avait présidé à l'aventure qu'à constitué la parution d'une revue intitulée Gay France Magazine avait souligné qu'il n'était pas nécessaire de faire des milliers de kilomètres pour trouver un contexte favorable à l'exercice de relations pédérastiques au sens classique du terme. Mais il a négligé de s'expliquer.
Ce que j'ai noté quelque part c'est que les relations, au demeurant relativement classiques, entre un oncle plus ou moins original et un jeune non moins atypique, y auraient été bien tolérées. Mais c'est insuffisant pour justifier l'accent mis sur le Portugal. Ce genre d'attelage était à vrai dire une sorte de classique au XIXème siècle et durant la première moitié du précédant. On devine dans un incident de la vie de Jules Verne qui fit que son neveu Gaston lui tira une balle dans le pied...
Le monde voulu par les intégristes : aussi chiant d'un jour de pluie !
Enfin ce que je constate une fois de plus, c'est que le monde que veulent nous imposer les intégristes est aussi chiant que la pluie et celui, très mercantile des jeunes bourgeois qui ont fait mai 68, en transformant momentanément la Sorbonne en lupanar, est tout aussi ennuyeux car il est gangrené par un political correctness venu d'outre Atlantique.
Il est fort heureux qu'il existe toutes sortes de bons livres d'histoire pour voyager dans le temps et l'espace a peu des frais. Car avec le Nouvel ordre Mondial la merdier occidental tend à recouvrir et unifier le monde et bientôt l'univers entier !
J'ai reçu d'un ami le mail suivant accompagné d'un scan du texte figurant dans le titre de cette note :
J'ai miraculeusement (osons le mot) remis la main sur le texte de Bruno Hapel "Guénon le solitaire", un des seuls textes, avec les vôtres, à avoir nommément désigné les escrocs du guénonisme, certes avec moins de détails et de verve.
Précisions en passant que ce lecteur de la première heure a découvert la revue de votre serviteur lors d'un emploi intérimaire à la B.N., ce qui lui a fourni la possibilité d'accéder à des ouvrages rares. Lorsqu'on est préposé à la surveillance d'une salle, il faut pouvoir se distraire.
Des analogies entre Bruno Hapel et votre serviteur
Je l'ai écrit quelque part : j'ai effectivement vu entre cet écrivain et moi-même la possibilité d'un rapprochement. Mais avec le recul, il m'apparait totalement illusoire. Non seulement comme l'écrit mon correspondant, Bruno Hapel écrit comme une patate mais sa tare principale est cette "guénolâtrie" qui fait que tous ses discours restent emprunt d'une insupportable lourdeur.
Notez que je ne prétends pas à la perfection en tant que simple écrivain : comme je tape très vite au clavier et que les versions de "Windaube" sont de plus en plus lourdingues, qu'elles moulinent dans votre dos, que les touches d'un clavier ça peut coincer, je perds des mots, des lettres et comme j'ai du mal à m'astreindre à me relire parce que j'ai toujours 36 fers au feu ou 36 idées en tête, je laisse passer des "coquilles"... Mais ne vaut-il pas mieux laisser filer quelques petites imperfections de forme pour éviter de trop complexer les gens en leur laissant à ronger un os quant à la forme quand ils n'ont pas d'arguments sérieux à opposer sur le fond ?
Une insupportable "guénolâtrie"
Oui c'est vrai Hapel a osé citer des noms, Vâlsan, Maridort, Schuon, Clavelle/Reyor, Evola bien sûr comme traîtres à l'œuvre de Guénon. Mais c'est tout !
Hapel a cherché à faire l'inventaire de toutes les "boulettes" commises par les uns et les autres à propos de l'œuvre de Guénon et pas seulement en citant celles, réelles ou supposées des seuls "guénoniens". Il commence par une revue des dires des auteurs mondains ou profane sur Guénon : Gide, les surréalistes, Pauwells et tutti quanti...
Un certain Xavier Accart s'est montré plus habile. Je pense à son livre intitulé René Guénon et les milieux littéraires et intellectuels français de son temps : l'histoire d'une réception. Voir à ce sujet la recension sur Persée... Je ne connais pas le livre de cet auteur. Quoiqu'il en soit, il était plus futé de montrer l'influence et le retentissement de l'œuvre sur un vaste milieu que de traquer les prétendues infidélités à ladite œuvre.
Guénon a t-il été calomnié par les auteurs profanes ?
Je réponds pas toujours !
Lorsque R. Monzat écrit que Guénon n'a jamais réussi à séparer l'étude des vraies traditions spirituelles de naïvetés ou superstitions héritées de ses premiers pas occultistes et bien n'en déplaise à Bruno Hapel, c'est absolument incontestable !
Bref, je peux me féliciter, et la revue Symbolos l'a reconnu, d'avoir impulsé un regard extrêmement critique envers Guénon et surtout le "milieu guénonien", regard qui est certes imputable à une différence de génération et à la faculté qu'ont les "jeunes" de devoir plus ou moins tuer le père pour devenir eux-mêmes. Je viens de faire le calcul, c'est très exactement à 33 ans que j'ai découvert l'œuvre de Guénon dans une librairie appelée La Sorbonne et qui existe toujours, bien qu'il ne s'agisse plus que d'une énorme bouquinerie.
Le problème étant qu'à 33 ans, un certain Jésus n'a pas vraiment tué l'image de son "Père" en temps que Dieu de ses ancêtres juifs, celui-là ne cesse de renaître derrière un dieu d'amour dont on ne voit guère la couleur au travers de la prélature et de ses fidèles catholiques. Ce "dieu" là aime tout sauf précisément l'amour sous ses formes à peu près totalement désincarnées, il ne le tolère que sous celles qu'il faut bien qualifier de "platonique". C'est l'air du temps qui a voulu cela ! Le problème au y reviendra c'est que nous sommes redevables de ce phénomène à deux parfaits névrosés que furent l'apôtre Paul et un certain Augustin. Avec ceci de contradictoire que le 13ème apôtre est tout de même l'auteur d'une phrase qui mérite bien d'être conservée et qui vaut aussi bien pour la viande de cochon que pour des modes de consommation ne relevant pas du strict domaine de l'alimentaire mais de l'échange subtils d'atomes dits crochus... Aux purs tout est pur !
Là je suis en train de faire du Michel Onfray et il me faudra en reparler au sujet de son livre intitulé Décadence...
Hapel et le gibelinisme de Dante
Il y aurait bien des passages à relever et à commenter dans le texte visé. Mais pour cela il faudrait passer le scan à l'OCR pour éviter d'avoir à retranscrire des citations. Le passage le plus problématique, quant au point de vue avancé par Hapel, est celui contenant son jugement négatif à propos de la critique de Schuon au sujet des emprunts opérés par Guénon à Dante dans De monarchia pour soutenir sa thèse de la prévalence de l'autorité spirituelle sur le temporel. Dante fut gibelin, comme le prouve son traité De Monarchia, qui plaide très clairement en faveur d'un empereur, unique souverain.
C'est une question à la fois très simple et très complexe et Guénon, trop imbu d'idées principielles rigides, ne parait même pas s'être rendu compte qu'il a existé un gibelinisme à la française. On parle bien d'une Eglise de France en tant qu'elle fut gallicane...
Monzat n'a pas dit de sottises. certes il évoque des relations ambiguës entre Guénon et le mouvement Action française, qu'il a condamné et ce n'est sans doute pas ce qu'il a fait de mieux. Enfin Guénon a bien été un maître à penser pour la nouvelle droite et certains courants royalistes et c'est du reste à l'un de ces courants que ma critique saignante de la postérité spirituelle de René Guénon a commencé de faire le tour du monde avant de poursuivre sa carrière sur Internet.
De l'hérésie philotéliste
Il existe, venant d'un certain Mgr Michel Laroche un livre intitulé La papauté orthodoxe, Les origines historiques du papisme du Patriarcat de Constantinople et sa guerre ecclésiologique avec le Patriarcat de Moscou. Éditions Présence, Paris, 2004. J'ai été invité, avant qu'il ne paraisse, par un ami à l'époque, à lire le manuscrit et à faire des observations. Il y était question de cette hérésie.
Ne cherchez pas sur Internet, vous ne trouverez pas le mot, or je ne pense pas l'avoir mal transcrit. Cependant il existe, et c'est de cela qu'il s'agit, une règle ancienne en matière d'ecclésiologie orthodoxe voulant que le pouvoir de juridiction d'un évêque ou d'un patriarche ne puisse s'exercer au delà des frontières de l'empire qui l'héberge, tout simplement parce que si l'autorité spirituelle est, en matière morale supérieure à celle du pouvoir temporel, elle a besoin de ce dernier comme protecteur de sorte qu'en fonction de la reconnaissance que cela implique, l'autorité spirituelle ne saurait, disons le clairement foutre la merde, dans un domaine qui n'est pas le sien. C'est le sens du rendez à césar ce qui est à César !
Or, il faut bien le dire, le vice rédhibitoire et insupportable du catholicisme c'est d'avoir détourné à son profit tous les symboles de la Rome, qui plus est païenne, à commencer par la pourpre cardinalice. Les Etats du Vatican ont été réduits à leur plus simple expression et c'est une très bonne chose.
Je rappelle qu'en France, le roi très chrétien était empereur en ses états et les édits papaux devaient être enregistrés par le parlement pour pouvoir s'appliquer.
Or aujourd'hui nous avons un pape François, en apparence très sympathique, mais qui est en train de foutre une merde pas possible au sein de l'Europe. En voici un exemple ! D'un côté il demande aux catholiques de ne plus se reproduire comme le font les lapins, c'est-à-dire de façon irresponsable car avant de faire des gosses il faut avoir un minimum d'assurance d'ordre économique et l'autorité et la compétence pour les éduquer. Je suis probablement, comme beaucoup de gens nés au lendemain de la guerre, le produit d'un jet de foutre mal contrôlé ou d'un ratage dû à la méthode Ogino. Quoiqu'il en soit j'ai eu le sentiment d'être arrivé trop tôt et de n'avoir pas été franchement désiré et j'ai morflé. Et comme j'avais absorbé avant de naître une version de la pilule rouge assez mégadosée, la fameuse pilule de l'éveil, les choses ont eu tendance à se mal passer.
