Le blog d'Alexandre Palchine

Cet article datant de 2013, rédigé à la va vite, méritait un un rewriting et une sorte de mise à jour. Il est en cours de mise à jour.

Notez, pour commencer, que sa version originale m'a valu d'être emmerdé par une folle qui soupçonnait un candidat à la dernière élection présidentielle originaire de Villejuif de l'avoir "droguée" dans le cadre de contacts à caractère sectaires.

J'ai laissé dire, j'ai prêté une oreille attentive jusqu'au moment où j'ai du me fâcher et envoyer cette dame se faire voir ailleurs, elle est alors devenue très désagréable...

Quel délit avais-je commis dans cet article ?

J'ai écrit et je le maintiens que la thèse voulant que les grands notables appartenant à la caste mondialisée soit tous plus ou moins adonnés à une religion consistant en des rituels "pédo-sado-sataniques" à base mise à mort d'enfants est bien, je le répète et j'insiste, un fantasme de "sans dents".

Des réseaux de "pédophiles" ont existé et existent sans doute encore mais de quoi peut-il s'agir ?

Les plus récentes affaires, celles de Outreau et celle d'Angers constitue deux exemples emblématiques de réseaux où la majorité des participants ont été, je m'excuse d'insister sur le terme inventé par François Hollande des "réseaux de sans dents". Dans le cas de Outreau, un seul notable à savoir un huissier...

La "pédophilie", et  plus généralement les "désirs" en la matière, sont, pour le moins, assez bien partagés entre toutes les classes de la société. Les dernières affaires se réduisant essentiellement à des partages de relations incestueuses au départ pour de l'argent et pour corser ces prestations, à l'origine intra-familiales.

Est-ce que réseaux "pédosataniques" existent ? On ne peut pas l'exclure et c'est hautement probable !

J'ai trouvé récemment deux sources convergeant autour d'un ou deux réseaux, l'un, le plus vraisemblable ayant eu pour théâtre principal des souterrains (anciens ou modernes ce n'est pas précisé...) abritant, entre autres choses, des conduits d'adduction d'eau. Les zones les plus discrètes de ces excavations auraient abrité et des rites abominables et des cages contenant des enfants enlevés et en transit soit pour les rites criminels, soit en vue d'être vendus à des sadiques fortunés.

Une source fait allusion au concours d'un archevêque qui aurait présidé des rites funèbres dans la crypte d'une église voire d'une cathédrale. Ce prélat aurait eu une relation avec le Père Preynat mais je m'empresse de préciser que le Sieur Barbarin n'est pas concerné...

Le problème est que le journaliste qui a vendu cette histoire au public a invoqué de bonnes raisons (sécuritaires) de tout brouiller, en changeant notamment les prénoms des victimes survivantes et en ne donnant pas le lien vers une vidéo où l'une d'elle aurait exposé les faits.

A noter que l'auteur auquel je pense s'est abstenu de mentionner, dans sa revue, la sombre histoire mise en scène, dans l'affaire Kamal par le père d'une petite fille (à l'époque) nommée Laurianne à propos de "fêtes pédophiles" masquées mettant en cause le gratin de la haute bourgeoisie niçoise et particulièrement des gens appartenant à l'époque au palais de Justice de la ville.

Je pense avoir fait le tour de cette vieille histoire j'en parlerai en annexe où dans un autre article...

Je me suis ressouvenu qu'il y a eu au moins deux affaires de divorce conflictuel en dehors de celui des Kamal, la mère, Marie-Pierre Guyot étant la fille d'un haut magistrat de la Cour de Cassation. mais on ne trouve plus trace que de deux prénoms notamment dans le cadre d'une association suisse qui a contribué à "foutre la zone" dans la métropole sudiste...

Pourquoi un fantasme de "sans dents" à propos de la thèse de réseaux plus ou moins satanistes ?

Parce que tout simplement la frustration sexuelle de beaucoup de "sans dents" est telle qu'ils ont tendance  jalouser tous les notables, petits ou grands, à cause de la relative impunité que peuvent leur procurer leur fortune et leurs relations.

Le seul point positifs est qu'un certain Duhamel en a pris récemment plein la gueule pour avoir sodomisé copieusement, à l'âge de 13 ans, le jumeau d'une femme qui se trouve être fille d'un ancien ministre.

Il convient, en une telle matière, de savoir "disjoindre" (au sens juridique du terme, les motivations, sans doute pas très reluisante de l'auteur de La familia grande des faits dénoncés qui n'ont évidement rien de glorieux.

La remarque vaut pour le retournement de l'opinion publique au détriment d'un certain Matzneff. Il faut tout de même rappeler que la mère de l'auteur du livre qui a ameuté le public à ce sujet avait encouragé sa fille a accepter les avances de l'écrivain. Cela étant j'ai toujours tenu cet exhibitionniste littéraire pour un type à gifler. Tout simplement parce qu'en temps que séducteur il s'est pris pour une sorte de génie littéraire à qui tout aurait été permis.

Je ne suis pas choqué qu'un adulte puisse tomber amoureux d'un adolescent et consentir à des jeux sexuels s'il existe une véritable demande, ce qui n'a rien de vraiment exceptionnel et pourrait même être chose relativement fréquente mais encore faut-il s'abstenir de multiplier ce genre de conquête et plus encore de s'en vanter sur la place publique. Ce genre d'aventure n'est soutenable que moyennant beaucoup de modération et en faisant la preuve qu'on a voulu le bien de l'élu en l'aidant à s’élever en rapport avec ses éventuels mérites.

