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Réforme des retraites : le Conseil d'Etat torpille le projet gouvernemental

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Mise à jour du 26/01 : Article donnant des précisions sur le caractère archi bordélique un projet gouvernemental

Ce foutu gouvernement n'est pas sorti de l'auberge, enfin cerise sur le gâteau la ministresse de la justice va être poursuivie par la ville de Montpellier pour prise illégale d'intérêts. Le castagneur intérieur vient de retirer un modèle de grenades, preuve qu'il s'agissait bien d'une immonde saloperie...

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On vient de m'informer que le Conseil d’État vient de retoquer certains éléments du projet concernant les retraites. Au nom du droit de propriété, l'argent dans les caisses de retraite "spéciales" continuera à leur appartenir, et le CE instaure même le principe d'un dédommagement pour le manque à gagner...

Il annule aussi les dispositions concernant le personnel navigant dont l’État se proposait de financer leur régime particulier, ce qui enfreignait le principe d'égalité...

Je vous ferais grâce d'un rapport de 63 pages qui vient de m'être transmis par un plaideur devant ce même Conseil d'Etat.

Le CE a bien "torpillé" : problème la presse ne nous dit pas tout !

Si le CE a bien tenté de torpiller le projet, il fallait s'attendre à ce que le canard préféré des "cocos" essaie tourne autour du pot afin d'éviter de donner certains détails. 

Voir : https://www.humanite.fr/retraites-le-conseil-detat-torpille-le-projet-gouvernemental-683679

Tout le problème étant que le rôle du Conseil d'Etat étant de conseiller le gouvernement, il est assez clair que ce dernier peut se torcher le cul avec les avis qu'on lui délivre... Le CE en tant que plus haute juridiction administrative juge en premier et dernier appel les recours pour excès de pouvoir dirigés contre les décrets. Force est de constater que cela n'a pas donné grand chose en ce qui concerne les dernières limitations de vitesse. Mon informateur en sait quelque chose... 

J'ai reçu également, de la même source (un juriste pas le CE), un commentaire jurisprudentiel rappelant que la loi

sur le droit de grève interdit celles qui sont conçues à des fins assez purement politiques. On ne peut faire grève que pour des motifs internes à une entreprise. Un salarié n'étant pas encore un retraité, il est exclu qu'une masse de travailleurs puisse descendre dans la rue pour faire pression sur un gouvernement quand il veut modifier les règles du jeu à propos de la délivrance de pensions non seulement futures mais qui en outre ne sont pas du ressort de l'entreprise mais de lois qui s'imposent à elles sans qu'elles puissent les contester. Est-ce bien clair ?

Le problème étant que dans un régime pourri, indépendamment de la plus ou moins grande clarté du texte applicable, la "Cour de casse" n'a que trop tendance à user de raisonnements particulièrement tarabiscotés pour ne pas avoir à contrarier certains syndicats... Dans ces conditions, je vous saurai gré de ne pas m'obliger à vous donner des détails. Le style de littérature que j'évoque et d'un caractère si "filandreux" que vouloir en discuter constitue précisément le piège.

Des rapports entre "dictatures" (plus ou moins potentielles) et "syndicats terroristes"

Il est vrai que dans une dictature, on fait passer la loi en force par décret et on fait éventuellement charger les manifestants par la cavalerie en ordonnant non moins éventuellement de tirer à balles réelles.

Il est vrai et sans mensonge que l'on en est encore qu'à de simples "violences policières" rebaptisée pudiquement "dérives minoritaires" et il manque encore la preuve que des ordres auraient été donnés de viser les yeux de certains manifestants. Il faut convenir que les plus représentatifs auraient été pourvus à la naissance de globes oculaires si magnétiques qu'ils attirent irrésistiblement le fer des nouveaux projectiles que l'on a vu surgir pour fêter l'apparition des Gilets Jaunes comme il se devait.

Il est non moins évident qu'un régime qui néglige de foutre en taule illico presto subito, et les syndicalistes de la CGT quand ils coupent le courant de plusieurs secteurs à des milliers d'abonnés au point de demeurer passif quand leur grand chef a manifestement ordonné la mise à l'arrêt d'une centrale hydro électrique, ne peut être qu'un régime administrant ses "enfants" comme le plus zélé des pères de familles.

Il y a quand même un petit problème car c'est bien dans les dictatures que l'on observe une complicité manifeste entre le tyran en exercice et un syndicat dont la particularité est d'user de procédés particulièrement "terroristes". La transition écologique aidant, le palais présidentielle doit bien avoir quelques panneau solaire et un bon groupe électrogène dans une remise.

Pour tout dire, le sommet de la farce est près d'être atteint quand le tyran et le syndicat parviennent à convaincre les dindons de ladite farce que l'un et l'autre seraient des adversaires. Disons que c'est la même espèce de djinn maléfique qui tire les ficelles de chaque côté de la scène où a lieu la sinistre comédie.

Je me rappelle avoir noté deux choses lors de la campagne électorale de notre petit Ceaucescu local : savoir une crise de "hurlements hystériques" assez mémorable, signe que j'ai tenu pour plus redoutable que le passage du même dans un certain type d'activité bancaire. A cela s'ajoute une réflexion qui m'a frappé et que j'espère "auto prophétique" : n'a t-il pas laissé à entendre, en substance, qu'il ne souhaitait pas nous tenir le crachoir trop longtemps parce que le pouvoir c'est usant...

Il faut souhaiter que son destin en vienne à le prendre au mot, et qu'arrivé en 2023, il se retrouve sur les rotules au point de prendre la poudre d'escampette pour on ne sait trop quel paradis fiscal.

Oremus...

P.S. : J'ajoute un "Ouf" j'espère m'être acquitté de mon devoir de salutations à l'égard de la nouvelle année et de ses "joyeusetés".

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