La recommandation est sensée mais seulement dans un contexte où les frontières sont encore protégées comme avant la création de l'espace de Schengen. Mais quand par ailleurs, de manière franchement ostentatoire on ne choisit parmi des migrants que des musulmans pour leur laver les pieds devant des caméras de télévision, il faut en arriver à se demander si nous n'avons pas affaire à un parfait imbécile ! Il aurait au moins pu ne pas sélectionner à ce point l'échantillon qu'il a monté en épingle. C'est encore là le résultat de la repentance après le fameux discours de Ratisbonne...
Le problème n'est pas les migrants : à partir du moment où le Zébulon à talonnettes a ordonné à notre armée de détruire la Lybie pour complaire au complexe militaro-industriel américain, et aussi surtout pour pouvoir faire exécuter un Khadafi afin de le faire taire au sujet de certains subventions, il fallait s'attendre à une invasion. Le problème est qu'il est interdit de faire le tri. On ferait bien de recevoir en priorité des chrétiens orientaux mais il y a parmi les Syriens des gens qui n'ont rien à faire en Europe car toute la Syrie n'est pas en guerre loin de là et tous ces hommes jeunes que l'on voit affluer devrait d'abord s'employer soit à guerroyer contre Daesch soit à conforter la vitalité des zones non touchées par la guerre. Bien évidemment nos armées n'ont rien à foutre au Moyen-Orient !
Pour en revenir à Bruno Hapel, les œillères et l'idolâtrie ne produisent que du crétinisme. Je n'ai pas lu Dante, à mon avis ce serait perdre du temps, car en prenant un peu de recul, on peut sans doute comprendre que Dante n'était pas contre l'imposition d'une norme chrétienne mais que d'une certaine manière il était comme l'on dit maintenant pragmatique.
Quelque part (p. 237) Hapel oppose deux traductions d'un passage de Dante en voulant mettre dos à dos le droit naturel au droit humain. Mais bonté divine, c'est bien la même chose ! Le premier étant, à ma connaissance, la formulation aristotélicienne du second. J'ai dans ma bibliothèque un pavé de 742 pages intitulé L'invention de la loi naturelle d'une certain Elisabeth Dufourq. Rien que son volume montre à quel point le concept a engendré de problèmes demeurés plus ou moins insolubles et des ouvrages aussi érudits ne font qu'aggraver encore les choses.
Ce qui m'intéresse, c'est d'aller à l'essentiel !
De l'aboutissement de l'œuvre de Guénon selon Saint Jean Reyor
A la page 241, je suis tombé sur un passage ou l'auteur évoqué, après avoir affirmé que la teneur de l'œuvre de Guénon est trop universelle pour être, à elle seule, le support intellectuel d'une vie spirituelle, il en vient finalement à énoncer ceci : Nous dirions volontiers qu'il y a, pour chacun, un moment où il doit "quitter" René Guénon et son universalité pour "s'enfermer" mentalement (aussi bien que psychiquement et même "corporellement") dans une forme traditionnelle déterminée des différents aspects de laquelle il doit acquérir une connaissance aussi complète que possible.
Or c'est bien le même personnage qui aurait sollicité de Guénon l'article sur la nécessité de l'exotérisme publié en décembre 1947.
C'est seulement à la page 242 que Bruno Hapel commence à poser quelques critiques sérieuses notamment sur tel ou tel intervenant notamment à propos des trahisons éditoriales de l'œuvre considérée. Il parle également, p. 250 de l'évolution de l'attitude de Guénon à propos du bouddhisme et faire remarquer, à juste titre, que ses corrections se sont accompagnées de beaucoup de restrictions. C'est bien effectivement mon avis. Il est clair en effet que Guénon était ce que l'on appelle un homme de droite de son temps et que le système hiérarchique des castes lui plaisait énormément.
Je profite de l'occasion pour souligner que si on me classe à l'extrême droite, on se trompe lourdement. S'il était en mon pouvoir de faire sauter et donc de faire se désintégrer celui qui s'est reconstitué dans notre pays démocratique comme système de caste, avec comme pivot central ce qui survit de l'Allemagne hitlérienne au travers une certaine Koenigin Angela, je n'hésiterais pas à appuyer sur le détonateur. Même chose en ce qui concerne l'actuelle Ankara et son palais du gouvernement !
A ce propos, lorsqu'on fait la synthèse de ce que l'on peut tirer de la lecture de deux ouvrages de Pierre François de Villemarest (sources financières du nazisme et du communisme), des travaux de Annie Lacroix Riz plus la synthèse qu'en a tirée un certain François Asselineau on voit très clairement comment l'Union européenne s'est constituée et il s'agit bien d'une continuation d'un certain pangermanisme, repassé entre-temps sous contrôle américain.
Pour en finir avec Bruno Hapel, il est vrai qu'il a fait preuve de courage, mais il fut trop emprunt de "guénolatrie" pour avoir fait œuvre vraiment utile. Je ne dis pas cela pour faire ressortir mes mérites. Je me suis borné a administrer des claques et même des coups de pied au cul des gens qu'il dénonce. Le plus folklorique et le plus mégalomaniaque aura été Frithjof Schuon. Je rappelle que ce ne sont pas ses dérives sexuelles qui furent la chose la plus problématique, Mark Koslow l'espèce de névrosé qui a servir de révélateur a parlé de "pédophilie" à tort et à travers et il fallait s'attendre à ce que cela lui retombe dessus. Le problème, je le rappelle, est celui d'un mélange détonnant de formes traditionnelles. Toutefois je conviens bien volontiers que Schuon n'a sûrement pas proféré que des "conneries".
Mon but était de gifler publiquement et autant que possible tous les "guignols" et en particulier la lignée de Vâlsan, des dingos qui ont prospéré en tant que parasites de l'œuvre de Guénon.
Quant à la génération montante, elle ne se soucie guère de ce que j'ai dénoncé, elle prend dans Guénon ou ailleurs ce qui lui convient et fait son petit mesclun sans trop se soucier des vieilles histoires et il faut convenir qu'elle va avoir tellement de soucis à survivre matériellement à ce qui se prépare qu'il ne saurait être question de lui jeter la pierre.
1947 - Une "année terrible" à tous égards
Revenons à 1947, ce ne fut point une année ordinaire : sur un site dédié à l'histoire on peut lire ceci :
L'année 1947 mérite bien son nom d'« année terrible ». Au sortir de la guerre, la France connaît une impressionnante vague de grèves. De graves incidents ensanglantent Marseille. Quarante ans après les événements, Michel Winock montre à quel point il y a décalage entre la réalité des faits et leur perception par les contemporains.
1947 : l'« année terrible ». La Quatrième République venait officiellement de naître. En janvier, l'élection de son président, le socialiste Vincent Auriol, dès le premier tour du scrutin à Versailles, achevait la mise en place des nouvelles institutions. Un peu plus de dix mois plus tard, le pays était en proie à des grèves dont le même Auriol jugeait le caractère « insurrectionnel »
Je suis persuadé pour ma part que le climat insurrectionnel dont on parle n'est pas arrivé par hasard. En effet, L’Agence Centrale du Renseignement (CIA) fut créée en 1947 suite au décret sur la Sécurité du Territoire National - National Security Act- signé par le Président américain, Harry S. Truman. Je dirais pour ma part qu'elle a été officialisée à ce moment là.
Une certain plan fut annoncé par un certain Marshall le 5 juin 1947 à l'université Harvard. On en connait à présent le but, c'était l'un des premiers pas vers la construction de l'Europe par deux agents stipendiés de la même C.I.A. ! Un mois plus tard c'était la célèbre affaire de Roswell et l'instant d'avant naissait votre serviteur qui s'est toujours fait l'effet d'être effectivement une sorte d'extra terrestre, on va dire un "Sirien" ou plutôt un "Siriusien" pour préciser la métaphore...
Où Hapel en dit trop et pas assez...
Hapel, juste après avoir terminé la citation rapportée ci-dessus se contente d'écrire : le voilà donc ce sinistre aboutissement que l'on voudrait nous voir suivre !
Mais encore ?
Franchement, je ne vois pas ce qu'il y a là de scandaleux ou plutôt si, je le vois très bien mais l'un et l'autre ne voyons pas le même type de scandale où encore nous ne le situons pas au même endroit.
Il faut rappeler que Reyor semble avoir été à l'origine de l'article sur la nécessité de l'exotérisme. Pourquoi, comment, on n'en sait rien ou du moins on est réduit à des conjectures assez purement gratuites. Le problème est qu'il n'y a probablement jamais eu le moindre ésotérisme dans le christianisme, Louis Charbonneau-Lassay s'est livré à deux forgeries, savoir l'invention d'une part d'une confrérie des chevaliers du divin Paraclet en brodant autour d'éléments vaguement historiques portant sur une ancienne confrérie assez banale et d'autre part d'un cercle initiatique encore plus mystérieux, la fameuse Estoile Interne
Ce blog avait disparu victime de la malveillance d'un dévot de Frithjof Schuon le grand imposteur emplumé. Ce "grand Manitou" qui rêvait de convertir l'Europe à L'islam est représenté ci-contre dans un article du Lakota Times datée de 1992.
Il était prévu de ne rouvrir ce blog au public qu'après l'avoir entièrement restauré, toutefois le camouflet infligé aux Maires anti-burkini par le Conseil d'Etat m'incite à commenter "ex cathedra" la prédiction faite quelques jours plus tôt.
Il n'est pas impossible que je privatise à nouveau pour quelques temps encore ledit blog, le temps d'en affiner la présentation et le contenu. Aussi je ne puis qu'inviter ceux qui voudraient le suivre à s'abonner à la newletter.
Les anciens articles du blog initial ont été sauvegardés et ils seront progressivement rétablis, du moins ceux qui méritent d'être conservés, ce nous donnera l'occasion de les réviser. Cette réinstallation prendra un certain temps qu'il est impossible de chiffrer.
