Marion Sigaud et la téchnique vidéo de l'enfumage (30/01/2017)

masque-a-gaz.jpgCette technique n'est pas propre à Marion Sigaud mais grâce à la caisse de résonnance que constitue "Egalité et Réconciliation" elle l'a poussée à un point d'incandescence.

Il faut, pour comprendre le caractère démoniaque des vidéos, comparer le recours au texte et à l'écrit d'un Olivier Marchal, prof d'histoire et blogeur à la péroraison orale et filmée de cette fouteuse de merde qu'est la Sigaut.

Réfléchissez et enfoncez vous dans le ciboulot que recourir à des paroles vous oblige pour pouvoir les contrer à devoir retrouver une déclaration, ce qui implique de systématiquement minuter l'audition d'une vidéo et à transcrire le propos.

Pratique extrêmement pénible qui vous oblige à être rivé aux lèves de cette maudite créature et, par dessus le marché, vous oblige à perdre un temps fou pour retrouver ce que vous avez entendu.

Alors que si vous travaillez sur des textes, comme je l'ai fait, vous imprimez, vous surlignez, vous annotez et vous classez dans un dossier. En ce qui me concerne ma mémoire visuelle m'aide à m'y retrouver quand il s'agit de textes écrits. Le cas échant si les textes sont numérisés, je fait une rechercher de mot ou de chaîne de caractère et je peux aisément procéder à des citations.

Oui cette pratique d'enfumage par l'audio visuel est DIABOLIQUE, oui parfaitement, et même étymologiquement. Est diabolique tout ce qui se met en travers de l'usage normal des choses, et au final tout ce qui EMMERDE pour parler comme un "jeune".

J'ajoute que d'autre part, ses vidéos lui servent, au détour d'une phrase, à insinuer des suggestions qui ne se trouvent certainement pas dans ses prétendus manuels historiques. Je pense à l'histoire des "pédotempliers". Soutenir des invraisemblances pareilles, même dans un "roman historiques", ce serait suicidaire car çà se remarquerait.

Les paroles s'envolent et les écrits restent.

Sur les "pédotempliers" cliquez ici !

15:07 | Tags : marion sigaut, homosexualité pédophilie, alain soral, affaire damiens, hopital général, kinsey, révolution sexuelle, judith reisman | Lien permanent | Commentaires (0)