L'Eglise catholique passe d'une extrême à l'autre
Il ne s'agit que de paroles et d'attitudes inappropriées... Notez au passage la formulation, une formulation typiquement anglo-saxonne... Car en bon français on parlerait de paroles déplacées. Ce n'est pas la même chose car dans le premier cas la charge de l'accusation est adoucie tandis que dans le second elle ne laisse place à aucune excuse...
Cette évolution du langage est comparable à ce que j'avais remarqué sur les paquets de lessive : au lieu de parler de polluants indésirables on évoque des apports superflus à l'environnement. Je hurle et j'aurais envie de tout faire sauter quand j'assiste à de telles hypocrisies.
Concernant l'évêque on note ceci : Le second est celui d'un garçon de 14 ans. "L'évêque de Dax lui aurait demandé s'il avait des relations sexuelles avec sa copine, s’il se mettait nu devant ses amis, s’il se masturbait et avec quelle fréquence, s’il avait consulté des sites pornos homosexuels", explique une des personnes ayant constitué le dossier au sein du diocèse à L'Obs. Toujours selon cette source, Hervé Gaschignard aurait trouvé le garçon "efféminé", et "lui aurait proposé de l’accompagner, de l’aider à devenir plus viril".
C'est évidemment un peu gros comme ficelle, il a démissionné, c'est un progrès...
Toutefois, j'ai plusieurs remarques à faire à ce sujet : premièrement, il n'y a pas eu, en ce qui concerne la fille de baiser volé. Et je me rappelle qu'au catéchisme dans mon enfance les dames catéchistes et les curés embrassaient les enfants sans que cela suscite des réaction horrifiées.
Deuxièmement, j'ai fait un stage dans un pensionnat religieux des Salésiens. Les sites pornos homos n'existaient pas faute de réseau Internet. Mais les questions insistantes sur la masturbation, leur fréquence sans parler de l'imagerie censée les accompagner étaient pour ainsi dire rituelles lors des confessions et j'appelle ça de l'inquisition. J'ai toujours soupçonné ces "bons pères" de se délecter en secret de ces sortes de confessions et de se taper des branlettes plus ou moins furieuses. Il est possible que cela ait constitué un moyen de sélectionner éventuellement des candidats favorable à un "partage" mais pour ma part je n'ai jamais été importuné par un curé, du moins durant mon enfance et adolescence. Plus tard c'est arrivé une fois mais j'étais majeur et vacciné et je me suis contenté de lui faire remarquer qu'en ce qui me concerne les soutanes et les insignes religieux ça me fait débander. L'effet anaphrodisiaque a été radical et nous sommes restés en bons termes.
Il me faut maintenant parle d'un certain Tony Anatrella...
Concernant le cas de ce Tony Anatrella voir :
Il s'agit d'un immonde personnage, (ex ?) conseiller pour la famille et les questions de sexologie auprès de Vatican. Il partage la vision négative et la diabolisation systématique du christianisme à propos de l'homosexualité telle qu'elle se pratique depuis deux millénaires et étant précisé qu'au sein de l'orthodoxie, le climat est tout de même un peu différent à cet égard. Mais ce n'est pas tout, Anatrella est un psychanalyste freudien qui partage également les théories de l'illustre inventeur du pansexualisme. Fausse doctrine qui prétend tout ramener à la sexualité et qui a généré une abominable maladie du soupçon.
Cette fausse doctrine est un poison à la fois violent et pernicieux puisqu'elle exclut toute espèce d'innocence. Jusqu'à il y a une vingtaine d'années, je n'ai jamais craché sur les bonnes occasions qui ont pu se présenter quant à pratiquer les joies du sexe. Je les ai assumées sans la moindre mauvaise conscience et ce qui m'a sauvé c'est que s'agissant d'une chose qui tend à devenir routinière, faute de toujours pouvoir varier et le décor, et le scénario ainsi que l'acteur partenaire, pour ne pas tomber dans l'addiction, il faut par ailleurs avoir dans la vie d'autres centres d'intérêt.
