Cet article datant de 2013, rédigé à la va vite, méritait un un rewriting et une sorte de mise à jour. Il est en cours de mise à jour.
Notez, pour commencer, que sa version originale m'a valu d'être emmerdé par une folle qui soupçonnait un candidat à la dernière élection présidentielle originaire de Villejuif de l'avoir "droguée" dans le cadre de contacts à caractère sectaires.
J'ai laissé dire, j'ai prêté une oreille attentive jusqu'au moment où j'ai du me fâcher et envoyer cette dame se faire voir ailleurs, elle est alors devenue très désagréable...
Quel délit avais-je commis dans cet article ?
J'ai écrit et je le maintiens que la thèse voulant que les grands notables appartenant à la caste mondialisée soit tous plus ou moins adonnés à une religion consistant en des rituels "pédo-sado-sataniques" à base mise à mort d'enfants est bien, je le répète et j'insiste, un fantasme de "sans dents".
Des réseaux de "pédophiles" ont existé et existent sans doute encore mais de quoi peut-il s'agir ?
Les plus récentes affaires, celles de Outreau et celle d'Angers constitue deux exemples emblématiques de réseaux où la majorité des participants ont été, je m'excuse d'insister sur le terme inventé par François Hollande des "réseaux de sans dents". Dans le cas de Outreau, un seul notable à savoir un huissier...
La "pédophilie", et plus généralement les "désirs" en la matière, sont, pour le moins, assez bien partagés entre toutes les classes de la société. Les dernières affaires se réduisant essentiellement à des partages de relations incestueuses au départ pour de l'argent et pour corser ces prestations, à l'origine intra-familiales.
Est-ce que réseaux "pédosataniques" existent ? On ne peut pas l'exclure et c'est hautement probable !
J'ai trouvé récemment deux sources convergeant autour d'un ou deux réseaux, l'un, le plus vraisemblable ayant eu pour théâtre principal des souterrains (anciens ou modernes ce n'est pas précisé...) abritant, entre autres choses, des conduits d'adduction d'eau. Les zones les plus discrètes de ces excavations auraient abrité et des rites abominables et des cages contenant des enfants enlevés et en transit soit pour les rites criminels, soit en vue d'être vendus à des sadiques fortunés.
Une source fait allusion au concours d'un archevêque qui aurait présidé des rites funèbres dans la crypte d'une église voire d'une cathédrale. Ce prélat aurait eu une relation avec le Père Preynat mais je m'empresse de préciser que le Sieur Barbarin n'est pas concerné...
Le problème est que le journaliste qui a vendu cette histoire au public a invoqué de bonnes raisons (sécuritaires) de tout brouiller, en changeant notamment les prénoms des victimes survivantes et en ne donnant pas le lien vers une vidéo où l'une d'elle aurait exposé les faits.
A noter que l'auteur auquel je pense s'est abstenu de mentionner, dans sa revue, la sombre histoire mise en scène, dans l'affaire Kamal par le père d'une petite fille (à l'époque) nommée Laurianne à propos de "fêtes pédophiles" masquées mettant en cause le gratin de la haute bourgeoisie niçoise et particulièrement des gens appartenant à l'époque au palais de Justice de la ville.
Je pense avoir fait le tour de cette vieille histoire j'en parlerai en annexe où dans un autre article...
Je me suis ressouvenu qu'il y a eu au moins deux affaires de divorce conflictuel en dehors de celui des Kamal, la mère, Marie-Pierre Guyot étant la fille d'un haut magistrat de la Cour de Cassation. mais on ne trouve plus trace que de deux prénoms notamment dans le cadre d'une association suisse qui a contribué à "foutre la zone" dans la métropole sudiste...
Pourquoi un fantasme de "sans dents" à propos de la thèse de réseaux plus ou moins satanistes ?
Parce que tout simplement la frustration sexuelle de beaucoup de "sans dents" est telle qu'ils ont tendance jalouser tous les notables, petits ou grands, à cause de la relative impunité que peuvent leur procurer leur fortune et leurs relations.