Les sentiments que l'on sent poindre derrière les menées des dénonciateurs ne sont guère glorieux

Jalousie des envieux, inquisition pénale et exploitation mercantile du scandale des abus "pédophiles"

Je vais être clair : je ne crois absolument pas à la sincérité de ces pseudos défenseurs de l'enfance bafouée quand ils appellent à une répression sauvage et amplifie les côtés excessivement négatifs de la procédure pénale en mode inquisitoire et non "accusatoire" qui a cours depuis l'inquisition soit le XIIIème siécle.

A ce propos, le pouvoir temporel laïque, en France particulièrement continue cette œuvre franchement démoniaque dont la nature même s'oppose à toute possibilité de présomption d'innocence. A partir du moment, où l'on est soupçonné d'extrémisme de droite et plus encore de "pédophilie" cela équivaut à une mort civile si l'on n'appartient pas au gratin du monde actuel avec la fortune nécessaire pour pouvoir se défendre dans les meilleurs conditions.

Bref, quand on ne peut pas se permettre une certaine licence sexuelle, on est presque automatiquement porté à vouloir que ceux qui pourraient en avoir eu la possibilité soit internés, voir, si c'était encore possible, exécutés sur la place publique.

Karl Zero absolu, modèle emblématique, du parasitage le plus odieux

Il y a aussi ceux qui font commerce du genre de dénonciation dont on parle et j'ai en vue tout particulièrement un certain Karl Zero absolu, parce outre le fait qu'il tartine plus ou moins ouvertement à propos de l'hypothèse diabolique, il tire du fric de ses livres et de ses vidéos de merde.

Récemment, il a lancé la thèse selon laquelle, en France, un enfant sur 5, serait abusé où en courrait le risque.

C'est du délire à l'état pur, c'est matériellement insoutenable mais j'ai vu des gens bien et même des amis et surtout des amies adhérer à une chose aussi insoutenable.

C'est ainsi qu'à l'époque, j'ai vue paraître, sur deux pages Face de Bouc dédié à mon lieu de résidence, un petit village de montagne relayer cette thèse à l'adresse des enseignants de la petite école primaire. Ils ont du être contents d'être gratifiés, par la même occasion, d'un soupçon de possible maltraitance. Car il faut rappeler que si des curés ont fauté et ont été très nombreux à le faire, c'est quand même dans les rangs des instituteurs et des profs de l'éducation nationale que l'on a observé la plus forte proportion de déviants.

Je ne dis pas cela pour faire plaisir à la secte romaine dont je pense le plus grand mal (ne serait-ce qu'à cause de son passé inquisitorial et hautement criminel à cet égard...) mais parce que si ma mémoire est bonne la proportion de délinquants au sein des professions laïque en relation avec les jeunes est au moins 4 fois plus élevée.

Du risque d'être soupçonné de complicité quand on s'efforce de remettre les pendules à l'heure

Donc on en a ras le bol de ces campagnes qui ne servent qu'à engendrer une "panique morale" tandis que ceux qui s'efforcent de calmer le jeu son systématiquement soupçonnés de complicité.

Je suis désolé mais des histoires aussi graves nécessite de faire preuve de modération car tout ce qui est excessif est forcément insignifiant et trop de gens l'ont oublié.

A propos pourquoi suis-je "remonté" contre les menées abusives que je viens de dénoncer

Il y a trois raisons à cela que je vais évoquer rapidement.

1) Une mère indigne à voulu me fourguer ce "Jonathan" dont elle s'était débarrassée sur le compte du fameux Tony Duvert et de la fameuse "École en bateau"

Je me suis intéressé à l'astrologie et ait participé à l'organisation de colloques internationaux en collaboration avec un universitaire plus jeune que votre serviteur d'environ 5 mois. Ce personnage excessivement manipulateur m'a causé pas mal d'ennuis, c'est du reste pour me soustraire à son emprise que j'ai sauté sur l'occasion qui m'a été donné de mettre environ 800 km entre nous mais cela n'a servi à rien. Signe particulier : il a prétendu inventer un nouvel art musical consistant à taper de façon intermittente sur le clavier d'un piano assez fatigué sans évidemment avoir jamais pris la moindre leçon...

Ce nouveau mode d'expression n'avait point encore vu le jour quand il m'a requis de rencontrer une soit-disant prof de yoga, pseudo nommé à l'époque Sarah pour la préparation d'un colloque. A mes frais bien entendu...

Je me suis donc rendu dans un petit village pastoral sur la "route du sel" pour découvrir que cette femme vivait avec son fils. J'ai n'ai aucun souvenir précis de ce môme mais il avait au plus une douzaine d'années. Cela a commencé par une série de caprices lors d'une promenade au clair de lune sur une route formée de lacet assez impressionnants. Le lendemain matin, aux aurores, j'ai entendu, depuis la chambre qui m'avait été dévolue, le gamin rejoindre sa mère dans son propre lit, laquelle n'a point cessé en ces occasions de le vouloir persuader qu'il aurait été son amant dans une "vie antérieure".

En pareil cas, le mieux est d'observer en se taisant et d'attendre. A la veille de reprendre et le bus et un train, il m'a été proposé de rester pour garder la gosse et la mère m'a assuré que sous prétexte de terreurs nocturnes, il ne manquerait pas de me rejoindre dans mon livre et je pourrais lui faire ce que bon m'aurait semblé. Je ne m'étendrai pas sur ma réaction, j'ai bien failli lui décrocher la tête et lui casser une mâchoire. Elle n'a pas manqué de préciser que des amis homos n'avaient pas été déçu du voyage.