Bref, si j'avais passé tous mes loisirs à draguer et a baiser, je n'aurais pas pu découvrir tout ce que j'ai découvert, ni produire tout ce que j'ai produit et en particulier une somme qui a nécessité une douzaine d'année de quasi repliement et de concentration.
Or le dénommé Anatrella a épousé la théorie du complexe d'Œdipe qui est une foutaise criminelle. Cette construction, au demeurant sans véritable rapport avec le mythe grec, postule que tout développement de la maturation sexuelle qui n'aboutirait pas à l'hétérosexualité serait un ratage. C'est évidement absolument faux et criminel de professer cela. La très longue liste de ces "grands hommes" qui furent exclusivement des amateurs de garçons est là pour prouver le contraire.
La fonction principale d'une femme c'est de faire des enfants que cela plaise ou non. On peut certes, mâle ou femelle, s'affranchir de cette contingence mais il faut compenser dans l'ordre intellectuel puisque nous sommes des mammifères pensants ! Or, si l'on souhaite "progéniturer" intellectuellement, les garçons sont moins chiants et moins possessifs que la plupart des femmes. Sans parler, pour les maris, le risque de se laisser retomber au niveau de leur gosses en laissant la femme prendre toutes les initiatives et les responsabilités. Notez que si ça convient à la plupart de ceux dont j'ai le spectacle, je n'ai rien à dire si cela leur convient. En revanche, j'ai le droit de trouver cela très étrange et ce modus ne correspond pas du tout à l'idée que je me fais de ce que doit être un homme.
Bref, l'odieux personnage nommé Anatrella est lui-même homosexuel et il a inventé une "thérapie corporelle" aboutissant à des attouchements, des masturbations réciproques et des fellations sur sa personne. Je regrette de devoir mettre les points sur les i mais pour qu'il puisse avoir bandé, il faut bien que cela l'ait excité follement. En d'autres termes, cette comédie dégoûtante n'a été qu'un prétexte pour jouir à leur insu de ses patients et par dessus le marché il se faisait payer car il n'y a jamais de petits profits !
Notez qu'il m'est difficile de le plaindre ces patients car lorsqu'on est bouché au point de n'avoir pas discerné dès le premier instant qu'il ne pouvait s'agir que d'une arnaque, il n'y a pas grand chose à faire ! Il est cependant nécessaire de s'arrêter un instant sur la responsabilité de ces patients.
Un ami belge me racontait qu'à 12 ans il s'est vu proposé par un vieux d'aller pisser avec lui. Ce à quoi il a répondu à son interlocuteur qu'à son âge il était bien assez grand pour faire ça tout seul. Or quand il a raconté son aventure à ses petits camarades, il a bien vu qu'il aurait aimé être à sa place. Et oui le problème est que les enfants et les adolescents ont besoin d'être remarqués par des adultes. Ils sont assez impitoyables entre eux et ne se font guère de cadeaux alors quand un adulte les prend en considération ils sont flattés.
J'en viens à dire que ceux qui se sont laissés piéger par le genre d'offre que proposait le Père Anatrella, y ont trouvé un peu leur compte et il leur a fallu du temps pour se rendre compte qu'ils avaient été dupes.
Certes, et quoiqu'un une telle aventure ne pouvait m'arriver, jamais je n'ai eu de problème avec un "pédophile" d'où qu'il sorte. Ces gens là savent choisir leur victimes. Toutefois, s'il m'était advenu quelque chose de cet ordre avec un prêtre, j'aurais d'abord balancé les vêtements de l'ecclésiastique par la fenêtre, à défaut d'avoir sous la main un instrument plus ou moins coupant, je lui aurais mordu la queue jusqu'au sang, je l'aurais copieusement giflé, je me serais rhabillé et j'aurais sonné le tocsin et appelé la maréchaussée et la presse.
Enfin le comble a été atteint avec le témoignage d'un particulier, visiblement hétérosexuel que le sinistre individu a voulu convaincre qu'en fait il devait être plutôt "homo". Voir la vidéo sur la page linkée.
