Le blog d'Alexandre Palchine

Petit commentaire très provisoire...

C'est une excellent idée que d'avoir publié le texte de cette conférence que je boirai sans doute comme on le fait d"un "petit lait", bio, bien évidemment, cela va de soi... Pas certain en fait : les dernières phrases de ce texte dont je n'ai pas encore pris connaissance disent ceci :

Le symbolisme du Yin et du Yang c’est du manichéisme le plus manifeste avec, en plus, la prétention de tout expliquer par l’actif et le passif.

S'il est bien une tradition qui n'est point dualiste, c'est bien la tradition chinoise !

Je lui suis reconnaissant d'avoir puissamment contribué à me grandement désintoxiquer du dualisme et de sa forme catholique en particulier... Le symbole reproduit ci-dessus est la plus brillante démonstration de ce que j'avance ! 

Guénon commente non sans lyrisme que : « Si l’on considère spécialement le yang et le yin sous leur aspect d’éléments masculin et féminin, on pourra dire que, en raison de cette participation, tout être est « androgyne » en un certain sens et dans une certaine mesure » ; « C’est le symbole de l’« Androgyne » primordial » ! C’est clair et précis, il n’y a rien à ajouter.

Petite leçon d'endocrinologie

L'exemple le plus flagrant de l'interpénétration réciproque du Yin et du Yang se retrouve en médecine et plus spécialement en endocrinologie. Homme et femmes avons en commun les mêmes hormones mais en proportion inversée. L'organisme féminin produit un peu de testostérone et vive versa pour les hommes. La progestérone est même la source d'hormones communes :

La progestérone est une hormone stéroïde produite en partie par les glandes surrénales, chez l'homme et la femme. ... La progestérone est aussi impliquée dans la production de nombreuses autres hormones comme le cortisol, les œstrogènes ou encore la testostérone.

En médecine traditionnelle chinoise, on dit que le Yin nourrit le Yang ! Une bonne santé nécessite de disposer de beaucoup de Yin, l'énergie Yang résultant de la combustion du Yin comme carburant. Le Yang ressemblerait plutôt à une allumette....

J'ajoute que :

La déhydroépiandrostérone (DHEA) est une hormone stéroïdienne anabolisante que les glandes surrénales des humains et de quelques primates supérieurs produisent naturellement à partir du cholestérol.

Parenthèse utilitariste : la DHEA ? Pas top pour les mâles !

Je profite de l'occasion pour signaler que si la DHEA fait, en général, un effet boeuf sur les femmes vieillissantes (ce qui n'est pas toujours franchement souhaitable...), je n'ai pas rencontré un seul cas d'un mâle susceptible d'avoir pu ranimer une libido défaillante en prenant 50 à 100 mg de DHEA par jour.

J'ai essayé sans succès et puisque ma propre libido me fout une paix royale, j'ai jugé plus à propos de ne point la titiller. Les démons de midi sont redoutables et ceux de minuit plus encore ! 

Pour clore cette parenthèse, il faut se résoudre à constater, certes certes, que les femmes contemporaines sont bel et bien sujettes à un excès de production de testostérone, tandis que des traits de plus en plus Yin se manifestent chez les adolescents au point que les plus "conviviaux" se montrent volontiers "auto-reverse", comme l'étaient certaines cassettes audio devenues introuvables, du moins à l'état neuf.

On observe certes une véritable "féminisation du monde" (voir Alain Soral...) et j'ai détaillé (ailleurs) tous les facteurs entrant en ligne de compte dans ce processus. Entre autres, les rejets de résidus de pilules contraceptives qui s'accumulent jusque dans les nappes phréatiques, constituant, avec les pesticides, pour ce qu'il en est de deux des facteurs les plus "grossiers"... Les facteurs "subtils" étant nettement plus pernicieux...

Le mystère de l'Androgyne

Ceci est la dernière phrase de la conférence :

La question de l’androgyne, avec la théorie du genre, est pleinement d’actualité. Ses racines plongent dans irrationalité, l’une des conséquences, également, de la révolte contre Dieu. Cette révolte fausse tout. En effet, dès qu’elle est engagée, elle mène inévitablement à l’absurdité d’une contre nature. Contre l’absurde, il existe un seul remède c’est le retour au réel !