Le seul point positifs est qu'un certain Duhamel en a pris récemment plein la gueule pour avoir sodomisé copieusement, à l'âge de 13 ans, le jumeau d'une femme qui se trouve être fille d'un ancien ministre.
Il convient, en une telle matière, de savoir "disjoindre" (au sens juridique du terme, les motivations, sans doute pas très reluisante de l'auteur de La familia grande des faits dénoncés qui n'ont évidement rien de glorieux.
La remarque vaut pour le retournement de l'opinion publique au détriment d'un certain Matzneff. Il faut tout de même rappeler que la mère de l'auteur du livre qui a ameuté le public à ce sujet avait encouragé sa fille a accepter les avances de l'écrivain. Cela étant j'ai toujours tenu cet exhibitionniste littéraire pour un type à gifler. Tout simplement parce qu'en temps que séducteur il s'est pris pour une sorte de génie littéraire à qui tout aurait été permis.
Je ne suis pas choqué qu'un adulte puisse tomber amoureux d'un adolescent et consentir à des jeux sexuels s'il existe une véritable demande, ce qui n'a rien de vraiment exceptionnel et pourrait même être chose relativement fréquente mais encore faut-il s'abstenir de multiplier ce genre de conquête et plus encore de s'en vanter sur la place publique. Ce genre d'aventure n'est soutenable que moyennant beaucoup de modération et en faisant la preuve qu'on a voulu le bien de l'élu en l'aidant à s’élever en rapport avec ses éventuels mérites.
Les sentiments que l'on sent poindre derrière les menées des dénonciateurs ne sont guère glorieux
Jalousie des envieux, inquisition pénale et exploitation mercantile du scandale des abus "pédophiles"
Je vais être clair : je ne crois absolument pas à la sincérité de ces pseudos défenseurs de l'enfance bafouée quand ils appellent à une répression sauvage et amplifie les côtés excessivement négatifs de la procédure pénale en mode inquisitoire et non "accusatoire" qui a cours depuis l'inquisition soit le XIIIème siécle.
A ce propos, le pouvoir temporel laïque, en France particulièrement continue cette œuvre franchement démoniaque dont la nature même s'oppose à toute possibilité de présomption d'innocence. A partir du moment, où l'on est soupçonné d'extrémisme de droite et plus encore de "pédophilie" cela équivaut à une mort civile si l'on n'appartient pas au gratin du monde actuel avec la fortune nécessaire pour pouvoir se défendre dans les meilleurs conditions.
Bref, quand on ne peut pas se permettre une certaine licence sexuelle, on est presque automatiquement porté à vouloir que ceux qui pourraient en avoir eu la possibilité soit internés, voir, si c'était encore possible, exécutés sur la place publique.
Karl Zero absolu, modèle emblématique, du parasitage le plus odieux
Il y a aussi ceux qui font commerce du genre de dénonciation dont on parle et j'ai en vue tout particulièrement un certain Karl Zero absolu, parce outre le fait qu'il tartine plus ou moins ouvertement à propos de l'hypothèse diabolique, il tire du fric de ses livres et de ses vidéos de merde.
Récemment, il a lancé la thèse selon laquelle, en France, un enfant sur 5, serait abusé où en courrait le risque.
C'est du délire à l'état pur, c'est matériellement insoutenable mais j'ai vu des gens bien et même des amis et surtout des amies adhérer à une chose aussi insoutenable.
C'est ainsi qu'à l'époque, j'ai vue paraître, sur deux pages Face de Bouc dédié à mon lieu de résidence, un petit village de montagne relayer cette thèse à l'adresse des enseignants de la petite école primaire. Ils ont du être contents d'être gratifiés, par la même occasion, d'un soupçon de possible maltraitance. Car il faut rappeler que si des curés ont fauté et ont été très nombreux à le faire, c'est quand même dans les rangs des instituteurs et des profs de l'éducation nationale que l'on a observé la plus forte proportion de déviants.
