Benoit XVI sur la cause des abus sexuels dans l'église : c'est de la faute du monde profane... (13/04/2019)
Mon estime pour Benoit XVI a toujours été fort mitigée. Ses efforts pour ramener les "tradis" en communion avec Rome qui se sont soldés par une sorte de décriminalisation de la version latine des offices ne m'a jamais convaincu. Je professe que c'est une connerie monumentale que d'avoir favorisé l'emploi des langues vernaculaires pour l'ordinaire de la Messe. D'abord parce que si je venais à passer une frontière pour exercer en tant qu'organiste, il me faudrait avoir à côté de moi un interprète pour me donner le signal de départ de chaque intervention et ce d'autant plus que tous les curés ont tendance à modifier l'ordonnance d'un office sans jamais prévenir l'intéresser d'éventuels ajouts comme les "scrutins" de futurs baptisés. Les jours de fêtes il faut s'enquérir de la possibilité d'un offertoire à rallonge avec encensements. C'est que les Conservatoires sont totalement inaptes quant à l'apprentissage de l'improvisation qui n'est envisageable qu'après avoir la tête farcie des interdits de la pseudo harmonie ramiste, des règles du contrepoint, de la fugue et j'en passe. De quoi largement stériliser définitivement l'immense majorité des élèves...
Concernant Benoit XVI, je n'ai pas eu besoin de Frédéric Martel pour arriver à la conclusion que lui et quelques uns de ses prédécesseurs n'étaient guère que ce que l'on appelait autrefois des "honteuses". Rien qu'en voyant le collaborateur le plus proche de ce pontife, j'avais compris... Soit dit en passant Martel raconte l'interminable consécration du personnage en tant qu'architecte avant la fameuse abdication.
Abus sexuels : "Benoïd 16" sort de son silence ! Mais pour dire quoi ?
Pour la traduction (non officielle) du texte original en italien voir le Salon Beige :
https://www.lesalonbeige.fr/abus-sexuels-le-pape-benoit-x...
Au fond le texte de 18 pages à l'origine, 15 environ pour la traduction, se résume à ceci : les abus sexuels au sein de l'Eglise ? C'est pas de notre faute c'est celle du monde profane avec la crise morale engendrée par mai 68 !
On tomberait sur le cul en se faisant très mal si on n'était pas habitué de longue date aux refus de l'Eglise de reconnaître ses responsabilités.
Pour commencer, il faut bien dire que cette façon de se défausser ne peut convaincre personne sinon des dévots aveuglées par leur idolâtries à l'égard d'une certaine forme de pompe romaine et c'est le cas tout particulièrement du Salon Beige, salon où mon avant dernier patron a été présenté par ses fans comme étant susceptible de devenir le futur pape. Sauf que les choses ont assez mal tourné pour lui, puisque le malaise causé par sa propre homosexualité l'a conduit à trop en faire contre le "mariage pour tous" et étant devenu addict au vin de messe, sa hiérarchie l'a poussé à faire une cure de désintoxication qui ne peut pas avoir résolu le problème...
Cela dit, il faut dire qu'il n'est sans doute pas guéri de son militantisme suicidaire à la mode Barbarin puisqu'il se trouve qu'un candidat à la prêtrise passé entre les mains d'un certain jean-Gérard Roux, escroc en religion notoire a été amené à le rencontrer, en tant que directeur de conscience occasionnel en dépit des centaines de kms qui les sépare... J'en conclus que bien qu'il ne subsiste aucune trace de son passage au sein du Salon Beige, il est encore actif dans certains réseaux caractérisés par leurs tendances plutôt casse gueule...
Si la suite vous intéresse, veuillez tourner la page...
Précisions liminaires : je ne suis ni militant ni révolutionnaire
Certes si j'en avais les moyens et pouvait le faire sans me faire serrer, je foutrais volontiers le feu quelque part rue de Rivoli mais en tant qu'homo assumé j'appartiens à la génération d'avant mai 68 et plus précisément celle du fameux club Arcadie fondé par un ancien séminariste nommé André Baudry. J'ai même fréquenté l'ancien théâtre de la rue du château d'Eau.
Pire encore, étant à l'époque photographe, j'ai pu sortir de la routine des reportages de mariages provinciaux et campagnards (avec labo improvisé sur place) et délivrance des photos en fin de soirée pour monter en grade et devenir un spécialiste de la photo d'architecture grâce à la promotion d'un contrat qui m'a conduit à croiser assez fréquemment un certain André Maurois dans les couloirs du Palais Royal... Mes œuvres ont même été exposées (à mon insu) au Ministère des Affaires étrangères et mon nom a figuré aux côté de celui d'un couple de spécialistes parisiens (P.J et V.C).