Veuillez noter qu'il existe une fonction de recherche permettant d'effectuer des sondages dans les textes présents.
Pour respecter un semblant de chronologie dans l'ordonnance des pages les anciens articles seront tous datés de 2013, la date de publication originelle sera ajoutée dans le corps de la note.
Cette vidéo montre la complexité du problème posé. Quelques idées cruciale émergent, il ne peut être question d'un "Islam de France" mais seulement d'un "Islam en France". Il faudrait pouvoir résumer le propos mais le temps et la disponibilité manquent.
J'ai tenté, à l'instigation d'un ami belge qui a été formé entant que "professeur de religion" de répandre l'idée qu'il suffirait de ne pas rendre les corps des terroristes aux familles et de les incinérer comme de vulgaires ordures en répandant les cendres dans le premier cours d'eau venu pour mettre un frein assez radical au genre d'attaques perpétrés récemment en Europe.
Souvenez vous de ce terroriste qui fut sans doute à l'origine de la catastrophe d'AZF, il portait 3 ou 4 épaisseurs de slips pour arrivere état de marche dans le paradis coranique afin d'y déflorer joyeusement les 72 vierges promises aux émasculés du vervelet qui ajoutent foi à ce genre de promesse.
Il faut faire cour ! Selon l'idéologie islamiste le coccyx est l'os de l'immortalité. Des faussaires ont mis a contribution les travaux d'un prix Nobel inventeur de l'embryologie pour tenter d'acclimater scientifiquement cette croyance fruit d'un emprunt mal digéré. On a inventé dans la foulée une histoire d'expérimentation censée s'être déroulée à Saana.
Tout ça c'est du flan mais quand on est affronté à des demeurés, il faut savoir en user. La crémation d'un corps ne laisse que des cendres. Ne subsistent que d'éventuels calculs rénaux (lithiases). Impossible pour un coccyx d'échapper à un feu bien nourri si l'espèce de réacteur utilisé pour l'opération est bien réglé.
Donc adieu houris, éventuellement fini échansons pour ceux barbus vicieux qui préfère les vases étroits. Promettre l'incinération des terroristes c'est la meilleure chance que nous ayons de calmer sans doute définitivement leurs ardeurs djihadistes.
Mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué et surtout ne rien faire
J'ai fait don, en désespoir de cause, de notre idée au FN. Aucune réaction ! Cela vous étonne ? Moi pas ! Mais que de cinéma à propos des "burkinis"..
Eric Geoffroy s'est commis dans une émission de France Culture où il a évoqué Schuon sans évidemment faire la moindre réserve au sujet de l'imposture de ce sinistre personnage.
Elle est belle la fameuse "élite" à laquelle aspirait René Guénon avec ce genre d'hurluberlu !
Ce personnage insignifiant est à l'origine d'une fondation intitulée Conscience Soufie de droit suisse dont le programme fort ambitieux qui permet à cet universitaire de se faire mousser et de collecter des dons. Internet se prête hélas aisément à la fabrication de ce genre de "bulle virtuelle" dépourvue de toute consistance véritable.
Des animaux inquiétants font leur apparition sur nos plages. Il ne s'agit pas d'une nouvelle variétés de phoques mais d'une nouvelle mode hallal...
Il ne fait aucun doute que la vogue récente des burkinis et leur déploiement après les attentats du 14 juillet constitue un acte d'ostentation religieuse intolérable et surtout un mets de choix pour les torcheurs des média qui n'ont rien d'autre à foutre qu'à jeter de l'huile sur le feu.
En plus ces trucs sont souvent laids et franchement indécents du fait de leur caractère collant qui obligent à ajouter une jupe par dessus cette horreur...
La justice s'étant prononcé favorablement en faveur des interdits municipaux, s'agissant quasiment un miracle lesdits arrêtés se multiplient et l'on a vu le premier matador de l'actuel gouvernement voler au secours de la victoire. Courageux mais pas téméraire le gars... Il a attendu la décision du TA de Nice pour descendre dans l'arène.
Enfin il y a toujours des traitres pour s'insurger contre la censure judicaire tel le président de la ligue des droits de l'homme comme il y a à la frontière mentonnaise des "no border" pour exciter les migrants à entrer en force dans l'hexagone. Et un chef d'entreprise a annoncé qu'il rembourserait les amendes sauf que si ce salopard mettait les pieds en France, il faut espérer qu'on aura l'audace de le coffrer comme pousse au crime avant de lui causer du pays.
Enfin les Corses ont décidé de leur côté de faire respecter les mœurs républicaines de sorte que dans l'ile les partisans de la nouvelle mode risquent d'avoir chaud aux fesses.
Reste à déterminer si la Justice maintiendra le cap. Rien n'est moins sûr vu les anciennes divagations et errances contradictoires à propos du voile.
Miracle : le tribunal administratif de Nice inflige un camouflet aux pro Burkini
Notez que le prétexte de la libération des femmes me semble peut solide. On voir chez nous ce qu'elle a donné cette "libération".
Une affaire devenue "illisible", ça part dans tous les sens !
Au fer et à mesure que passe les jours, la situation devient "illisible" et parfaitement confuse. La seule affaire d'abus véritable en matière de "burkini" est l'affaire corse où des partisans musulmans de ce vêtement archaïque auraient agressé des touristes étrangères s'étant baignées seins nus. Je mets le conditionnel par prudence car je n'ai pas sérieusement étudié l'affaire.
Personnellement, le voile (je ne parle pas de la burqua) me laisse froid: je ne suis pas sans me rappeler que dans les années 50, à l'église les femmes se tenaient à gauche et portaient la mantille ou un fichu tandis que les hommes se tenaient à droite.
Le Conseil d'Etat risque d'accoucher de quelque chose de bizarre qui ne va sans doute pas arranger les choses.
Je vous laisse découvrir les conditions dans lesquelles l'Etat français (en faillite) dilapide nos deniers publics. Ca fait plus de 10 000 € par mois passé à l'ombre, nourri et blanchi aux frais de Marianne.
Tout cela pendant qu'un Conseil Départemental médian dans la célèbre "Côte d'Usure" menace un ami qui est au RSA de le foutre sur la paille sous prétexte qu'il n'aurait pas répondu à des courriers qu'il n'a jamais reçus pour l'excellente raison qu'ils n'ont jamais été envoyés...
Quant au bénéficiaire de nos largesses, il est mignon n'est-ce pas qu'on lui donnerait le bon Dieu sans la moindre confession !
bref, nous autres contribuables payons très cher les délits de "sale gueule" quand ils sont commis par des juges. Or en l'occurrence, ce paroissien a été livré à la France par l'Egypte qui l'aurait dénoncé comme projetant un attentat au Bataclan.
Mais comme les preuves n'auraient pas suivi, on a du conclure à une injustice...
Notez que le "Parisien Libéré" qui aurait révélé l'affaire à usé d'une photo montrant le personnage sous un jour plus sympathique
Courageux mais pas téméraire ce "canard" : cette différence dans le choix des images est à lui seul un bel exemple de la manière dont on sait manipuler l'opinion sous nos latitudes.
Maintenant que mis à part le fait que la chancellerie a payé selon le compte ruineux du jugement en appel que la Cour de Casse a réformé et que le suspect est sensé avoir été blanchi son image a changé en conséquence.
Oh Miracle ! Il pourrait bien avoir rajeuni en taule ! N'est ce pas extraordinaire ? Sans nul doute Allah est passé par là !
Je vous invite à lire ceci http://www.legrandsoir.info/Claude-Levi-Strauss-et-les-mu... Le bougre n'a pas été tendre à l'égard des muslims, sauf qu'à l'époque les sinistres universitaires gauchisants (pléonasme volontaire) n'avait pas encore recréée un véritable Inquisition pour flétrir une prétendue "islamophobie érudite"...
Triste tropiques dates de 1955, rappelons le et c'était bien avant le "regroupement familial" ! Je cite quelques extraits seulement :
ll m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. Je pardonne mal au premier de me présenter notre image, de m’obliger à constater combien la France est en train de devenir musulmane. Chez les Musulmans comme chez nous, j’observe la même attitude livresque, le même esprit utopique, et cette conviction obstinée qu’il suffit de trancher les problèmes sur le papier pour en être débarrassé aussitôt. A l’abri d’un rationalisme juridique et formaliste, nous nous construisons pareillement une image du monde et de la société où toutes les difficultés sont justiciables d’une logique artificieuse, et nous ne nous rendons pas compte que l’univers ne se compose plus des objets dont nous parlons. (…)
Dans les Hindous, je contemplais notre exotique image, renvoyée par ces frères indo-européens évolués sous un autre climat, au contact de civilisations différentes, mais dont les tentations intimes sont tellement identiques aux nôtres qu’à certaines périodes, comme l’époque 1900, elles remontent chez nous aussi en surface. (…)
Pourquoi l’art musulman s’effondre-t-il si complètement dès qu’il cesse d’être à son apogée ? Il passe sans transition du palais au bazar. N’est-ce pas une conséquence de la répudiation des images ? L’artiste, privé de tout contact avec le réel, perpétue une convention tellement exsangue qu’elle ne peut être rajeunie ni fécondée. Elle est soutenue par l’or, ou elle s’écroule. (…)
Si l’on excepte les forts, les musulmans n’ont construit dans l’Inde que des temples et des tombes. Mais les forts étaient des palais habités, tandis que les tombes et les temples sont des palais inoccupés. On éprouve, ici encore, la difficulté pour l’Islam de penser la solitude. Pour lui, la vie est d’abord communauté, et le mort s’installe toujours dans le cadre d’une communauté, dépourvue de participants. (…)
N’est-ce pas l’image de la civilisation musulmane qui associe les raffinements les plus rares - palais de pierres précieuses, fontaines d’eau de rose, mets recouverts de feuilles d’or, tabac à fumer mêlé de perles pilées - servant de couverture à la rusticité des moeurs et à la bigoterie qui imprègne la pensée morale et religieuse ?