La justice a classé les plaintes car, comme cela est arrivé souvent, le délai de prescription avait été dépassé et s'agissant de majeurs le cas est fort délicat car il y eu apparence de consentement. Notons au passage que, de la part des victimes, ce n'est pas de la naïveté mais bien quelque chose qui dépasse le niveau de la bêtise ordinaire. Comment n'avoir pas vu qu'il ne pouvait s'agir que d'une imposture criminelle.
La faute de la hiérarchie consiste d'abord à avoir toléré, de la part d'un prêtre, une pratique apparentée à cette immonde psychanalyse freudienne. Si les curés ne disposent pas, avec les moyens canoniques du bord, de résoudre le genre de problème envisagé, c'est qu'il ne s'agit à priori ni d'une maladie ni d'un vice mais bien de quelque chose qui fait partie de la nature humaine et qu'il faut mettre à sa juste place !
Un procès canonique est en cours mais que va t-il en résulter et quand ?
D'abord à quoi rime ce procès ? Les tribunaux ecclésiastiques ont été supprimés à la révolution.
c'est encore et une fois de plus de l'enfumage. La montagne va encore accoucher d'une souris ! On va probablement mettre l'individu dans un placard jusqu'à ce qu'il crève et c'est une manière comme une autre d'enterrer le scandale. Mais quoiqu'il en soit, les faits étaient largement connus, l'Eglise a couvert et laissé faire.
Et surtout elle partage la "doctrine" démoniaque d'un Freud répandue par ce satané prélat et moi je dis qu'elle ne se remettra jamais de cette tâche quand bien même le pourcentage des prêtres pédophiles serait aussi insignifiant qu'on le dit. De toutes façons, il s'agit là non pas de "pédophilie" mais d'homosexualité pure et simple de caractère pédérastique et jamais aucun des monothéismes ne saura digérer cette chose très païenne.
Et oui, à partir du moment où sur terre il existe une possibilité d'atteindre un plaisir que l'on qualifie de "divin", les promesses d'un paradis post-mortem ne peuvent que pâlir en comparaison de cette possibilité assez immédiate d'en expérimenter un avant goût si paradis il y a.
Or si c'est le Dieu dont on parle qui a fait l'homme, il l'a conçu de telle manière que sa partie masculine puisse grimper aux rideaux en se faisant masser la prostate par un instrument adapté par son profilage naturel ou artificiel. Diaboliser cette faculté parfaitement naturelle n'est sûrement par le moyen de résoudre le problème car en toute chose, la seule règle morale réside quelque part entre la modération et les excès ! C'est aussi simple que cela !
Personnellement, l'exercice évoqué ne m'a jamais tenté et je veux bien admettre que je suis "coincé" à cet égard mais je ne saurais le regretter car ce qui me parait dangereux, c'est de pouvoir justement atteindre un orgasme comparable à l'orgasme féminin, sans fatigue et de façon répétitive. Voyez le mythe de Tirésias qui est censé avoir expérimenté les deux conditions sexuelles...
Là réside le seul danger car cela comporte un risque considérable d'addiction. Les précautions d'hygiène étant prises, lorsque l'on se contente du mode actif, la chose à ses limites et me parait nettement plus aisée à maîtriser.
Quoiqu'il en soit, je suis bien obligé de constater que chez beaucoup de nos jeunes contemporains le fait de pouvoir expérimenter l'auto-réversion leur produit des effets bien réels. J'ai longtemps cru que ce n'était qu'une histoire de fantasmes, jusqu'à ce que je découvre que non pas du tout, ce n'est pas le cas.
Pour faire court, je suggère aux hétéros qui en douteraient de se renseigner au sujet d'un instrument conçu à l'origine pour un usage strictement médical (les massages de prostate) vendu actuellement sous l'appellation de Aneros. Autrefois, les médecins faisaient leur métier et à partir d'un certain âge proposaient un toucher. A présent on évite cela par l'échographie et c'est avantageux à la fois pour l'opérateur et pour son patient.
