Remarques sur quelques faits marquants de la rentrée 2019 (09/10/2019)
Je me bornerai à commenter brièvement les faits récents que sont l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen, les réactions à la campagne en faveur d'une urgence climatique façon Greta Thunberg, l'attaque au sein de la Préfecture de Paris, et la nouvelle affaire Zemmour.
Fort heureusement, du moins pour l'instant, les rumeurs de guerre visant l'Iran en sont au point mort. En dépit de l'attaque par des drones d'une raffinerie de pétrole saoudienne personne ne paraît vouloir se décider à lancer une offensive. Pourvu que cela dure !
L'incendie de Lubrizol à Rouen fera long feu, on n'a pas fini d'en causer !
Pour commencer une image que marque qui ressemble à une sinistre farce !
Voici la réalité !
Cet incendie n'est qu'un parmi d'autres. J'ai déjà noté qu'une série impressionnante avait commencé fin 2018 pratiquement en même temps que le mouvement des Gilets Jaunes. Début 2019 un samedi matin c'est quasiment tout un quartier de Paris qui a failli sauter. J'ai consacré à cette série (dont l'incendie de Notre Dame constitue une sorte d'apothéose) plusieurs posts. L'un d'eux annonçait une année chaude et explosive ! Et il ne manque plus guère que l'annonce d'une entrée dans une quatrième guerre mondiale.
Depuis j'ai conservé les liens des articles décrivant des sinistres mémorables. La liste est longue et je m'abstiendrai de l'exploiter car on m'accuserait de consacrer mon temps à un sujet morbides. Je note simplement qu'il faut avoir de la merde dans les yeux pour ne pas voir là une série de signes d'un genre particulièrement menaçant. J'ai dénombre pas loin d'une cinquantaine d'incendies remarquables depuis le recencement évoqué ci-dessus. Le dernier en date est celui de Villeurbanne. Dans ce dernier cas, ce qui me stupéfie c'est la fragilité et l'insécurité du bâtiment moderne concerné. Mais enfin qu'est-ce qui a pu brûler si fort pour engendrer pareilles déformation des métaux de la structure ? Et que penser de toutes ces startup qui n'ont rien vu venir et rien prévu en matière de sauvegardes ne seraient-ce qu'informatiques ?
Revenons à Rouen. Là encore, bien évidement les services de l'Etat sont mis en cause. Voyez vous-mêmes la mise en cause d'un ingénieur chimiste par ailleurs expert judicaire. Notez qu'on prétend ne même pas savoir où a commencé l'incendie...
La nouvelle affaire Zemmour un parfait concentré d'hypocrisie
LCI invite ce journaliste pour attirer du public. Zemmour ne manque pas de s'éclater en se livrant à des propos prétendus "nauséabonds" sur l'Islam en particulier et la chaîne de confesser une erreur de casting. Michel Onfray a eu raison de répliquer en disant que le directeur de la chaîne devrait décaniller dare dare et se faire oublier.
Comédie médiatique publicitaire
Enfin là où l'hypocrisie atteint un sommet c'est quand on voit Nutella annoncer sa décision de ne plus faire de publicité pour son produit avant les passages de Zemmour. Décision que d'autres marques se sont empressées de copier. Ce concentré de 'fayotage" à base de zèle moralisateur est odieux de la part de mercantis qui nous le savons, ne respectent les règles de l'honnêteté que parce qu'il y sont plus ou moins étroitement contraints. C'est sans doute ce qu'il y a de plus irritant dans ces sortes de comédies médiatiques.
Je ne connais pas le texte exact des déclarations de Zemmour sur les dangers de l'Islam mais il n'existe aucun doute qu'il existe une menace non seulement réelle mais pressante à laquelle nous n'avons pas grand chose à opposer.
L'essence du "suicide français"
J'ai récupéré un exemplaire du Suicide français qui traînait dans l'un de ses petits édicules où l'on place des livres pour qu'ils circulent. On y trouve rarement des choses intéressantes mais cela m'a donné l'occasion de constater qu'en page 65, l'auteur avait bien vu la cause, non seulement celle de ses ennuis actuels mais surtout celle de notre impuissance face à la menace islamique sous ses divers aspects. Le chapitre s'intitule 1er juillet 1972 : la Loi Pleven; la fin de la liberté d'expression. Certes en principe aucune loi ne saurait interdire de professer un désaccord voire une hostilité à telle ou telle religion à condition de la justifier et que ce défendent les lois anti discriminatoires c'est seulement l'incitation à la haine envers des catégories de personnes que ce soit à raison de leur race de leur religion, ou encore de leur genre ou de leur goûts sexuels.