Chez les Musulmans, manger avec les doigts devient un système : nul ne saisit l’os de la viande pour en ronger la chair. De la seule main utilisable (la gauche étant impure, parce que réservée aux ablutions intimes) on pétrit, on arrache les lambeaux et quand on a soif, la main graisseuse empoigne le verre. En observant ces manières de table qui valent bien les autres, mais qui du point de vue occidental, semblent faire ostentation de sans-gêne, on se demande jusqu’à quel point la coutume, plutôt que vestige archaïque, ne résulte pas d’une réforme voulue par le Prophète - "ne faites pas comme les autres peuples, qui mangent avec un couteau" - inspiré par le même souci, inconscient sans doute, d’infantilisation systématique, d’imposition homosexuelle de la communauté par la promiscuité qui ressort des rituels de propreté après le repas, quand tout le monde se lave les mains, se gargarise, éructe et crache dans la même cuvette, mettant en commun, dans une indifférence terriblement autiste, la même peur de l’impureté associée au même exhibitionnisme. (…)
[S]i un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement (prières cinq fois par jour, chacune exigeant cinquante génuflexions [sic]) ; revues de détail et soins de propreté (les ablutions rituelles) ; promiscuité masculine dans la vie spirituelle comme dans l’accomplissement des fonctions religieuses ; et pas de femmes.
Il y en a comme cela deux pages et demi très serrées... A méditer après ce qu'à dit le Père de Foulcaud.
Je connaissais l'existence de ce livre paru en 1983. J'en connaissais vaguement le contenu par un certain J.M., fils de pieds noirs, qui fut mon mentor dans la découverte de l'œuvre de René Guénon et quand à la connaissance du problème algérien. Ce "rat de bibliothèque" n'a jamais pu se départir de son engouement pour F. Schuon d'où rupture. Je me souviens qu'il avait attiré mon attention sur l'état déplorable de la médecine franque comparée à la médecine arabe.
C'est un maçon érudit qui m'a incité récemment à le lire. Cela dit la réalité était encore pire que ce que j'aurais pu imaginer à partir du compte-rendu qui m'en a été fait!
MAJ : On vient de me signaler, avant que je n'annonce cette note dans la newletter une page de critiques qui met en cause Maalouf l'Agagadémicien (Cocteau) comme n'étant pas historien. Ce qu'il a produit est un roman historique et un ouvrage collectif.
J'ai cité à la fin en post-scriptum un extrait de cette page. En principe interdite au copiage, pratique absurde qui, en cas de citation oblige à tout recopier mot à mot, lettre par lettre. Cependant j'ai plus d'un tour dans mon sac. il suffit de sauvegarder la page et de remplacer l'extension html par *.doc. Mais si j'avais en face de moi le con qui m'a ainsi compliqué la vie, je le giflerais ! Quand on s'exprime sur Internet, il faut en accepter les risques. Il n'existe pas de protection qui puisse résister à des internautes déterminés. Il est plus avantageux de compter sur le bonnes éducation de gens que de faire chier par ce genre de manœuvre débile !
Il y a une leçon à tirer de cette découverte, c'est que sortis de leurs études guénoniennes ou maçonniques, la tendance est à être peut regardant sur la qualité de certains ouvrages, la chose va se confirmer avec le livre de Gustave le Bon sur la civilisation des Arabes. Mais là encore le signalement de ce livre a été la cause occasionnelle de la découverte de sa faveur chez les musulmans. Il était donc nécessaire d'avoir l'occasion de signaler qu'il ne vaut rien !
Concernant Maalouf, ses remarques de la fin à propos des fermiers musulmans des Francs et des "infirmités" des arabes rétablissent l'équilibre en faveur de ses derniers, ce personnage ne méritait sans doute pas de se pavaner sous la célèbre coupole mais lorsque l'on constate qu'elle abrite un accordéoniste qui a rêvé dans un roman d'avoir sauté Lady Diana son cas, au fond, me rappelle celui d'un Grand Emplumé et de ses colloques privés avec une prétendue apparition de la Vierge Marie...
Résumons : dans Maalouf il y a alouf, j'aurais du me douter qu'il a "cochonné" un peu son histoire...
En résumé, si les princes Seljoukides (turcs) furent plus prompts à assumer leurs querelles fraternelles et intestines qu'a défendre les populations musulmanes, et si les Francs ont allégrement massacrés ses mêmes populations y compris chrétiennes allant jusqu'à pratiquer le cannibalisme sur une grande échelle, si toutes sortes d'alliances contre-nature virent le jour, et si l'on peut comprendre que les musulmans n'aient pas encore pu digérer cette invasion, les atrocités dont il s'agit ne justifient nullement les entreprises de djihad actuel....
Quant à l'avance de la civilisation musulmane à l'époque, elle n'est pas douteuse sauf qu'elle a porté essentiellement sur des domaines purement techniques. Pour ce qui concerne l'apport des Arabes en tant que transmetteur de la philosophie grecque le problème posé comprend deux aspects, à savoir d'une part l'évaluation correcte de la part qu'à revêtue cette transmission et le problème de savoir ce qu'en aurait compris les Arabes en question.
A propos d'une méchante polémique
Il est à noter que quand on parle d'Arabes, on oublie que si la langue des pays conquis par l'Islam a bien été l'arabe, du point de vue "racial", l'arabité avait cessé d'être dominante excepté chez les quelques dirigeants. Les Perses et leur culture ont joué un rôle central et probablement majoritaire dans ce que l'on appelle la "civilisation musulmane" avec ses hauts et ses bas.
Il est donc parfaitement déplacé et insupportable d'avoir eu à constater qu'à l'occasion de la méchante polémique survenue autour de l'ouvrage intitulé Aristote au Mont Saint Michel, les racines grecques de l'Europe chrétienne de Sylvain Gouguenheim, cette engeance infernale que constitue une certaine clique d'universitaires gauchisants ait résuscité une véritable inquisition avec production de pétitions, soit en fait un véritable lynchage médiatique.
Tentatives homicides
Le 25 avril, Le Monde publie une lettre envoyée par l'historienne des mathématiques grecques et arabes Hélène Bellosta et signée par quarante chercheurs, dont Alain Boureau. Gabriel Martinez-Gros, arabisant et historien de l'Espagne musulmane, et Alain de Libera, historien de la philosophie médiévale, lui reprochent de nier, à des fins idéologiques, le rôle joué au Moyen Âge par les intellectuels arabes dans la transmission du savoir grec à l'Europe, ce qui l'amène à écrire des « inepties », et lui reprochent de développer une thèse nourrissant celle du prétendu choc des civilisations.
Vouloir rameuter des dizaines voire des centaines d'universitaires pour une pétition dans Télérama, soit œuvrer dans la quantité pure pour imposer à grand public qui n'y connait rien l'opinion de ces agités n'est pas à même de départage qui que ce soit, ce n'est rien d'autre qu'une pure voie de faits ! Ca donne le niveau moral de l'Université française en général !
Principalement pour des raisons électoralistes, nous sommes dirigés par des "lèche bottes" qui, pour parvenir à leur fins, sont prêts à toutes les trahisons. Concernant les intellectuels, outre les fantasmes sexuels à base de harem, il faut sans doute envisager la possibilité de subventions plus ou moins discrètes sous forme de "pétrodollars"...
A propos du choc des civilisations
Ailleurs qu'en France, la polémique aurait été circonscrites à des échanges courtois entre spécialistes hors d'âge. Cependant force est de constater que les mœurs barbares des "Franj" du temps des croisades, n'ont pas changé au sein de la pseudo élite intellectuelle. Cette clique qui rêvent de harems remplis de houris et de jeunes échansons à défaut d'un paradis auquel ces matérialistes ne peuvent croire vont jusqu'à nier le "choc de civilisation" qui est en cours. Ce choc est devenu évident quand un nain sautillant, a, pour des raisons personnelles, devancé les souhaits américains en foutant la Lybie cul par dessus tête avec les vagues de migrants qui en sont résulté. Mais à part cela et le reste, non il ne s'est rien passé ! Et il ose vouloir se représenter !
Londres (et Oxford, un comble !) a à sa tête un Maire musulman alors je ne vois pas pourquoi Madame Hidalgo ne devrait pas être remplacée par un "barbu".
L'Islam : un rempart contre l'irrationalité féminine ?
Si le destin de la France est de passer sous le régime de la Sharia, je formule quelques vœux...
Celui de devenir plus que centenaire afin, le cas échéant, de voir cette femme ainsi que quelques autres parmi ses semblables, la Royal notamment, astreintes à porter abayas, burquas, burkinis et Cie.
Seulement, je suis réaliste. Ainsi quand je fais mes courses en grande surface, je vois que chez nous comme ailleurs quand les courses sont faites en couple ce sont bien les femmes qui toujours portent la culotte.
Ce qui s'est passé au sein même de la famille du prophète, on y reviendra, est très éloquent, quand au rôle excessivement négatif de celles dont les pères sont devenus Califes, Aischa l'impertinente qu'il aurait fallu claquer et l'autre. Le livre de Hela Ouardi basé exclusivement sur des sources musulmanes autorisées est un témoignage catastrophique à propos de la faiblesse de Mahomet vis à vis de son harem. Non seulement, il n'a pas été capable d'engendrer un garçon viable, ce qui pour un arabe équivaut à de l'impuissance mais c'est parce qu'un de ses compagnons à insisté pour que les "mères des croyants" (les femmes du prophète) portent un voile que Allah, par Mahomet se serait conformé à son désir. Je cite :
Aïsha rapporte que la nuit, les épouses du prophète avaient l'habitude d'aller à Al-Manasi, un vaste endroit (près de Baqia à Medine) pour satisfaire leurs besoins naturels. Omar disait au prophète : "Fais que tes femmes soient voilées", mais Muhammad n'écoutait pas. Une nuit, Saouda bint Zama - une des femmes du prophète - sortit au moment d'isha (avant minuit) et c'était une femme de grande taille. Omar s'adressa à elle et lui dit : "Je t'ai reconnue, Ô Saouda." Il dit cela car il désirait ardemment que les versets sur le Hidjab (le voile) soient révélés. Alors Allah révéla les versets du Hidjab. (source)
Omar rapporte avoir dit : "Ô Apôtre d'Allah ! De bonnes et de mauvaises personnes entrent chez toi, je te suggère d'ordonner aux mères des croyants (les femmes du prophète) de porter le voile." Alors Allah révéla les versets sur le voile.