Désolé mais ce qui me débecte chez les "pédophiles" c'est d'abord leur "débilité", je ne vois pas très bien ce que j'aurais pu apporter à un gosse aussi "détruit". En persuadant un de ses petits camarades d'aller méditer dans la montagne, je crois me souvenir qu'il neigeait, il a failli le faire crever et la mère a failli se faire descendre à coups de fusil. Bref, j'ai des raisons de penser que cet ancien pupille de Duvert avait des prédispositions assez sadiques.

Ayant regagné mon port d'attache, je n'ai pas manqué d'avertir le milieu dans lequel nous étions tous deux des acteurs plus ou moins en vue. Avec pour seul résultat de constater une certain hypocrisie. Personne n'a rien voulu savoir, à commencer par mon "patron" qui, le moment venu, parce que je n'étais pas assez docile m'a remplacé par cette Sarah connue à l'époque par une "association des mille soleils".

Je suis donc bien placé pour comprendre pourquoi, à l'époque, les Matzneff, les Duvert et tutti quanti ont bénéficié d'une vogue mondaine des plus inquiétantes de la part d'une intelligentsia façon "gauche caviar". Ben oui cela se passait durant la fin des années 70, soit moins d'une décennie après la révolution essentiellement bourgeoise de mai 68. les gens étaient encore sous le charme du précepte interdisant d'interdire.

On a désormais sous nos yeux ébahis le résultat de cette catastrophe au sein de l'intellectualité hexagonale, avec en particulier l'idéologie LGBT truc machin et l'épidémie de dysphories de genre qui se contracte en fréquentant certains réseaux sociaux comme "Face de Bouc" and do.

C'est donc dans ces circonstances que j'ai découvert l'oeuvre de Tony Duvert car la première chose que j'ai du faire en rentrant c'est me procurer Quand mourut Jonathan... Duvert, a fini par crever comme peut le faire un chat sauvage. Son corps a été découvert au moins un mois après après dans un état à se pincer le nez, et ce que j'ai retenu est qu'on aurait trouvé également une quantité impressionnante de canettes d'un soda très prisé des jeunes mais ce n'était pas de l'Orangina... Je vois du reste qu'on à fait le ménage sur le Net pour éliminer les articles qui, sans s'étendre, n'ont pas caché le caractère misérable de cette fin des plus tristes.

bref, j'ai eu toutes les raisons de ne pas marcher sur ses traces et j'ai trouvé insultant que l'on puisse avoir pensé que je marcherai dans la combine évoquée plus haut.

2) J'ai bénéficié d'une des fameuses "rafles" visant des pédophiles présumés

Cela s'est passé un premier avril et je ne sais plus l'année. La raison ?

Elle est toute simple, j'avais négocié avec Michel Caignet, la fourniture de la collection de sa revue contre la reprise d'un article paru dans les Cahiers de Recherches, à savoir une recension de X Y de l'identité masculine d'une certaine Badinter.

Pourquoi cet intérêt ? J'ai découvert tardivement la revue Gay France et le première chose que j'ai découvert c'est qu'Alain Danielou (à qui j'ai fait un sort quelque par à propos de musique indienne) s'y était exprimé et qu'il y avait été question de Julius Evola.

Bref, si j'avais eu mauvaise conscience, je n'aurais pas donné mon adresse personnelle, j'aurais donnée celle d'une librairie ésotérique qui me servait de "boîte aux lettres.

C'est ainsi que les flics ont débarqué à 6 heures du matin et ont du revenir deux heures plus tard. Leur première réflexion a été pour remarquer qu'assurément j'avais dormi du sommeil du juste. Je n'ai jamais eu de magnétoscope et mis à part des cassettes ou Schuon s'était mis en scène ils n'ont rien trouvé. Je n'ai pas eu grand chose à déposer.

Et la première chose que j'ai faite c'est de téléphoner à un ami collectionneur de vidéos de toutes sortes, un homme simplement curieux qui avait réussi à se procurer des extraits de vidéo comme il s'en est trouvé dans les fameux CDs de Zandvoort. Il ne s'est pas agi de véritables snuff movie mais de violences comme il a du s'en pratiquer chez les prévenus d'Outreau et d'Angers. Plus toute une collection de films porno de tous styles. Je lui ai donc conseille de les examiner une à une et d'effacer parmi toutes ces copies ce qui pouvaient ressembler à des acteurs mineurs.

Parenthèse à propos de "rafles" évoquées

Elles ont été menée sous prétexte de recel. Or le recel est défini dans une section portant sur les atteintes aux biens et non aux personnes. Je suis donc étonné qu'aucun juriste digne de revendiquer la moindre compétence en matière pénale, n'ai jamais soulevé ce problème qui fait que ces "chasses aux sorciers" se sont avérées parfaitement illégales à moins que l'on ne daigne me démontrer le contraire.

Mais cela fait presque 40 ans que j'attends en vain et peut-être qu'on a changé la loi en déplaçant l'article litigieux.

On pourrait également discuter de l'opportunité de pareils coups de filet, très improductifs au demeurant sans parler des suicides qui en sont résulté. Improductif car si ce n'est pas très glorieux de s’exciter en contemplant le matériel visé j'aurais plutôt tendance à penser que ce serait avant tout un moyen assez efficace d'éviter de se faire piquer la main dans le slip d'un gamin.

