Le blog d'Alexandre Palchine

Elisabeth Badinter a critiqué la tournure prise par ce mouvement assez franchement "hard" dans Fausse route. Il s'agit certes d'une femme intelligente mais la connaissance que j'ai de la psychologie féminine m'incite malgré tout à m'en méfier.

Je vous conseille une lecture attentive de X Y de l'identité masculine, que j'ai commenté autrefois au point d'autoriser Gaie France Magazine à reproduite mon compte-rendu paru dans un numéro des C.R.E.T. ce qui a bien failli m'attirer de gros ennuis. GFM a été fondé par un particulier qui a été vitriolé par un commando sioniste en raison de sa participation à un certain groupuscules d'extrême-droite. En réponse il s'était livré dans sa revue à une sorte d'apologie de la pédérastie selon les canons grecs et c'était bien la dernière chose à faire.

Un livre qui révèle les faiblesses masculines

Concernant le livre de Mme Badinter portant sur l'identité masculine, il a révélé au monde, l'extrême faiblesse, pour ainsi dire "constitutionnelle" de cette "identité". Ce livre m'a conduit à inverser le rapport de force conventionnel, qui tendait à faire de nous le sexe fort alors qu'il faudrait inverser la proposition traditionnelle. Si tant est que les mâles bénéficient d'une force physique supérieur, à présent qu'il existe des machines pour nous servis d'esclaves, cette force plus ou moins brutale ne nous sert plus à rien.

En revanche, nous disposons, lorsque nous autres sommes bien nés, de la possibilité de développer une intelligence de qualité assez nettement supérieure à celle que mettent en oeuvre la majorité des femmes. Leur intelligence est assez purement utilitaire pour ne pas dire essentiellement matérialiste. Car qu'on le veuille ou non, il existe bien une différence d'essence entre mâles et femelles.

Que l'on me cite une seule vraie métaphysicienne ? Oh certes il existe des femmes qui se prétendent "théologiennes". Mais permettez moi d'en rigoler franchement, côté masculin les exploits dans ce domaine étant assez dérisoires, la charité me commande de ne pas insister au sujet d'éventuelles prouesses féminines dans le domaine considéré.

Bref, il y a lieu de se demander si la révélation des faiblesses du mâle a procédé d'un simple souci de vérité ou si au contraire il ne se serait point agi d'une série de peaux de bananes jetées devant et sous nos pas. A l'époque ce sont beaucoup de secrétaires qui ont dévoré ce livre comme je l'ai constaté à l'époque où j'ai été informaticien dans une certain Fac... 

Dans le "bordel" que j'évoque, il est clair que les menées de ces "Gouines rouges" (évoquées par l'article) ont joué un rôle central. Fort heureusement la Providence m'a complètement immunisé contre les menées du "beau sexe". Et justement, en ce qui concerne la beauté et la laideur tant physique que morale, c'est sans doute le seul domaine où les choses ont été assez bien partagées. Hommes et femmes sont assez parfaitement égaux sous ce rapport. 

Petite anecdote pour terminer ce post

Alors que j'étais encore dans la classe de clavecin d'Huguette Gremy-Chauliac et qu'un article venait de paraître sur l'atelier de facture que j'avais ouvert, une camarade, donc une jeune femme m'a demandé quel était mon "secret" pour paraître plus jeune que je ne le suis.

Je lui ai répondu en substance qu'une partie du "secret" résidait dans une forme particulière de célibat mais que si je lui en détaillais les modalités, elle risquait de n'en pouvoir rien tirer !