Sodome au Vatican : le Grand secret (de Polichinelle) enfin révélé ! (15/02/2019)
Je m'abstiendrai de "tartiner" sur le contenu du livre quand il paraitra car il faut raison garder : la pseudo révélation n'en sera une que par les détails plus ou moins salaces dont Frédéric Martel a du pimenter les 630 pages de son nouveau livre intitulé Sodoma qui paraitra le 21 février prochain. Bien sûr, je serai un des premiers à le lire mais je n'envisage pas d'en faire une recension. D'autres, je suppose, s'en chargeront. L'intérêt n'est pas dans le livre mais dans le fait qu'il est désormais impossible de nier l'imposture...
Les fausses explications de l'homosexualité chez les prêtres
Il faut sans doute s'attendre à un festival de conneries quant aux causes supposée de l'infestation dénoncée... Ce que j'ai pu lire à propos de la chose lorsqu'elle apparaît chez les curés est d'une stupidité crasse. Non ce n'est pas parce qu'on leur interdit d'avoir une ou des femmes qu'ils se rabattent sur les enfants de coeur, c'est uniquement parce qu'ils préfèrent les garçons et que c'est cette préférence qui les a incités à devenir curés. Et cela s'explique, il suffit de lire les premiers chapitres de la Genèse pour comprendre à tel point qu'il faut vouloir demeuré complètement taré pour soutenir l'hypothèse que l'on avance généralement.
Mais si elle a tant de succès, c'est tout simplement parce que l'on ne veut pas reconnaître que d'une certaine manière, préférer le compagnie de son propre sexe et éventuellement les jeux auxquels cela peut donner lieu est sans doute beaucoup plus "naturel" que de s'enticher d'une femme. Mais il faut croire qu'il y a beaucoup de mâles qui sont assez franchement masochistes et qui ont de le merde dans les yeux !
Enfin moi qui observe les jeunes qui zonent sous mes fenêtres, je ne vois jamais de filles parmi eux. les copains avant tout. Autrefois les hommes mariés n'avaient de cesse de plaquer la mère de leur enfants pour aller refaire le monde au café du coin ou pour disputer une partie d'un sport quelconque. Il est vrai que les choses ont beaucoup changé mais c'est assez souvent au prix d'une confusion manifeste entre la femme et la mère qui tendent à se confondre.
Bref, le goût hétérosexuel m'est un grand mystère. Un mystère au moins aussi incompréhensible que celui de la Trinité qui a fait de Jésus non un avatara mais Dieu fait homme. J'ai du respect pour le personnage mais pas pour certaines "bondieuseries"...
Enfin, il ne faut pas oublier que les philosophes, les grands guerriers, à commencer par les Gaulois ont été de la "confrèrie", alors cela doit bien signifier quelque chose.
Alors pourquoi pas les curés qui font métier de s'élever au dessus des contingences matérielles et revendiquent une certaine spiritualité. Le seul problème est que cela leur est interdit et que s'ils veulent vivre leurs penchants, il leur faut absolument changer de métier. Et surtout s'abstenir de vouloir nous vendre l'interdit qui les lie. Qu'ils se le gardent !
Quant à penser qu'il s'agirait d'une attaque pour favoriser contre l'église pour favoriser la PMA, voir la GPA, cela n'a aucun rapport. Il ne faut pas tout mélanger !
Une "bombe" qui n'est n'est pas vraiment une mais qui va faire un peu de bruit
Ce livre ne sera une "bombe" que pour ceux qui se sont voilés avec acharnement la face... Il n'était pas bien difficile de devenir que plus on monte dans la hiérarchie catholique plus la concentration des "pédés" grimpe en flèche, leur seule caractéristique remarquable c'est l'hypocrisie.
Il est juste de dire que plus ils sont homophobes plus ils sont suspect d'en être et c'est assez pathologique. Il faut se souvenir du cas d'un certain Anatrella, ex consulteur du Vatican sur le sujet. Tout récemment, on vient de voir que le nonce apostolique en France, se trouve mis en boîte par la presse hexagonale pour une histoire de mains baladeuses sur la personne d'un jeune homme au service de la Mairie de Paris.
