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François Bergoglio, un pape hautement "toxique"

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Tout le monde aura remarqué ce phénomène montrant à quel point le Bergoglio est un personnage trouble puisqu'à peine 5 minutes après qu'il se soit prononcé en faveur de la possibilité d'unions purement civiles pour les homo, les gardiens de la doctrine se sont empressés de lui administrer une claque particulièrement sonore, ce qui montre à quel point la secte romaine est divisée contre elle même. Mais je m'empresse de préciser que ce n'est pas là l'important, c'est pour ainsi dire assez purement anecdotique car la véritable toxicité du pape actuel réside dans son abandon de l'Europe. Ce continent étant assez franchement déchristianisé, il a décidé de l'abandonner à son triste sort et même de favoriser, traîtreusement, il faut bien le souligner et l'Afrique et même la Chine en tirant, bien sûr des plans sur la comète.

Haute toxicité pro immigrationniste et anti européenne

Cette haute toxicité s'est exprimée dans une encyclique récente qui postule que toute personne dispose de droit d'aller vivre où bon lui semble que cela plaise ou non aux indigènes (européens bien sûr) que ces immigrés migrants sont évidemment susceptibles de PARASITER dans la majorité des cas.

Cette toxicité a fait, m'a t-on dit, l'objet d'une attaque en règle de la part du duo formé sur Cnews par Erice Zemmour et Michel Onfray, ce dernier ayant confié à Chantal Delsol le soin de la condamner dans le n° 4 de sa revue Front Populaire.

Je n'ai malheureusement trouvé aucun replay de cette concertation qui n'a laissé derrière elle qu'un extrait de moins de 3 minutes et un fort court commentaire sur Valeurs actuelles. C'est sur Sputnik que semble se trouver le meilleur résumé de cette prise de position conjointe :

https://fr.sputniknews.com/politique-francaise/202103271045407132-le-pape-francois-naime-pas-leurope-il-naime-pas-la-france-selon-eric-zemmour/

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Un seul a trouvé à l'époque ce projet de visite dangereux c'est l'ancien pape devenu démissionnaire mais seulement pour des raisons de sécurité, sanitaires en particulier, je cite :

Le pape émérite Benoît XVI, reclus dans un monastère du Vatican depuis sa démission voilà huit ans a critiqué le voyage en Irak de son successeur, le pape François, dans un entretien au quotidien Il Corriere della Sera lundi. «Je crois que c’est un voyage très important», a estimé l’ex-pape de 93 ans, «malheureusement il tombe à un moment très difficile qui rend aussi son voyage dangereux: pour des raisons de sécurité et à cause du Covid. Et puis il y a la situation irakienne instable. J’accompagnerai François avec mes prières», a ajouté le pape émérite allemand, qui s’exprimait avec un petit filet de voix selon le journaliste qui l’a interviewé.

Lamentable !

Mon point de vue est tout autre car si l'expédition s'est avérée critiquable c'est qu'en Irak et en Syrie, il n'y a guère de catholiques et de mon point de vue la christianisme ne vaut vraiment que par sa partie restée orthodoxe. L'expédition n'est donc qu'une aventure assez purement démagogique qui s'inscrit dans le même cadre que sa propagande pro immigrationniste.

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Et à ce propos il faut se souvenir que le pape François a pris position contre la menace qu'est censée représenter la possibilité pour la dissidente de l'ex Front National au deuxième tour et d'y supplanter le président actuel. Il va sans dire que si je n'éprouve aucune sympathie pour cette femme il est cependant bien clair que si elle devait se retrouver présidente, elle ne pourrait qu'être infiniment moins toxique qu'un retour en force de l'actuel occupant de l'Elysée.

Redécouvrez la face cachée du Pape François

Je profite de l'occasion pour vous inviter à relire l'article suivant qui remonte à janvier 2020 :

http://dossierschuonguenonislam.blogspirit.com/archive/2019/04/13/parution-d-un-livre-intitule-le-pape-dictateur-par-un-certai-3136738.html

Dans cet article, je rappelle qu'il est question de la complicité du pape actuel à l'égard d'un certain Mgr Pagli et de la fresque blasphématoire car très homo-érotique qu'il avait commandée à un artiste argentin.

