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Obsession de la "pédophilie" et détresse des jeunes

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J'ai annoncé la publication d'un texte de Paul de Métairy sur le sujet. Il est mieux placé que moi pour en parler car il a été le témoin d'une histoire dramatique, celle d'un certain Lucas et d'un petit kabyle nommé Saïd, soit un jeune algérien de 15 ans envoyé par le GIA (groupe islamiste armé) pour le trucider à cause d'une chanson de Lucas qui ne leur a pas plu.

Le jeune Lucas qui n'avait pas une grande idée de la vie qu'il menait a accepté de se sacrifier pour que le môme et sa famille ne soient pas décimés. Il y a dans l'histoire une sollicitation de Saïd pour petit épisode d'attouchements (non filmé, désolé !) qui fait qu'en France et en France seulement le film a donné lieu à des réactions d'une hostilité et d'une méchanceté incroyables alors qu'il a été primé dans les festivals de divers pays y compris en Asie et invité par l'Université de Lincoln (UK).

Lire le texte de Paul de Metairy sur la détresse des jeunes

Ensuite seulement vous pourrez lire mes commentaires.

Un phénomène démoniaque propre à la France

Le rejet du film en France est à rapprocher de l'hystérie des militants cathos à tendance intégristes à l'égard du "mariage pour tous" à la française. Or en Belgique, depuis une douzaine d'année et en Espagne également, pays, à bien des égards, plus catholiques que la France, les réactions se sont calmées très rapidement. Chercher l'erreur...

Explication : la France est infesté de démons assez particuliers que l'on retrouve partout ailleurs et que je traque mais ils sont particulièrement redoutables. Marion Sigaut étant l'une des "possédées" parmi les plus visibles...

Sur le scénario du film

Ce qui me gêne un peu dans le scénario du film, c'est le caractère hétérodoxe du complément post mortem ajouté à l'histoire vraie et le manque d'effets spéciaux pour en rendre le caractère mais ce n'est important.

Je parlais des "démons" français qui ont empêché sa réception. Pour comprendre, il faut discerner pourquoi aux USA, en Angleterre le film a suscité des réactions normales, c'est à dire positives. C'est que l'attitude de ces pays à l'égard des enfants est plus proche de celle que nous avons connu dans les années 50.

La politesse suisse comme "marqueur" de mentalité différente

Je l'ai compris touchée du doigt cette différence d'ambiance en téléphonant en Suisse notamment à des laboratoires fabriquant certains remèdes interdits en France. Vous êtes reçu aimablement par des dames charmantes et très polies qui vous passent le cas échéant le pharmacien responsable même si vous n'êtes pas médecin et on vous envoie la "doc".

En France, quand on veut s'informer on est presque partout reçu comme un chien dans un jeu de quilles ou on vous assomme de boniments qui ne tiennent pas la route plus de 10 secondes, et si vous contestez, on vous raccroche au nez ou même on vous insulte.

L'administration, vous savez comment ça se passe : il y a d'abord le cap des robots téléphoniques à franchir et quand on parvient au terme du parcours du combattant, c'est encore Kafka en version non virtuelle cette fois.

Un choix d'exemple non exhaustifs, quelques compléments

Du fait de la "mentalité fracturée" par la trop fameuse révolution française, en France, sans doute plus qu'ailleurs l'obsession de la "pédophilie" y fait les ravages les plus considérables. Des exemples, je pourrais en ajouter bien d'autres au texte de Paul de Metairy concernant les adolescents.

Je pense en particulier au cas des apprentis chez les artisans. A la campagne, on peut encore observer une survivance de ce que les sociologues rangent dans la catégorie assez négative du "paternalisme" car dans la perspective il est synonyme d'exploitation. "Lutte des classes" oblige qui est devenue "lutte des âges"...

Quand un artisan engage un apprenti ou un aide, il faut bien que ce soit sa fibre paternelle qui le pousse à consacrer du temps et de l'énergie à le former. Cela ne peut marcher que si le jeune exerce plus ou moins consciemment son éventuelle séduction sur le patron. Il faut qu'il soit de bonne humeur, rieur et donne par des marques discrètes de reconnaissance.

Si le patron est marié et a des enfants, il peut marquer son affection comme s'il s'agissait d'un fils (petit cadeau d'encouragement), il a un "alibi" qui le protège en principe des soupçons éventuels de "pédophilie" mais s'il est célibataire, certes il peut trouver dans son patronat un moyen de compenser sa solitude. Mais attention danger ! Il risque, sans aller jusqu'à s'amouracher de son apprenti, de trop en faire. Donc s'il est clairvoyant et prudent, il devra être sur ses gardes et afficher une certaine froideur. Au cas où il serait trop familier, un jeune futé peut s'en apercevoir et devenir un peu "truqueur", voir simuler des avances et finalement piéger son aîné et le cas échant le faire chanter ou du moins avoir barre sur lui.

Le cas des professeurs particulier

Le problème est le même pour un professeur donnant des leçons particulières. J'aimerais avoir un ou deux élèves. Fort heureusement, il n'y a pas de candidat possible à moins de 50 ou 100 km à la ronde car je pratique deux instruments qui ne sont pas populaires et il ne saurait être question de donner des leçons de solfège à des mômes. Ce que j'apprécierai c'est de donner des cours genre quasi master class à des jeunes ayant déjà un minimum de technique.