Au moins 90% des clercs catholiques ont contracté le "virus" avant l'ordination
J'estime pour ma part que 90 % des clercs catholiques en sont, ce qui ne veut pas dire forcément qu'ils pratiquent leur "religion parallèle". Je n'ai pas eu à souffrir la moindre tentative d'un pédophile en soutane ou en costume clergyman mais j'ai été assez bien placé pour constater l'existence d'un double langage.
Alors que j'étais illustrateur et que je travaillais pour un important bulletin paroissial paraissant quelque part au Nord de la Loire, j'ai été contacté par le curé d'un village pour photographier une statue illustrant un thème assez rare. Elle représente Ste Anne...
Il faisait partie d'un club où j'ai fait un passage assez court, un club parisien qui était dirigé par un personnage qui avait failli être curé et habitait rue Jeanne d'Arc. Il m'avait du reste "missionné" pour photographier un archevêque recevant une Pucelle virtuelle lors de certaines fêtes provinciales car il était en pourparlers avec ce prélat qui l'a déçu. Le curé m'a fait des propositions, il fréquentait régulièrement l'ile de Porquerolles. Je lui ai répondu que les insignes ecclésiastiques avaient le don non pas de me faire débander mais d'empêcher toute "émotion" de ce côté... Il s'est tenu coi ! Il avait dans son bureau une photo d'un danseur célèbre et se morfondait derrière sa fenêtre à regarder les jeunes garçons jouer sur la place.
J'ai un ami bouddhiste qui m'a raconté qu'un prêtre qui avait été requis pour assister sa grand mère des derniers sacrement, alors qu'elle était moribonde à la Clinique Mozart de N., ce curé l'a fougueusement embrassé sur la bouche... Ses collègues mettaient ça sur le compte d'un penchant pour la dive bouteille. Cela ne l'a pas empêché de devenir exorciste en titre de l'évêché et de diriger une radio catholique...
J'ai eu comme patron un jeune curé qui s'est singularisé de plusieurs manières en faisant montre d'une hostilité marquée à propos du "mariage pour tous". Il m'a demandé mon avis sur le sujet. J'ai du raconter l'histoire : je lui ai remis, le dimanche suivant des photocopies extraites d'un livre de John Boswell à propos des bénédictions de couples de même sexe qui se sont pratiquées, assez exclusivement du côté oriental et il n'est jamais revenu sur le sujet, ni publiquement ni entre quatre yeux.
En revanche, peu de temps après il a fait un prétendu burn out et a disparu pour faire une crise de désintoxication alcoolique et on ne l'a plus jamais revu ! Signe particulier : Les femmes du secteur en étaient folles et il en a joué comme d'une couverture. Sauf qu'au détour d'une conversation où il fut question d'astrologie, il m'a donné ses coordonnées de naissance.
Ses penchants y étaient inscrits en noir sur blanc : Venus en maison V, en Gémeaux, opposée à Saturne et carré à la Lune. Il a un jumeau qui est moniteur de ski que je ne connais pas... Le penchant de ce curé pour les garçons m'a été confirmé peu après par l'ami sur lequel qu'un futur exorciste a tenté de séduire.
Bref, ces histoires sont à mes yeux banales et hormis des détails plus ou moins scabreux, Sodoma, le livre à paraître ne m'apprendra rien que je ne sache déjà... Disons que je lirai ça comme on lit un bon polar, soit pour me distraire...
Une "bombe" concoctée dans le plus grand secret et dot la date de mise à feu a été choisie à dessein
Le livre arrive alors qu'un grand débat ecclésiastique est prévu à propos de "pédophilie".
Le point a eu la primeur du livre qui paraîtra dans 20 pays et dans 8 langues. Il s'agit donc d'une offensive mondiale mais je ne crois pas que l'auteur veuille détruire le Vatican et j'observe qu'il n'est pas impossible qu'il faille le jeu du pape actuelle qui aurait dénoncé une partie de la smala vaticane comme étant composée d'une clique de gens rigides menant souvent une "double vie". Il sera sans doute très difficile de contester le produit de cette enquête dont le résultat va sorti avant l'issue du procès du primat des Gaules. Non pour l'influencer, car il va sans doute se conclure par un non lieu.