Certes, certes le très profond ésotérisme du triangle de l'androgyne cher à Vâlsan m'aura complètement échappé mais quel rapport avec la théorie du genre ? 

Ah, je vois ! Changer de genre, soit par une opération chirurgical ou en changeant de rôle sexuel est une révolte contre Dieu.  Peut-être... Sauf que l'on peut préférer le semblable au dissemblable, sans pour autant trahir le rôle que vous a imposé l'enveloppe sexuée dont on a été pourvu à la naissance. Enfin quand on a toujours été porté à la contemplation plutôt qu'à l'action, on s'en arrange fort bien...

On aura fort bien compris que, par "théorie du genre", il faut entendre dénonciation du "mariage pour tous" et Cie mais quel rapport avec René Guénon ? Certes on ne peut pas dire que ce soit une réussite !

Le seul problème est que Guénon, qui n'était pas du tout astrologue, à propos des prédictions (assez étonnantes de la Société Théosophique) n'a rien vu venir. Et oui, l'influence de l'approche d'une certaine Ère dite du Verseau, qui se ressent au moment de la découverte d'Uranus, se devait de provoquer une sorte de retour à certaines "sources" mais façon monde à l'envers. 

Une méga crise économique agrémentée d'un 4ème guerre mondiale, sans parler des progrès d'une pollution généralisée (vaccinale en particulier) me semble plus redoutable que la thématique sous jacente à certaines "idées fixes" régissant l'égrégore chapeautant les diverses factions plus ou moins "tradis".

Je reparlerai sans doute de la conférence évoquée incessamment sous peu...

Avec, je le crains toute la finesse, qu'implique le port d'un gourdin en guise de plume. Quoiqu'il en soit, en terrain "ésotérique", il faut toujours se méfier des apparences, et des divers niveaux de sens...

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PS - Le "chronique apocalyptique" n'est pas de Palchine...

La vidéo se trouve de la conférence se trouve en tête de ce post où je reconnais un personnage (en l’occurrence un religieux, un certain frère Thierry) sur lequel l'auteur de la chronique mentionnée a attiré mon attention.

Tout cela pour dire que la chronique en question n'est pas de votre serviteur.

En revanche, j'y suis mentionné sous diverses appellations telles que Sanglier bleu, D2, C-4 (un explosif de la famille des plastics).

Le sanglier d'azur (aux défenses "allumées") est une allusion à mon blason qui est le même que celui d'un évêque (dont j'ai repris le prénom) très estimé sous la restauration et par ailleurs patron du célèbre curé d'Ars. L'histoire de ma "tribu" commence (en France) à Ars en Ré et pour l'un de ses ressortissants a fini dans l'Ain. Le blason de la souche albionique de la tribu est ... trinitaire...

C-4 est un cryptogramme d'une de mes anciennes "émanations" (1 C + 4 lettres), soit la traduction en grec de ce qui figure les "armes parlantes" dudit blason. Savoir un arbre symbole d'immortalité. Le sanglier héraldique une figuration de mon animal (doublement) totémique attesté tant par une origine géographique que par mes astralités chinoises.

Mon "nom secret", disons à peine secret, est très particulier : si on l'inverse il parle de Vacuité, ce qui pour un jumeau du célèbre Tenzin Gyatso (à 12 ans près) n'est pas si mal, tandis que l'étymologie basique tant latine que sanskritisante se situerait plus du côté lumineux que du côté ténébreux.

Bref, on n'a qu'à bien se tenir sauf que je dois avouer que je me trouve un peu gêné par le costume quelque peu "brahmanique" dont je me suis trouvé plus ou moins affublé par les aléas d'une transmigration dont en définitive je préfère ne rien savoir.

Je précise, à l'intention de l'auteur de la fameuse chronique, qu'un citoyen qui s'était laissé momentanément séduire par quelque "turquerie" mal ficelée s'est, comme votre serviteur, rendu compte que ladite chronique mérite qu'on lui consacre quelques loisirs. 

Ce qui m'avait retenu de m'y attarder c'est qu'un des mes exploits a été classé à C- comme connerie.

Soit dit en passant, con et connerie sont des termes excessivement misogynes dont, l'emploi risque d'être sous peu, interdits, sauf à risquer de très lourdes amendes.