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Force est de constater que les diverses manifestations assez franchement démagogiques au bénéfice des "gays" du pape actuel pose un sérieux problème dans la mesure où l'on est obligé de se demander à quoi cela rime dans la mesure où, sa dernière initiative, ne pouvait guère que susciter une réaction diamétralement opposée. On sait que Bergoglio aurait été élu grâce aux manigances de la "maffia de St Gall", un mouvement assez réformiste à l'intérieur du catholicisme tant en ce qui concerne le sort des divorcés et l'homosexualité quoique sur ce dernier point ses idées n'ont rien de vraiment révolutionnaires à proprement parler. Sa thèse est qu'il s'agit d'un fait de nature et non de choix ce qui est parfaitement exact quoique qu'il est évidemment préférable, pour s'en sortir au mieux, d'adhérer à notre propre nature et de faire avec en la faisant servir au mieux.

Quoiqu'il en soit des visées de cette "maffia", elle s'est appuyée sur un candidat assez parfaitement incohérent et qui est surtout connu pour posséder un tempérament susceptible de le pousser plus ou moins occasionnellement non seulement à des grossièretés des plus vulgaires (insultes et comportement peu chrétiens) mais des initiatives beaucoup plus graves à savoir sa traîtrise à l'égard de l'Europe certes largement post chrétienne.

Quelques mots sur l'ouverture ratés aux "unions civiles" de couples homos

Le PACS a la française remonte à 1999, soit presque le temps d'une génération. Le développement des "unions civiles" ou des mariages de même sexe a commencé deux ans plus tard. Il est clair que la prise de position du pape François non seulement arrive beaucoup trop tard car c'est dès la fin du siècle dernier qu'il aurait fallu encourager la possibilité d'unions purement civiles afin d'éviter l'horrible parodie que constitue ce qui a cours chez nous sous l’appellation de "mariage pour tous". Je rappelle, à toutes fins utiles, que le désir des "homos" d'imiter et même forcément de singer le mariage bourgeois n'aurait jamais pris sans l'apparition préalable d'une nouvelle peste sexuelle (Sida) doublée d'une très maléfique crise économique. je rappelle à ce propos que la première crise date de 1907, suivi de la crise de 1929, on ne retiens ensuite que celle de 2008 mais en fait une dizaine jusqu'en 2000-2001 avec l'éclatement de la "bulle internet". Comme quoi le PACS et le premier mariage homo coïncide avec une crise économique majeure de l'Occident qui a forcément joué sur le mental des contemporains.

Concernant le sort fait aux "homos" tout commence avec l'interdit du Lévitique par une déité assez purement tribale réputée pour sa jalousie et qui se devait d'interdire toute déperdition de semence afin de multiplier ses dévots. Un "dieu" qui ne peut avoir le moindre rapport avec la divinité d'amour que revendique le christianisme. L'influence positive et surtout réaliste de la Rome antique a fait que jusqu'au XIIIème siècle, il n'y a pas vraiment eu de persécutions bien que l'inscription des bûchers dans la loi romaine est bien antérieure aux innovations de l'époque où le concept de "sodomie" a finalement amalgamés toutes sortes de travers y compris des manquement non sexuels.

On ne m'ôtera pas de l'esprit qu'en fait, non seulement les monothéismes et en particulier le catholicisme paient pour avoir porté leurs excès en matière de répression sexuelle à un véritable point d'incandescence. Le résultat, nous le connaissons : les "homos" et leur désir subit de convoler bourgeoisement sont ridicules et c'est seulement ça qui est vraiment contre leur propre nature. Que la crise sanitaire et la crise économique cessent par magie et ils réaliseront à quel point cette volonté de se "normaliser" était franchement incohérente.

En vérité toutes les religions excessivement patriarcales voir à tendance a sexuelle ne produisent et ne favorisent que des "anomalies".

Les "sexualités bouddhiques" et la "sanctification" quasi "canonique" de la "voie des éphèbes"

J'invite ceux que cela intéresse à consulter le livre de Bernard Faure non pas parce que le bouddhisme chinois et surtout japonais ont opté dans leur cadre monastique en faveur d'une forme de "pédérastie". C'est je le répète une anomalie car la perspective monastique telle que la conçoit le bouddhisme implique de limiter au maximum tout ce qui peut conduire à une addiction à l'égard de l'une ou l'autre des passions pouvant être engendrées par l'un ou l'autre de nos 5 sens, l'exercice de la sexualité mettant en jeu la totalité de ces sens avec un accent particulier sur une forme particulièrement de "toucher interne" très attractif...