Je ne dis pas cela pour faire plaisir à la secte romaine dont je pense le plus grand mal (ne serait-ce qu'à cause de son passé inquisitorial et hautement criminel à cet égard...) mais parce que si ma mémoire est bonne la proportion de délinquants au sein des professions laïque en relation avec les jeunes est au moins 4 fois plus élevée.
Du risque d'être soupçonné de complicité quand on s'efforce de remettre les pendules à l'heure
Donc on en a ras le bol de ces campagnes qui ne servent qu'à engendrer une "panique morale" tandis que ceux qui s'efforcent de calmer le jeu son systématiquement soupçonnés de complicité.
Je suis désolé mais des histoires aussi graves nécessite de faire preuve de modération car tout ce qui est excessif est forcément insignifiant et trop de gens l'ont oublié.
A propos pourquoi suis-je "remonté" contre les menées abusives que je viens de dénoncer
Il y a trois raisons à cela que je vais évoquer rapidement.
1) Une mère indigne à voulu me fourguer ce "Jonathan" dont elle s'était débarrassée sur le compte du fameux Tony Duvert et de la fameuse "École en bateau"
Je me suis intéressé à l'astrologie et ait participé à l'organisation de colloques internationaux en collaboration avec un universitaire plus jeune que votre serviteur d'environ 5 mois. Ce personnage excessivement manipulateur m'a causé pas mal d'ennuis, c'est du reste pour me soustraire à son emprise que j'ai sauté sur l'occasion qui m'a été donné de mettre environ 800 km entre nous mais cela n'a servi à rien. Signe particulier : il a prétendu inventer un nouvel art musical consistant à taper de façon intermittente sur le clavier d'un piano assez fatigué sans évidemment avoir jamais pris la moindre leçon...
Ce nouveau mode d'expression n'avait point encore vu le jour quand il m'a requis de rencontrer une soit-disant prof de yoga, pseudo nommé à l'époque Sarah pour la préparation d'un colloque. A mes frais bien entendu...
Je me suis donc rendu dans un petit village pastoral sur la "route du sel" pour découvrir que cette femme vivait avec son fils. J'ai n'ai aucun souvenir précis de ce môme mais il avait au plus une douzaine d'années. Cela a commencé par une série de caprices lors d'une promenade au clair de lune sur une route formée de lacet assez impressionnants. Le lendemain matin, aux aurores, j'ai entendu, depuis la chambre qui m'avait été dévolue, le gamin rejoindre sa mère dans son propre lit, laquelle n'a point cessé en ces occasions de le vouloir persuader qu'il aurait été son amant dans une "vie antérieure".
En pareil cas, le mieux est d'observer en se taisant et d'attendre. A la veille de reprendre et le bus et un train, il m'a été proposé de rester pour garder la gosse et la mère m'a assuré que sous prétexte de terreurs nocturnes, il ne manquerait pas de me rejoindre dans mon livre et je pourrais lui faire ce que bon m'aurait semblé. Je ne m'étendrai pas sur ma réaction, j'ai bien failli lui décrocher la tête et lui casser une mâchoire. Elle n'a pas manqué de préciser que des amis homos n'avaient pas été déçu du voyage.
Désolé mais ce qui me débecte chez les "pédophiles" c'est d'abord leur "débilité", je ne vois pas très bien ce que j'aurais pu apporter à un gosse aussi "détruit". En persuadant un de ses petits camarades d'aller méditer dans la montagne, je crois me souvenir qu'il neigeait, il a failli le faire crever et la mère a failli se faire descendre à coups de fusil. Bref, j'ai des raisons de penser que cet ancien pupille de Duvert avait des prédispositions assez sadiques.
Ayant regagné mon port d'attache, je n'ai pas manqué d'avertir le milieu dans lequel nous étions tous deux des acteurs plus ou moins en vue. Avec pour seul résultat de constater une certain hypocrisie. Personne n'a rien voulu savoir, à commencer par mon "patron" qui, le moment venu, parce que je n'étais pas assez docile m'a remplacé par cette Sarah connue à l'époque par une "association des mille soleils".
