Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Depardieu et Matzneff (le débaucheur mégalo) assignés à comparaître devant le nouvel "Ordre moral sexuel"

Depardieu.JPG

Je n'éprouve aucune sympathie particulière envers Depardieu qu'il s'agisse de l'homme ou de ses incarnations cinématographiques.

Néanmoins, on est en droit de trouver singulier qu'une femme ayant consenti à une "pénétration digitale" au RdeC ait accepté de suivre l'auteur de ce "préliminaire"  l'étage ce personnage, pour, ensuite, l'accuser de viol. Je sais que les Russes l'aiment bien et l'aurait adopté (à moins que je ne sois en retard d'un épisode) mais Sputnik n'a pas pu inventer çà.

En ce qui concerne Matzneff, on découvre en suivant certains liens que ce serait un faux orthodoxe et une sorte de marrane car en vérité il serait juif et on a même rapporté la preuve que sa mère aurait été internée dans un camp nazi. En partie parce que notre exhibitionniste a publié sa généalogie sur geneanet. Si j'ai bien compris l'article de Rivarol qui m'est tombé sous la patte en cherchant autre chose concernant Guénon, Matznef (Matz désignant le pain azyme) se serait projeté dans le personnage de Cyrille Razvratcheff (le débaucheur en chef) dans une Lettre au capitaine Brunner.

La question se pose surtout de savoir pourquoi certains milieux littéraires et politiques droitistes voire extrême-droitiste ont pu aduler ce personnage gerbant. Gerbant car étaler ses conquêtes sexuelles, non pas seulement de filles déjà bien pubères mais de garçonnets en herbe, est quelque chose d'impensable. L'article que j'évoque le comparant à Epstein.

Quant à l'affaire "Spinquelquechose" (Springora ??) on sait que la mère à encouragé la fille à se jeter dans les bras de ce Monsieur qu'elle jugeait huppé. Enfin le voilà bien puni : Gallimerde qui a fait du fric avec sa prose narcissique l'a lâché en rase campagne et plus aucun éditeur n'en veut. Résultat : il est obligé de publier sa défense à compte d'auteur à 100 € l'exemplaire ordinaire et 650€ ceux revêtu de sa puante signature autographe ! Ce sale type ne doute vraiment de rien !

Bref, la psychopathologie sexuelle d'une élite complètement dépravée entraîne aujourd'hui des "retours de bâtons" des plus mémorables. Mais tout cela empoisonne l'atmosphère et suscite la tentation d'innovation juridiquement impossible. Je regrette mais instituer un âge légal de consentement sexuel en dessous duquel la relation serait assimilée à un viol équivaut à introduire dans le droit français une présomption de culpabilité ce qui est impensable ! Et c'est l'ex avocat vedette, ce gros c...... devenu "garde de sceaux" qui ose cette révolution. Dans ma grande naïveté je pensais que cet âge de consentement avait été fixé par la Mite errante à 15 ans, et je note du reste qu'en plus des  magistrats recourt à l'argument de "soustraction à l'autorité parentale" au delà de 15 ans pour poursuivre un "gay" comme je l'ai vu pour un type que j'ai croisé et qui m'en a parlé en apprenant que j'avais fait du droit. Le jeune était devenu un peu vagabond et ses parents s'en foutaient.

Un ami, également juriste, très familier des procédures en Conseil d'Etat m'a dit que ça ne pourra jamais marcher. D'avoir atteint un âge canonique où les "bagatelles" on cessé d'être vraiment inspirantes, ça fait des vacances ! Malheureusement, vu la sinistre morosité multifactorielle ambiante le repos qu'on peut en tirer s'avère des plus relatifs.

Les commentaires sont fermés.