J'ajoute que si on creuse la question ça va plus loin encore puisque, de manière indirecte, la justice la plus laïque se permet de s'immiscer dans un domaine, qui en l'absence de crime concret avéré, reste du domaine de la confession auprès d'un prêtre ou d'un "psy" et seulement si on le juge utile.

3) Troisième cause de sensibilisation : la diffamation a laquelle s'est livré pendant plus d'une décennie l'ex tenancier d'un forum de yahoo intitulé "Retour à Guénon"

Je m'abstiendrai de rappeler tous les exploits de ce personnage pour simplement rappeler que son identité a été révélée à un correspondant franco américain par un gigolo d'origine polonaise qu'il a maltraité. c'est encore l'éternelle histoire de l'arroseur arrosé... A l'origine de tout cela une banale jalousie intellectuelle car si l'on devait faire la comparaison entre nos mérites intellectuels respectifs en mettant en vis-à-vis les ouvrages publiés, il n'est absolument douteux que votre serviteur a bien de quoi prouver une évidente supériorité à cet égard. Le personnage que j'ai en vue est, sans nul doute, un très fin linguiste mais il n'est guère connu que comme auteur d'un lexique de "gros mots" tels qu'ils se pratiquent dans le pays où règne une sorte de dictateur qui a décidé à un certain Monsieur Zélensky, d'apprendre à vivre... Comme ce grand chef de guerre et éminent joueur d'échec n'a pas la moindre envie de conquérir l'Europe, ne serait-ce que parce qu'il estime qu'elle ne mérite guère que d'être vassalisée par un Biden, ledit lexique n'a pratiquement aucune chance de bénéficier de la moindre immortalité.

J'ai passé des moments assez désagréables, raison pour laquelle, je me suis réjoui, lorsque l'Etat a décidé de "blanchir" les accusés du juge Burgault après qu'il eussent fait un séjour en taule.

Parenthèse sur l'affaire d'Outreau et son "blanchiment"

L'auteur qui diffusé dans une annexe présentée comme la 121ème "journée de Sodome" a mis en cause ce "blanchiment" obtenu par notre Grand Yéti devenu, contre toute attente, l'actuel "Garde des Sceaux" de notre infortunée république macroniste.

A l'époque, je n'ai pas suivi l'affaire : trop sordide. J'ai tiqué quand la grande prêtresse de cette sombre histoire a voulu emmener les enfants reconnaître non loin de la Belgique un maison où se serait tenu des rites plus ou moins sulfureux. Les mômes n'ont rien reconnu et les flics belges avaient mis en garde leurs homologues français vu qu'il s'étaient littéralement "cassé la gueule" lors d'une méga perquise visant le siège d'Abraxas. j'ai trouvé récemment une vidéo de qualité médiocre venant de la télévision belge mais comme je suis désireux de termine cette refonte de mon post au pas de course, je m'abstiendrai de compliquer les choses en donnant des liens.

Tout cela pour dire que le journalise qui s'est signalé en dénonçant ce "blanchiment" a sans doute raison et ce que je lui reproche c'est d'avoir commencé par manquer de pédagogie en négligeant de commencer par un historique très synthétique des 2 ou 3 procès successifs qui ont eu lieu.

Le but de cet article ? Attirer l'attention du public intéressé sur des faits essentiellement "mythiques" qui ont préparé le terrain à une "hypothèse diabolique"

Evidemment, tout commence au moins au temps de Louis XIV, de l'affaire des poisons, autrement dit de La Voisin qui a donné lieu à la première innovation à base de "messes noires" quoiqu'en mode "classique", c'est-à-dire "hétéro" avec une femme nue comme pierre d'auteur. Et l'ingéniosité humaine se devrait de grandement compliquer les choses par la suite...

A noter qu'une association suite s'est fondée sur des infos contenue dans le livre d'Erlanger sur Monsieur frère de Louis XIV pour élaborer une thèse voulant que s'il existe un triangle maléfique où s'est joué l'affaire des disparues de l'Yonne, il faudrait en chercher l'origine et la cause dans des points d'histoire contenu dans ce livre, hélas introuvable en version numérique gratuite quoique presque tout l’œuvre de l'historien évoqué était trouvable au sein de la Z-library à laquelle la justice américaine vient de faire la peau...

A présent il me faut réviser mon article, ce qui précède n'étant qu'une sorte d'introduction.

A propos d'un activiste, savoir un ancien gendarme qui s'était spécialisé dans la chasse aux pédophiles abuseurs.

A propos de Stan Maillaud

Stan Maillaud,dans un ouvrage consacré à l'Affaire Vincent nous a livré des renseignements intéressants mais qui sortent grandement du cadre de cet article.

Son livre, que l'on trouve aisément et gratuitement sur le Net, évoque plusieurs personnages auxquels j'ai eu le loisir de m'intéresser savoir Christian Cotten, qui avait tenté sa chance en voulant se faire élire président de la république, Martine Bouillon qui a déclaré que la guerre à la pédophilie sera déclarée quand on découvrira des charniers d'enfants et enfin une certaine Corrine Gouget dont les agissements m'ont intéressé à une époque et ce pour des raisons n'ayant rien à voir avec la "mythologie diabolique" qu'il s'agit d'évoquer.

Le livre, autant que je m'en souvienne, ne contient rien qui mérite le détour quand à ce qui se passe ou se passerait en matière de couverture des "pédophiles" dont la justice et certains services sociaux sont accusés.