Je rappelle que les excès misogynes témoignent chez les Arabes d'une peur des femmes plus que d'une capacité de maîtriser !
En fait dans toute civilisation qui s'est respectée, on a toujours considéré les hommes trop sensibles au charme des femmes comme une source de calamités. Qui se ressemble s'assemble !
Il est inutile, je pense, de fournir des exemples historiques ! Or il est très caractéristique d'avoir a constater que si Mahomet est suspecté de "pédophilie" à propos de son mariage avec Aisha, il n'existe nulle part la moindre insinuation à propos d'éventuelles tendances homosexuelles. Sauf, chez Ouardi, une mention d'effusions à propos de Zayd son affranchi mais qui est assez insignifiante.
Alors si l'Islam n'est pas foutu de vraiment instaurer un équilibre entre les sexes, à quoi peut-il servir, attendu que cette religion excessivement formaliste est bien la mère de toutes les hypocrisies?
Quelque soit le rapport sous lequel on voudra envisager cette religion, tout y est problématique. Je n'évoquerai que les versets du Coran témoignant d'une prédestination arbitraire, Allah y apparaît clairement comme l'auteur du mal lorsque celui-ci se produit, c'est une des difficultés totalement insolubles.
Mais avant de revenir au livre recensé, il me faut ouvrir une petite parenthèse à propos de la lapidation :
2) La lecture du verset a été abrogée, c'est à dire, le verset a été retiré du Coran, mais l’ordre qu’il contenait est toujours valable et encore applicable.
Exemple: Omar rapporte dans un hadith qu’il existait dans le coran un verset mentionnant la lapidation pour les personnes adultères. Ce verset ne se trouve plus au sein du Coran mais l’ordre qu’il contenait a été conservé.
[Muslim, Livre 17, Numéro 4194]
'Abdullah bin 'Abbas rapporte que Omar bin Khattab s'assit sur le siège du Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) et dit : "Allah a envoyé Mohammad (que la paix soit sur lui) avec la vérité et Il lui a révélé le Livre (le Coran) et le verset sur la lapidation qui en faisait partie lui a aussi été révélé. Nous l'avons récité, retenu et compris. Le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) a fait appliquer la lapidation à mort (comme punition de l'adultère) et après lui, nous avons aussi appliqué la lapidation. J'ai bien peur qu'avec le temps, les gens (oublient et) disent : Nous ne trouvons pas la peine de la lapidation dans le Livre d'Allah, et ainsi s'égarent et abandonnent ce châtiment prescrit par Allah. La lapidation est la peine prévue dans le Livre d'Allah pour les hommes et femmes mariés qui commettent un adultère, quand la preuve est établie, ou s'il y a une grossesse, ou un aveu".
Si mes souvenirs sont exacts, le verset, relégué sous le lit de Aisha aurait été mangé par une chèvre. Ce que l'on ne dit pas c'est que si Aisha l'avait (celui là et sans doute quelques autres) enfouis sous son plumard, c'est parce que ce verset étaient menaçant pour elle et ses copines. On notera en passant qu'elle aurait connu d'autres hommes après Mahomet alors que les épouses du prophète n'avait pas droit au remariage.
Décidément, les femmes n'ont pas changé et ne changeront jamais : sauf exceptions rarissimes, elles veulent toujours le beurre, l'argent du beurre, et à présent le cul du crémier par dessus le marché ! Et l'exemple du prophète et de ses femmes nous démontre surtout que cette tendance est invincible. Alors vive le célibat !
Epilogue du livre
La lecture du livre évoqué devient assez rapidement fastidieuse avec toutes les batailles recensées, alliances, trahisons etc... Il est difficile de suivre mentalement l'évolution du phénomène sur une carte qu'il faut imaginer.
Les remarques les plus intéressantes se trouvent à la fin du livre dans l'épilogue. J'en cite quelques extraits :
En apparence, le monde arabe venait de remporter une victoire éclatante. Si l’Occident cherchait, par ses invasions successives, à contenir la poussée de l'islam, le résultat fut exactement inverse. Non seulement les Etats francs d’Orient se retrouvaient déracinés après deux siècles de colonisation, mais les musulmans s'étaient si bien repris qu'ils allaient repartir, sous le drapeau des Turcs ottomans, à la conquête de l'Europe même. En 1453, Constantinople tombait entre leurs mains. En 1529, leurs cavaliers campaient sous les murs de Vienne.
On appelle cela le retour du balancier. Il aurait mieux valu laisser les Arabes ou plutôt les arabophones s'endormir...
Ce n'est, disions-nous, que l'apparence. Car, avec le recul historique, une constatation s'impose : à l'époque des croisades, le monde arabe, de l'Espagne à l'Irak, est encore intellectuellement et matériellement le dépositaire de la civilisation la plus avancée de la planète. Après, le centre-du monde se déplace résolument vers l'ouest. Y a-t-il la relation de cause à effet? Peut-on aller jusqu'à affirmer que les croisades ont donné le signal de l'essor de l'Europe occidentale - qui allait progressivement dominer le monde - et sonner le glas de la civilisation arabe?
Ce à quoi l'auteur répond :
Sans être faux, un tel jugement doit être nuancé. Les Arabes souffraient, dès avant les croisades, de certaines « infirmités » que la présence franque a mises en lumière et peut-être aggravées, mais qu'elle n'a pas créées de toutes pièces.
Le peuple du Prophète avait perdu, dès le ix° siècle, le contrôle de sa destinée. Ses dirigeants étaient pratiquement tous des étrangers. De cette multitude de personnages que nous avons vus défiler au cours de deux siècles d'occupation franque, lesquels étaient arabes?
(...)
Seconde « infirmité » des Arabes, qui n'est pas sans lien avec la première, c'est leur incapacité à bâtir des institutions stables. Les Franj, dès leur arrivée en Orient, ont réussi à créer de véritables Etats.
A Jérusalem, la succession se passait généralement sans heurts; un conseil du royaume exerçait un contrôle effectif sur la politique du monarque et le clergé avait un rôle reconnu dans le jeu du pouvoir. Dans les Etats musulmans, rien de tel. Toute monarchie était menacée à la mort du monarque, toute transmission du pouvoir provoquait une guerre civile. Faut-il rejeter l'entière responsabilité de ce phénomène sur les invasions successives, qui remettaient constamment en cause l'existence même des Etats? Faut-il incriminer les origines nomades des peuples qui ont dominé cette région, qu'il s'agisse des Arabes eux-mêmes, des Turcs ou des .Mongols?
On ne peut, dans le cadre de cet épilogue, trancher une telle question. Contentons-nous de préciser qu'elle se pose toujours, en des termes à peine différents, dans le monde arabe de la fin du xx° siècle.
L'absence d'institutions stables et reconnues ne pouvait être sans conséquences pour les libertés. Chez les Occidentaux, le pouvoir des monarques est régi, à l'époque des croisades, par des principes qu'il est difficile de transgresser. Oussama a remarqué, lors d'une visite au royaume de Jérusalem, que « lorsque les chevaliers rendent une sentence, celle-ci ne peut être modifiée ni cassée par le roi ». Encore plus significatif est ce témoignage d’Ibn Jobair aux derniers jours de son voyage en Orient:
En quittant Tibnin (près de Tyr), nous avons traversé une suite ininterrompue de fermes et de villages aux terres efficacement exploitées. Leurs habitants sont tous musulmans, mais ils vivent dans le bien-être avec les Franj - que Dieu nous préserve contre les tentations! Leurs habitations leur appartiennent et tous leurs biens leur sont laissés. Toutes les régions contrôlées par les Franj en Syrie sont s
Ce blog n'a pas vocation a commenter indéfiniment de tels scandales. L'immense majorité du grand public ne possède pas le capacités de finesse nécessaires pour évaluer la somme de aberrations qu'il recouvre. Les lecteurs auront-ils la patience de lire et d'assimiler les remarques de notre ami belge ? Force est de constater que même parmi les juristes de profession le niveau a chuté de façon abyssale.
J'ai emprunté la vignette ci-dessus à cette page qui résume bien la situation :
Voici pour finir les remarques d'un lecteur de la première heure qui m'a communiqué le texte d'un philosophe qui résume lui aussi la situation.
Restons en là ! Quant à résister à l'emprise grandissante de l'Islam, il y a encore à faire pour dynamiter cette forgerie humaine, le seul problème est que pour se convaincre qu'il s'agit bien d'une "peste verte", il faut disposer d'un peu de temps et d'attention. Mais rappelons que l'Islam est une chose et que les musulmans en sont une autre, le problème est que nous ne pouvons guère compter sur eux pour prendre le problème à bras de corps en expulsant, pour commencer, tous les imams fanatiques.
En attendant, voici les remarques du lecteur évoqué plus haut :
Pas mal votre note sur l'affaire du bourrinkini...
Ces pédants du Conseil D'etat ont fait très fort en crachant sur la France entière au dépend d'une poignée de tarés fanatisés.
Je me mets à la place des proches des victimes des attentats qui doivent l'avoir très mauvaise. C'est une insulte à leur égard.
Stirn Bernard est le frère de cet OLivier Stirn -que le Canard Enchaîné nommait "l'andouille de Vire". Voir sa bio et ses origines (un descendant de..Dreyfus. Sans doute veut-il faire payer à la République le sort de son aieul !)...Politiquement : une girouette...
Il y a aussi ce Spinosi,( parenté avec votre ancien rédacteur des Cret ?) avocat de la Ligue des droits de l'homme (une vraie tête à claque. Dès que je l'ai aperçu à la TV j'ai eu envie de le cogner et pourtant je ne suis pas un type violent...La Ligue est devenue tellement pourrie qu'elle défend les manifestations d'idéologies qui nient ces droits-là !