Seulement en pratique, on en est arrivé à considérer l'islamophobie (qui est une peur généralement assez passive), et le sionisme comme relevant d'une sorte de "racisme".
Les outrances de Soral est-ce si grave que cela ?
Concernant les outrances d'un Soral, on peut du reste se demander si le fait d'avoir assimilé le Panthéon à une "déchetterie casher" méritait de se solder par une peine de prison. Tout le monde sait que les juifs sont loin d'être dominants parmi les pensionnaire de l'ancienne église Sainte Geneviève de sorte qu'il est clair qu'en un autre temps, on se serait abstenu de poursuivre en ne voyant là qu'une outrance légitime du point de vue du genre, savoir la caricature qui implique de systématiquement forcer le trait au delà de toute vraisemblance....
Quoiqu'il en soit l'hypocrisie consiste, sous prétexte de louer une sage décision judiciaire, de répéter ad nauseum l'infamie réelle ou supposée et de s'en goberger. Ce n'ets pas très honnête et c'est ainsi que certaines formules passent à la postérité !
Zemmour a eu raison de dire que la loi, en permettant à des associations de se faire "procureurs" et de tirer des subsides d'éventuels délits de discrimination, a constitué un dérapage irréparable car ces associations, à partir du moment où elles deviennent populaires, finissent par prendre le magistrats en otage et leur imposer leurs vues. Il n'a du reste fait que reprendre une vieille thèse qui ne vient pas de lui mais d'un certain milieu droitier.
Le drame des 4 crimes à l'arme blanche au sien de la Préfecture
Je devrais mettre le mot "drame" entre guillemets car c'est à peine si la chose m'a ému tant elle était prévisible. Cela ne m'a pas ému car je n'ai pas cherché le moindre détail concret sur la manière dont 4 des collègues de ce Mickaël Harpon ont été suriné. Tout ce que je peux dire c'est qu'avec un blaze aussi peu auspicieux. Il était habilité secret défense or j'ai lu quelque part qu'il avait donné des signes de radicalisation. ce qui me surprend toujours dans ces sortes d'affaire c'est le manque de discernement ambiant.
Ce manque de discernement résulte sans doute en partie de cette ambiance de "politiquement correct" qui tend à interdire à chacun de porter des jugements sur autrui. je suis totalement hermétique à ce genre de mot d'ordre plus ou moins occulte car je n'ai jamais censuré mes impressions et intuitions. Il suffit que quelqu'un ouvre la bouche le temps de dire deux ou trois phrases pour que je sache à quoi m'en tenir sur la personne et sa fiabilité. Je ne me souviens pas de m'être jamais trompé sinon qu'il m'est arrivé 5 ou 6 fois les traits négatifs mais ne vaut-il pas mieux exagérer dans ce sens plutôt que de ne rien voir ? Car si on ne vois rien, on ne peut rien corriger et on s'expose à des surprises parfois brutales alors que si l'on est méfiant on risque bien moins tout en conservant la faculté de se détendre plus ou moins.
Et l'on va voir pourquoi ce qui est arrivé était prévisible. L'attaque émane d'un "converti" ce qui pose une fois de plus le problème de la contagiosité de certaines idéologies...
J'ai placé en exergue une image du n° 2442 du Point daté du 20 juin 2019 qui précède d'environ 1 trimestre l'attaque en question a révélé les résultats d'une enquête dont les résultats étaient sur le point d'être révélés.
La "radicalisation" n'est pas un délit
Je me félicite de n'avoir pas jeté ce numéro car il s'y trouve des informations intéressantes et j'en citerai quelques unes. On avait dénombré à l'époque 28 cas suivis comme susceptibles de s'être radicalisés. Sauf que pour licencier un agent radicalisé, il faut utiliser des motifs connexes comme une faute professionnelle.
Les inconvénients d'un "état de droit" à la française
En droit français, on ne peut pas poursuivre quelqu'un parce qu'il aurait des idées jugées "tordues", il faut qu'il commette une faute pour pouvoir s'en débarrasser. On cite le cas d'un agent qui avait des accès suspects à certains fichiers. Or dans le cas de Harpon, vu son habilitation ces accès étaient sans doute légitimes. On en revient toujours au même problème : la prévision se décide en amont d'une embauche ou dans les premiers temps d'icelle...