Il fallait être parrainé pour entrer au club. Je suis incapable de me souvenir de l'identité de mon parrain. Est-ce un curé des environs de la ville des sacres, qui me sachant photographe attitré d'un bulletin municipal et illustrateur non moins régulier de la couverture d'un bulletin diocésain m'a demandé d'immortalisé une assez rare statue de Saint Anne ? Il se peut que je sois victime d'un faux souvenir mais je garde l'impression qu'il s'est intéressé à moi pour deux raisons, la seconde étant que j'ai du lui être signalé comme contact possible par Baudry. Il avait certes la photo d'un danseur russe très célèbre dans son bureau, mais mes articles donnent une fausse impression sur ma personnalité réelle. Je suis plutôt d'un naturel réservé et je ne me serais pas hasardé au vu de cette photo à "confesser" un curé parce que, eut-il été beau comme un Dieu, j'aurais traité ses "propositions malhonnête" de la même manière. Les soutanes et les costume clergyman m'ont toujours fait débandé, je n'ai jamais encore le moindre risque d'être abusé et je pense que ce que je dégageais à mon insu m'a protégé de toutes espèce de "comportement inapproprié". Ceux qui ont pu être tentés ont du sentir qu'ils risquaient de se faire arracher les yeux...
Toujours est-il que je suis devenu le photographe attitré du club et que j'ai reçu la mission de portraiturer un certain archevêque lors des fêtes en l'honneur de la Pucelle à l'époque où Baudry s'était entremis avec le personnage en question dans le but de le faire concourir à l'amélioration du sort de ses protégés. Je savais que ça allait forcément foirer mais la série de portait en question a eu un succès fou. Adepte du système Agfa je travaillais avec un artisan laborantin et comparé à Kodak, le propre du matériel Afga était de favoriser la saturation de couleur et en particulier la densité du magenta donc de la pourpre épiscopale ! Je suis donc devenu le photographe des banquets, deux à trois an de suite.
Pourquoi suis-je en train de préciser tout cela ? C'est que tout simplement si l'entreprise assez "familiale" de Baudry avait ses bons côtés du fait qu'elle a eu le don de mêler diverses classes sociales, du petit ouvrier portugais aux grands écrivains en passant par des notables tels que médecins et compagnie, je suis évidemment resté sur ma faim. J'ai du reste trouvé le moyen de me faire exclure en parfaite connaissance de cause pour une histoire assez idiote. En tant qu'imagier, j'ai été sollicité par un personnage assez vulgaire pour se faire portraiturer à poil dans des positions assez franchement ridicules du style dessous féminins. Il s'agissait d'un homme marié demeurant dans une toute petite ville.
Je lui ai fait comprendre que la proposition ne m'enchantait pas et pour éviter de le vexer, je lui ai communiqué mes tarifs au demeurant très modérés. Au moment de payer, il a fait semblant de ne pas comprendre alors j'ai fini par le mettre au tribunal et il a du s'expliquer devant un juge d'Instance. Je suis de l'ancienne école par rapport à celle issue de mai 68 mais mon client était une sorte de proustien attardé et ce n'est pas de ma faute s'il n'a pas compris que son manège n'était aucunement susceptible de m'intéresser. Evidemment, Baudry m'a viré ce qui m'a donné l'occasion de dire tout le bien que je pensais de ses manières de grand prophète. L'espèce de "patronage" qu'il tenait n'était pas sans attrait qui, en fin de soirées du week end concourait à maintenir la tradition de la "danse du tapis" !
Vivant à presque 200 km de la capitale, je ne pouvais pas être assidu et je sentais bien que le Club avait fait son temps sans toutefois me sentir en prise avec le militantisme issu de mai 68. Je me rappelle avoir fait équipe une nuit avec un collègue organiste hébergé dans un couvent genre franciscain qui devait faire en sorte de ne pas éveiller les soupçons de ses hébergeurs.
De la misogynie biblique comme facteur premiers des dérives homosexuelles du clergé
Est-ce à dire que les dérives abusives récentes seraient, comme l'affirme le pape émérite, la faute à la société profane d'après mai 68 ? Surement pas, les abus en question ont toujours existé. L'histoire des papes est remplie d'histoires de "mignons". La vogue de l'homosexualité au sein du clergé n'est pas due seulement aux conditions qu'à évoquées Martel mais d'abord au fait que l'Ancien Testament a fait de Eve, l'interlocutrice privilégie de Satan sous la forme d'un serpent.
Est-ce que pour autant les rédacteurs de l'A.T. auraient été mal inspiré ?
Personnellement je ne le crois pas ! Je peux m'entendre avec des femmes équilibrées et disons relativement "viriles" mais jamais au point d'en tomber amoureux.