Ce disant, beaucoup plus détestable est l'entreprise d'un certain François Ozon à propos d'un fils intitulé Au nom de Dieu, qui lui a pour but de pulvériser la présomption d'innocence dont bénéficie un certain Père Preynat. Le problème réside d'abord dans le comportement de la hiérarchie qui couvre les affaires scandaleuse de sa complicité. Complicité dont le livre de Frédéric Martel dévoile, s'il en était besoin, les véritables causes.
Il ne s'agit pas seulement de défendre la religion mais d'une solidarité envers les délinquants puisque très probablement au moins 90% de la cléricature est sujet à au moins des tendances homosexuelles qui s'expliquent du reste fort simplement. Pour ce qui concerne le film j'espère que la Justice française va nous montrer qu'elle a encore des couilles et qu'elle contraindra le réalisateur à en différer la date de sortie. Ce serait bine la moindre des choses ne serait-ce que parce qu'il n'a été conçu que pour faire du fric...
Frédéric Martel va, ainsi que son éditeur, se faire des couilles en platine, mais c'est quatre années d'enquête et des voyages innombrables, il est normal qu'il rentabilise les frais considérables qu'il a du engager...
Ce que le livre va changer ou ne pas changer
La seule chose positive, c'est qu'à présent les curés ne vont plus pouvoir emmerder les "homos" en essayant de les culpabiliser avec leur moraline tiré du Lévitique. On va pouvoir leur dire, au lieu de vous occuper de nos fesses, occupez vous des vôtres et de celles de vos collègues ! On pourra également leur dire : au lieu de vous focaliser toujours sur des questions de cul occupez vous de charité et défendez les revendications des Gilets Jaunes et le cas échéant jetez l'anathème sur un certain président, sa clique sans oublier les banquiers et surtout les BHL, les Attali et Cie...
Les causes de l'homosexualité cléricale
Je l'ai dit 100 000 fois. Elle ne résulte pas d'une privation de femmes car avant que le célibat ne soit imposé aux prêtres séculiers, les tendances homosexuelles étaient déjà très répandues dans le clergé et de tout temps, du moins de la période médiévale jusqu'à nos jours. Il existe à ce sujet une documentation considérable et un des livres de John Boswell aborde largement cette question pour qu'il soit inutile de s'étendre. Le livre s'intitule Christiannisme, tolérance sociale et homosexualité.
Dans une religion qui fait commencer l'histoire du monde avec un mythe présentant Eve comme l'interlocutrice privilégiée d'un serpent édénique censé représenter Satan, la femme ne pouvait avoir que mauvaise presse. Cela dit elle a mauvaise presse dans toute les religions. En effet si l'Islam donne une version un peu différente de cet épisode, parait-il, les propos de son prophètes sont sans équivoque : il faut se souvenir de ce que raconte un certain hadith. Mahomet ayant croisé une femme y aurait vu les traits de Satan et à lui aurait fait un tel effet que pour conjurer l'émotion ressenti il se serait précipité dans ses appartements pour cul-buter, autrement dit buter le cul de Aïcha. Oui c'est l'occasion de souligner que ce verbe, d'usage très commun, est assez foncièrement pornographique. Passons...
Moralité de l'histoire : il faut constater que la rencontre entre Mahomet et Satan a eu de singuliers effets au plan érotique. Je pense pour ma part que puisqu'il est manifeste que l'homosexualité est latente et très répandues chez les Arabes, c'est là, quoiqu'on en dise le signe d'un certain degré de santé mentale car le problème est que le mythe répandu par la Genèse a pour lui un fort degré de véracité. Ce disant je ne veux pas mettre toutes les femmes dans le même sac, il en est, quoiqu'elle soit assez rares, à qui une certaine virilité (vertu) permet d'asséner des vérités avec une franchise dont la plupart des hommes ne sont plus capables.
Et la "pédophilie" dans tout cela ?