La proclamation d'un état d'urgence qui a tendu à s'éterniser a rendu les juges administratifs très pointilleux alors qu'au royaume uni on peut arriver devant le juge avec la totalité des éléments dont on dispose sans que la totalité soit transmise à la partie défenderesse. UN policier municipal se trouve avoir été révoqué sous prétexte d'une menace d'emprise idéologique tandis qu'un référé a obtenu sa réintégration, ce qui est pire que tout !
Le recrutement par concours est un autre "angle mort". L'équité de ce mode de recrutement a pour effet de favoriser les sujets intellectuellement doués, ce qui, dans certains cas, peut recouvrir un facteur de ruse et un risque de traîtrise.
Bref, on est sans doute loin d'avoir tout vu quand aux "surprises" que peuvent occasionner les cas de radicalisation.
Si les avertissements venant de collègues observateurs ne sont pas pris en compte par la hiérarchise c'est tout simplement parce que l'abondance des préceptes et des lois anti discriminatoires tendent à favoriser certaines "minorités" et a leur procurer une sorte d'immunité. Les responsables sont conscient qu'il est difficile sinon pratiquement impossible de démontrer d'un agent s'est radicalisé.
"Attaque terroriste" ou "revanche indigéniste"
Je viens seulement de m'intéresser d'un peu plus près à l'affaire et je suis tombé sur cet article.
Ce n'est pas à proprement parler une affaire de "terrorisme". Le meurtrier est décrit comme s'étant montré incapable de faire mal à une mouche. Originaire de la Martinique, c'était probablement une sorte de métisse (vu son nom bien français) et il souffrait d'un handicap qui l'a rendu à moitié sourdingue ce qui fait que des collègues l'on comparé au serviteur d'un certain Zorro bien que sur le plan de l'agilité intellectuelle il n'ait pas été affecté.
Sa conversion à l'Islam et sa radicalisation récente et progressive est le résultat d'une frustration sur un fond d'indigénisme. La leçon que l'on devrait tirer du drame c'est qu'avant de promouvoir quelqu'un à un haut degré d'habilitation surtout d'un type secret défense, il faut pour cela in minimum de jugeotte.
L'islam ne saurait être en cause directement dans cette histoire. Sa conversion résulte d'un besoin de se conforter dans une culture indigène et l'Islam n'était qu'une option sauf que dans le cas d'un complexe d'infériorité, elle s'est avérée plus rémunératrice que la religion du vaudou.
Le problème, en l’occurrence, c'est qu'après les abus criminels d'une certaine colonisation, on veut absolument nous imposer un véritable "mélange des races" et donc des cultures dont il ne peut résulter qu'un vaste chaudron planétaire ou une "soupe" particulièrement explosive tend à y bouillir...
Le métissage ne peut réussir qu'à dose homéopathique et si, étant blanc, on est attiré par les noirs, les jaunes ou les rouges et ou leur culture respective, il vaut sans doute mieux s'expatrier et se fondre plus ou moins dans une communauté d'adoption. Les différentes cultures n'ont vraiment d'intérêt et de saveur que dans leur espace naturel, c'est-à-dire là où elle sont apparues et se sont développées.
C'est en fait ce que dit Zemmour contre l'avis d'un certain Jacques Attali qui passe sa vie entre divers aéroports mondiaux avec la possibilité de semer derrière lui des pourboires plus ou moins princiers.
Enfin dans cette histoire, mon petit doigt (celui que l'on appelle "auriculaire") me suggère que la mauvaise conscience pouvant résulter d'un colonialisme pas si éloigné peut également inciter des responsables à pousser plus ou moins mal à propos des citoyens qui ne sont pas susceptibles de posséder l'étoffe "patriotique" qui siérait à l'intérieur d'administration "régaliennes". Le désir plus ou moins inconscient de "racheter la France" en faisant pardonner ses crimes peut conduire à mettre entre les mains d'individus qui ne peuvent pas être vraiment solidaire d'une culture qui n'est pas vraiment la leur, des responsabilités excessives. Ce qui me saute au yeux dans cette méchante histoire, c'est plus le handicap qui a valu à ce citoyen des railleries plus ou moins appuyées que son origine géographiques et semi raciales. Le handicap en question est, sans aucun doute, le facteur frustrant qui a ranimé une certaine blessure. Évoquer la thèse d'une sorte d'attentat terroriste est à mes yeux une pure imbécilité.