Puisque j'ai évoqué la fin d'Arcadie, je renvoie mes lecteurs au chapitre du livre de Martel intitulé A bas l'homosexualité de papa ! Et tout particulièrement la fin du chapitre lorsque l'auteur évoque le rôle de deux "gouines" célèbres dans la précipitation de la désagrégation du mouvement. Ce sont bien deux femmes dont Françoise d'Eaubonne et une salariée du club qui y ont foutu une merde pas possible par leurs cris hystériques. Si l'on compare leur déchaînement avec la tenue et la prudence de leurs homologues masculins et que l'on met cela en parallèle avec le comportement masculophobe des lesbiennes qui mènent la danse du féminisme en vogue, on est bien obligé d'admettre que l'instabilité hormonale de ces créatures que "Dieu" est censé nous avoir octroyé comme "compléments" en les tirant d'une côté (ou d'un côté d'Adam) s'est avéré chose particulièrement problématique.
Enfin il faut cesser de croire que la misogynie serait un délit. L'amour ça ne se commande pas et on peut être assez foncièrement misogyne sans pour autant aspirer à nuire systématiquement aux femmes. Je reconnais aux femmes le droit à l'égalité dans la mesure où j'aspire à une forme de liberté qu'on appelle autonomie. Mais lorsque l'on constate que leur prétendue "libération" tourne à une criminalisation systématique de tout ce qui est masculin, on est en droit de répondre. Niet, si vous n'aimez pas les hommes c'est votre droit mais restez entre vous mais il est hors de question que vous preniez les rênes de la société pour nous imposer une nouvelle tyrannie. Bien évidemment, en une époque de parité où les hommes politiques sont en dessous de tout, la participation de femmes au gouvernement ne peut engendrer que des catastrophes. On a vu ce que cela à donné en matière médicale avec l'imposition de 11 vaccins archi pourris aux nourrissons né à partir de janvier 2018.
Finissons en avec André Baudry, je le croyais mort et enterré depuis longtemps mais j'apprends qu'il est décédé en février de l'année dernière à 95 ans à Naples, dans les bras d'un certain Guiseppe qui lui servait à l'époque de la rue du Château d'Eau de "portier filtrant". Ce garçon était sans doute un bon garçon mais il nous faisait l'effet d'une sorte de Quasimodo. Et il avait tendance à agacer en tant qu'étant la voix de son maître. Cette différence manifeste de culture et d'âge étant bien susceptible de poser question quant au fait que les amours masculines sont forcément condamnées à mal vieillir et que vouloir prendre modèle sur le couple hétéro bourge n'est sûrement pas la solution. Il n'est que de suivre un feuilleton intitulé Plus Belle la vie pour percevoir l'insipidité du modèle offert comme instrument de formatage contemporain avec le couple formé par un barman issu de la très catholique Myrta quant à l'équipage qu'il forme avec un médecin plus ou moins bronzé comme fils d'un militaire homophobe des plus ridicules.
Ce que raconte benoit XIV est-il plausible ?
J'ai déjà répondu à la question mais quelques citations s'imposent avec les commentaires qui vont avec !
Le texte a été demandé par le pape François comme support de réflexion pour la réunion du 21 au 24 février des présidents des conférences épiscopales convoqués à Rome pour tenter de trouver un remède à l'épidémie d'abus pédophiles qui viennent régulièrement, telle des bulles nauséabondes, crever à la surface de ce qui ressemble de plus en plus à un marigot.
Selon notre "expert" Tout commence avec l’introduction, prescrite par l’État et soutenue par lui, des enfants et des jeunes aux réalités de la sexualité.
Ensuite Parmi les libertés que la Révolution de 1968 s’est battue pour conquérir, il y avait aussi cette liberté sexuelle absolue, qui ne tolérait plus aucune norme.
Bref, très clairement si des prêtres ont dérapé c'est de la faute au monde profane. Tout ceci est faux bien entendu ! Premièrement, la tentative de légitimer la "pédophilie" est une utopie apparu certes voici environ un demi siècle. Cette licence n'a guère duré que 14 ans car en 1982 (Affaire des ballets bleus du Coral) et dès 1974 avec le passage de la rétrogradation de la majorité de 21 ans à 18 ans et plus spécialement de la fixation de la majorité sexuelle à 15 ans révolus ont engendré quantité de réactions assez paranoïaques qui se sont soldées par le lynchage médiatique d'auteur comme Gabriel Matzneff dans les années 90, une génération après mais 68 montre bien que la tentative de légitimation issu de la révolution sexuelle de mai 1968 n'était pas destinée à prendre.
