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Z.clebs et le retour du Gourdin

corbeau_bleu-3-26109.jpgOn me permettra d'user du même style "labyrinthique" que Z.clebs pour parler de son blog. J'ai mes raisons pour cela.

Z.clebs un "suiveur" ou du moins un observateur de longue date

Z.clebs est une vieille connaissance de votre serviteur. Il l'a suivi depuis ses débuts alors qu'il avait choisi un des meubles végétaux de son blason et en l'occurrence un arbre d'immortalité qu'à ce titre on rencontre dans les cimetières. Isikquemadevu le vilain dragon marécageux, de jalousie, l'a poursuivi de sa vindicte et en a fait "6 rats pissent".

C'est ainsi qu'en se prenant pour un grand sorcier et en croyant pouvoir faire de la magie noire en inversant les syllabes., il a fini par s'attirer un choc en retour qui fut d'une brutalité inouïe. Ce russophile a fait une mauvaise pioche en misant sur un garçon polonais comme escort boy car il existe une solide tradition de conflit entre la Pologne et la Russie. Ce qui devait arriver arriva : le polack l'a vendu. Quel con cet Isik ! Voir le dossier correspondant.

Redécouverte

C'est en cherchant à évaluer l'indexation des billets de ce blog que je suis tombé de nouveau sur le blog de Z.clebs. Il y a longtemps, j'avais fini par découvrir sa véritable identité en consultant le Whois de son site. J'avais même trouvé son n° de téléphone.

BourreauWeb.jpegJ'ai vu qu'il avait salué mon retour en juin 2016 comme un événement heureux. Palchine pouvant se traduire par "bourreau, gourdin". Les victimes étant une partie de la postérité spirituelle de Guénon

Son style étant hyper crypté, ne comprenant pas tout, loin s'en faut, je ne suis décidé finalement à recourir au bigophone pour qu'il m'explique. Je savais que nous aurions un bon contact car en dépit du fait qu'il disait s'attendre à des "rugissements" si nous venions à parler musicologie, il a laissé percer une certaine sympathie au travers de ses propos toujours mi-figue mi-raisin. Nous avons longuement parlé et il m'a laissé entendre qu'il souhaitait que j'établisse un pont entre nos deux blogs. Ce que Aurore, sa moitié, a confirmé en choisissant une belle image symbolique, savoir le "pont Alexandre" (III). 

On souhaitait une avenue, je m'en tiendrai à un "jeu de pistes", c'est plus drôle, des poursuivants trop importuns pouvant se lasser de chercher. Et de toutes façons s'il arrivaient à bon port, il leur faudrait d'accrocher pour progresser.

Guénon ou le "Vieux chat"

chat-kendo.jpgSur ce blog Guénon est figuré par le personnage d'un "Vieux chat". J'ai pensé que c'était une allusion au chat de Guénon mais en fait il s'agit d'un clin d'œil envers un personnage bien connu des praticiens des arts martiaux, sa plume aiguisée remplaçant l'épée.

Sinon en cherchant dans mon logiciel à relier l'islam et chat, je n'avais trouvé que Muezza, la chatte du prophète qui a peut être existé, toutefois l'histoire de la "manche coupée" en islam est un emprunt assez franchement incongru à une histoire de minet à deux pattes, adoré d'un empereur chinois.

Laquelle par dérivation à sans doute donne en France les "marquis de la manchette" (pédérastes) que Littré, en 1872 met en rapport avec la mendicité. Ainsi quand les symboles non fondamentaux voyage d'un milieu psychique ethnique à un autre milieu psychique ethnique, ça donne des choses plutôt bizarres. Passons...

Sur Frithjof Schuon ou le "Grand Fatigué"

Je signale également que puisqu'il n'y a pas eu de Guénon sans qu'un Schuon ne survienne dans son sillage, le Grand Emplumé chez z.Clebs est dépeint sous le surnom de Grand Fatigué. Détail méritant une petite explication : si z.clebs a fait semblant de déplorer une curieuse enquête de police à propos de Schuon, c'est surtout parce que ce qui lui a paru remarquable, c'est que l'on perçoit chez cet auteur, un ras le bol de la mentalité sémitique, des arabes et même de Ibn Arabi en personne qu'il s'est permis de critiquer. Ce détail m'avait échappé, en revanche je savais le reste du moins assez vaguement. Mais était-ce une raison pour inventer, sur le dos des pauvres Peaux-Rouges, une danse innovante autour d'un Schuon à poil et à plumes, surtout qu'à certains détails donnés par Koslow, on peut deviner que Frithjof, il avait le "zizi" passablement ramolli depuis assez longtemps. je parle d'une version très privée.

