MAF : il y a plusieurs mois que je n'ai pas passé la frontière italienne pour aller faire mes courses à Latte. On me dit qu'il n'y a plus de gardes italiens armés de mitraillettes à la frontière mentonnaise, que des pancartes sont affichées sur l'autoroute avec "attention aux piétons" et que des camions (polonais) bâchés font la navette pour ramener des migrants à Breil ou à Sospel. De temps en temps des gendarmes font des barrages de contrôle à des points de passages comme le col de Nice. Donc en fait, les passages seraient parfaitement libres. Donc on se fout du monde dans les grandes largeurs et la situation est totalement incohérente. Il faut se résoudre finalement à compter sur des naufrages catastrophiques pour endiguer le flot des migrants. Voilà exactement où nous en sommes...
Ce jour deux affaires passionnent les français : c'est d'une part, celle d'un militant de la vallée de la Roya, Cédric Hérou, qui se présente comme un "passeur citoyen" et a été sacré "azuréen de l'année" par Nice-Putain, le torchon local, et d'autre part, le rebondissement tout récent des exécutions de terroristes autorisées, voir ordonnées par l'actuel Président.
Concernant ces dernières, ce n'est sûrement pas ce que l'actuel locataire de l'Elysée a fait de pire ! De deux choses l'unes, ou bien l'on s'abstient d'aller faire la guère en Syrie pour le compte et aux bénéfice des Américains qui ont un plan de captage des ressources de la région et l'on se contente de fait en sorte que la justice fasse son job, l'inconvénient étant que dans le cas d'actes terroristes, elle se trouve souvent contrainte de n'intervenir que quand le mal est fait. Quoiqu'il en soit, que le président ait couvert 4 exécutions, ou 40, en aurait-il couvert 400 qu'il ne mériterait pas la moindre opprobre.
Nous sommes, dit-on, en guerre ! Alors dans ces conditions, à partir du moment où il est établi que tel ou tel individu est susceptible de provoquer la mort de plusieurs voir plusieurs centaines de civils, et que d'autre part de tels êtres sont totalement insensibles à la détresse qu'ils sont susceptibles d'engendrer, il est parfaitement licite de leur coller une balle dans la tête sans aucune sommation, dès lors que la possibilité s'en présente.
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