Je pense et je suis sûr que beaucoup de problèmes découlent de malentendus engendrés par le manque d'égard et, le cas, échéant le plus ou moins d'arrogance tendant à caractériser les gens de pouvoir quand on leur demande certaines explications.

Remarque à propos de l'affaire Kamal

Ce qui sans doute a fait déraper l'affaire c'est la décision du procureur de l'époque de contraindre un certain Maître Gratirola d'abandonner la défense du père. En tant qu'ancien auxiliaire de justice je me suis renseigné sur ce type qui termine actuellement une carrière mouvementée à Papeete...  La mère Guyot l'a dépeint sous les trait d'un "play boy" et moi je le tiens pour un vulgaire con. Il s'est dure mêlé de vouloir défendre le héros de la non moins fameuse affaire de attentat à la Sonacotra, un dénommé Hervochon que j'ai bien connu par le canal d'un copain entiché d'astrologie qui voulait tirer de ce personnage un certain calendrier que l'administration française avait édité avant que l'on ne soit contraints de céder la place aux américains...

Pour ce qui me concerne, j'ai eu le nez creux en cessant de fréquenter cet individu, comme il me méprisait il n'a gardé aucune trace de ma personne et j'ai eu la chance de ne pas être emmerdé comme l'on été ses amis "spirites" quand la maréchaussée s'est mise en tête de cuisiner tous les gens qui l'avait côtoyé. J'ai revu H. deux ou trois fois après que l'orage fut passé et il me semble que c'est à ce moment là qu'il a sollicité Gratirola et je l'avais prévenu de ne se faire aucune illusion après avoir assisté à son procès.

La premier faux pas qui a fait déraper l'affaire niçoise c'est que faute de convaincre Gratirola d'abandonner le dossier d'Auméras a du trouver le moyen de le faire condamner pour outrage à magistrat. Imparir qui a rameuté Vergès qui avait à se venger de son échec dans la fameuse affaire du jardinier marocain accusé d'avoir assassiné sa patronne connu au travers de la célèbre formule  Omar m'a tuer !

Tous les soupçons sont venus de là plus la révélation d'une prétendue relation entre la mère avec un substitut que j'ai bien connu. Sur ce point de détail, ce n'est pas le substitut qui a reçu la dénommée Marie-Pierre mais sa femme. Sur ce point j'ai eu deux versions, celle d'un certain Alain Rouillier-Laurens éditeur spécialisé au travers de deux sociétés dans des éditions plutôt à compte d'auteur et accessoirement homme politique niçois épris d'un certain Baldwin un droit épris de combat contre les discriminations raciales et même sexuelle quant il s'agit des "gays"que, pour ma part, je trouve plutôt assez triste. Mais comme chacun sait tous les goûts sont dans la Nature...

La version là plus véridique est sans doute celle de la mère qui a évoqué une rencontre que je devine avoir eu lieu, soit au coin de la place du Palais (Brasserie Tabacco Lou Pastrouil) soit à deux pas de l'Opéra. Et non au Négresco pour rencontrer la soeur de Kamal sous l'oeil attentif de flics du FBI selon la version d'un ancien assureur de mobylettes visait la Mairie au temps d'un certain Barety...

Quelques mots sur l'affaire de Zandvoort

Une affaire très compliquée mais qui au départ n'a consisté qu'en la découverte de la collection phénoménale d'images et de vidéos plus ou moins sulfureuses constituée par un jeune hollandais qui pilotait un réseau informatique d'échange de ce genre de documents qui à l'époque s'échangeaient entre gens intéressés de toutes classes sociales. C'est donc le reliquat d'un gros butin constitué en partie dans les années d'après mai 68 où l'on s'imaginait que le grand jour était arrivé. Il n'est pas difficile de comprendre pourquoi l'on a retrouvé des photos de gosses de toutes nationalités. Il suffit de se pencher un peu sur l'affaire d'Angers est l'exemple même d'un réseau de pédophilie de "sans dents" ayant débuté par un goût prononcé pour des échanges de cassettes pornos pour finir par un partage assez libéral de victimes d'inceste familial. Et c'est ainsi que beaucoup document se sont retrouvés centralisés en Hollande chez un certain Guerrit qui fut assassiné par un proche en Italie.

Le tort de l'Etat français est d'avoir disposé d'un fichier de clients dont des français et d'avoir décidé de s'abstenir de toute perquisition. Non sans qu'un magistrat prononce une justification ahurissante à propos de "consentement" et des parents et des enfants. Cependant cette réflexion malheureuse peut s'expliquer dans la mesure où, à la suite de certaines affaires toutes, récentes on ne serait pas encore parvenu à décider d'un âge de consentement en aval duquel le viol serait présumé.

Je pourrais proposer en complément de cet article quelques observations de droit à ce propos car j'ai été le premier surpris quand un ami m'a récemment démontré que si la majorité sexuelle a été fixée sous Mitterand à 15 ans, c'est à tort que j'en avais déduit que toute relation avant cet âge était fautive dans le mesure où le fait d'être mineur équivaut à une INCAPACIE LEGALE. J'y reviendrai si nécessaire !

Quelques remarques sur la mythologie qui est à l'origine d'une fascination publique à propos de la thèse abracadabrante voulant que pour assurer ou entretenir leur puissance une certaine caste passerait le plus clair de ses loisirs à pratique des rituels à base de "pédosatanisme"

A gauche vous avez la principale source des fantasmes dont il est question. Si vous allez sur Gallica et tapez "Léo Taxil" ou "Docteur Bataille" vous verrez tout ce qui a été produit dans le genre. C'est tout simplement hallucinant ne serait-ce que par le nombre de publications que représente ce courant.