Je suis donc bien placé pour comprendre pourquoi, à l'époque, les Matzneff, les Duvert et tutti quanti ont bénéficié d'une vogue mondaine des plus inquiétantes de la part d'une intelligentsia façon "gauche caviar". Ben oui cela se passait durant la fin des années 70, soit moins d'une décennie après la révolution essentiellement bourgeoise de mai 68. les gens étaient encore sous le charme du précepte interdisant d'interdire.
On a désormais sous nos yeux ébahis le résultat de cette catastrophe au sein de l'intellectualité hexagonale, avec en particulier l'idéologie LGBT truc machin et l'épidémie de dysphories de genre qui se contracte en fréquentant certains réseaux sociaux comme "Face de Bouc" and do.
C'est donc dans ces circonstances que j'ai découvert l'oeuvre de Tony Duvert car la première chose que j'ai du faire en rentrant c'est me procurer Quand mourut Jonathan... Duvert, a fini par crever comme peut le faire un chat sauvage. Son corps a été découvert au moins un mois après après dans un état à se pincer le nez, et ce que j'ai retenu est qu'on aurait trouvé également une quantité impressionnante de canettes d'un soda très prisé des jeunes mais ce n'était pas de l'Orangina... Je vois du reste qu'on à fait le ménage sur le Net pour éliminer les articles qui, sans s'étendre, n'ont pas caché le caractère misérable de cette fin des plus tristes.
bref, j'ai eu toutes les raisons de ne pas marcher sur ses traces et j'ai trouvé insultant que l'on puisse avoir pensé que je marcherai dans la combine évoquée plus haut.
2) J'ai bénéficié d'une des fameuses "rafles" visant des pédophiles présumés
Cela s'est passé un premier avril et je ne sais plus l'année. La raison ?
Elle est toute simple, j'avais négocié avec Michel Caignet, la fourniture de la collection de sa revue contre la reprise d'un article paru dans les Cahiers de Recherches, à savoir une recension de X Y de l'identité masculine d'une certaine Badinter.
Pourquoi cet intérêt ? J'ai découvert tardivement la revue Gay France et le première chose que j'ai découvert c'est qu'Alain Danielou (à qui j'ai fait un sort quelque par à propos de musique indienne) s'y était exprimé et qu'il y avait été question de Julius Evola.
Bref, si j'avais eu mauvaise conscience, je n'aurais pas donné mon adresse personnelle, j'aurais donnée celle d'une librairie ésotérique qui me servait de "boîte aux lettres.
C'est ainsi que les flics ont débarqué à 6 heures du matin et ont du revenir deux heures plus tard. Leur première réflexion a été pour remarquer qu'assurément j'avais dormi du sommeil du juste. Je n'ai jamais eu de magnétoscope et mis à part des cassettes ou Schuon s'était mis en scène ils n'ont rien trouvé. Je n'ai pas eu grand chose à déposer.
Et la première chose que j'ai faite c'est de téléphoner à un ami collectionneur de vidéos de toutes sortes, un homme simplement curieux qui avait réussi à se procurer des extraits de vidéo comme il s'en est trouvé dans les fameux CDs de Zandvoort. Il ne s'est pas agi de véritables snuff movie mais de violences comme il a du s'en pratiquer chez les prévenus d'Outreau et d'Angers. Plus toute une collection de films porno de tous styles. Je lui ai donc conseille de les examiner une à une et d'effacer parmi toutes ces copies ce qui pouvaient ressembler à des acteurs mineurs.
Parenthèse à propos de "rafles" évoquées
Elles ont été menée sous prétexte de recel. Or le recel est défini dans une section portant sur les atteintes aux biens et non aux personnes. Je suis donc étonné qu'aucun juriste digne de revendiquer la moindre compétence en matière pénale, n'ai jamais soulevé ce problème qui fait que ces "chasses aux sorciers" se sont avérées parfaitement illégales à