Délires pédo-satanistes : Marion Sigaut et Judith Reisman récidivent (20/02/2017)
Tant aux USA qu'en France, des délires caractérisés se sont emparés sur monde politique. Aux USA, ce sont des délires colportés par les réseaux sociaux qui auraient déterminé la victoire de Donald Trump : j'y reviendrai à propos des fameuses Chroniques de Rorschach, qui ont pris, assez récemment, une tournure assez particulière.
Avant d'évoquer les derniers exploits du duo satanique formé par Marion Sigaut et Judith Reismann, quelques mots sur l'atmosphère pré électorale, ici en France.
D'un côté un François Fillon qui annonce la suppression de 500 000 fonctionnaires et qui déclare par ailleurs être contre le "mariage pour tous" et l'avortement, mais qui ne fera rien contre... Mieux valait se taire...
De l'autre un blanc bec ambitieux (Macron) qui déplore l'humiliation subie par les adversaires du "mariage pour tous" mais qui, dans le même souffle, se prononce en faveur de la GPA pour les lesbiennes. Espérons que cette poussée suicidaire va finir par le couler !
La GPA est un problème en soi, indépendamment de la destination des enfants procréés : on ne loue pas un ventre comme on loue une place de parking, point final ! De plus il y a assez d'enfants à adopter sans avoir à en faire faire ! Cette "boulette" juste après l'accusation de crimes contre l'humanité à charge de la France en Algérie, est réjouissante mais si c'est pour voir l'arrogant Fillon remonter dans les sondages par compassion (Alain Soral), merci bien !
Un "sigest" (sic) sur la prétendue menace des "droits sexuels"
J'apprends tout d'abord que la Sigaut vient, après ses mensonges à propos de la charte des "droits sexuels", de commettre un livre de 167 pages sur le sujet.
À ceux qui disaient que le Pacs allait mener au mariage des homosexuels, on rétorqua qu’ils avaient l’esprit mal tourné. À ceux qui protestaient que le Mariage pour Tous allait mener à la gestation pour autrui, on répondit la même chose.
La GPA n'est pas prête d'entrer dans les mœurs en France. Macron vient de commettre une "boulette" qui, espérons le , a commencé d'ouvrir les yeux du public sur son immaturité.
A-t-on pensé dire, à ceux qui admirent l’éducation sexuelle à l’école, qu’on allait bientôt sexualiser les bambins dès la maternelle et promouvoir à grands moyens toutes les déviations voire certaines perversions sous couvert de protection de la santé ? De la santé sexuelle.
Toujours cette histoire de prétendu enseignement de la "théorie du genre" à l'école: çà n'existe pas, même le Pape s'est laissé embobiner par les délires ambiants. C'est dire à quel point les gens n'ont plus les yeux en face des trous.
Les « droits sexuels ». Une aberration onusienne datée de 2008 qui élève au rang de «droit» le désir de jouir sans entraves et hors de toute morale. L’énoncé de ces droits est si insensé qu’on peine à le croire. Pourtant ils sont bien déjà là, partout. On ne les a pas vus venir, mais ils ont envahi les écoles, les médias, la rue, les mobiles de nos gosses et même les dictées en primaire...
Tout cela est faux, archi faux, je l'ai démontré par des citations du texte. Quant on en arrive à fabriquer des livres sur la base d'hallucinations, rien ne va plus !
Le scandale pédocriminel "Boys Town" par Judith Reisman et Marion Sigaut
18 février : une nouvelle vidéo parait (avec des sous titres illisibles). On ne trouve aucune trace d'une affaire "Boys" Town" du nom d'un orphelinat du Nebraska. En revanche, une affaire Franklin a existé qui s'est soldée par un non lieu en ce qui concerne le volet pédophilie.
Mais, bien sûr, l'affaire à été étouffée. Comme l'aurait été l'affaire McMartin Preschool, affaire non moins emblématique, qui a coûté plus de 16 millions de dollars au Trésor américain ! 16 millions de $ pour étouffer une vraie affaire çà fait beaucoup alors que le chiffre démontre au contraire que l'on a pris les choses très au sérieux. Voir à ce sujet l'Enquête sur le satanisme de Massimo Introvigne p. 327-328.
Je rappelle les délires de la Reisman !
Moralité : ces deux bonnes femmes sont siphonnées et totalement incurables !
Au final, le rappel de ces affaires c'était pour parler de la fameuse "Pizzagate". Je cite l'introduction :
Judith Reisman, en présence de Marion Sigaut, revient sur l’affaire « Boys Town », un foyer pour jeunes garçons qui alimentait un réseau pédocriminel, un scandale pédophile qui a défrayé la chronique américaine 30 ans avant le Pizzagate.
Il me faut hélas consacrer un billet à cette histoire, car j'ai reçu plusieurs emails à ce sujet de lecteurs qui m'ont plus ou moins tanné...
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