En effet, pour ce qui concerne la partie "moderne" de fantasmes sexuels satanisant repose sur une assez large intoxication à base de "messes noires" censées s'être déroulées dans des "arrières loges maçonniques".

Je ne vais pas refaire l'historique de toute cette fantasmagorie avec ses modalité "palladistes". Tout lecteur de Guénon qui se respecte est censé connaître tout cela presque par coeur.  Cet article dans sa forme originelle et dont j'ai puisé des éléments ailleurs visait à l'origine un public non initié.

Il convient de souligner que les thèses signées Anton Park, Sitchin et surtout David Icke ont constitué un substrat inspiré du chapitre VI de la Genèse dont on à tiré des développements divers faisant état d'un esclavage de l'espèce humaine notamment par des Annunakis venus d'ailleurs.

Le pire étant David Icke avec ses "reptiliens" adonnés à un vampirisme sexuel par pompage direct au niveau du chakra inférieur par intrusion sodomitique. Ben oui c'était fatal que voulez-vous les médecines énergétiques étant à la mode et la théorie indienne des chakras étant devenue assez populaire le new age se devait de donner l'occasion à des gens grossiers et plus ou moins mal intentionnés de touiller tout cela afin de flatter un certain public avide de fantastique a prétention ésotérique.

Je ne souhaite pas m'étendre à ce propos et comme je suis pressé d'en finir, je vous laisse le soin d'examiner par vous-mêmes les apports respectifs de ce trio composés de romanciers d'une espèce assez particulière. Wikipedia suffit du reste pour faire le tour des particularités de chacun.

Je me bornerai à souligner qu'avec l'histoire biblique du char d'un certain Elie et les vimanas entretenu pas les Anciens parmi les hindous, il fallait s'attendre à des "matérialisations" plus ou moins en forme de "soucoupes volantes". Cela dit, je ne saurais garantir de valeur vraiment spirituelle à certaines données de l'A.T. dans la mesure où un "sionisme" fort désagréable affleure pratiquement à chaque ligne.

Concernant cette rubrique je ne peux que vous suggérer de prendre connaissance du livre de Laurent Guyénot intitulé Du Yahvisme au sionisme, Dieu jaloux, peuple élu, terre promise, 2500 ans de manipulation.

Disons que le christianisme s'est avéré vivable tant qu'il a été irrigué par un restant de bon sens antique et que l'on s'est abstenu de prendre le commandement de tendre l'autre joue quand on est frappé systématiquement au pied de la lettre. Ce masochisme est actuelle le meilleure allié d'un certain islamo-gauchisme et avec les menées d'un certain Sarkozy en tant que premier président en cours de vassalisation  au bénéfice de l'empire d'outre Atlantique la France, qui n'était déjà plus si brillante après que son patronat ait favorisé les menées hitlérienne a commencé à plonger, la terre la première, dans un gouffre et je suis assez pessimiste quant à la possibilité de freiner cette chute.

Quelque remarques en passant sur une affaire nikaïenne

Je crois avoir complètement élucider la sombre histoire des "fêtes pédophiles" qui se seraient tenues au sein de la métropole  sudiste.

La publicité à laquelle adonne lieu un certains clubs local a contribué à inspirer la "mascarade" que je viens d'évoquer. Sauf qu'on ne voit pas très bien comment la gamine appelée Lauriane aurait pu identifier les abuseurs bourgeois dont elle aurait eu à souffrir. Nous savons maintenant que son père lui a fait réciter des leçons devant une boite noire avec des boutons. Soir un magnétophone.

De ce Club baroque uqe je viens d'évoquer il n'en subsiste qu'une seule trace sur Internet.

Voir http://cdlm.revues.org/54 dont j'extrais ce passage :

En 1993, le Tribunal Correctionnel doit aller jusqu’à statuer sur l’affaire du “Cube”, club où les notables niçois, sur les deniers publics , s’offraient des soirées animées. En 1994, c’est le président de la Chambre des faillites du Tribunal de Commerce, peu éloigné de “l’élite” locale qui est inculpé de corruption passive à la suite d’une descente de deux magistrats versaillais. 106 Il manque, dans cette liste très partielle “d’affaires” de nombreuses autres manifestations de l’indélicatesse chronique d’une large partie de la classe politique niçoise se croyant tout permis dans l’indifférence “active” de l’État.

Je ne souhaite pas m'étendre sur la fable que constitue l'affaire dite des "magistrats pédophiles de Nice" qui a du reste inspiré un de ces téléfilm que l'on diffuse en soirée.

Ce qui est à noter de plus important c'est que c'est la soeur de Kamal devenu avocate aux U.S.A. qui a tout manigancé. Il reste à préciser les éléments qui ont joué.

Origine et culture des fantasmes à base d'abus rituels sur des enfants

Tout commence, je l'ai dit, au temps de Louis XIV et même avant avec l'histoire des sabbats de sorcières qu'il aurait fallu exorciser plutôt que de les faire cramer ou plutôt il aurait fallu commencer par là à toutes fins utiles !

Je suis, sur ce point de l'avis, d'un célèbre exorciste romain, Gabrielle Amorth et je viens de découvrir qu'il se serait singularisé en accusant le Vatican d'abriter des rites sulfureux dont des enfants feraient les frais.