Je vois que l'on commence à reprocher à Frédéric Martel de ne parler que de l'homosexualité très répandue dans la cléricature et pas de sa "pédophilie".
Tous ces gens qui parlent à tort et à travers de "pédophilie" commencent sérieusement à nous faire chier avec leur obsession. Je rappelle que la hantise de la "pédophilie" n'est guère à mes yeux qu'une ruse du diable conçue en fait criminaliser ce qu'à propos des Anciens, des Grecs en particulier (et aussi des Gaulois et même de tout peuple guerrier) on nomme pédérastie.
Il est parfaitement clair, lorsqu'on prend du recul que c'est la seule forme d'homosexualité qui a trouvé grâce aux yeux de ces Anciens. Et elle consiste dans une relation qui a été qualifiée d'initiatique par le principal spécialiste de la question et qui est français. Relation entre un jeune adulte et un adolescent conçu sur la base d'un échange amoureux servant de véhicule à une transmission en matière d'apprentissage. Telle qu'elle était encore conçue au temps d'un certain Platon, elle ne s’accommodait guère d'une folie des corps sans limites. Il faut tout de même savoir que la sodomie n'a jamais été encouragée par l'élite grecque. Voir le livre de Sir Kenneth Dover sur L'homosexualité grecque, Président du Corpus Christi Collège d'Oxford. Désolé pour l'ironie de l'histoire...
Cette pratique a survécu d'une manière assez pragmatique en tant que sorte de compagnonnage, tant que la généralisation de la pilule n'a pas libéré les femmes pour tendre à en faire des putains et tant que Mai 68 n'a pas répandu la peste noire de ce qui n'aura été qu'une entreprise de défoulement accessible seulement à des bourgeois friqués...
Je précise que l'occasion ne s'est jamais présentée pour votre serviteur d'expérimenter ce genre de compagnonnage mais j'ai pu observer qu'à l'époque où çà se faisait encore il s'est trouvé des mères de famille pour éconduire des tiers qui auraient voulu dénoncer la chose. Cela va même plus loin : au XIXème siècle et même au lendemain de la seconde guerre les grands bourgeois et beaucoup de familles fermaient ostensiblement les yeux sur les dérapages des curés, au moins quand il s'agissait d'adolescents largement pubères : il faisaient le calcul que ce pouvait être un mal pour un bien, un prêtre étant susceptible d'avoir une influence salutaire sur un jeune.
Se pose donc la question de savoir quelle pourcentage représente la vraie "pédophilie" (qui implique que l'enfant soit impubère ou à peine pubère)...
Il est clair que ce que recherche les curés "pédés" c'est avant tout une relation paternelle avec un peu de sexe. Autrement dit, c'est sans doute, le plus souvent de la "pédérastie". Le seul problème est que dans la mesure où la religion interdit la chose et la considère comme criminelle, il n'en peut découler qu'un fort malaise pour le jeune alors que ça ne poserait moralement aucun problème de la part d'un précepteur laïque, sauf s'il appartient à une école publique car dans ce cas il est absolument exclu qu'il puisse établir une relation privilégiée, donc inégalitaire, avec un de ses pupilles.
En d'autre termes, on est en présence de quelque chose de très païen et qui ne peut pas être chose saine dans un environnement religieux et surtout monothéiste. Ni bouddhiste du reste quoique de ce côté on a observé, notamment du côté du Japon, de singulières licences. Le bouddhisme est assez essentiellement de tendance monastique mais il est plus équilibré en ce sens que s'il se méfie du sexe, il ne fait aucune différence entre ses variantes à raison de leur objet particulier.
Lorsqu'on éprouve des attirances envers les créatures du même sexe, la pire des connerie à faire, c'est d'entrer en religion !
S'il y a tant de prêtres et d'évêques qui préfèrent les garçons aux femmes, c'est d'abord parce que ne se sentant pas attirés par les femmes, ils ont cru avoir la vocation et se sont plus ou moins abusés. Certains, un bon nombre sans doute, ont fini par faire le calcul que le catholicisme, en particulier, leur offrait une sorte de refuge où vivre entre hommes en profitant éventuellement de proies faciles de par les contacts privilégiés que le métier permet avec la jeunesse puisqu'il s'agit d'une classe d'enseignants.