Ci-joint un commentaire du philosophe Yves Michaud ( publié sur FB) que je prends à mon compte...:
L'arrêt du Conseil d'Etat était prévisible
L'hystérie anti-burkini aura donc eu pour effet de légitimer a contrario dans tous les domaines et dans toutes les occasions le port de ces insignes religieux aussi bien par conviction que à des fins de provocation. On le constatera de manière redoublée dans les piscines, dans les hôpitaux et les universités.
Le seul point sur lequel on pouvait et devait agir est celui des pressions et violences exercées sur des personnes pour qu'elles portent ces insignes ou contre les personnes qui portent kippa, croix chrétienne ou ne sont pas "décemment vêtues".
Or ces violences et pressions sont légion.
Malheureusement les autorités sont trop faibles et pusillanimes pour accomplir ce travail répressif.
Non seulement donc il y aura eu échec mais c'est une grande défaite pour la laïcité.
Deux dernières remarques:
- c'est une particularité française que les juges administratifs suprêmes soient nommés par un concours aussi navrant que celui de l'ENA ou à la discrétion du pouvoir politique (tour extérieur). La justice française n'obéit pas à la séparation des pouvoirs, n'est pas démocratique et fonctionne comme une corporation autonome.
- il est de plus en plus scandaleux que l'on admette les recours des associations comme la Ligue des droits de l'homme (LDH) et le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF) qui sont noyautées désormais par des racistes et des islamistes. Là encore, il serait temps que monsieur Cazeneuve au lieu de se balader de cercueil en cercueil fasse son travail: les associations détournées de leur fin, ça se contrôle et ça se dissout - et pour commencer on peut cesser de les subventionner.
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses l...
Témoignage : Ici on a le quartier de La Gabelle, à Fréjus. Depuis toujours cet ensemble d'immeubles assez sympas (j'aimerais bien y avoir un logement!) pose des problèmes de criminalité et est disons-le devenu une zone interdite au kafir. Et pourtant ce ne sont qu'une dizaine de petits immeubles qu'un bataillon de Marsouins nettoierait à la baïonette en un tour de main....
Voici une anecdote parmi bien d'autres...
il y a quelques mois 3 jeunes touristes à pied dotés d'un GPS cherchait leur chemin; manque de bol, le GPS leur indique de passer par la Gabelle. Résultat ils se sont fait casser la gueule, comme ça, en pleine après-midi, sans raison autre qu'ils étaient des blancs de souche.
Un jour la municipalité a bâti une salle culturelle pour les jeunes de ce quartier : eh bien ils y ont foutu le feu.
Il y a des années une amie italienne vient me voir avec ses parents; il voyage en camionnette; dans l'arrière de la camionnette, ses dossiers universitaires d'étudiante en lettres. Ils garent la camionnette près de La Gabelle-évidemment ils ne savaient pas...Et hop, toujours en plein jour elle est forcée, pillée et les papiers dossiers de mon italienne se retrouvent au fond du ruisselet attenant. Pure méchanceté, quoi...
La Gabelle c'est tout un poème ici, et depuis 40 ans ça continue. Les édiles achètent le calme en laissant le deal et le traffic s'opérer du moment que ça ne déborde pas visiblement trop. C'est ainsi que les politiques gérent et gèreront. ILs s'en tapent que des citoyens vivent alors en quasi dhimmis; l'important pour les politiques c'est que les affaires continuent....
Un correspondant m'a envoyé cette information : je vous signale une grosse blague à deux pattes, un improbable avatar de Soral en la personne de l'effarant Francis Cousin, conférencier « consultant philo-psychologique » ou un truc comme ça…
Le gras double en question a une tête de psychopathe, se disant « marxiste » (qui fut parfois invité sur Radio Courtoisie par feu Ratier) il se fait payer 85 euros l’heure de causerie magistrale. Ses divagations sont dignes d’un Beckett ou d'un Ionesco sous acide : gloubiboulga de marxisme ésotérique, de sociologie à 2 balles, d’antisémitisme inavoué et de guénonisme de farces et attrapes…
Evidemment le mec commence à se faire une réputation… Plus c’est gros… Ses vidéos et écrits valent le détour pour les amateurs de curiosités… Il y avait un bail que je n’avais lu ou ouï de logorrhée aussi mal barrée. En comparaison et malgré les limites d’Onfray, on en apprécie que plus sa clarté.
Quelque part sur le site de Soral, on lit ceci : Né en 1957, Francis Cousin anime un cabinet de philo-analyse : « En tant qu’approfondissement de sa rechercher dans l’amour de l’être, ELLE (sic) propose de comprendre les racines de l’humain en faisant ressortir la vérité historique des expériences conscientes et inconscientes qui font le réel du vécu quotidien. »
Il est vrai que sur certaines photos, on se pose la question du sexe de cet individu. Aussi je remercie un ami, excellent technicien de Photoshop qui m'a rendu un document plus vrai que nature pour représenter cet individu. Voici quelques déclarations emberlificotées dont vous ne manquerez point d'apprécier le génie.
Il y a en effet du génie dans sa nullité je trouve. Il devrait faire du cabaret... Desproges est enfoncé ! J'ai souligné les termes "guénonisants" en gras...
Génie de la nullité
Je cite : « Pour être lui-même, l’humain doit habiter dans le loger de la tradition primordiale de la communauté de l’Être. Le communisme y est l’être générique de l’homme universel qui se déploie en la sacralité unitaire et totale de la vraie vie qui ignore la séparation sacré/profane née des traditions falsifiées propres aux pouvoirs de la valeur spatiale du territoire pré-marchand qui firent dialectiquement et ultérieurement naître la valeur des espaces du temps mercantile. Le seul habitement propre à l’être véridique de l’être de l’homme identifie l’authentique séjournement de l’existence humaine à l’espace du vivre communiste qui relie la terre au ciel, la nature à l’humain, le divin aux mortels sans qu’aucune fallacieuse transcendance de domestication extérieure ne vienne briser le lien premier et fondamental (primordium) de l’essentialité véritable du transcendant immanent propre à l’Être de l’Être. »
"Quant au soufiste (sic) Guénon, perdu dans une autonomisation toujours plus poussée de la césure du vivant dans le travail de la division inhérente au syndrome ésotérique de l’hallucination initiatique de l’orientalisation fiévreuse, la seule explication qu’il puisse évidemment proposer du processus de dégénérescence qui a produit la modernité, c’est celui de l’éloignement des principes de la société traditionnelle alors qu’en vérité c’est à l’opposé cette dernière qui – sur la base des hiérarchies sorties de la domination politique des étendues de l’avoir – s’est substituée à l’ancestrale communauté de l’être – pour insensiblement mener à la dynamique pécuniaire qui [à l’ombre des fonctions du sacerdoce et de la royauté] conduira au surgissement du mode de production capitaliste universel. »
« La loi juive ne supprime pas la scission entre l’éternel et le particulier, mais au contraire la révèle et l’exaspère comme le souligne fort bien Hegel car elle est religion de la négativité comme destin. Pour elle, le divin est la négation de l’homme et la foi est la simple conscience obéissante de cette négation.»
C'est limpide , non ? Heureusement que ce genre de clown ne pose pas de bombes et se flinguerait probablement en ne sachant pas dans quel sens utiliser un pistolet sinon il faudrait se résoudre à le piquer !
A méditer : ils ne doutent de rien !!! La démocratie est une catastrophe !
Reçu d'un correspondant belge :
Sourions ... tout de même !
*Allah est grand !!!*
Accusée d'avoir expédié les funérailles de Ben Laden sans aucun respect pour le culte Musulman, l'armée Américaine a assuré que le corps avait été jeté à la mer, en direction de la Mecque.
Une courte prière à Allah a même été prononcée par les Marines (tout à fait, j'étais là), ils ont dit texto :
- Allah une....
- Allah deux....
- Allah trois....
et plouf!!!..... Allah mer !!!
Et en tombant, Ben Laden a dit:
"Oussama fait mal"
Et les requins sont arrivés et ont dit : Allah soupe !!!!!
ALLAH LUMIERE DE CES EVENEMENTS,
NOUS POUVONS AFFIRMER QUE TOUT A ETE FAIT ALLAH VA VITE !!!!
Il faut arrêter de nous prendre pour des demeurés, ça suffit !
Il faudrait également m'expliquer par quelle diablerie cet immeuble bancaire a été littéralement éventré sans qu'aucun avion ne se soit jeté dessus ! Désolé c'est pas Ben Laden et ses sbires qui ont pu faire cela...
On parle d'une énergie libre capable de désintégrer l'acier de manière spécifique...
Un correspondant guénonien et grand érudit, m'a suggéré de lire cet ouvrage. La suggestion lorsqu'elle a concerné l'ouvrage d'Amin Maalouf m'a surtout incité à retenir quelques passages de l'épilogue qui, en dépit du cannibalisme initial des Francs, ont compensé ce handicap par la reconnaissance de certaines qualités qui sont autant d'infirmités (sic) chez les arabophones musulmans. Qualité visibles dans la gestion équitable des fermiers palestiniens sous protectorat francs avant l'expulsion finale.
Rien qu'en lisant un résumé du propos de l'auteur trouvé sur le Net, on comprend pourquoi cet ouvrage fait l'objet actuellement d'au moins deux éditions contemporaines en français par des éditeurs musulmans (Al-Bustane et Casbah). Auparavant, ce propos avait été récupéré par un éditeur musulman et traduit en perse et en arabe.
Malheureusement, le propos en question n'est que le résultat d'une vision idyllique et donc purement romantique. Tout est faux dans le résumé que je vais citer...
Lorsque l'on m'a proposé ce livre j'aurais du me souvenir de ce qu'a dit de l'auteur, Péroncel-Hugoz, qui l'a classé dans les "Turcs de profession". Je cite :
Dans le genre patelin, notre siècle a, comme le précédent, son Docteur Lebon et même mieux. Né en Eure-et-Loiren 1841, archélogue d' l'Inde bouddhique à ses début, docteur en médecine en 1876, Gustave Lebon avait publié dès 1886 sa Physiologie de la génération, suive d'un Traité pratique des maladies des organes génito-urinaires (1869) et d'une Hygiène pratique du soldat et des blessés, opportunément imprimée l'année de la guerre de 1870.