J'en étais bien conscient d'autant plus que des années avant, certaines circonstances inhérente à un passage dans les milieux astrologiques m'ont confronté aux propositions haïssables d'une professeuse de yoga, une certains Sarah qui a tenté de me fourguer sont jeune fils qui fut le héros qu'un livre intitulé Quand mourut Jonathan d'un certain Tony Duvert, un membre de sa propre parenté. Inutile d'insister sur le fait que j'ai accueilli la chose avec perte et fracas et que je me suis vengé de cette ignoble salope qui a fini par me supplanter au sein d'un petite association. Bref, je savais que si en pareil cas le besoin d'assurer une collaboration plus souple peut donner lieu à des trahisons et que des "politiques", et c'était le cas d'un certain J.H., ces derniers peuvent se foutre de la plus élémentaire des morales quand leur intérêt les y pousse. En d'autres termes, je savais pertinemment que le vent allait tourner assez vite en défaveur de ce que on appelle "pédophilie" et qui n'en était pas toujours.
Aujourd'hui il est clair que si la lutte contre la "pédophilie", réelle ou supposée fait à ce point l'unanimité c'est, je l'ai dit cent fois, parce qu'au yeux du "Système", toute espèce de "pédérastie" plus ou moins pragmatique constitue une menace éventuelle à l'encontre de ce formatage qu'il veut nous vendre et qui a donné les si piètres résultats que constitue qu'à engendré la promotion du consumérisme dans le cadre de la banalisation médiatique de l'homosexualité.
Revenons aux dire du pape émérite...
Le prétendu "effondrement" de la théologie morale catholique
Dans le même temps, et indépendamment de cette évolution, la théologie morale catholique s’est effondrée, laissant l’Eglise sans défense face à ces changements sociétaux. Je vais essayer d’esquisser brièvement la trajectoire de cette évolution.
Jusqu’au concile Vatican II, la théologie morale catholique était dans une large mesure fondée sur la loi naturelle, tandis que l’Ecriture sainte n’était citée que pour fournir un contexte ou une confirmation.
"Une église sans défense face aux changements sociétaux" ?
Je pense qu'il faut poser al question autrement !
La vraie question est "qu'a foutu le "Saint Esprit" face à ces changements " ?
Comment une Eglise qui revendique l'assisance de ce qu'elle a appelé "paraclet" peut-elle rejeter ses fautes et en mettre la responsabilité sur le dos du monde profane, devenue franchement hostile à cause d'une vague de paranoïa qu'en s'enracine autour du XIIIème siècle et qu'un certain Thomas d'Aquin a tenté, en vain, de clarifier ?
La prétendue "loi naturelle" supérieure à la Bible ?
La référence à une "loi naturelle" est justement une parfaite divagation apparue en une époque où l'aristotélisme à servi de béquille à l'Eglise pour sa morale, sauf que Rome a tendu accommoder la philosophie antique à sa sauce.
J'ai dit ce qu'il convenait de dire sur cette foutue "loi naturelle". Toute loi est du domaine de la culture et cela n'a rien à avoir avec la "Nature". L'idéalisation de Dame Nature au temps de l'apparition d'une certaine scolastique est une foutaise. Si à l'époque on ne connaissait pas l'homosexualité et qu'on se préoccupait seulement du statut de la sodomie, je rappelle que Dominique Fernandez, quoiqu'il soit devenu académicien a montré toute l'étendue de sa connerie (il faut appeler un chat un chat) lorsqu'il lui est arrivé de poser la question suivante :
"L'homosexualité nature ou culture ?"
La bonne réponse c'est : un peu des deux mon général !
Chose naturelle parce que ce type de pulsion est très répandu et deviendrait assez commun en l'absence de la pression sociale engendré par le fameux tabou biblique. Mais chose pouvant présenter un aspect culturelle à partir du moment où l'on décide d'assigner à cette chose des limites de façon à ce que les effets éventuellement négatifs soient contenus.
Les Grecs ont opté pour la pédérastie, c'est devenu chose scandaleuse pour les raisons que j'ai indiquée plus haut.
A présent, on entend contenir la chose aux relations entre des individus majeurs (et vaccinés si possible...)
Je constate simplement que la chose a tendance à mal vieillir. Je ne sais pas si le phénomène des "âmes sœurs" (une invention platonicienne) existe réellement. Je constate simplement que j'ai du tout faire pour éviter d'en rencontrer une ne serait-ce que par souci de conservation. Indépendamment de certaines tendances pathologiques ambiantes tendant à rendre tout commerce humain (avec ou sans sexe) excessivement aléatoire voir franchement épineux, je suis arrivé à la conclusion que si on a besoin d'un accompagnement affectif un chat et/ou un chien fait parfaitement l'affaire.