L'Islam comporte certes des caractéristiques propres qui en font une possibilité de menaces, mais elles ne peuvent s'activer que chez des individus qui sont les héritiers de nations ou de groupes sociaux qui ont été exploités par ce colonialisme prédateur dont une certaine fausse élite occidentale possède le secret.
Une déclaration présidentielle consternante
Lors de l'hommage rendu aux quatre fonctionnaires tués dans l'attaque de la préfecture de police, le président de la République a ciblé le "terrorisme islamiste", appelant la nation à "faire bloc" contre un "islam porteur de mort".
Il est vrai qu'il ne parle pas de l'Islam en général mais d'une version particulière. Il n'empêche que l'incitation à faire bloc ne veut rien dire. Faire bloc mais comment ? En voulant se persuader qu'il existerait un "bon Islam" ?
Ce qui me révulse dans cette intempérance verbale, c'est l'allusion à un "terrorisme islamiste". Je maintiens que c'est l'oeuvre d'un homme complexé par un mélange de handicap de frustration et de divers problèmes qu'on n'a fait qu'effleurer qu'une vision et une instrumentation débile de l'Islam n'a fait qu'aggraver. Et ce n'est pas en disant n'importe quoi que l'on peut faire barrage à ce type de problème.
Cela dit, il faut se résoudre à constater que la supériorité du christianisme réside dans le fait qu'il ne peut pas être instrumenté de cette manière tandis que le prétexte d'une "guerre sainte" se prête volontiers à toutes sortes de possibilités d'exactions.
Un pape François à la ramasse
Il me vient soudain à l'esprit que j'ai oublié un fait marquant et vraiment déterminant car il "couronne" en quelque sorte la jobardise et même la dangerosité du pape actuel.
Point n'est besoin de longs commentaires ! Certes tous les hommes sont égaux devant Dieu mais ce n'est pas une raison pour se croire tenu d’accueillir à bras ouvert toute la misère du monde. Certes ceux qu'on nomme occidentaux en sont responsables pour une bonne part mais nous autres citoyens qui n'avons aucunement profité de la prédation colonialiste d'antan, n'en sommes pas responsables. Enfin si ça venait à péter du côté du détroit d'Ormuz par la faute de Trump ou d'Israël, ce ne sont pas les américains qui vont faire les frais du massacre iranien qui se profile.
Au diable l'urgence climatique ! Et que le Grand Patafiole emporte une certain Greta Thunberg et surtout ses tireurs de ficelles
« Il faut l’abattre » ou « J’espère qu’un désaxé va l’abattre » ?
Ces propos ont pourtant été tenus sur Facebook, le 28 septembre, par l’honorable président des Amis du Palais de Tokyo, âgé de 67 ans : Bernard Chenebault, censé représenter la crème des amateurs d’art contemporain en France depuis sa nomination en mars 2013.
Il est résulté de ces déclarations comme de la déclaration d'une élue qui a déclarée que cette Greta méritait une "fessée" un scandale.
Même chose en ce qui concerne la pendaison symbolique de la fillette sous un pont romain.
Si ce dont on parle c'était produit dans les années 50, 60 et même 70, tout le monde aurait rigolé et ces propos auraient fait la quasi unanimité !
La citation exacte de Chenebault est celle-ci : “Cette folle rajoute une couche de haine dans notre société déjà fort agitée par de mauvais sentiments de toute part. J’espère qu’un désaxé va l’abattre.” On ne peut pas penser que l'auteur souhaitait réellement qu'un particulier prenne l'initiative de flinguer la gamine.
On est bien ici dans le domaine des attaques purement SYMBOLIQUES et personne, jadis, n'aurait songé à les prendre au pied de la lettre.
Quoiqu'il en soit l'image du mannequin ou plutôt de la marionnette pendue sous un point romain a pour ainsi dire déchaîné le consensualisme démagogique d'une partie de la classe politique italienne. L'image a aussitôt fait réagir la classe politique, la maire de Rome Virginia Raggi (Mouvement 5 Etoiles, antisystème) exprimant sur Twitter la "solidarité" de sa ville envers la famille de Greta Thunberg et le patron du Parti démocrate (gauche, au pouvoir en Italie) Nicola Zingaretti condamnant la "violence macabre" d'un geste dont les auteurs "ne respectent pas les idées qu'ils ne partagent pas".
