Tareq Oubrou, Alain Juppé et le projet de "Maison de la charia" à Bordeaux (16/11/2015)
Ci-contre la maquette du projet mégalomaniaque de Tarek Oubrou et de son complice Alain Juppé. Lorsque j'ai vu récemment pérorer Alain Juppé sur le plateau de BFM TV, s'il avait été à portée de mains, je lui aurais arraché la langue pour commencer, les yeux ensuite avant de l'étrangler. Mais j'ignorais qu'il avait du abandonner ce calamiteux projet avant que des citoyens ne déposent un recours devant le tribunal administratif. Il s'est défaussé en invoquant des problèmes d'accès.
Notez en passant que la Maire de Bordeaux est accusé d'avoir ordonné à l'Université de ne pas accepter de thèses qui pourraient chagriner les musulmans. Cette information est sortie lors d'un entretien avec un auteur qui a du postuler à Toulouse à propos d'un travail de codicologie portant sur le Coran. J'en reparlerai...
Ce Maire est l'un des traîtres qui pour des raisons bassement électoralistes avait pactisé avec Tarek Oubrou qui est une créature issue de la mouvance des Frères Musulmans. Il existe encore des vidéos sur le Net qui montrent à quel esprit cet imam était animé avant de paraître être devenu fréquentable. En réalité c'est un fin renard qui pratique la taqqyia. C'est quoi ce truc ? Explication :
Sahih Al-Bukhari Vol 7 Book 67, Hadith 427 : Le Prophète a dit « Par Allah et s’il plaît à Allah ! Quand je fais un serment et plus tard trouve quelque chose de mieux, je fais ce qui est mieux et expie mon serment».
Commentaire : Personne n'a remarqué que Allah n'est mentionné que pour la forme. Mais Mahomet a bien dit quand JE trouve quelque chose de mieux JE rejette, j'oublie mon serment. Et si c'est Allah qui fait trouver quelque chose de mieux c'est aussi Allah qui autorise à bafouer le serment. Donc le prophète autant que son Allah n'étaient que des menteurs patentés en puissance !
Comment peut-on être crétin et malhonnête au point de n'avoir pas vu que Allah et son Mahomet sont une grosse arnaque pratiquant l'arbitraire en toute impunité ?
Une vidéo éclairante
Voici une vidéo d'un certain Alain Wagner qui explique clairement en quoi Alain Juppé, était prêt à commettre le crime consistant à favoriser l'implantation de la charia en France. Il ne s'agissait pas d'une simple salle de prières. La charia est criminelle et incompatible avec notre droit. Est-ce qu'une de ces ordures de "guénoniens" qui se sont convertis au soufisme dans l'espoir de devenir des sortes de "demi-dieux" par leur initiation pour pouvoir "gouroutiser" et se faire entretenir par des disciples complètement écervelés ont conscience de ce qu'est la charia ?
L'intervention filmée ci-dessous à l'avantage de présenter le délit que juppé s'apprêtait à commettre avec une clarté exemplaire qui devrait ouvrir les yeux de ceux qui daigneront me lire. Maintenant s'ils trouvent quelque chose à redire qu'ils le disent et aient le courage de justifier leur opinion. J'attends !
Mais ces allumés aveuglés par les discours de Guénon, qui soit dit en passant ne s'est guère étendu sur L'Islam vont se taire, j'en suis sûr. Question est-ce que le soufisme a aboli la charia ! Cela n'a pas été le cas chez les Vâlsan sauf qu'ils ne pouvaient pas l'appliquer sans se retrouver en taule mais nous savons que le continuateur de la secte rêve comme Schuon en rêvait d'islamiser l'Europe. A ceci près que si Daesh parvenait à s'installer chez nous, ces tenanciers de tariquah à la noix seraient parmi les premiers à être décapités sur les places publiques ce qui malheureusement ne résoudrait rien.
Cette vidéo donne les arguments pour attaquer devant les tribunaux administratifs tout projet de centre culturel musulman et le faire avorter en se servant de la loi de 1905. Malheureusement comme l'explique l'intervenant les opposants à l'introduction à la charia en France s'en tiennent à des provocations souvent stupides et suicidaires en négligeant les voies légales. J'ai pratiqué les tribunaux administratifs et ils m'ont assez souvent fait un bonne voire une excellente impression. Leur indépendance est bien supérieure à celles des juridictions pénales qui sont sensibles à la direction dans laquelle soufflent le vent dominant du moment.
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