Je dois dire, qu'à cet égard, je suis parfaitement comblé et je peux chanter Mon chat est un chien ! Et j'ai les deux, la chienne je l'emprunte deux fois par jour pour m'obliger à faire de la marche.
De l'écriture sainte...
L'A.T. se borne à dire que le fait de coucher avec un homme comme on coucherait avec une femme est une abomination, n'est absolument pas convaincant car lorsque ça se passe bien, on ne peut pas se satisfaire d'une telle décrétale. Or nous savons que les hébreux, en tant que conquérant minoritaire d'une prétendue "terre promise", ou plutôt leurs chefs, étaient tiraillés pas tout ce qui pouvait nuire à la fertilité d'une horde de criminel de guerre qui sur les ordres de leur démiurge on fait rôtir les Cananéens dans des fours à brique. Et l'on s'étonne, étrange retour des choses, que l'aventure a faille se terminer dans des chambres à gaz...
Je suggère à ceux qui veulent remonter aux véritables prémisses du sionisme actuelle de se frotter avec le livre d'un certain Laurent Guyénot intitulé Du Yahvisme au sionisme, Dieu jaloux, peuple élu, terre promise : 2500 ans de manipulations.
Je regrette mais personne ne peut me contraindre à faire allégeance au "Dieu des Juifs" et il y a un mystère quelque part. Comment ce dieu assez sinistre aura-t-il pu se muer dans le Dieu d'amour qu'a voulu nous vendre un certain Jésus !
Quant à l'amour des garçons, ça peut être une excellente manière de se préserver de la tendance possessive et irrationnelle des femmes mais il faut répéter que ça ne peut avoir qu'un temps et il faut trouver le moyen de s'en passer au delà de 35/40 ans sans sombrer dans la frustration et je ne connais pas d'autre moyens de d'avoir l'esprit très occupé intellectuellement par divers sujets plus ou moins passionnants. Et des sujets passionnant je n'en manque point, et dans l'ordre purement contingent si toutes sortes de besognes manuelles ne me rebutent point allant de l'ébénisterie, à la plomberie il n'y a guère que le cambouis des moteurs mécaniques à explosion. En revanche j'aurais fait un artificier très potable : j'adore fait sauter tout ce qui est vermoulu et il faut bien dire que dans la mesure où j'aspire à garder mes mains à la fois propres et surtout intactes, j'ai du opter pour les explosifs à caractère rhétoriques.
Et s'il paraissent faire si peu d'effet, je me dis que si on ne parvient pas à réfuter mes descentes en flammes d'une prétendue "loi naturelle", c'est qu'en définitive l'analyse que j'en fait est irréfutable. J'ai tenté avec un catholique varois qui est passé par Guénon de débattre cette question. Ce qu'il m'a opposé est parfaitement inaudible : en matière de sexualité il n'est qu'un point sur lequel on peut s'appuyer pour opposer des limites aux excès et c'est la modération. Or les abus sexuels commis au sein de catholicisme ont depuis longtemps dépassé le seuil de ce qui pourrait être tolérable. En imputer la faute aux tendances subversives de mai 68 c'est du même coup démontrer que ce qu'on appelle le "Saint Esprit" a depuis longtemps déserté les couloirs du Vatican et ça ne date pas d'hier si tant est qu'il en ait jamais fait son domicile d'élection...
La remise en question de l'autorité morale de l'Eglise et sa prétendue compétence...
Tout cela rend visible à quel point fondamental l’autorité de l’Eglise en matière de morale est remise en question. Ceux qui nient à l’Eglise une compétence d’enseignement ultime dans ce domaine l’obligent à rester silencieuse précisément là où la frontière entre la vérité et les mensonges est en jeu.
C'est à se la prendre et à se la mordre que d'avoir à entendre pareil affirmation.
Qui oblige l'Eglise à rester silencieuse ? Est-telle restée silencieuse ?
La choc en retour qu' subi un certain Mgr Barbarin prouve aux moins deux choses, à savoir qu'elle a toujours eu tendance à brailler à tort et à travers au point d'inciter ses paroissiens à imiter les "Gilets jaunes" avant que ceux-ci n'apparaissent pour de tous autres motifs que des question de mœurs puisqu'il s'agit avant tout pour eux de survie économique quand des Mgr Burke dépenses des fortunes pour des travestissement de drag Queens !