La remarque laisse supposer que Lebon avait le sens des affaires, poursuivons :
Mais s'il n'est pas tombé dans l'oubli c'est grâce aux Arabes, à propos desquels il commit en 1884, un panégyrique, plusieurs fois réédité depuis, à leur demande, et que les princes du pétrole, aujourd'hui, font déposer sur la table de nuit de leurs invités francophones de marque, dans une coûteuse reliure dorée.
Pourtant, "La Civilisation des arabes", de Lebon ne vire quand même pas à la propagation directe de la foi islamique, comme s'y emploie notre contemporain, le Dr Maurice Bucaille.
L'inventer des "miracles du Coran"...
Tout de même il y a de quoi s'étonner qu'un guénonien propose encore ce genre d'ouvrage inconsistant bien que n'étant pas attiré par l'Islam et n'appréciant que quelque poète et philosophes persans... Mais enfin puisque c'est l'occasion de dégonfler une baudruche, il ne faut pas se gêner de couper l'herbe sous le pied des lecteurs naïfs qui pourraient être séduit par l'ouvrage.
Un résumé totalement faux qui dispense de se farcir le pavé
Lorsque nous étudierons les conquêtes Arabes, et tacherons de mettre en relief les causes qui ont déterminé leur succès, nous verrons que la force ne fut pour rien dans la propagation du coran, car les Arabes laissèrent toujours les vaincus libres de conserver leur religion.
Libre de conserver leur religion : oui dans une certaines mesure mais ce fut à la condition d'accepter d'être rackettés. Certes la fortune des "dhimmis" a varié au cours du temps. Certains sont devenus des administrateurs au service des conquérants.
Si les peuples chrétiens se convertirent à la religion de leur vainqueurs et finirent par adopter leur langue, ce fut surtout parce que ces nouveaux conquérants se montrèrent plus équitables pour eux que ne l’avaient été leurs anciens maitres, et parce que leur religion était d’une grande simplicité que celle qu’on leur avait enseignée jusqu’alors.
La (relative) simplicité de l'Islam, et notamment la non moins relative licence en matière de mariages a certes joué mais quand à l'équité, l'étude d'Amin Maalouf sur les croisades dans son épilogue contredit à angle droit une telle affirmation. Voir la note précédente...
S’il est un fait bien prouvé par l’histoire, c’est qu’une religion ne s’impose jamais par la force.
Faut pas pousser ! Si le patriarche de Jérusalem a préféré ouvrir les portes de sa ville, c'est bien pour éviter une effusion de sang. Il s'en est consolé en déclarant que la chose n'est arrivée qu'en raison des pêchés de ses ouailles. La chronique regorge d'histoire de villages incendiés et de femmes et d'enfants réduits en esclavage et vendus sur les marchés.
Lorsque les Arabes d’Espagne ont été vaincus par les chrétiens, ils ont préféré se laisser tuer et expulser jusqu’au dernier plutôt que de changer de culte.
Possible mais il existe au monde, trois choses qui suscitent le même genre de rigidité ce sont les idéologies politiques, les idéologie religieuses et même les idéologies médicales. En France surtout !
Loin donc d’avoir imposé par la force, le Coran ne s’est répandu que par la persuasion.
C'est une plaisanterie ! D'abord le Coran a mis deux siècles au moins avant de prendre la tournure que nous lui connaissons et la plupart des musulmans qui s'en réclament en ignorent presque tout.
Il est évident d’ailleurs que la persuasion seule pouvait amener les peuples qui ont vaincu plus tard les Arabes, comme les Turcs et Mongols, à l’adopter.
Voilà un raccourci qui mériterait d'amples développements, il s'agirait plutôt de la simplicité apparente évoquée plus haut. D'autre part, l'emprise du formalisme extérieur et l'architecture domestique des pays d'Islam montre que l'on a toujours privilégié le secret de cette même vie domestique, ce qui a favorisé toutes sortes de déviations sectaires et de complot, bref un climat de disputes intestines...
Dans l’Inde, où en réalité les Arabes n’ont fait que passer, le Coran s’est tellement répandu qu’il compte aujourd’hui plus de cinquante millions de sectateurs.
Ce n'est pas le Coran mais l'Islam qui s'est répandu et il s'est répandu par la violence et des destructions à tel point que le bouddhisme tibétain a conservé dans les doctrines relatives à Shamballah et Kalachakra des exécrations qui visent d'abord l'Islam et ensuite les religions monothéistes, ce sont des choses qu'il ne faut pas avoir peur de rappeler et qui sont d'autant plus significatives qu'elles émanent d'une religion à priori connue pour son pacifisme et son rejet du système des castes !
Leur nombre s’élève chaque jour; et, bien que les Anglais soient aujourd’hui souverains du pays, bien qu’ils y entretiennent une véritable armée de missionnaires destinés à convertir au christianisme les mahométans, on ne connait pas un seul exemple authentique de conversion ayant couronné leurs efforts.
C'est un fait mais qui ne prouve pas la vérité de l'Islam d'une part, d'autre part cette relation des faits est très sujette à caution. Avant la construction du canal de Suez, beaucoup de résidents anglais avaient adopté certaines mœurs locales en prenant comme compagnes des femmes du pays certes hindoues plus que musulmanes et ce n'est qu'après que les femmes ont pu rejoindre leur maris sans avoir à contourner toute l'Afrique que ce missionnerait s'est développé. Alain Daniélou n'est pas fiable pour l'histoire ancienne de l'Inde mais c'est un bon guide pour sa partie moderne...
La diffusion du Coran en Chine n’a pas été moins considérable. Nous verrons dans un autre chapitre comment la propagande de l’islamisme y a été très rapide.
Bien que les Arabes n’aient jamais conquis la moindre parcelle du Céleste Empire, les mahométans y forment aujourd’hui une population de plus de vingt millions d’individus. »
Je ne connais pas les détails de la diffusion de l'Islam en Chine mais quoiqu'il en soit le chiffre donné est très sujet à caution.
Gustave Le Bon était une sorte de "ravi"
Il ne semble pas s'être converti mais il n'en n'était assurément pas loin !
Mahomet supportait toutes les persécutions avec une grande douceur, et son éloquence entraînante lui attirait chaque jour de nouveaux disciples.
Il suffit de se référer à ce Que Remy Brague a dit à propos des gênes d'intolérance de l'Islam pour comprendre à quel point ce qu'on vient de lire est la pire des contre vérités. Rappelons que Mahomet a fait assassiner une femme et son bébé qu'elle allaitait encore, il a suscité un traquenard en vue de l'assassinat d'un poète qui s'était fichu de sa poire. Bref, la tradition témoigne qu'il ne supportait pas la moindre ironie. Tout comme ses disciples aujourd'hui qui, lorsqu'ils sont confrontés à des évidences, les nient sans vergogne !
Les Arabes réussirent en quelques siècles à transformer matériellement et intellectuellement l'Espagne, et à la placer à la tête de toutes les nations de l'Europe. Mais la transformation ne fut pas seulement matérielle et intellectuelle, elle fut également morale. Ils apprirent, ou au moins essayèrent d'apprendre aux peuples chrétiens, la plus précieuse des qualités humaines : la tolérance.
On ne peut pas nier l'existence de vertus parmi certains gouvernants (Saladin) mais ce dont on parle ne vient pas des arabes mais surtout de convertis persans et de divers courants culturels ou spirituels qui ont entrepris de tenter de transformer l'Islam de l'intérieur, c'est ainsi que le soufisme m'apparaît comme une greffe néo-platonicienne non exempte d'influences chrétiennes (Ibn Arabi, voir Asin Palacios).
Ce que nous enseigne "Muezza" la chatte adorée de Mahomet
Enfin il faut se souvenir que la légendologie musulmane a prêté à son prophète toutes sortes de traits de caractères dont certains très positifs, ce qui explique l'existence d'un certain esprit chevaleresque.
Seulement les thuriféraires on été trahi par leur excès de zèle. Mahomet passe pour avoir beaucoup aimé les chats. Deux anecdotes en témoigneraient. Un jour que Muezza allait enfanter et s'était réfugiée dans sa manche, il l'aurait coupée pour se rendre à la prière afin de ne pas déranger la bestiole. L'original de cette histoire est chinois et c'est l'histoire d'un empereur qui préférait les minets aux minettes, sauf qu'au lieu de quatre pattes, l'objet de sa dévotion n'en avait que deux !
La dévotion hagiographique quand elle devient excessive confère parfois un semblant d'innocence qui ne peut se solder, de la part des "infidèles", que par un immense éclat de rire. Cette erreur de casting est bien la preuve qu'une fois de plus, les fabricants de la légende en arrivent à fabriquer d'énormes bombes à retardement !
J'adore les chats et ils me le rendent bien mais de là à devenir mahométan, c'est pour ainsi dire une autre paire de manches.
L'annonce d'un possible renvoi de Sarko 1er en correctionnelle est une mauvaise nouvelle bien qu'il mérite d'être condamné et rendu inéligible car elle renforce les chance d'un "Ali Juppé" de devenir le khalife des Français et ce serait l'assurance d'une véritable soumission rampante et progressive à l'Islam. Et ce, en attendant que la fertilité des musulmanes, grassement subventionnées par nos sacro saintes allocations, ne permette de renverser la constitution en imposant la loi islamique.
Il apparaît nécessaire, bien que je n'éprouve aucun goût pour la politique pourrie dont nous sommes les victimes, de faire le point à ce propos et de proposer en particulier une certaine vidéo comme sujet de réflexion.
Oxford et Londres ont a leur tête un Maire musulman. Les régimes démocratiques favorisent la quantité au détriment de la qualité. Il n'y aurait rien d'étonnant qu'un jour ou l'autre nous soyons dirigés par un président appartenant à la mouvance des frères musulmans. Certes on imagine mal la possibilité de balancer toutes nos lois à la poubelle et de les remplacer par la Sharia mais il n'empêche que cela ne ferait que favoriser l'extension des zones de non droit.
