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Marion Sigaut et la "philo-pédophilie" de ses ex copains trotskistes

homopedo.JPGDécouvrant que Mame Sigaut avait été "trotskiste lambertiste" (sic), j'ai cherché une image pour illustrer l'idée de trotskisme parce que je ne voulais pas reprendre la "binette" de la dame. Et j'ai trouvé un texte lié à l'image ci-contre et qui a été repris du site d'origine par "Média-Presse", un groupuscule qui, entre autres relais plus ou moins "cathos", assure la promotion de la trafiquante en bobards prétendument "historiques" pour ses histoires de "pédotempliers" et autres fantasmagories "pédosatanistes".

Tournez la page et vous verrez de quoi ont été capables les copains de la Madame. Bien sûr elle n'a rien vu, rien entendu ! Mais qui peut croire ça ?

Et la voilà redevenue catholique et Lefevriste par dessus le marché ! Mais qui peut croire à sa "reconversion" ? En réalité cette femme, c'est une diablesse dans un bénitier d'avant le concile. Apparemment, les vieilles formules ont perdu leur vertu et même le Grand Exorcisme de Léon XIII risque de ne lui faire ni chaud ni froid.

Soit, je n'ai pas reçu les "ordres mineurs" mais je vous fiche mon billet que le mien d'exorcisme doit déjà la picoter méchamment par tous les bouts. Et oui j'ai appris de Guénon, ce que j'appelle la technique des "lettres chargées". Je la vois mal répliquer et ce que j'écris va, soyez en sûr, la poursuivre comme l'œil de Caïn. Sauf qu'elle n'a pas vraiment de conscience mais se savoir la risée de la plupart des lecteurs qui viendront à découvrir mes propos, va, lui être un baume des plus agréables.

Les promoteurs catholiques de cette vilaine sorcière ferait bien de l'abandonner en rase campagne, s'ils ne souhaitent pas se couvrir de ridicule.

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En 1978, parut à Paris, une brochure au titre explicite : Homosexualité et pédophilie. Publiée dans la collection Débats et documents des éditions La Commune, elle était l’oeuvre de militants des Comités communistes pour l’autogestion, une organisation trotskiste issue de la fusion, en 1977, de groupes scissionnistes de la Ligue communiste révolutionnaire (l’ancêtre du NPA d’Olivier Besancenot) et du Parti socialiste unifié.

S’agissait-il d’une dénonciation de ces perversions au nom de la pureté marxiste ? Pas le moins du monde. À cette époque, via la tendance Politique et quotidien au sein des Groupes de libération homosexuels, les trotskards draguaient les activistes gays. S’agissait-il alors d’une distanciation ? D’un texte visant à montrer qu’il ne fallait pas confondre l’un et l’autre, et que si une de ces pratiques était acceptable l’autre ne l’était pas ? Que nenni ! L’opuscule tout au contraire affirmait que l’homosexualité et la pédophilie étaient liées et que l’intérêt du texte – destiné à « éduquer les militants et sympathisants des CCA, afin de faire disparaître dans nos rangs les préjugés » – était qu’il constituait la première « réflexion théorique et politique sur la pédophilie élaborée par des pédophiles ».

Le chapitre central de la brochure était constitué par un travail de synthèse rédigé par le Front d’action et de recherche pour une enfance différente qui dressait un bilan de « la réalité et de l’actualité des pratiques pédophiles. » On y apprenait que la situation faîte aux pédophiles dans les sociétés évoluées d’Occident s’apparentait… à l’esclavage et que « les amoureux des enfants [étaient] victimes d’un génocide, c’est-à-dire d’une destruction en masse. » La pédophilie y était considérée comme révolutionnaire car « la pratique amoureuse avec les enfants, défi permanent à l’autorité de la famille, est réellement déstabilisante » en constituant une « transgression des rapports sociaux dominants », et l’on assurait les pédophiles que leur seule solution était la révolution car « l’option révolutionnaire est un outil précieux » permettant qu’ils comprennent « leur aliénation par les mécanisme sociaux », et car « la pensée matérialiste est la seule à même d’offrir à l’amoureux des enfants les moyens de sa propre démystification ».

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