Je pense avoir largement fait le tour des points de l'oeuvre de René Guénon qui justifiaient une approche pour le moins prudente vois relativement distante.
Les scandales inhérents à l'imposture de Frithjof Schuon ont été "investigués" de façon exhaustive, il s'agit d'histoire ancienne...
Les deux dernières revues d'inspiration plus ou moins "guénonolâtre" se sont plus qu’essoufflées. Il n'est évidemment pas question d'opter pour une mise en cause de la tournure du monde actuel façon "café du commerce" revisitée façon "médias alternatif" post Gilets jaunes et Postcovideries mais cette présentation se devait d'être assouplie dans la mesure où je me suis libéré du style d'emprise que j'ai dénoncée.
Je n'ai du reste pas eu à me "libérer" de quoique ce soit, je l'ai toujours été de manière subconsciente, il s'agissait de simplement formaliser la chose.
Étant seul maître à bord, je n'ai pas à m’embarrasser d'un ministre ou d'un collaborateur plus ou moins "cornu". Toutefois étant soucieux de reprendre un peu de service, une déclaration quant à la "politique" que j'envisage de mettre en œuvre n'est pas superflu...
Une dernière question pseudo "traditionnelle" à mon avis reste à résoudre dont je viens seulement de prendre conscience...
"La religion de la Dame" selon Laurent Guyénot : une question à élucider !
Et si j'ai l'intention d'essayer de mettre en valeur l'apport critique d'un Laurent Guyénot en tirant une part de la substantifique moelle de ses articles, une prestation de sa part à propos de sa célébration d'une "religion de la Dame" (antérieure à l'avènement météorique de la vogue détonante à tous égards du phénomène de l'amour courtois apparu en pleine lumière à la croisée du XIIIème siècle) me semble poser un problème sérieux.
Ces deux ouvrages et particulièrement le premier posent un sérieux problème. La mort féérique met l'accent sur l'engouement des chevaliers pour des créatures issues du monde intermédiaire... Le moins qu'on puisse dire et que ce n'était pas du tout chrétien puisque la population de ce "monde" outre des décédés comporte toutes sortes de djinns qui sans être forcément des démons constitue des êtres avec lequel tout commerce est forcément réprouvé car dangereux.
Le second ouvrage à droite est complémentaire en ce sens que les fées et les fantasmes graaliques tout cela se tient et la mythologie dont il s'agit ne me semble pas du tout "catholique"...
Cependant, il faut que j'étudie le contenu de ces ouvrages que j'en discute avec un ami, cela fait longtemps que ce genre d'histoire me bassine, et si nous sommes tombés d'accord sur certains points, il ne m'est jamais venu à l'idée d'évoquer mes soupçons à l'égard de cette recherche d'un Graal...
La légende du Graal c'est quoi au juste ?
Cela consisterait en une christianisation de légendes celtiques comme l'histoire du chaudron du dieu-druide irlandais Dagda, capable de produire une nourriture inépuisable ou de ressusciter les morts, ou encore le chaudron de connaissance de la déesse galloise Keridwen, s'agissant d'archétypes mythologiques très anciens retrouvés dans de nombreuses civilisations indo-européennes.
Le Graal, tel qu'il apparaît dans la légende arthurienne, évolue à partir de ces traditions celtiques, initialement représenté comme un plateau ou une corne d'abondance, avant d'être christianisé.
En fait la christianisation est au départ.
Joseph d’Arimathie joue un rôle fondamental dans l’histoire du Graal en servant de lien entre les Écritures et les romans du Graal, en donnant au Graal une origine biblique et en le transformant en un objet sacré lié à la Passion du Christ.
Selon les récits médiévaux, notamment ceux de Robert de Boron, Joseph d’Arimathie, un homme riche et pieux, obtient de Pilate l’autorisation d’enterrer le corps du Christ après la crucifixion.
Il utilise le vase de la Cène, qui aurait été utilisé lors du dernier repas de Jésus, pour recueillir le sang qui ruisselle des plaies du Crucifié. Ce vase devient alors le Graal, le saint vase sacré.
Après avoir été emprisonné par les autorités juives pour sa conversion au christianisme, Joseph est enfermé dans une caverne infestée de serpents. C’est là que le Christ ressuscité lui apparaît et lui remet le Graal, qui devient son unique nourriture, le protégeant pendant quarante ans.
Ce miracle établit le Graal comme un objet miraculeux, capable de nourrir, de guérir et de révéler la vérité divine.