A ce propos, j'ouvre une petite parenthèse pour souligner, qu'il faut, pour comprendre l'histoire, bien réaliser qu'il y eut deux styles de sauteries au son des tambours indiens. Savoir un mode indoor pour quelques élues, les mecs faisant tapisserie dans un cercle assez extérieur et un mode outdoor, pour tromper l'ennemi et les touristes. Koslow n'a pas eu accès au mode indoor ainsi que les mineur(e)s et quand à la version in the garden, il n'y a pas eu de quoi fouetter un chat... le côté dénudé étant fort relatif...

Je passe une petit annonce pour signaler que z.clebs cherche un relecteur, pas trop guénonien m'a t-il dit, pour examiner son Jésus kabbaliste et lui faire d'éventuelles observations. Il a des connaissances sur l'alphabet arabe et l'alphabet hébreu que je n'ai pas. Je lirai volontiers ce travail mais pas maintenant car il faut que je me dépatouille de ma critique des divagations délirantes de la Marion Sigaut en essayant de rendre mes analyses, éventuellement en réorganisant mes observations afin de les rendre aussi digestes que possible, l'anorexie mentale étant fort répandue.

Divergences musicologiques sur le pythagorisme

rubon34.jpgIl me faudrait également parler de musique puisque z.clebs s'est beaucoup intéressé à mon livre. Je vois que le seul exemplaire qui me reste est en balade. Raison de plus pour abréger : je signale (ou je rappelle) que le plus important, le message si l'on veut, se trouve dans les toutes premières pages et doit faire à peine 3 ou 4 lignes. Il est relatif à une curieuse synchronicité datant du XIIIème siècle, à savoir que l'irruption de la tierce pure au détriment de la quinte pythagoricienne, correspond à une obsession de pureté. Le problème n'est pas tant que cela à produit des monstres, comme tels non viables (savoir les gammes dites "naturelles") mais que cela est contemporain d'une obsession concomitante du domaine de la théologie morale. Et au bout du compte, c'est encore ce qui est à la racine même des préoccupations d'un Marion Sigaut.

Pour le reste : il faut comprendre que le système pythagoricien repose sur un principe unique : un enchaînement de quintes pures. Ramenées dans l'octave cela à donné des micro intervalles et il est évident que si c'est un élément qui confère de la couleur aux musiques traditionnelles, il n'est pas nécessaire de compliquer; Le problème est que les "modes" ne sont pas seulement une échelle musicale de référence. Est-ce que l'on peut aller au delà cet élément de définition en partant des 8 modes byzantins que z.clebs a pratiqués, je n'en sais fichtre rien. Jacques Chailley a parlé d'imbroglio à très juste titre. Tout ce que j'ai pu constater c'est qu'il est impardonnable d'être tombé dans le panneau de la théorie de la résonnance car elle n'est pas "naturelle" puisqu'elle repose sur des bases artificielle. Non seulement quand il y a un "loup" dans une corde à piano ou dans une cloche, ça ne fonctionne plus et de toutes façon dès qu'on arrive à l'harmonique 7 ça coince.

Ce que j'ai lu de notre auteur se trouve dans des pages Web en l'honneur de Jean Robin et j'ai vu qu'il y a des choses qui ne collent pas. J'ai évoqué ça dans mon papier sur Jean Robin de la série "postérité de René Guénon". Simplement, il ne peut pas y avoir de "dualité" entre dièses et bémol. Ou du moins la dualité n'est qu'apparente. Elle ne paraît exister que parce qu'ils sont confondus sur un clavier de piano, il n'existe qu'une touche pour les 2. Le B moll est un B dur, soit un Si naturel abaissé d'un demi ton. Mais à l'origine le mode de production est le même : un cycle ouvert et infini de quintes. De toutes façons, dans l'armure d'une ligne de musique on ne mélange jamais dièzes et bémols ! 

C'est le sens dans lequel on envisage le cycle qui détermine les uns et les autres. En fait l'apparence confrontation n'existe que si l'on juxtapose un cycle montant de quintes à partir d'une extrémité de l'octave et un cycle descendant à partir de l'autre extrémité. Mais quoiqu'il en soit dans une échelle modale, on ne mélange jamais les sens. Dans la musique grecque on accolait deux tétracordes forcément diatoniques. Le "chromatisme" est une notions tardive et assez purement baroque.

Le concept d'altérations est faux dans cette perspective. C'est une illusion purement pianistique. Les touches noires font une moyenne qui en fait ne correspond à rien puisque le tempérament égal est une simple division arythmétique de l'octave totalement étrangère au pythagorisme. Certes si on figure, dans un système de référence consistant en une division multiple de l'octave (micro intervalles), dans cette perspective seulement, les bémol sont un poil plus bas que les dièses. Mais je répète que dans une composition on ne mélange jamais les deux, donc il n'y aucune raison de les opposer.

Il faut oublier les erreurs de perspectives engendrées par les limites d'un piano. On a tenté de multiplier les feintes sur les instruments à claviers avec même des doubles feintes mais on sort complètement du pythagorisme. C'est pas interdit mais c'est autre chose ! Et sur le plan théorique c'est du "n'importe quoi".

    

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