Mais à supposer qu'une occasion, fort improbable au demeurant, se présentait, immédiatement on ferait courir des rumeurs. La seule alternative, serait de filmer en vidéos les cours pour pouvoir le cas échéant se défendre en cas d'attaque ou encore de prendre un témoin. Si c'est un garçon, d'exiger que sa copine soit présente. Bref, il est des tas de choses qui deviennent inenvisageables et si la possibilité d'une relation de confiance n'existe plus, l'abstention pure et simple est hautement recommandable.

Je suis convaincu qu'il existe des centaines et même des milliers de "vieux" qui voudraient se rendre utiles aux jeunes et qui y ont renoncé parce qu'ils crèvent de frousse à l'idée des situations fausses que leurs initiatives pourraient susciter.

Pour ce qui me concerne, je n'ai rien à offrir aux enfants. Je me rappelle avoir fait un saut dans la famille pendant les vacances. Ma plus jeune sœur m'a demandé d'aider son fils Johan à faire ses devoirs de vacances. J'ai vite renoncé. Il était adorable mais il ne tenait pas en place. Il n'y a guère que la mécanique qui l'intéresse. Difficile de lui faire retenir la différence entre un fleuve et une rivière. Il s'en foutait et il avait, ma foi, bien raison... 

Je l'ai eu une semaine en vacances. Avec les visites à Marineland, il m'a coûté bonbon. Il est de la campagne, là où il a grandi, les voitures sont rares. Donc quand on traversait une rue, je le prenait par la main. Que croyez-vous qu'il m'ait répondu : tu me prends pas la main, ça fait "pédé" ! Il s'est échappé en riant et a failli passer sous un bus, car dans la ville de merde où je demeure, il est des bus qui par rapport aux voitures, circulent à contre sens ! J'ai connu sans doute la plus grande frayeur de ma vie et j'étais furax après les technocrates car parmi les ingénieurs type "Ponts et chaussées", il en est qui font de ces conneries accidentogènes. Il faudrait bien en flinguer une demi-douzaine de temps en temps après jugement expéditif pour l'exemple.  

J'arrête là ma démonstration, c'est amplement suffisant. A présent, vous allez sur Google et vous tapez pédophilie obsession dessins : vous trouverez plus loin un échantillonnage de ce que cela donne.

Une idée de l'infini

J'ajouterai pour terminer que quand il s'agit d'adolescents ayant largement dépassé l'âge de raison, je me contrefiche de leur sort car s'ils sont incapables de faire la part des choses, c'est qu'ils sont bêtes, voir méchants alors qu'ils se débrouillent et nous foutent la paix à nous autres qui avons vécu avant mai 68 !

Einstein a déclaré que pour avoir une idée potable de ce qu'est l'infini, il suffit d'essayer de sonder l'étendue de la bêtise humaine.

Koans élémentaires

Quand à savoir si la méchanceté précède la bêtise ou l'inverse, il en va comme de la "nature" et la "culture" dans le cas de l'homosexualité ainsi que de la poule et de l'oeuf quant à l'ordre de préséance. Ces choses là sont inséparables et on crée des faux problèmes en voulant les dissocier. Ce sont des koans des plus élémentaires...  Quant à tous ces sinistres connards de post guénoniens qui prétendent à une "initiation" sans avoir encore résolu ce genre d'énigme, permettez moi d'exploser de rire !

Et oui, un Jean Borella, prétendument professeur de philo alors qu'il n'aura jamais été que maître de conférence (à moins qu'on ne l'ait "professorisé" à la veille de sa retraite) en est encore à buter lamentablement sur les écueils de la philosophie naturaliste. Or quand on l'envisage sous un jour purement idéaliste ça ne peut pas coller avec la réalité animale. Il y a des animaux qui forment des couples "homophiles", je ne sais pas exactement ce qu'ils fabriquent dans l'intimité et çà ne me regarde pas.

Tandis que la perspective réaliste n'a aucunement valeur de référence puisque l'homme étant par nature un "animal essentiellement culturel", il est libre d'inventer ce qui lui convient à la condition de ne pas nuire à des intérêts vitaux et essentiels. Si vous saviez combien votre serviteur, qui n'a jamais assisté au moindre cours de philo, méprise l'engeance universitaire des philosophes surtout catholiques, vous auriez encore là une idée assez exacte de ce qu'est l'infini... C'est un mépris sans fond mais il vaut mieux ne pas s'y arrêter...

Voici des images scabreuses. Pour l'infinitude de cette rubrique veuillez consulter les moteurs qui montrent l'étendue des dégâts, là encore côté caricature la France est aux premières loges.

La remarque qui s'impose est que l'Eglise catholique est surreprésentée. Impossible de trouver un dessin significatif sur la "pédophilie" des simples enseignants de la Déséducation Nationale... Seulement des insinuations comme quoi l'Ecole publique ne serait qu'une école du vice... Ca reste à démontrer ! Trop c'est trop ! Avec ce déluge d'images, comment voudriez vous que les jeunes fassent confiance aux adultes.

Si j'etais un jeune, en voyant ces horreurs, je n'aurais plus envie d'aller ni à l'école, ni à l'église, ni dans un club sportif...

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