A ce propos je remarque, que j'ai toujours pas mal de chance dans mes enquêtes, car le hasard, ou la providence, je n'en sais trop rien, à l'air de faire en sorte que les ouvrages utiles soient les seuls à se proposer gratuitement pour mon édification.

A gauche vous avez Léo Taxil dont l'imagination sulfureuse allait perturber durablement l'esprit de nos contemporains.

J'ai évoqué plus haut le "palladisme", il n'était pas encore question de partouzes plus ou moins gaies mais il ne manquait plus que mai 68 pour abolir tous les tabous sexuels, excepté celui de la "pédophilie", contrairement à ce qu'imaginent des observateurs très superficiels. J'ai déjà expliqué que derrière la hantise de cette "pédophilie" se cache une exécration non dite, de la "pédérastie" telle qu'elle est apparue dans toutes les expressions de la caste guerrière.

Toute cela pour dire que si les "pédérastes" faisait leur job honnêtement et dans l'intérêt de l'adolescent ainsi pris en main, le "Système" aurait peu de chance de pouvoir "formater" comme il l'entend les jeunes comme il l'entend. Mais rassurez vous ! Il n'existe pas la moindre chance que cette sorte d'institution à vocation éducative aie la moindre chance de revoir le jour.

Un certain Michel Caignet a tenté, sans doute par pure provocation, de tenter le coup dans Gaie France Magazine mais il n'aura fait que s'attirer le pire des choc en retour et c'est un certain Thierry Meyssan qui, pour se venger, de certaines dénonciations le concernant à tout mis en oeuvre pour les lui faire payer le plus cher possible. Je dois encore avoir des trace de ce que j'évoque dans un livre évoquant L'effroyable imposteur. Encore faut-il avoir une idée de ce dont il s'est agi pour déceler ces traces.

Je m'empresse de préciser que la thèse de la provocation résulte d'une simple intuition, c'est une hypothèse. Je n'ai jamais été le moins du monde intime avec ce garçon. Simplement j'ai été largement renseigné au sujet de la F.A.N.E où il a fait ses classe par le client de Grattirola que j'ai évoqué plus haut et dont nous savons qu'il a tué sa femme avant de se suicider lui-même. Je n'ai pas eu besoin de plus de 5 ou 10 minutes au bigophone pour négocier le deal qui m'a permis de récupérer la collection à peu près complète des numéros sortis.

J'en ai tiré quelques articles intéressants et j'en ai utilisé quelques uns sous un pseudo "serpentiforme" et çà a donné lieu lieu à une "auto-mystification" de je ne sais plus qui et la mémoire me reviendra probablement à l'improviste quant à ce dont je garde un souvenir assez flou pour l'instant.

Résumé des dires de Massimo Introvigne sur le rôle du "satanisme"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je vois dans l'obligation d'abréger la version originale de l'article qui m'a inspiré et que j'ai repris à mon compte en le rewritant de fond en comble.

ce qui est important dans ce livre c'est l'allusion à un phénomène tout entier contenu dans une célèbre affaire dite "Michelle Remembers". Il est plus économique de vous donner simplement un lien en direction d'un excellent article au sujet du genre de délire "pédo-psychiatrique" canadien par lequel tout, ou presque, a commencé. Voir :

https://www.greffiernoir.com/les-abus-rituels-sataniques-aux-usa-la-panique-du-sra

Quelques remarques en marge de l'affaire Dutroux

Ce livre date de 1997 mais il me faut dire que bien avant la parution de ce pavé, je savais à quoi m'en tenir.

L'année d'avant en 1996 survenait l'affaire Dutroux. Un universitaire belge, concitoyen de la fameuse Régina Louf évoqué plus haut m'avait servi de guide en m'évitant certaines chausses trappes.

Je correspondais avec lui sur d'autres sujets et il m'avait mis en garde en me signalant qu'il fallait prendre avec des pincettes toutes les références à du satanisme. C'était jeune un Franc-maçon créateur de sa propre loge et un mathématicien érudit. Nous étions à même de part nos centres d'intérêts de disposer de toutes les "contre-poisons" nécessaires.

Concernant le témoignage de Régina Louf, il comportait plusieurs niveaux. Le seul niveau crédible se rapporte à ce qui s'est passé dans une certaine champignonnière abandonnée et rasée depuis lors.

Il a été recoupé, le reste est en partie fantasmée notamment le fait qu'elle aurait été prostituée par sa grand mère. Elle est née en 1969 et je me souviens que dans son témoignage elle fait allusion à des pratiques remontant à l'occupation allemande pour justifier d'une sorte de "tradition familiale" qui en aurait fait une jeune prostituée par sa grand mère... Ce livre vous pouvez le télécharger gratuitement sur le site de Wanted Pedo.

Le problème est que le système des témoins X a qui on a garanti l'anonymat s'est avéré une mauvaise idée. Cette procédure a attiré une brochette de femmes mythomanes qui ont inventé de toutes pièces des histoire de chasse à cour dans les forêts entourant un château des Ardennes belges appartenant à un nobliau plus ou moins copain avec la famille royale.

J'ai du reste retrouvé dans le récit de la 121ème journée de Sodome visée plus haut une version d'une histoire de chasse en forêt de Rambouillet où les enfants les plus faibles aurait été marqué d'un brassard rouge afin d'être exécutés et donc sacrifiés.

Le seul espoir que je puis formulé c'est de parvenir à situer les deux affaires évoquées plus haut.