De l'Aneros, je n'en ai jamais entendu parler chez les "homos" par contre j'ai été surpris de constater que les hétéros libertins et très avertis de certains progrès en raffolent avec la bénédiction de leurs femmes. Il est à noter que j'étais d'abord tombé par hasard sur un témoignage d'un homme qui ayant été opéré de je ne sais plus quoi sans rapport avec l'appareil sexuel et qui s'était découvert la faculté d'expérimenter des orgasmes s'étendant à tout le corps. Ce n'est que des années plus tard que j'ai eu connaissance de ce que je viens d'évoquer. Toujours par hasard, on trouve souvent sur Internet autre chose que ce que l'on a cherché...
Les pseudos experts du Vatican n'ont pas compris que le "Système" dont fait partie leur "secte" relève d'une entreprise de contention et d'exploitation et de tromperie de l'être humain au même titre que cette oligarchie financière qui a travaille à esclavagiser, si possible la totalité du genre humain. Or dans cette denrière perspective, il fallait permettre aux "esclaves" que l'on fabrique par légions, de s'illusionner sur une prétendue libération sexuelle en paraissant faire sauter tous les interdits sauf celui de la "pédophilie" bien sûr. Il fallait bien en effet fixer une limite et exciter la hantise à cet égard pour donner aux réactionnaires un os à ronger. C'est aussi un moyen de détourner l'attention de tout ce que j'essaie d'évoquer...
Le problème est que lorsque l'on examine les choses correctement, pour l'homosexualité, c'était mieux avant mai 68 que maintenant. Il fallait être discret certes mais le secret renforçait l'attrait de la chose et apportait plus de solidité aux "amitiés particulières". A présent, je l'ai déjà dit, il faut pouvoir se conformer aux stéréotypes des modes en vogue sinon on devient carrément "invisible". L'exercice suppose d'être jeune et d'avoir les moyens de se déguiser en harmonie avec les goûts du jour.
D'autre part, si le porno hétéro est nullissime et ne consiste qu'en des étalage de boucherie, le porno "homo" place la barre très haut, on rivalise d'ingéniosité pour multiplier les scénarios et les types d'acteurs. Le résultat est la fabrication d'un véritable autisme sexuel. Le premier motif est l'appât du gain et l'analyse s'arrête là. Alors qu'en réalité, quand on creuse un peu on voit bien que c'est encore un élément de contention puisqu'il ne favorise pas l'affrontement au réel. Or la particularité du réel, c'est de comporter la possibilité de pas mal de fausses notes qui sont soigneusement écartées dans les mises en scène porno. Il s'agit toujours de situations aussi variées qu'idéales. Se confronter à ce genre de production, permet au moins d'identifier nos propres fantasmes et éventuellement d'en analyser le contenu.
Tant que l'on examinera ces choses là selon la morale dualiste en vigueur spécialement depuis deux millénaires, on se condamnera à n'y rien comprendre. L'homosexualité n'est pas une chose bien difficile à comprendre, c'est tout bêtement une recherche gémellité du moins lorsqu'elle est exclusive. Elle pourrait correspondre à la nostalgie inconsciente d'un jumeau perdu. D'après un certain Dr Sellam, les grossesses gémellaires sont plus nombreuses qu'on ne se l'imagine et les gynécologues, lorsqu'ils soupçonnent l'existence d'un semi avortement spontané, se gardaient d'en parler.
Quoiqu'il en soit si ce n'était encore là qu'une image, elle me paraît suffisante pour comprendre le phénomène et je ne vois pas en quoi ce serait hideux. En revanche, la parodie par les "homos" du couple "hétéro" est une horreur car c'est embourgeoiser ce qui n'a pas à l'être et ça n'est pas vendable car cela ne peut concerner que des vieux soucieux de gérer un patrimoine commun au mieux. On aurait pu trouver autre chose !
Je regrette de devoir me répéter périodiquement et présentement ce qui me soucie, c'est le sort de la France et la seule façon de se ménager une chance d'échappé au crash systémique qui se prépare c'est de sortir des griffes de l'Union Européenne en votant pour François Asselineau, le reste n'est que pures bagatelles.