Pour Laurent Guyénot, Yahvé et Satan c'est comme "chou vert et vert chou" (01/10/2025)
Laurent Guyénot, dans une vidéo portant sur l'annonce d'une conférence donnée en province a clairement affirmé que pour lui le "diable" c'est bien Yahvé ! Par la suite, si la vidéo à subsisté un moment, cette affirmation a été gommée...
Aussi j'ai demandé à chat GPT d'enquêter pour savoir s'il avait traité spécifiquement cette thèse que je tiens pour irréfutable et il m'a dégoté un article paru sur un site dont j'ignorais l'existence.
Je suis bien décidé à établir une liste aussi exhaustive que possible des contributions de cet auteur en classant les occurrences trouvée par thème et en m'efforçant de donner au moins un résumé des plus remarquables d'entre elles.
La "religion de la Dame" et la véritable histoire du féminisme
Mais avant d'aborder la "trouvaille" que je viens d'évoquer quelques mots sur les 2 ouvrages évoqués dans le posts précédant soit La mort féérique et La lance qui saigne...
Je crois de plus en plus que tout "hétéro" exclusif se trouve plus ou moins enclin à être affligée d'un sorte de myopie...
Laurent Guyénot a consacré un article à la "religion" visée. J'ai déjà consacré un article à cette contribution et je l'avais oublié. Il est possible que je le reprenne et à l'époque si j'étais au courant de l'existence de son livre sur la mort féérique et de celui portant sur la thématique graalique ce penchant m'avait quelque peu turlupiné mais sans plus ne m'étant jamais passionné pour cette dernière thématique ou pour la chevalerie. C'est que je n'ai jamais éprouvé le moindre penchant envers un militarisme quelconque : oui se faire tuer bêtement dans une embuscade ou autrement, très peu pour moi ! Quant à guerroyer, je ne déteste pas mais seulement à l'aide d'une plume aiguisée comme un scalpel susceptible de trancher dans la viande là où çà fait très mal. Marquer au fer rouge les escrocs et les imposteurs Ok mais abréger leurs souffrance Non !
Enfin si nul ne saurait être parfait, l'auteur cité s'est largement racheté d'une petite faiblesse... Et quant aux femmes et à leurs délires éventuels, les Survivantes de Barbiéras, il ne les a pas loupées !
Quelques mots sur ma thèse relative à la véritable histoire du "féminisme"
Cette histoire ne saurait commence avec celle des suffragettes anglaise. Par contre l'apparition assez saugrenue de la vogue de l'amour courtois peut constituer le premier élément concret d'une conquête en faveur d'une future égalité sauf que ça implique un désir de revanche qui se pointe juste après avec notamment l'apparition d'une Christine de Pisan qui s'est efforcée de fustiger la misogynie assez franchement méchante de beaucoup de clercs. Ensuite survient la Grande Peste et la dépopulation qui en résulte se traduit par une détente en matière de mœurs, on voit apparaître des "bordels" réglementés par les municipalités.
L'étape suivant consiste en les salons féminins et çà culmine au siècle des "lumières" et le couronnement du phénomène c'est bien l'engouement des romanciers en faveur justement d'un romantisme sentimental qui se doit d'être purement "hétéros", ce que je tien pour une VASTE BLAGUE, et je suis vraiment gentil en présentant la chose sous cet angle... Georges-Louis Tin a eu raisons de parler d'une INVENTION de la culture hétérosexuelle. Il me faudra rappeler le désespoir de Roland de Roncevaux se lamentant sur la mort de son copain Olivier, sa fiancée n'étant apparue dans le paysage pour pour en disparaître immédiatement...
Sauf que pour présenter le féminisme sous les traits d'une revanche [devenue assez franchement pathologique depuis que ce mouvement est piloté de notoriété publique par des lesbiennes patentées (notez que je suis très courtois et que les agitées du bocal auxquelles je pense ne le méritent pas...] il faut qu'il ait existé un contentieux au départ.
Et pour la civilisation gréco-romaine finissante, plus romaine que grecque au demeurant, il ne peut s'agir que l'enlèvement des Sabines... Un rapt à part entière...
Survenu dans un contexte très particulier : il faut savoir que la population romaine masculine des débuts fut très composite qui a comporté parmi les étrangers attiré ver la future Rome et son empire pas mal de repris de justice du voisinage. Il y a aussi la figure trouble de la louve qui n'est pas sans évoqué le fait que les jumeaux que furent Rémus et Romulus ont résulté du viol d'une vestale (donc une femme voué à la virginité) par le dieu Mars en personne... Ce qui explique bien des choses...
D'autre part, je n'ai pas trouvé de traces chez les Romains antique du moindre goût pour des créatures du monde intermédiaire du type féérique, les cultes de ce type d'entités, surtout en matière "domestique" (Lares, Pénates etc...) ne présentent aucun caractère dangereux.
Quant aux fondements "arimathien" du mythos graalique, il résulte d'un "greffe juive" en terroir albionique très suspecte qui n'a sans doute aucun réalité historique et tous ce "pathos" chevaleresque, donc foncièrement masculin voir patriarcal aura accouché au final d'une féminisation des plus détestables, bref il y a de quoi se poser des questions...
Diabolisation de Yahvé : déc ouverte d'un articles des plus remarquables
https://www.unz.com/article/the-devils-trick-unmasking-the-god-of-israel
Le Dieu d'Israël : la pire des "arnaques" !
C'est ainsi que je traduirai le titre de cet article qui ne semble pas être paru en français mais c'est à vérifier...
Je signale à toutes fins utiles qu'en hébreu "arnaque" est le mot qui désigne le "porte monnaie". Cela me rappelle une anecdote. J'ai fait carrière dans la photo et avant d'être sollicité pour illustrer le book d'un architecte Grand Prix de Rome, je me suis occupé de choses plus modestes. Et mes premiers clients ont été des juifs oeuvrant dans la confection. Ils se sont montré très sympas et comme je m'intéressais déjà à la Kabbale, j'ai voulu apprendre l'hébreu et j'ai suivi quelque cours à la synagogue de Reims où j'ai eu à intervenir pour un ou deux mariages. Le mot "arnaque" revenant sans cesse dans les échanges du cours j'en ai demandé la signification et j'ai failli exploser de rire. Bon je n'ai pas persévéré...
Pour l'instant, j'ai bien envie de m'abstenir de la moindre citation et à fortiori de commentaires. Ce n'est point que je crains d'être déféré devant la 17ème chambre correctionnelle car il s'agit d'un "article scientifique" parfaitement sourcé et c'est sans doute la raison pour laquelle Laurent Guyénot n'a jamais eu d'ennuis au contraire d'Alain Soral à qui il doit une certaines promotion.
J'ai beaucoup à faire et j'espère avoir piqué votre curiosité, je me bornerai à préciser qu'il y a fort longtemps que j'étais arrivé à la conclusion que je viens de mettre en caractères gras mais qu'un universitaire aussi brillant puisse avoir démontré la chose de façon irréfutable c'est quelque chose de capital et je lui sais gré d'avoir apporté les informations les plus marquantes quant à la possibilité qu'ont nos contemporains de se libérer de l'emprise de cette figure des plus sinistres ou plus exactement de ses partisans. Et ce n'est qu'une article parmi d'autres tout aussi importants.
De sorte qu'au moins pour l'instant j'en resterai à cette simple invitation à s'instruire.
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