L'ombre portée de l'affaire Pinon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce qu'il faut savoir c'est que l'affaire Dutroux est apparue sur les traces de la fameuse Affaire Pinon. Au nom prédestiné, soit dit en passant car rien n'arrive par hasard. Synchronicité oblige !

Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_ballets_roses_(B...

L'influence de la vilaine Lulu

 

 

 

 

 

 

Ci-contre un dessin de l'album qui a rendu fou pas mal de crétins fâchés avec le sens de la causalité...

Lors de la rédaction initiale de ce post je n'avais pas pris la mesure de l'influence de l'album dessiné par Yves Saint Laurent un des amants de Pierre Bergé qui aurait financé la campagne de l'actuel président pour qu'il fasse voter le "mariage pour tous".

On a voulu insinuer dans le mental d'un public volontiers crédule l'idée d'un rituel à base de sacrifices d'enfants que l'on ne s'y serait pas pris autrement. Même quand on est puissant du fait qu'on a à sa disposition de gros moyens, il est toujours avantageux de les compléter en insinuant le peur et quoi de plus effroyable que de suggérer que des parvenus puissent se permettre les fantaisies sexuelles les plus macabres.

En guise de conclusion

Comme vous l'avez pu constater d'entrée de jeu, je n'exclus pas que des tarés issus de toutes les classes de la société aient pu pousser la folie jusqu'à mettre en scène ce qui se trouve décrit en annexe d'un livre auquel je ne voudrais pas faire la moindre publicité car cela m'obligerait à le commenter et donc à faire trop d'honneur à son auteur.

Sauf qu'il s'agirait de faits qui datent dans la mesure où une des victimes aurait rencontré Dutroux avant qu'il n'en vienne à défrayer la chronique. L'auteur que j'ai en vue a fait preuve d'un bon sens critique dans l'évocation des différentes affaires qu'il a traitées et je rappelle qu'il a fait silence à propos de celle au sujet de celle qui a tourneboulé l'esprit de pas mal de "nikkaïens" et pas que.

En revanche, j'estime que faire état de très sombres histoires de tortures rituelle, d'engrossages d'adolescentes à répétition (5 dans le cas d'une des 3 victimes) afin de pourvoir la secte considéré en bébés à immoler le moment venu, quand par ailleurs on a pris toutes les précautions pour empêcher tout recoupements à venir, cela relève forcément d'une certaine malhonnêteté intellectuelle, le but étant toujours, tout en se donnant en spectacle, de gagner autant d'argent que possible. Car ce genre de "mystère" a bien le don d'émoustiller, et pas forcément en mode sexuel, un assez large public.

Je voudrais, avant de clore cet article récapitulatif, souligner une chose qui me paraît évidente. Je ne pense pas que l'élite à qui on prête volontiers un goût morbide pour les mises en scène évoquée soit assez conne pour s'imaginer qu'il lui soit nécessaire de pratiquer des sacrifices humains pour s'assurer les faveurs d'un "Diable" auquel, pour commencer, elle ne croit pas plus qu'à un "Bon Dieu".

Dans que j'ai en vue, un ministre de De Gaulle est censé avoir participé, surtout en tant que simple spectateur aux horreurs dont il vient d'être question. Assez paradoxalement, c'est un genre de détail qui pourrait tendre à militer en faveur d'un caractère véridique au moins partiel de ce à quoi je fais allusion.

Je crois en effet que si les horreurs en question se sont pratiquées ou même se pratiquent encore, le caractère satanique ne servirait qu'à les pimenter. En ce qui me concerne l'idée d'une transgression ne m'a jamais excité et plutôt qu'un culte satanique j'aurais plutôt tendance à voir là l'expression de pulsions assez purement sadiques. Et quand au recrutement d'enfants appelés à jouer un rôle de bourreau, on trouve un père indigne et ce ne sont pas des notables qui peuvent courir le risque d'enlever des enfants. Dans l'histoire que j'aie en vue, en fait de notables on ne parle que d'un ministre et d'un médecin pour prélever les organes des jeunes victimes.

On laisse deviner la présence de "beau monde" mais il faut se poser une question de bon sens : en fait de trafics d'organes, en France surtout, peut-on se livrer à des prélèvements aussi sauvages dans des conditions d'hygiène aussi douteuse et les vendre dans les heures qui suivent au premier hôpital pratiquant diverses greffes. On m'objectera que ces prélèvements seraient destinés à des cliniques étrangères, sauf qu'il faut pour cela toute une logistique de conservation et de transport difficilement conciliable avec la façon de se procurer les précieuses greffes.

Je veux bien croire qu'il se serait passé quelque chose dans des souterrains sans doute encore utilisé pour abriter des canalisation d'eau potable mais il se pourrait que l'on ait ajouté des "enjolivements" pour faire cadrer l'évocation avec le personnage de Dutroux conçue en tant que fournisseurs de jeunes filles pour être prostituées. Enfin et quoiqu'il en soit ces histoires ne sont par franchement crédibles en l'état où elles nous ont été "vendues".

Je terminerai en soulignant que l'auteur visé a grandement fauté en rangeant l'affaire Epstein dans le registre "pédophilie" alors qu'il ne s'agit que de prostitution à un haut niveau. Les mannequins qui se présentent comme victimes étaient assez largement pubères comme dans le cas d'une majorité de victimes de Dutroux. Les avoir laissé crever de faim n'en n'est pas moins répréhensible pour autant mais l'on se doit de demeurer attaché à l'emploi des termes qui conviennent sinon c'est encore un moyen assez pervers d'exploiter la révulsion que suscite les menées criminelles dont il est question.