Le problème je l'ai dit et je le répète c'est qu'avant l'apparition de l'obsession de la "sodomie", qui ne s'est cristallisée après le premier millénaire, les choses ne se passaient pas si mal pour ceux qu'on appelle désormais les "gays". Sans faire référence à John Boswell qui a lancé l'idée, Frédéric Martel évoque Saint Aelred de Rielvaux comme saint LGBT, c'est une connerie sous un certain rapport car ce qu'on appelle "homosexualité" n'a fichtre rien à voir avec le transexisme et si tant est que les militants hostiles à l'entreprise d'André Baudry on aspiré, coûte que coûte, à n'être que des "pédés" et des "gouines", personne n'a été tenu de se conformer à ce programme haïssable. Se trouver réduit d'abord à une "identité sexuelle" c'est bien un enfer car les uns et les autres sommes excessivement inégaux sous ce rapport.
Le fin mot de l'histoire !
Il est simple : à partir du moment où l'Eglise s'est identifiée à une véritable obsession purement paranoïaque à l'égard de la "sodomie" en voulant en faire un mal absolu, elle a perdu toute possibilité d'anticiper une "évolution des mœurs". Evolution qui n'est en fin de compte qu'une réaction à des excès devenus absolument insupportables du fait que l'Eglise dont il s'agit a été la première a donner le spectacle de comportements fort peu édifiants et fort peu criminel.
Rejeter la faute sur le monde profane est quelque chose d'inouïe
Quand on a toujours posé l'Eglise comme pôle spirituel incontournable, une telle thèse est d'une nullité absolument hallucinante.
La "pédophilie" comme résultante de l'absence de Dieu !
Je cite : Pourquoi la pédophilie a-t-elle atteint de telles proportions ? En dernière analyse, la raison en est l’absence de Dieu. Nous autres chrétiens et prêtres préférons aussi ne pas parler de Dieu, parce que ce discours ne semble pas pratique. Après le bouleversement de la Seconde Guerre mondiale, nous avons continué en Allemagne de placer expressément notre constitution sous la responsabilité vis-à-vis Dieu en tant que principe conducteur. Un demi-siècle plus tard, il ne fut plus possible d’inclure la responsabilité vis-à-vis de Dieu comme critère de référence de la constitution européenne. Dieu est considéré comme la préoccupation partisane d’un petit groupe et ne peut plus constituer le critère de référence de la communauté dans son ensemble. Cette décision est le reflet de la situation en Occident, où Dieu est devenu l’affaire privée d’une minorité.
Un Dieu ressemblant à nos modernes "pervers narcissiques"
Rejet et absence de "Dieu" dans le monde profane mais s'il est devenu absent au sein même de l'Eglise c'est peut-être que l'identité que cette Eglise a bricolé à son "dieu" n'a jamais été vraiment viable car cette bricolage résulte d'un amalgame à partir d'éléments parfaitement contradictoires où un prétendu amour se mêle à une insupportable tyrannie qui me fait penser à celle des pervers narcissiques.
Un Dieu qui tolère juste l'amour des femmes en vus de s'assurer l'existence de dévots et d'esclaves ad vitam eternam.
Désolé de constater que si tant est que tous les dieux auraient été inventés, les Anciens s'étaient démerdés pour en fabriquer des plus populaires et des plus salutaires.
Grâce à Dieu je ne suis pas devenu prêtre...
Je suis en phase avec les observations de Frédéric Martel quand il explique que l'Eglise a constitué (depuis toujours) un refuge pour les garçons qui ne se sentaient pas attiré par le mariage. Ils l'ont vécu dans un premier temps comme le signe d'une élection sans se rendre compte de ce que leur manque d'attrait envers les femmes cachait.
J'aurais pu tomber dans le même panneau mais fort heureusement, sans qu'un quelconque risque sexuel soit en cause, j'avais fort bien perçu qu'un milieu voué à l'obéissance pour ceux qui risquent de demeurer au bas l'échelle ne pouvait qu'engendrer une souffrance parfaitement inutile à moins d'être foncièrement masochiste. Bien évidement, ceux qui se sont laissé culpabilisé par l'interdit biblique ne pouvait qu'être prédisposés à sombrer plus ou moins dans ce travers pathologique.
Mais quand bien même, je serais tombé dans le panneau que constitue la prêtrise, je n'aurais jamais pu abuser d'enfants et d'adolescents, tout simplement parce que le contexte ne peut conduire qu'à quelque chose d'excessivement malsain. En d'autres termes, on ne peut s'accommoder de son homosexualité qu'en développant un style de vertu ne pouvant relever que de ce que le paganisme a comporté de plus sain et cela ne saurait être incompatible avec une recherche spirituelle.
Un texte d'analyse d'une nullité abyssale
Ce texte est un sommet dans le genre inepte et il ne faut pas s'étonner que le mini synode de février dernier a été considéré comme n'ayant donné lieu qu'à un coup dans l'eau.
La réunion vaticane du 21 au 24 avril ? Un cataplasme sur une jambe de bois !
Ce n'est pas moi qui le dit mais des catholiques bon teint...