La décence musulmane un prétexte à des voies de faits
La presse ne dit pas tout. Je sais qu'après les attentats de Nice, loin de baisser la têtes des musulmans la relèvent et aussi des musulmanes. On m'a signalé plusieurs cas de femmes prises à partie par des musulmanes parce que trop courts vêtus. Nice Matin qui en parle quand ça arrive à Toulon ferait bien de commencer par sa ville. Certes beaucoup de femmes feraient bien sans porter le voile, d'adopter un peu plus de décence.
Ce que je trouve insupportable c'est de voir dans des églises, des catéchumènes en passe d'être baptisées s'exhiber dans le cœur avec des jupes quasiment à ras de la moule. Très franchement cela me laisse complètement froid mais c'est assez franchement inesthétique et ça dénote une absence complète de pudeur et par conséquent une volonté de n'en faire qu'à leur tête, ce dont j'ai eu à pâtir à plusieurs reprises.
C'est ainsi que je vois des lectrices monter sur la scène non seulement court vêtues mais portant des collants noirs. Pourquoi pas des guêpières et un fouet ?
Cela dit, ce n'est pas une raison pour des musulmans pour prendre à partie les femmes qui ne suivent pas leur mode consistant à s'emmitoufler de noir en plein été car si elles aiment griller dans un sauna portatif ça les regarde et personne n'est tenu de les imiter.
Voilà le genre d'accrochage qui risque de se multiplier (et si ce n'était que cela !) si "Ali Juppé" arrivait aux commandes. Plaise à Dieu que cela ne se produise jamais et que le diable emporte ce repris de justice.
Une vidéo qui résumé les principaux dérapages de "Ali Juppé"
Vous pouvez sauter une partie du passage où l'on voit Tareq Oubrou, son grand copain, militer pour la reconstitution du Califat, une institution supra nationale prétendument apte à imposer sa loi à tous les pays musulmans. Et pourquoi pas la France quand l'Islam aura achevé de la coloniser. Ces déclarations et son appartenance aux Frères musulmans, le brevet d'orthodoxie qu'il décerne aux wahhabisme, bref cette radicalité, il ne l'a jamais au grand jamais abjurée.
Il a simplement fait montre d'un changement qui ne peut être que trompeur. Maintenant qu'il a la faveur du Maire de Bordeaux et que celui-ci a fait en sorte de lui obtenir la Légion d'honneur devenue ainsi une "légion d'horreur", il n'a changé de discours qu'en apparence. Il semble que son compère Ali Juppé ait mis au garage son projet de Grande Mosquée mais il est clair que s'il devenait président, il ressortirait ce projet sans tarder.
Dans une vidéo Jean-Jacques Walter, l'auteur de l'ouvrage intitulé Le coran révélé par la Théorie des Codes, à dénoncé "Ali Juppé" comme ayant donné des ordres à l'Université de sa ville de s'opposer à la soutenance de toute thèse susceptible de chagriner ses amis musulmans.
Où l'on découvre que "Ali Juppé" a interdit dans sa bonne ville la soutenance de toute thèse susceptible de chagriner les musulmans
Le problèmes des "Turcs de profession"
A l'origine, cette appellation visait, au début du XIXè siècle, les marchands marseillais séjournant à leurs risques et périls dans la Régence d'Alger appelaient "Turcs de profession" les Européens qui, pour se prémunir contre les sautes d'humeur dont les gaouris faisaient de temps à autre les frais, se convertissaient à l'Islam.
Péroncel-Hugoz, Le radeau de Mahomet, 1983
Le même auteur propose d'étendre la rubrique à la cohorte chaque jour plus longue des orientalistes, vrais ou en toc, des universitaires, des politiciens, des prêtres des journalistes qui, depuis que la plupart des Etats arabes ont les moyen de consacrer un budget à leur propagande, naviguent aux frais de ces derniers.
Ainsi le politichien qu'est "Ali Juppé" a fait fort en s'ingérant dans les affaires de l'Université mais un Maire d'un très grande ville a les moyens d'empoisonner, ne serait-ce qu'administrativement, ceux qui n'auraient pas déféré à ses ordres, bref ce personnage dont l'arrogance donne à ceux à qui il en offre le spectacle le désir de lui couper la langue et de lui décoller la tête s'ils n'étaient pas séparés par un écran, pourrait aisément poser en vainqueur s'il existait un concours officiel en vue de rafler la coupe du "Roi des Turcs de profession".
Le public l'a si bien compris, qu'un jeune "Candide" a publié un faux tweet de notre "Ali" national censé souhaiter à ses "frères" un bon Ramadan en insinuant par là qu'il se serait converti. Se convertir, il n'en a nul besoin.
Je ne m'étonne pas dans ces conditions que l'on m'ait fait état de rumeur insinuant que la communauté musulmane est prête à aider au financement de sa future campagne. A vrai dire cela n'aurait rien d'étonnant ni d'illégal sauf que si ça se faisait et se savait, cela ferait un boucan du tonnerre de Zeus !
Tareq Oubrou et les HM2F
Ce dernier prétend avoir été menacé de mort et avoir refusé toute protection policière. Qu'il ait été menacé, c'est tout à fait possible. Il est des coreligionnaires à lui assez bêtes pour croire à la sincérité du personnage lorsqu'il affecte de se conformer au modèle du super imam de la République qui lui est tendu. Très franchement, si Ali Juppé parvenait à ses fins, il n'y aurait rien de surprenant à ce qu'il nous l'impose comme ministre de l'Intérieur et donc ministre des cultes. J'exagère à peine...
Sur l'ancien blog, j'avais consacré une note à la démagogie du personnage envers les musulmans homosexuels. Il existe une association d' Homosexuels musulmans de France (les HM2F) et un imam homo qui dirige une mosquée dédiée à la clientèle typique des HM2F. Alors Tareq Oubrou s'en est rapproché pour tenter de les récupérer. Il estime qu'ils n'ont pas à faire bande à part, qu'ils doivent être accepter dans toute mosquée à partir du moment où ils ne viennent pas pour semer le désordre et se conforment à la foi musulmane.
Pour cela il prétend qu'il n'existe pas de condamnation pénale valide, que les hadiths qui évoquent le sujet sont des hadiths faibles voir faux et apocryphes, ce qui est bien possible. Il n'empêche que dans ce domaine le pli est pris et que partout lorsqu'ils sont découverts , du moins depuis quelques années, les "homos" sont mis à mort dans les conditions les plus inhumaines. Je n'ai pas besoin d'entrer dans le détail tout le monde sait cela !
Pour en arriver à vouloir tromper les gens à ce point rien que pour tenter d'augmenter son charisme, il faut être particulièrement retors.
Comment Tareq Oubrou caresse les gays dans le sens du poil
On notera de sa part une tendance à confondre intersexualité et transsexualité ! L'intersexualité (cas des garçons que l'on disait "bique et bouc" donc au sexe ambigu) autorise dans certains cas une possibilité de choix. La transsexualité, c'est la possibilité pour un être normalement constitué en temps que mâle de se faire opérer a raison d'une inadéquation psychologique et donc d'une convenance personnelle. Ce sont deux situations fort différentes.
Or l'on sait que l'Ayatollah Khomeiny a encouragé les garçons et les hommes qui préfèrent leur semblable à devenir "femmes" par le bistouri du chirurgien. C'est commettre deux erreurs en s'imaginant que tous les homosexuels aspirent à un rôle passif et ne pas comprendre qu'ils veulent se passer de femmes ou du moins ne pas lier leur sort à une ou plusieurs femmes en les considérant comme sœur sans plus.
Cette question a fait l'objet de plusieurs interventions dont une émission très officielle
Peut-être Est-ce genre d'exploit qui lui a valu des menaces de mort.
Il y a plusieurs années j'ai lu le livre de Laila Babès et Tareq Oubrou, Loi d'Allah, loi des hommes, liberté, égalité et femmes en islam.
Pas un mot sur l'homosexualité, autant que je me souvienne. L'impression que je conserve de ce livre est que cela aura consisté à parler pour ne rien dire. Ce livre remonte à 2002, quatorze ans ont passé. Je remarque une chose qui a mes yeux ne semble pas fortuite. Lorsque les "homos" ont voulu défendre leur cause, ils ont commencé à mettre en avant la défense des femmes tandis que les féministes, de plus en plus dévergondées, on fini par les envoyer se faire f.... en répliquant qu'elles étaient assez grande pour s'occuper de leurs affaire.
Je remarque qu'en fait elle s'en occupent mieux que les gays de leurs problème car on ne peut pas vraiment dire que leur sort se soit vraiment amélioré. Certes on les tolère mais seulement en tant que consommateurs potentiels. Les mariages pour tous ne se font qu'entre vieux quasiment arrivés à l'âge de la retraite. Si un adulte jeune s'intéresse à un mineur, c'est automatiquement de la "pédophilie" bien que la loi ait fixé la majorité sexuelle à 15 ans révolus, ce qui montre bien que la chose n'est pas du tout en odeur de sainteté. Or si la chose présente un intérêt, il réside dans le rôle de mentor que pourraient jouer la maturité d'un partenaire jeune envers comme formatrice de l'immaturité d'un plus jeune. C'est du reste la seule fonction qui a été reconnue légitime dans les société antique tolérante à l'égard du phénomène. Bref, beaucoup d'hétéros ne tolèrent les homos que parce qu'il le faut bien, c'est le prix à payer pour pouvoir se livrer à l'échangisme et éventuellement à l'infidélité.
Pour en revenir à Tareq Oubrou, il lui aura fallu une décennie pour embrayer vers la défense des "homos", ce qui tend à montré qu'il a suivi un plan assez nettement démagogique. Il aurait très bien pu aborder les deux problèmes en même temps car ils sont liés en ce sens que l'homosexuel reste toujours plus ou moins synonyme d'efféminé alors que c'est tout le contraire ! N'oublions jamais que qui se ressemble s'assemble volontiers ! Les Anciens avaient raison de se méfier des hommes qui aimaient trop les femmes car ils n'avaient que trop tendance à devenir des jouets entre leurs mains !
Bref, pas question de faire confiance à Tareq Oubrou pour quoique ce soit. Ni à "Ali Juppé" ! Qu'on se le dise !