Libéré par l’empereur Vespasien, Joseph quitte alors la Palestine, fonde une compagnie d’adeptes et crée une table en souvenir de celle de la Cène, préfigurant ainsi la Table ronde.
Pure foutaise que le mythos arimathien, ce qui m'intrigue c'est ce que vienne foutre des "fées" dans ce pathos...
Je présume que comme cela implique une approche relativement "misogyne" cela risque d'exciter les Borrela et Cie a continuer de me désigner, en coulisse, et contre toute vraisemblance comme un agent LGBTiste...
L'incident qu'a déclenché ma présence à un colloque de VLT de la part d'un prof de grec ancien répondant au cri de l'âne, je le dois à une indiscrétion du personnage ci-dessus. Et il s'est comporté par la suite d'une façon odieuse envers Henry Montaigu à cause soupçons quelque peu apparentés en le traitant de "cathare" (à moins qu'il n'ai rusé d'un terme encore plus "générique") pour stigmatiser les gens ayant répugné à se reproduire...
Petite parenthèse à propos d'une "confession" de Jean Borella
A ce propos l'universitaire nancéen (qui n'aurait jamais été qu'un simple "maître de conférence") a commis l'erreur ridicule, lors d'une "confession" (que personne ne lui a réclamée) dans un livre mettant en scène plusieurs vocations de "guénoniens" en soulignant avoir été victime de forts soupçons dont on devine aisément la teneur vu qu'il aurait beaucoup tardé à prendre femme. Vu se que j'ai pu savoir de son aventure matrimoniale, il aurait sans doute été mieux inspiré de demeurer célibataire et de se payer une simple gouvernante pour le servir... Enfin pour que cela ne lui coûte pas trop cher il eût été préférable qu'il se fasse curé et au moins çà lui aurait évité de se perdre sous la tutelle de Schuon et d'abandonner en rase campagne le "sous traitement" des "disciples" qu'il à séduit en son nom. Et pan sur le bec !
La caractère prédateur à tous égards de l'Occident est un héritage foncièrement judaïque
Le caractère prédateur au niveau mondial de l'hypercapitalisme occidental par colonialisme interposé c'est bien un prolongement du caractère excessivement dominant de la prétention des juifs à former le seul peuple élu. A ma connaissance les aptitudes bancaires de ce peuple à manier l'argent au détriment d'autrui à précédé les lettres de change des Templiers car la fortune a toujours été considérée chez ces gens là comme une preuve de faveur divine alors qu'elle indiquerait plutôt un "pacte" avec le "Diable"...
Mais enfin la hiérarchie chrétienne à sa part de responsabilité et elle est considérable puisqu'elle n'a jamais excommunié les chrétiens ayant accepté les prêts à intérêt proposés par les capitalistes juifs. Et la question se pose de savoir si accepter cette sujétion était nécessaire à un progrès quelconque. L'économie étant un sujet qui me casse les couilles, je laisse à d'uatres le soin de répondre. Je n'ai pas l'impression que quiconque se soit vraiment penché sur la question. Les médias alternatifs et certains prétendus lanceurs d'alerte (Xavier Moreau, Géopolitique profonde, l'affreux qui préside au Courrier des Stratèges, lequel est en chute et je m'en réjouis) s'engraissent en faisant commerce de conseil en investissement. Désolé çà ne profite qu'a des bourgeois, espèce parasitaire par nature qui mériterait d'être complètement éradiquée !
Et si l'Occident est devenu l'Empire du mensonge et un système de prédation nocif pour l'entièreté de la planète c'est encore une conséquence de ce totalitarisme arrogant qu'engendre tout monothéisme avec sont fondement hyper dualiste. Les choses se doivent d'être ou noires ou blanches. Le monde intermédaire qui héberge tout ce qui présente encore une forme (donc les paradis et les enfers) est censé ne contenir que des Anges ou des démons... Basta de tout ce merdier et la culture proto islamique à ce sujet est intéressante...
L'Occident a bien un "méga problème de cul" !
Enfin ce qui caractérise le plus l'Occident, c'est son excellence a fabriquer de toutes pièces des PROBLEMES DE CUL quasi totalement insolubles et cela vient d'un putain de Lévitique ! Et l'histoire de Sodome constitue l'épouvantail suprême à cet égard. Or aucune autre culture n'a produit de mythe comparable ! De toutes évidence les civilisations inspirées du bouddhisme ou du taoïsme ont produit des environnements nettement plus équilibrés et plus humains sans pour autant devenir de véritables bordels...