Il faut sans doute rappeler que la "violence" lorsqu'elle peut encore s'exprimer d'une manière purement symbolique est précisément le seul moyen dont on dispose pour éviter justement d'être tenté de passer à l'acte. Ce qui est répréhensible chez Chenebault c'est que l'une de ses déclarations puisse sonner comme une incitation en faveur d'un passage à l'acte. Bref, s'il n'avait pas été limogé, il aurait sans doute eu à répondre à des poursuites judiciaires.
Pour ma part, je dirais que s'il existe des personnes qui sont à abattre ce sont les parents d'abord et toute le clique qui est derrière la propagande incarnée par un fillette qui en réalité n'a rien pour plaire. C'est qu'elle porte sur son visage une laideur qui exprime le mélange de bêtise et de prétention plus ou moins messianique qui la caractérise. Disons le clairement ! C'est à mes yeux ce qu'on osait appeler autrefois une tête à claques ! C'est une espèce que les parents se gardaient bien de laisser prospérer qui avaient certes tendance à distribuer des coups plus qu'il n'en fallait. J'en sais quelque chose mais au moins puis je me féliciter de n'être pas devenu complètement "mongol".
Le petit bon côté de la chose
Le seul bon côté du tapage engendrée par celle qui l'est devenue, c'est qu'on voit une certaine presse faire profession, à juste titre de "climato scepticisme". Que les choses soient claires, je suis pour une certaine écologie et pour le "développement durable" sauf que ce que l'on veut nous vendre sous ces étiquette n'est qu'imposture. La gaz carbonique n'est pas susceptible de se comporter en gaz a effet de serre car il est plus lourd que l'air : il ne monte pas et le cas échéant s'accumule dans les puits !
Je note à ce propos l'existence du numéro 4309 de Valeur Actuelles sur les charlatans de l'écologie.
Mais qui s'en soucie mis à part une minorité de gens cultivés ! Le problème est bien que quand c'est la "masse" qui tend à faire la pluie et le beau temps dans la rue, on court à la catastrophe non pas climatique mais sociale et l'on voit bien que la raison, le bon sens et surtout le discernement ne sont pas au rendez-vous. Il est clair que lorsqu'on prend un peu de recul, on constate que la guerre de 14-18 a marqué un basculement dans une folie qui rencontre de moins en moins d'obstacles. La susceptibilité moralisatrice que je ne cesse d'évoquer est le signe le plus marquant,. Il fait suite à l'apparition de lois entravant de plus en plus toute possibilité de véritable liberté d'expression et à partir du moment où on ne peut plus nommer le mal sous ses diverses formes, il est clair qu'il ne peut qu'empirer. Certes des gens intelligents trouveront toujours le moyen de s'exprimer sauf que les précautions qu'il faut prendre font en sorte que l'on ne peut plus guère prêcher que des convertis ! Enfin faute de pouvoir aider, oser dire les choses permet au moins de se faire du bien à soi-même.
Le fond du problème
Ce qui est renversant et irritant au dernier degré c'est la veulerie et surtout l'incohérence des politiques, il ne font rien en faveur d'un développement durable. En France, on a gazé des manifestants pour le climat mais le patron de flics qui se sont livrés à ces excès indignes d'un "état de droit" mais on a pu lire ceci dans la presse :
Le président de la République a reçu à l’Élysée, vendredi 22 février, l’adolescente suédoise devenue une figure de proue de la lutte contre le changement climatique. Il lui a indiqué avoir besoin de son soutien pour entraîner une « mobilisation » mondiale.
Comprenne qui pourra ! En fait c'est très simple, on navigue a vue sans souci de cohérence et ce n'est pas tant la "pédophilie" qui pose problème car on s'en est longtemps accommodé, surtout quand des curées étaient en cause. Le problème c'est le mélange de démagogie et de jeunisme qui forme un composé devenu particulièrement suicidaire. Enfin le mouvement initié par l'effarante Greta n'a marché que parce qu'elle a invité les écoliers à sécher les cours pour descendre dans la rue. Passe encore quand il s'agit d'étudiants qui sont censé avoir bénéficié d'une éducation supérieure mais ce n'est pas à des petites "morveux" de vouloir faire la loi. Bien sûr en plus de l'incitation a la paresse, il fallait compter avec un engouement en faveur de tout ce qui peut favoriser un climat de révolte des jeunes à l'encontre des "vieux" ou supposés tels.
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