Voir : https://www.riposte-catholique.fr/archives/150203
L'article pèche par le même défaut que le papier du pape émérite en ce qu'il attribue la fréquence des abus homosexuels au fait que la culture homosexuelle s’est étendue dans l’Église atteignant des proportions inimaginables. Or c'est un phénomène ancien.
Je veux bien admettre que la (fausse) libération des mœurs profanes n'a pas aidé mais cette sous culture homosexuelle est un fait de toujours et j'ai expliqué pourquoi. Sa source réside dans la misogynie "génétique" présente dans l'A.T., cette misogynie n'est pas une spécificité des religions monothéistes mais elle y a été dramatisée de façon outrancièrement à tel point qu'on a donné pour modèle au femme une certaine Vierge censé avoir enfanté par la seule opération du Saint Esprit. Sauf que j'ai de plus en plus de mal à y croire car tout concorde pour dire qu'un certain Jésus était du groupe AB. groupe qui nécessite la fusion de deux groupes sanguins plutôt "tardifs" attendu que le groupe originel et donc universel auquel j'appartiens moi-même est le groupe 0.
Toujours et partout le même aveuglement quant à la recherche des causes et les mêmes tentatives de palliatifs inefficaces et contre productifs...
L'Eglise peut-elle sortir de l'ornière de la "pédophilie" ?
Il ne me vient pas à l'idée d'accabler les prélats ou les curés qui ont recours à une compagnon caché ou même à la prostitution pour ne pas devenir complètement cinglés en ne risquant qu'une forme de schizophrénie des plus déplorables. Je les plains et je ne voudrais pas être à leur place. En ce qui concerne le recours à la prostitution, lorsqu'il s'agit de prêtres assez ordinaires, ce sont les meilleurs clients dont peuvent rêver les prostitués surtout quand il s'agit de migrants. Il est des misères qui peuvent s'associer pour tenter de se compenser réciproquement. Mais les clercs qui se sont adonnés à ce qui ressemble à de la "pédophilie" sont inexcusables. Il ne peuvent pas invoquer l'exacerbation de la tentation du fait d'une licence ambiante car elle n'a jamais été favorable et elle l'est moins que jamais à ce qui relève d'une forme de "pédérastie".
Pour assainir l'ambiance, peut-on revenir à l'ordination d'hommes préalablement mariés ?
Non pour 3 raisons !
1. - La première est économique : le denier du culte est en faillite, il ne saurait être question de nourrir femmes et enfants où alors il faudrait une revivification du catholicisme qui ne peut résulter que d'un miracle. La chose est hautement improbable pour 36 000 raisons !
2. - La seconde est disciplinaire : que les curés soit autorisé d'une quelconque façon a vivre maritalement, les évêques n'auront plus la loi. Les prêtres se distraient de leur solitude en acceptant comme distraction un phénomène assez récent de réunionite aiguë sous prétexte de nouvelle évangélisation. La plupart sont conscient de la stérilité de ces parlottes et des dernières expériences synodales mais il s'en accommodent parce que ça leur permet de rencontrer des copains. Que les femmes s'en mêlent et elles seront les premières à s'ériger contre cette pratique où tendront à y poser des limites.
3.- Le troisième obstacle résulte d'une question de pureté rituelle : A l'époque où les prêtres séculiers pouvaient prendre femmes avant d'être ordonnés, à l'instar des anciens Lévite, il leur était fait défense d'avoir une relation sexuelle dans la nuit précédant un office au temple. Or l'imposition du célibat ecclésiastique a coïncidé avec l'imposition de dire une messe quotidienne. d'où l'obligation de limiter le service à une seule messe dominicale.
En tout état de cause, quand bien même ce retour à la tradition antérieure s'avérerait possible, à moins d'accomplir la révolution que préconise un thomiste dominicain devenu gay friendly au terme d'une relecture de l'oeuvre de l'Aquinate, il faut se résoudre que la situation est bloquée.
Si tant est que cet expert ait raison, la révolution que cela implique est impensable car elle aboutirait à la nécessité de constater que le magistère se serait planté sur la question. Revenir à la tradition des bénédictions de couples de même sexe est également impensable pour la raison que ce serait faire un sort particulier aux "homos". C'est le même problème qui se pose lorsqu'on se soucie de vouloir les accueillir et donc de le mettre à l'aise.
Ce serait en fin de compte leur faire un sort spécial, or ces gens là ne sont pas foncièrement différents des "hétéros". Dans le domaine alimentaire certains préfèrent le salé au sucré et si l'excès de salé nuit est dénoncé comme nuisible tant par la médecine chinoise que par notre médecine académique, l'excès de sucre sous ses diverses formes est plus redoutable encore. L'amour immodéré des femmes constitue un risque de "diabète spirituels" mais c'est une façon de parler car on découvre aujourd'hui que la plupart des femmes ne présentent aucun caractère "sucré" dans leur comportement, elles sont devenues très acides mais en biologie ce n'est pas contradictoire...