Enfin dans ce domaine le comble de la démence a été atteint par le christianisme et son monachisme. Soit on fonde une famille et on procrée, ce qui permet à la haute cléricature de vivre quasiment dans le luxe en parasitant ses fidèles soit on n'a qu'une ressource se couper les couilles au moins momentanément pour se prosterner et honorer un "Dieu" qui ne m'inspire aucune confiance à moins de considérer que le "Père" de Jésus ne saurait avoir été YHWH l'idole des pharisiens et des Saducéens. Mais bon, dans le doute les conseils de sagesse de ce personnage plus ou moins "mythifié" ne sont praticables qu'à l'intérieur d'une "voie initiatique" sous d'un groupe fermé sur lui-même et certainement pas dans une société plus ou moins ouverte à tous les courants d'air. Quoiqu'il en soit si le christianisme médiéval avait de la gueule (je pense aux cathédrales) ces monuments ne sont pas exempt de symboles "païens", je pense aux zodiaques qui comporte deux signes particulièrement problématiques en contexte chrétien : savoir les Gémeaux et le Verseau... Et le premier n'a été "corrigé" qu'à peine sur 3 monuments...
Ce n'est évidement pas un hasard si c'est une personnalité d'origine juive qui est à l'origine du pansexualisme freudien...
Ce système diabolique ne peut pas avoir libéré quoique ce soi ni qui que ce soit en inventant un pan-quelque chose ! Et surtout pas les principaux dindons de la farce : les "homos"... Je suis désolé mais il est clair que les obsessions sexuelles constituent un phénomène assez purement occidental !
C'en est a tel point que l'Occident cherche a cet égard à impose sa vue des choses partout notamment en matière de prostitution. Si ma mémoire est bon c'est Sarko qui le premier à travaillé à vouloir poursuivre les consommateurs avec pour résultat de booster le goût pour les "sextours"... Et l'on en est arrivé à appliquer nos lois aux français dans leurs déplacements à l'étranger. Certes le tourisme sexuel est répréhensible et n'est concevable qu'en faisant l'effort déserter l'hexagone et de s'immerger dans tel ou telle culture étrangère et çà cesse d'être du tourisme mais c'est surtout une façon scandaleuse de vouloir se donner en exemple en direction notamment su secteur dit eurasiatique. On est fort loin de la Russie qui s'efforce de faire cohabiter en aussi bonne intelligence que possible le judaïsme, l'islam et le bouddhisme avec son orthodoxie qui s'avère nettement plus cohérente que le catholicisme même si cet univers est loin d'être enthousiasmant.
Sauf que l'exotisme sexuel ce n'est pas une nouveauté : au XIXème siècle l'intérêt pour un Islam plus ou moins ésotérique a résulté pour une large part de la fascination exercée par ses harems et la disponibilité des garçons dans cet univers. Or il est clair que l'initiateur au soufisme de René Guénon lui-même a été l'un de ces touristes avec un autre spécimen dont je ne me rappelle plus le blaze. j'ai du reste soupçonné Guénon d'avoir conçu une partie de sa conception de la "régularité initiatique" pour éviter que l'on se penche un peu trop sur les véritables motivations d'Ivan Agueli à s'être adonné à une certaine forme d'exotisme spirituel caractérisé par un environnement assez permissif à certains égards.
Notez que vu l'hypocrisie bourgeoise en usage de son temps, il ne risquait pas grand chose et quand aux "gourous" merdiques qui se sont recommandé de son oeuvre, il y avait beaucoup à dire sur leur compte. Le cas de Schuon étant fort emblématique à cet égard tant à cause de sa défense de la polygamie que du fait qu'il à plus ou moins chouchouté un personnage connu pour des penchants plutôt garçonniers voire "pédophiles". Mais Schuon est un cas assez foncièrement "hors normes" puisque le seul critère pour trouver grâce à ses yeux à consisté à l'encenser en se roulant par terre pour bénéficier de sa faveur.
Je crains que l'Occident ne soit qu'un infâme merdier devenu totalement irrécupérable....
Néanmoins l'on observe outre atlantique une volonté d'empêcher Big Pharma de nuire et d'éradiquer le wokisme, cependant le fait que les U.S.A. soit manifestement dominé par cette calamité particulièrement criminel que constitue le sionisme révisionniste d'un certain "Bibi" reste une chose terriblement inquiétante.