Le paradoxe est que d'après l'auteur, ce serait les moines et non la caste guerrière qui aurait donné le ton à toute la société japonaise en matière d'amour des garçons. Ce qui est sûr c'est que les moines qui ont cessé à l'attrait de cette partie de l'humanité se sont donnés comme "saint patron" un véritable bodhisattva. Mais je ne suis pas sûr que Faure ait raison d'imputer cette corruption à la gent monastique. Je pense pour ma part qu'il est assez clair que la "pédérastie" est, si l'on peut dire, un apanage de la gent guerrière néanmoins dans le cas du bouddhisme la misogynie que laquelle il a prospéré a fait au moins autant qu'une influence de la gent guerrière... Et il est sans intérêt de déterminer si ce sont bien les moines qui ont donné le la...

Ce qui est dur c'est qu'on est, avec la "pédérastie monastique" en pleine contradiction avec l'économie de moyens qui est à la base de toute profession monastique. Finalement qu'il s'agisse de la "pédophilie" en milieu chrétien et particulièrement romain ou de la "pédérastie" des moines japonais, elle procèdent de la même cause, à savoir une diabolisation systématique de la Femme. Sauf que dans un cas, celui du Vatican ça reste une transgression réputée diabolique et dans l'autre un sommet dans le raffinement. La seule chose qui change dans le fond c'est que les milieux porteurs de ces dérapages sont foncièrement antinomiques quand à leur valorisation/dévalorisation de la sexualité en général. Côté indien et asiatique c'est un réalisme assez positif qui a prévalu tandis que de l'autre un dualisme inextricable avait fini par intoxiquer de longue date toute la société civile et en dépit des récentes évolutions des mœurs on sent bien que rien ne s'est arrangé. Tout ce qui relève en réalité de la "pédérastie" plus que d'une "pédophilie" assez purement névrotique reste chose taboue.

Que tirer de ces exemples parfaitement opposés

J'insiste sur le fait que je ne suis pas en train de valoriser le modèle bouddhique dans sa version japonaise puisque j'affirme qu'il s'agit, du point de vue monastique d'une anomalie. Il faut bien comprendre que si l'on estime que le fait de préférer les garçons (ou du moins les hommes jeunes) aux femmes est choses légitime s'enfermer dans un monastère pour pouvoir s'adonner à ce "sport" ne peut être considéré que comme une pure absurdité.

Je ne peux constater qu'une chose c'est que les religions n'ont que trop tendance à conduire justement, par leur excès, à des absurdités parfois assez franchement contradictoires mais qui relève malgré tout du même type de folie.

Il n'existe nulle part de religion ou de tradition qui ait su gérer tout ce qui relève de la sexualité sauf peut-être en Chine où l'accent mise sur l'interdépendance du Yin et du Yang constitue en soi une approche non dualiste. C'est assurément la Chine qui dans un domaine plus général a produit la meilleure médecine du monde et je me trouve être assez bien placé pour en avoir expérimenté quoique de façon forcément limitée l'efficacité sans pareille. Cela dit l'art chinois et le ritualisme d'une certaine culture ad hoc n'a jamais exercé d'attrait irrésistible sur mon esprit, je reste un européen pure souche et tout ce qui relève de l'exotisme. Et en matière de sexualité il n'existe pas d'autre solutions que de consentir à faire la part du feu de sorte que le traitement qu'en font les religions n'a que trop tendance à conduire à diverses formes de folies. Mes positions dans ce domaines sont essentiellement et assez purement pragmatiques et toutes les théorisations même apparemment dégagées de l'influence du monothéisme ne conduisent qu'à des innovations plus ou moins toxiques. Et l'équilibre restera à jamais hors de portée pour la majorité des individus contemporains...

Force est de constater que les dérapages catastrophiques de la religion romaine en cette matière devrait avoir un effet assez libératoire mais cela suppose un recul culturel qui n'est pas à la portée du premier venu. La totalité du moralisme purement civique reste largement empoisonnée par la toxicité plus ou moins tardive du christianisme à l'égard de toute espèce de sexualité.

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