Soyons clair, à partir du moment, on se sent tenu défaire un sort particulier aux "homos" au sein d'une paroisse c'est qu'en fin de compte on tend à les considérer comme des monstres plus ou moins asociaux et l'observation à propos de la fin du club Arcadie démontre que le plus redoutable danger de subversion résulte de l'excessive libération des femmes. Mais dans ce domaine elles ont tendance à en faire tellement que si les "hétéros" étaient moins cons, ils se rendraient compte que le seul salut pour endiguer la menace c'est de devenir "homo" en revenant à la bonne vieille solidarité inter masculine de manière à ne favoriser professionnellement que des femmes équilibrées et qui aiment assez les hommes pour n'avoir aucune envie de leur nuire par un genre de manigances dont les garces possèdent le secret...
Quand les tentatives de formatage ambiant montre à leur insu les femmes sous leur vrai visage
J'ai évoqué un feuilleton nommé Plus belle la Vie. Ce feuilleton, tout comme certaines séries policières typiquement françaises, tente de nous vendre un égalitarisme assez utopique puisqu'il nie des différences évidentes en terme de psychologie naturelle des deux sexes.
Les séries policière française, excellent à mettre en scène des femmes commissaires régnant sur des cohortes de subordonnés et qui ont bien du mal à cantonner leur souci de cul dans un domaine privé qui ne devrait en aucun cas retentir sur la gestion de leur job. Les séries françaises sont en cela très différentes des séries anglaises car lorsqu'une femme commissaire constitue la vedette du feuilleton, elle fait preuve d'une humanité fort sympathie consistant à surnommer ses partenaires ou les victimes qu'elles doit assister mon petit chat et autres gentillesse du même style afin d'adoucir le côté ours de ce type de vedette.
Du côté de PBLV, la très ridicule promotion des couples gays façon "mariage pour tous" à la française cohabite avec la mise en scène d'une commissaire qui pique du fric dans les scellés pour le fourrer dans le vestiaire d'un commandant qu'elle hait parce qu'il a refusé de tromper sa femme pour refaire sa vie avec elle. Les invraisemblances tant sur le plan des pratiques policières de des procédure judiciaires ne sont pas susceptibles, fort heureusement, de nuire au caractère véridique quoique très involontaire d'une dénonciation flagrantes des travers spécifiques féminins les plus méprisable.
Puisqu'il faut quand même trouver le moyen de rire, rendez-vous sur :
https://www.pblvreplay.com/pblv-r/plus-belle-la-vie-3778/
Quant au sort de l'Eglise catholique, si le tort qu'elle a causé aux "homos" est à certain égards impardonnable, force est de constater qu'il existe toute de même quelque part une justice immanente, puisqu'elle a fini par trouver le moyen de s'en punir elle-même à tel point qu'elle serait sur le point de sombrer complètement si elle ne survivait pas uniquement en raison de la superstition de gens qui m'ont tout l'air de ne rien comprendre aux causes de ce qui leur tombe sur la tête.
Cela dit si le livre de Frédéric Martel vient à son heure pour panser les blessures qu'on eut à supporter les gays de la part de la secte romaine, il faut raison garder. Le vrai problème n'est pas dans ce qui risque de se solder par un naufrage mais bien dans la tournure excessivement totalitaire qu'à prise notre République devenue une véritable dictature militaire. Cela dit quoique beaucoup plus redoutable, cette évolution calamiteuse qui à conduit un jeune Narcisse à donner l'ordre de faire le plus de mal possible aux "Gilets jaunes" est chose infiniment plus grave et infiniment plus menaçantes que les dérives sexuelles de l'élite catholique.
Les parents qui ont pris le risque de confier leurs enfants à cette organisation ne peuvent s'en prendre qu'à eux. C'est uniquement leur idolâtrie envers cette église qui les a aveuglé en les empêchant de faire poursuivre les abus quand il en était encore temps. On peut être au moins assuré d'une chose c'est que le livre de Frédéric Martel devrait rendre impossible toute poursuite des horreurs qui ont été dénoncée. De quelque point de vue auquel on veuille se placer, il n'en peut résulter que des conséquences nécessairement positives. Et si on tient à garder la foi, il faut se souvenir qu'il est recommandé de toujours s'adresser directement au bon Dieu qu'à ses saints ! Et si on n'a pas confiance du tout, il faut commencer à ne faire confiance qu'à notre propre discernement.
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