Je suis bien placé pour parler de cela car alors j'étais un enfant j'ai été très attentif aux leçons du catéchisme et à la morale évangélique. Je me suis demandé si je n'avais pas effectivement la vocation. Fort heureusement, je me suis rendu compte que la singularité (apparente) des mes attirances constituait un problème. Et non moins heureusement, les salamalecs ritualistes et les déguisements ecclésiastiques sont choses qui m'ont rebuté, sans même parler de la discipline et de l'ambiance peu conviviale de toute espèce d'internat qu'il soit d'un Lycée ou d'un séminaire.
Enfin, et fort heureusement si j'éprouve plus d'empathie pour les garçons quelque soit leur âge que pour les filles, je trouve la vraie "pédophilie" chose débile et la vraie pédérastie trop purement "romantique" pour être chose réaliste... Vouloir construire quelque chose sur un attrait amoureux ou sexuel me paraît chose trop fragile pour être tentée quelque soit l'orientation envisagée.
Aimer les jeux du sexe pour le plaisir et la complicité que cela implique me paraît suffisant comme justification, à la condition que cela ne prenne pas une place excessive. Sauf que les jeux entre mecs ont l'immense attrait d'être, en principe, plus spontanés et nettement plus gratuits qu'entre un homme et une femme.
La possessivité est assez bien partagée mais côté féminin elle présente des caractères qui me sont assez parfaitement odieux ! Bref, mon orientation ne m'a jamais posé de problème dans la mesure où la classe d'âge qui l'a motivée s'est certes un peu déplacée mais elle a convergé autour de 25 ans. Et à présent c'est ce que l'on appelle de l'histoire ancienne !
Dérapages en milieu protestant ! La différence d'échelle...
On a appris récemment l'existence de dérapages sous formes d'abus sexuel en milieu protestant ou les pasteurs sont en général marié.
Quantitativement, la différence est flagrante c'est d'un côté des centaines, et de l'autre des milliers et même des dizaines de milliers.
Cette différence d'échelle pourrait inciter à penser que la possibilité pour les pasteurs de se marier est un frein. En fait les dérapages en question ne concernent pas que des pasteurs. Je pense qu'il faut chercher la cause du côté de la tendance du christianisme d'être plus ou moins asexué. La contrainte, la censure et l'atmosphère de pruderie qui en résulte tend à jouer le rôle d'un aiguillon.
Statistiques improbables
Cela dit, on m'a objecté qu'il se produirait, dans le milieu purement laïque 200 000 faits d'abus sexuels par an. Que ce soit en France ou dans le monde, premièrement je ne vois aps sur quelle base ont prétend appuyer un tel décompte.
Dans la mesure où il s'agit en fait très généralement de faits d'inceste, il n'existe pas de moyens sérieux de faire des statistiques sur le sujet. Ces sortes de chiffres ne peuvent résulter que d'une propagande manipulatoire et je refuse de m'appuyer sur ces supputations quand il s'agirait de relativiser les désordres ecclésiastiques.
Les religieux ont principalement pour vocation de servir d'exemple et ils sont devenus les contre exemples à la fois les plus parfaits et les plus scandaleux qui se puissent imaginer. Soit ils cessent de nous emmerder avec certains de leurs préceptes et s'occupent de choses plus essentielles à base de charité ou alors le catholicisme étant devenu un pur scandale et la nature ayant horreur du vide, cette religion finira par s'écrouler complètement.
A ce propos, j'ai entendu récemment un jeune couple d'épiciers qui voulait se marier à l'église, se plaindre de se voir réclamer 700 € par un curé polonais que j'ai eu l'occasion de recadrer par le canal d'une épitre assez sanglante... La répétition de ce genre d'abus + les scandales de "pédophilie" devraient normalement finir par se solder par l'écroulement de Saint Pierre de Rome.
La seule chose qui m'inquiète c'est que l'Islam n'attend que cela pour prendre toute la place, d'abord de façon insinuante par les urnes, puis pour finir de force..
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